Avis : Du Plomb dans la tête - Page 6

Ca fait vraiment plaisir de voir un film en retrouvant Sylvester Stallone qui est toujours en forme et qui veut nous montrer, qu'il n'a pas perdu son talent d'acteur. Après la grosse déception de ''Die Hard 5 : Belle Journée pour Mourir'', et ''Le Dernier Rempart'' dont je n'ai malheureusement pas eu le temps de voir, ''Du Plomb dans la Tête'' se montre quand même supérieur au cinquième opus de Die Hard. Mais cela ne veut pas dire que j'ai trouvé ce film extraordinaire, car je dois quand même dire que le film m'a un peu déçu, mais attention, ça ne veut pas dire que je l'ai trouvé nul, non, il est bien mais un peu décevant, car je m'attendais à largement mieux pour un film avec Stallone. Ce qui est décevant dans ce film, c'est le scénario qui est selon moi beaucoup trop simple, certes il est captivant, mais il n'y a aucune originalité. On a aussi des rebondissements qui sont bien rythmés et surtout bien travaillés, mais on a aussi affaire à des longueurs qui peuvent souvent durer longtemps. Vers le milieu du film on a affaire à une petite dose d'humour. A part cela, il y a de l'action et des combats surtout, qui sont selon moi un peu trop simple mais qui restent tout de même appréciable et efficace grâce à Stallone. spoiler: Tueur à gages à La Nouvelle-Orléans, James Bonomo, dit « Jimmy Bobo », a pour règle de ne jamais tuer un innocent. Après l’exécution d’un contrat, il laisse derrière lui un témoin, vivant. Pour le punir de ce travail bâclé, son partenaire Louis est abattu par un mystérieux assassin. Lorsque l’inspecteur de police Taylor Kwon arrive en ville pour rejoindre son équipier et suivre une nouvelle piste sur une ancienne affaire, il découvre que celui-ci a été tué. Tous les indices accusent Jimmy et son complice désormais disparu, Louis. Pour trouver qui a tué leurs partenaires respectifs, le flic et le tueur à gages vont être forcés de faire équipe. Bien que chacun d’un côté de la loi, ils vont vite se rendre compte que la frontière est mince…
Stallone (le tueur à gages)et Sung Kang (le flic) forment un très un bon duo devant la camera de Walter Hill qui adapte la célèbre BD française. Bref, ''Du Plomb dans la Tête'' est un film qui se regarde avec plaisir à Stallone, mais je reste quand même un peu déçu, mais le film reste tout de même bien. Un film plutôt bien, mais un peu décevant, 3.5/5.

Walter Hill/Stallone les années 80 sont de retour. Et avec ça, les scénarios en bois et les méchants très très méchant. Les dialogues sont prévisibles ... Bon la moyenne pour la nostalgie et pour Sly qui est toujours à fond avec ses muscles de 60 ans !

Un bon Stalone comme on les aime et qu'on les attend. Violent, brutal et intéressant. L'acteur tient toujours la rampe. A voir.

Selon moi, si Stallone continue à faire de tels films, il brisera sa réputation. Déjà que je l'aime beaucoup moins que Bruce Willis et Arnold Schwarzenegger. Le scénario du film est ennuyeux et peu original. Les scènes d'action se résument à de simples fusillades. J'imaginais déjà ce film comme étant pas très bon mais je m'attendais tout de même à mieux que ça. Je ne recommande pas ce film car il vous fera perdre deux heures de votre vie.

Après "Le dernier rempart" avec Schwarzenegger la nostalgie des Action Movie des années 80 continue avec cette fois Stallone qui quitte exeptionnellement sa franchise "Expendables". Pour bien confirmer que ce film renoue et veut renouer avec cette époque bénie pour les films d'action que sont les années 80 il suffit de préciser que le producteur est Joel Silver ("48 heures", "L'arme fatale" ou "Predator") et que le réalisateur est Walter Hill ("48 heures" et "Double détente") revenu de 10 ans de purgatoire. Officiellement adapté d'une BD française le film s'inscrit dans la mode du buddy-movie (voir filmos express ci-dessus), qui cette fois voit un coréen remplacé le black habituel ; mode du cinéma coréen oblige sans doute. Néanmoins l'acteur Sung Kang n'est pas une grande star et tout le film repose sur Sylvester Stallone. A part ça tous les ingrédients du genre y sont, il s'agit ni plus ni moins qu'un série B efficace qui ravira les nostalgique d'un sous-genre qui ne se réinventera pas avec ce film. Rien, absolument rien dans ce film n'a pas été déjà vu ailleurs. Notons la présence imposante de Jason Momoa (le dernier "Conan" au cinéma) et la présence du roi des has-been Christina Slater (ça commence à vraiment faire pitié pour lui). L'atmosphère de la Nouvelle-Orléans est toujours un bon point. Au final c'est un film sans âme car trop calibrée testostérone eighties, mieux vaut revoir un vrai bon film du genre et de la bonne époque. Tarantino, lui, réalisera peut-être le film du genre des années 2000...

