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    Les Poupées du diable
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    3,7
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    29 critiques spectateurs

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    Maqroll
    Maqroll

    131 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2009
    Film un peu oublié de Tod Browning, Les Poupées du Diable mérite pourtant un détour intéressé. Comme dans les autres œuvres de ce cinéaste en marge, l’humanité est ici montrée dans ses extrêmes. Un « savant fou » qui invente une machine à modifier la vie, un innocent condamné et obsédé de vengeance, une machination digne du comte de Monte Cristo et à l’arrivée on s’aperçoit (comme dans Freaks, le chef-d’œuvre de Tod Browning) que les monstres ne sont pas ceux que l’on prenait pour tels. La mise en scène expressionniste souligne tous les sentiments des personnages, le scénario est créatif, l’interprétation est puissante, dominée par un Lionel Barrymore qui s’en donne à cœur joie et par l’impressionnante Rafaela Ottiano, véritable âme de l’histoire. Signalons que les effets spéciaux sont sidérants quand on songe à l’époque où ce film a été tourné.
    SYNEPHIL
    SYNEPHIL

    39 abonnés 1 134 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 octobre 2016
    Une histoire de vengeance a la methode originale lié a une relation pere / fille qui remplace la traditionelle histoire d'amour le tout servie par de bons acteurs et avec des effets speciaux impressionnants pour l'epoque font de ce film une reussite.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 958 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 avril 2016
    Avec "The Devil Doll" du gènial Tod Browning, l'èpouvante a beau se faire plus insidieuse, elle n'en est pas moins prenante, et peut-être encore plus forte encore! Ici, nous ne nous trouvons pas en prèsence d'être gigantesques, comme "King Kong", ou douès d'un surnaturel pouvoir de faire le mal, comme "Frankenstein". Ce sont des nains! Comme devant les pauvres être du mythique "Freaks" - hydrocèphales ou lilliputiens - nous voici terrorrisès par la transgression de l'idèe que nous avons de notre propre nature d'êtres humains à part entière! On pourrait croire que c'est la caractère dèmesurè d'un personnage de fiction qui effraie le plus : il n'en est rien, et c'est bien plutôt le « sans commune mesure » qui est de loin le plus redoutable! Les « poupèes » du diable n'ont rien de particulier, elles sont juste à une autre èchelle que l'humain, ce sont des personnages « normaux » , mais de la taille d'un rat! Et alors, on dècouvre que cette petitesse, ce « format rèduit » , cette miniature humaine est un être dangereux! Surtout si quelque cerveau criminel sait utiliser l'avantage stratègique de leur petite taille : une attaque surprise de milliers d'êtres minuscules, quoi de plus terrible ? Le procèdè consiste à faire peur en utilisant de minuscules personnages n'ètait pas nouveau! Le film de Browning, sans être un chef d'oeuvre, a pourtant le mèrite de l'originalitè, et il ne manque certainement pas de qualitès! Dèguisè en vieille dame, Lionel Barrymore y fait une excellente crèation! Même si "The Devil Doll" est marquè par la griffe de l'immense Stroheim, comme nous le confirment les tendances sadiques de certaines sèquences, le responsable de cette oeuvre singulière et inoubliable reste Browning...
    Plume231
    Plume231

    3 472 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2016
    Rien n'est plus passionnant et excitant qu'une bonne histoire de vengeance, ce n'est pas Alexandre Dumas qui me fera dire le contraire, ni une bonne course de chars, et ni non plus des êtres vivants réduits. Oui, parce que, comme si la promesse d'une histoire de vengeance n'était pas suffisamment enthousiasmante, on aura aussi l'originalité de voir cette vengeance accomplie par des personnes réduites obéissant aux volontés du protagoniste. A noter au passage des effets spéciaux bluffants, dix mille fois plus efficaces que la surenchère numérique d'aujourd'hui...
    Et puis, pour le coup on est vraiment bien servi, la dynamisme de la mise en scène de l'excellent Tod Browning, très à l'aise dans ce mélange de thriller et de fantastique avec quelques beaux moments de tension et suspense, fait que le film passe sans qu'on s'en rende compte. Lionel Barrymore en Mrs. Doubtfire de la vengeance ne cache nullement sa jubilation, contagieuse, de jouer un rôle pour le moins très haut en couleur. La pétillante et délicieuse Maureen O'Sullivan apporte de la fraîcheur à l'ensemble. Le Paris de carte postale, dans lequel il fallait visiblement pas faire cinq heures de queue pour arriver au sommet de la Tour Eiffel, apporte un petit plus de charme.
    Et pour finir, il y a un je-ne-sais-quoi de profondeur scénaristique autour de l'idée de ramener l'être humain à sa véritable taille... Non, on va pas se mentir c'est du très bon cinéma.
    Yetcha
    Yetcha

    743 abonnés 4 286 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 mars 2010
    Un excellent film que je viens seulement de découvrir par hasard! Le jeu de l'arrière grand-père de Drew Barrrymore est tout simplement énorme, et je vais de se pas chercher d'autres films où il a joué (et il y a en a un sacré paquet!). Bref, on rentre dans le vif du sujet dès le début, le sujet est haletant et, si on a pas peur à proprement parler, on craint tout de même de temps à autre et la sensation de mal-être se fait tout de même sentir. Une très belle pièce de cinématographie ne pas rater, un vrai délice!
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 173 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2010
    Le célèbre réalisateur de Freaks, la monstrueuse parade (1932) adapte ici le roman "Brûle sorcière brûle" de l'écrivain Abraham Merritt et en retranscrit une oeuvre à la fois sombre, judicieuse, innovante et intelligente.
    Une histoire comme on en avait jamais vu pour l'époque, un rape and revenge où un banquier, victime d'un complot orchestré par ses collègues, se retrouve en prison contre son gré. Après avoir fait la connaissance d'un chimiste, ils parviennent à s'échapper, l'heure de la vengeance est maintenant arrivée. Paul Lavond va pour cela, utiliser un procédé inventé par le chimiste, réduire à l'état de lilliputiens ses anciens collègues.
    Prouesses techniques et artistiques, parvenir à rétrécir les acteurs et à les associer aux acteurs de taille réelle, le procédé de miniaturisation (révolutionnaire) a par la suite été utilisé dans le célèbre L'Homme qui rétrécit (1957).
    Scénario machiavélique, acteurs passionnants, dénouement et mise en scènes prodigieuses, font de ce thriller fantastique, une incroyable réussite, qui, aussi étonnant que cela puisse paraître, n'a rien perdu de sa beauté au fil des ans.
    Caine78
    Caine78

    6 009 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2009
    Encore considéré aujourd'hui comme l'un des grands classiques du cinéma fantastique américain, ces "Poupées du diable" ne semblent en effet pas avoir subi le poids des années tant Tod Browning nous impressionne encore une fois par sa maîtrise et son invention. S'appuyant aussi bien sur un scénario astucieux que sur la prestation jouissive de Lionel Barrymore, le film sait ainsi se faire d'un charme fou et nous passionner pendant 80 minutes sans interruption... Et si l'oeuvre n'est il est vrai pas la plus marquante de son auteur, elle n'en demeure donc pas moins particulièrement savoureuse et réjouissante. Une perle du genre.
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    249 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 août 2009
    Excellent; jouissif.
    benoitparis
    benoitparis

    94 abonnés 1 277 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 août 2009
    Les histoires de miniaturisations doivent avoir quelque chose à voir avec le mythe du Démiurge. Les scènes de ce genre dans "Les Poupées du diables" m'ont rappelé la séquence des homoncules dans "La fiancée de Frankenstein". Le film doit pouvoir se lire aussi comme une variation particulièrement tordue, mais troublante, sur la paternité, les rapports père fille. Tout cela fait passer au second plan les aspects un peu kitsch (Paris reconstitué à l'américaine, la désuétude des effets spéciaux) ou mélo. Il y a aussi quelques effets de suspens réussis. Tod Browning comme un ange du bizarre...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 août 2009
    Un bon film, un mélange entre Freaks et les anciens films d'épouvante avec Bela Lugosi. Les décors sont assez impressionants pour l'époque. Seul léger problème j'ai trouvé le film mettait environ 15-10 minutes à vraiment commencer.
    AMCHI
    AMCHI