L'action est bonne. Cependant, je n'ai pas été convaincu par le duo Sly - Sung Kang, ce dernier ayant un jeu trop neutre et désintéressé à mon goût. La façon de filmer fait très années 90 et malgré quelques longueurs et dialogues, j'ai vraiment apprécié l'action, même si le scénario n'est pas terrible. Sly est en pleine forme et manie aussi bien le flingue que la hache :) Pas un super film, mais il se laisse voir.

Réalisateur has-been sur les bords, Walter Hill revient à ses premiers amours : le buddy movie. On suit ici un tueur à gages et un flic intègre qui font équipes pour coincer un infâme homme d'affaire. "Bullet to The Head" ne cherche pas à faire dans l'originalité : le scénario aurait pu être écrit il y a 20 ans (excepté pour les passages du smartphone magique qui fait avancer l'intrigue quand celle-ci est bloquée), et les situations sont déjà-vues. Les méchants sont très classiques et manquent d'ampleur, tandis que les péripéties sont très prévisibles. Toutefois, la réalisation a tout de même un certain punch, et la courte durée de l'ensemble permet de conserver un certain dynamisme. Notons également que les acteurs sont assez charismatiques : Sly est convaincant en vieux de la vieille toujours efficace, et Jason Momoa fait des apparitions remarquées dans la peau du bras droit taré de service. Mais ceci n'a pas empêché le film de connaître un échec cuisant au box-office : à l'instar de son comparse Schwarzenegger dans "The Last Stand", Stallone n'a donc pas commercialement réussi son come-back solo de début 2013.

W. Hill dirigeant S. Stallone, je signe direct. Et pourtant, quelle déception. Une adaptation vraiment foirée d'une bonne BD qui peine à retrouver l'atmosphère sombre et désespérée du support d'origine (l'histoire est bien remaniée également, ce qui ne me dérange pas outre mesure mais là, il pervertit un peu trop la BD) et même à saisir celle de la Louisiane. Les scènes d'action s'enchaînent, Stallone est toujours aussi impressionnant malgré ses 60 ans, les autres acteurs sont en roue libre et papy Hill s'en tire pas trop mal au niveau mise en scène. En fait, il faut attendre le final pour enfin décoller spoiler: avec un duel sauvage et brutal entre les 2 antagonistes qui se livre un combat sans merci et à l'intensité physique prégnante
. Sinon, un thriller un peu mou, complètement invraisemblable et qui se pose juste comme une série B de luxe, bien foutue et comptant quelques bons passages. D'autres critiques sur

LE film ne fait pas flamber le BO est étrangement, apres avoir vu le film ; cela ne m'étonne pas trop. Non pas, que le film ; soit un navet. Mais par le simple fait que Stallone est pour les jeunes d'aujourd'hui, un peu "out". Et dans cette production, on a quelques peu l'impression de revenir aux films des années 90 où Stallonne dézingué pas mal de monde^^. Coté scénario, rien de bien surprenant. Du début, au final ; malheureusement assez prévisble et deja vu. Alors qu'une petite innovation avec le retour de Sylvester S. aurait pu être sympa. Bref, c'est le film ; fait pour ne pas réfléchir (juste le strict minimum on va dire. Donc aux quelques lignes qui résument le film) et juste pour nous divertir un peu à l'ancienne. MAis même si on peut entrevoir le coté un peu old school. Quelques touches visuelles de maintenant, font évidemment reflet. Donc oui, cela pourra en décevoir ; par rapport à la photographie, son visuel et son scénario qui dévelloppé aurait pu amener un truc sympa. Deja vu, mais plus interessant à apprécier. Les "anciens" seront un peu nostalgique... Les nouveaux peut être un peu moins, et préfèreront les outils actuels des films du genre. Mais pour le reste, "du plomb dans la tête" (d'ailleurs quel titre!) ; joue avec les codes du style et même si un DTV aurait peut être pu suffire (comme pour le remake de Judge Dredd par exemple). Si l'on aime l'acteur, ce gene d'histoire ; avec quand même son petit lot de situations plaisantes et des scènes d'actions que l'on aime tant voir^^. Au ciné, c'est deja ; plus plaisant que sur sa TV (quoique...^^). Donc, oui ; on est loin du chef d'oeuvre ; mais tout pareil pour son opposé. Sa se laisse voir, même si l'on en retiendra pas grand chose. On se sera peut être divertit ou non. Car, pour le coup. Stallonne ou non. Sa passe ou non. Mais la réalisation est bien à elle, est à elle même ; pourra en décevoir plus d'un. Pour ma part, je reste assez mitigé. NE vaut pas une place plein tarif, mais se laisse regarder à défaut de quelques choses de plus construit et si l'on ne veut pas se prendre la tête et laisse notre cher ami nous en mettre plein la vue (un rythme quand même parfois, un peu inégal... attention donc...^^).

Ça n’est pas ce que Walter Hill a fait de mieux derrière la caméra, ni même Stallone devant. C’est un film d’action brutal moins réussi sur son aspect buddy Movie qui fait quand même l’essentiel. Il n’y a rien de vraiment marquant mise à part quelques gunfights assez abruptes et efficaces et un duel final à la hache entre Jason Momoa et Sly qui vaut quand même le coup d’œil. Dommage que la photo soit vraiment moche et fasse plus penser à du téléfilm qu’à du bon cinoche et que le scénario utilise des facilités un peu trop grosses. Dommage aussi que Sly semble ici atteindre le syndrome Murtaugh. Un film qui fait le job si on apprécie l’action bourrine à l’ancienne, mais vraiment sans plus.

Pas le meilleur film de Stallone … Le scénario est assez moyen, l’action pas exceptionnelle. On passe un bon moment sans plus, on arrive à s’ennuyer par moment en regardant le film.

Je ne sais pas quel est le jury dans les Razzie Awards, mais pour nommer Sylvester Stallone comme l'un des pires acteurs sur l'ensemble des films sortis sur un an, il faut vraiment être stupide pour dire ça.
D'ailleurs, il n'y a qu'à regarder la moyenne des critiques de la presse sur ce site et les comparer à celle des spectateurs pour mieux jauger ce film.
Alors, d'accord, Sylvester Stallone ne sera jamais l'un des plus grands acteurs dans son jeu, mais dire qu'il fait partie des plus mauvais est ridicule. Certes, Du plomb dans la tête ne sera pas le film de l'année 2013, mais il n'en est pas moins divertissant, et comme beaucoup de celles et ceux qui ont vu cette production, j'apprécie de revoir Stallone dans ce type de rôle de "gentil-méchant" qui lui va assez bien, avec son physique. Physique impressionnant au passage : le film a été tourné en 2012, année où Stallone avait... 66 ans !

Pas mal mais convenu. Beaucoup de gros bras, quelques belles bagarres bien chorégraphiées. Le début du film laisse supposer une autre fin que celle que l'on a !! incohérence ?? ou alors j'ai raté un épisode..... Bref pas un must. Ceci dit , Stallone n'est pas mal dans ce rôle.

Les 2 vétérans (Hill et Stallone) signent un actionner à l'ancienne, bien brutal et pas très moral. Fun mais pas bien fin, "Du Plomb dans la tête" réserve un face à face bien burné entre Stallone, parfait en tueur flegmatique au grand cœur, et Jason Momoa, particulièrement impressionnant.

2013 a très mal démarré pour le cinéma d’action. Si l’on s’extasie devant Django Uchained, Zero Dark Thirty, Lincoln ou encore Gangster Squad, les séries B n’ont pas encore eu leur chance. Ni leurs acteurs principaux, du coup ! Une remarque qui s’adresse notamment à deux films : Le Dernier Rempart, qui nous montrait un Schwarzy vieillissant et mou du genou qui aurait dû s’abstenir d’effectuer son come-back, et Die Hard 5, preuve indiscutable qu’avoir Bruce Willis dans la peau de John McClane n’était plus une valeur sûre même dans un film entièrement raté. Bref, du divertissement au final ennuyeux et loupé ! Maintenant, le sort des gros bras des années 80 repose sur Sylvester Stallone, l’acteur qui a relancé ce cinéma d’action avec John Rambo et la saga Expendables, et qui nous revient en solo dans Du plomb dans la tête. Résultat ?