    5 034 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2009
    Les poupées du diable est un très bon film d'horreur bénéficiant d'un bon scénario et de remarquables effets spéciaux. Le film date des années 1930 mais il n'a en aucune manière vielli et il n'a rien à envier aux actuels films d'angoisse.
    real-disciple
    real-disciple

    67 abonnés 1 022 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 octobre 2012
    C'est pas le meilleur de Browning, la réalisation est poussive et le manque de scènes fantastiques est un peu frustrant. Néanmoins celles-ci sont vraiment réussies et le jeu de Lionel Barrymore est plus que convaincant.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    664 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 mai 2013
    L’histoire des "Poupées du Diable" est évidemment assez extravagante, mais elle a le mérite d’être passionnante même après de multiples visionnages. Mais si on prend donc toujours autant de plaisir à visionner ce sublime film fantastique des années 30, c’est aussi grâce à la présence des innovants et impressionnants trucages et à la prestation exemplaire de Lionel Barrymore qui campe avec un immense talent le personnage principal. Un grand classique du 7ème art que je me délecte toujours de visionner !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 janvier 2012
    "Les poupées du diable" superbe film fantastique américain de 1936 avec des effets spéciaux des plus réussis ! L'histoire narre que le banquier Paul Lavond qui est victime d'un complot organisé par ses associés, est envoyé au bagne à Cayenne. Au bagne, il fait la connaissance d'un chimiste de génie du prénom de Marcel qui a découvert un procédé permettant de rapetisser les animaux. Les deux hommes réussissent à s'enfuir. Ils vont chez sa femme Melita qui a une maison dans les environs, ou le chimiste montre à Lavond des chevaux hyper réduits de la taille de jouets d'enfants. Paul Lavond n'en revient pas ! Le chimiste décide de faire une expérience chimique sur sa servante : une jeune et jolie Allemande mais un peu stupide (choisie exprès pour qu'elle ne remarque pas certaines activités) découverte en zone d'occupation de l'Allemagne d'après la Grande Guerre. Le chimiste réduit de taille sa servante en la taille de 30 cms comme une poupée mannequin ! Puis le chimiste meurt. Paul Lavond et Melita décident de rentrer en France, à Paris (là ou Lavond avait sa banque et sa fille y vit) mais aussi dans l'idée de vengeance ou ils ouvrent un magasin de jouets. De ce fait Paul Lavond se déguise en vielle femme. Paul Lavond entre en contact avec sa fille sans dévoiler son idendité. Lavond réussit à se venger de ses comparses à l'aide de la poupée servante qui a l'aide d'une aiguille dont le premier est réduit à 30 cms, ce qui fait un compagnon pour la servante (voir le tango dansés ensemble sur une table, animation par la veuve), un autre est paralysé dans son lit ou la poupée vole des bijoux et le troisième par la peur, se dénonce et c'est l'ancien complice poupée qui allait le piquer. La fille de Lavond qui est Lorraine, travaille dans une teinturie et a un fiancé qui est chauffeur de taxi du nom de Toto. Avec tout ceci, Lavond a touché beaucoup d'argent. Mais la veuve veut continuer l'oeuvre de son mari Marcel et là, elle devient comme folle qui finalement la boutique prend feu. Lavond rencontre sa fille Lorraine et son futur gendre au premier étage de la Tour Eiffel en se montrant en tant que homme mais se faisant passer pour un ami de son père, il donne l'argent et disparait ou il ne peut faire autrement, car il est recherché par la police.
    Estonius
    Estonius

    2 473 abonnés 5 225 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 mars 2016
    Le film se passe en France, l'un des banquiers se nomme Monsieur Radin et le petit ami d'O'Sullivan se prénomme Toto ! Voilà qui ne fait pas très sérieux, pourtant ce film est un vrai petit bijou du cinéma fantastique, simplement parasité par quelques scènes intimistes un peu lourdes. Mais sinon, Barrymore est parfait (ce qui n'est pas toujours le cas), Rafaela Ottiano qui a des faux airs de la fiancée de Frankenstein crève l'écran et Maureen O'Sullivan dans un petit rôle est mignonne comme tout, mais c'est surtout dans les effets spéciaux que le film excelle. Les deux séquences où les "poupées" s'en vont accomplir leur mission sont non seulement superbes du point de vue des trucages, mais elles sont tournées avec une inventivité jubilatoire et un sens du suspense très efficace.
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