À La Nouvelle-Orléans, un tueur à gages aide un officier de police du NYPD à retrouver le meurtrier de leurs collègues respectifs. Leur enquête va les conduire dans les hautes sphères du pouvoir à Washington.
Comme tous films de ce genre-là, on ne va pas s’éterniser bien longtemps sur un scénario aussi mince qu’une feuille de cigarette. Surtout si le personnage principal, un tueur à gages, mènent sa petite enquête pour retrouver et tuer les assassins de son coéquipier ! Une histoire qu’on nous a été rabattue des centaines et des centaines fois dans ce cinéma qui met encore en avant certains Van Damme et Seagal. Mais ce qui sauve l’ensemble, c’est bien la présence de Stallone. Dès lors, on sait à quoi s’attendre : des répliques connes qui font sourire, un protagoniste bourrin qui ne pense qu’à faire la peau aux méchants, un face-à-face entre deux mastodontes, de l’humour de « gros bras »... Et Du plomb dans la tête réunit tous ces détails, sans en oublier un seul ! C’est crétin mais c’est bon : on se marre bien ! Cependant, il faut reconnaître que ce film se détourne également de ces semblables de part quelques clichés qui sont évités (le personnage principal qui ne change pas à la fin, la relation avec son nouveau partenaire qui ne se bonifie pas, Stallone cassant le délire de son adversaire qui partait dans une discussion sans queue ni tête, une scène de torture vraiment abrégée, l’homme de main se retournant contre son employeur...). De plus, le script ne s’attarde pas trop sur l’âge de Stallone (juste quelques vannes), n’allant pas jusqu’à une surdose indigeste que nous avait fourni Le Dernier Rempart. Allant même jusqu’à se moquer de la place de la technologie moderne dans la société par le biais d’un portable. Ainsi, pas besoin de se prendre la tête : on est là pour s’amuser ! Et le film remplit son cahier des charges scénaristiques plutôt bien !

Bien entendu, il ne faut pas non plus chercher des interprètes à la Shakespeare du côté du casting. Soit les comédiens sont nuls, soient ils se délectent de leur rôle respectif. C’est plutôt sur cette option que se présentent à nous les comédiens. Bref, Stallone fait du Stallone, (sorti tout droit de la saga Fast & Furious) Sung Kang s’en sort pas mal, Sarah Sahi pétille, Jason Momoa étonne dans ce rôle qui lui colle à la peau (pour rappel, cet acteur était l’une des causes de la chute du reboot de Conan) et Christian Slater s’éclate comme un gosse. Que demander de mieux dans ce genre de film ?

De plus, Du plomb dans la tête sonne le retour de Walter Hill, réalisateur de buddy movies cultes des années 80 (48h et sa suite 48h de plus, Double Détente...), qui nous revient donc avec ce genre qui lui est attitré. Et il faut bien qu’à 70 ans, le cinéaste en a encore sous le capot ! Si l’on peut se demander l’intérêt d’utiliser un filtre spécial pour quelques flash-backs inutiles pour l’histoire et un certain manque de mise en scène pour les moments « calmes » du film (retirant le côté bd de l’œuvre d’origine dont le film est une adaptation), les quelques séquences d’action surprennent de par leur efficacité (caméra, montage et bruitages), montrant à quel point Stallone, malgré sa soixantaine, peut encore se défouler tel un mastodonte qui envoie des coups du puissance démesurée. Et avec Jason Momoa comme adversaire, leurs affrontements (malgré un final expédié à la va-vite) sont synonymes de véritables combats de titans !

Navet sur le papier, Du plomb dans la tête se révèle finalement être un bon nanar brutal, violent, efficace et fun, à l’image de Stallone qui est parvenu à se relever après avoir affronter les années qui nous font tous vieillir. S’il n’es pas exempt de défauts et n’est pas de taille face à quelques Rocky, Rambo, Demolition Man et Expendables, Du plomb dans la tête reste une série B honorable, essuyant d’un coup les immenses déceptions qu’ont été Le Dernier Rempart et Die Hard 5. Comme quoi, le temps des gros bras des 80’s n’est pas totalement révolu !