Le meilleur scénario de la trilogie ! Kung fu panda 2 au niveau technique reste égale à son prédécesseur mais le scénario me fait bien plus jubiler, un antagoniste plus profond et travaillé que le premier et une backstory pour Po au top !
On s'ennuie pas avec cette suite même si un chouia en dessous du premier en terme d'humour. Mais l'action compense très bien et la touche dramatique pour nous parler de son passé est bien posé.
Vu à l'occasion de sa ressortie avant le 4. Peut être un poil plus longuet que le 1, mais toujours aussi bien. On fait plus connaissance avec toute la bande kung-fu. L'animation est nickel et la créativité est toujours là.
De loin le meilleur des trois les enjeux sont importants l'animation est parfaite on apprends enfin qui sont les parents de Po le méchant est intéressant et charismatique kung fu panda est particulièrement celui-ci sont les rares films pour enfant mieux que la plupart des films pour adultes ça fait du bien de voir que Hollywood ne veut plus servir de la merde aux enfants !
11 968 abonnés
12 157 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 2 novembre 2020
Le Seigneur Shen fait peser une nouvelle menace sur le monde! Ce pourrait être la fin du kung fu...s'il n'y avait pas ce panda gèant boulimique, enrobè et gaffeur qu'est Po Ping! Ce dernier marque son grand retour e 2011 dans une suite aussi bien que l'original! Un "Kung Fu Panda 2" qui gagne en profondeur et qui parvient à ne pas tomber dans la niaiserie où la philosophie, la tradition et l'aventure ne font qu'un! De nouvelles menaces et de nouveaux dèfis se mêlent en un ensemble dont le rythme ne ralentit jamais, le tout dans des paysages grandioses! Un Po Ping qui devra cesser de lutter et laisser venir! Action, humour et èmotion sont au rendez-vous avec une histoire bien diffèrente du premier volet! Du coup on a envie de connaître la suite! Allez on repart de plus belle avec "Kung Fu Panda 3" sorti en 2016...
Un dessin-animé qui ne manque pas de charme : les personnages sont attachants (mention spéciale pour le "papa oie") et le méchant Chen est très stylisé. Mais la technique irréprochable du film ne suffit pas. La rapidité avec laquelle s'enchaînent les gags ne permet pas d'apprécier le soin apporté aux décors et aux couleurs. Les dialogues globalement sans intérêt et les personnages secondaires assez peu charismatiques empêchent de réellement s'attacher à eux.
encore une fois c'est un film réussi le scénario est très bien , l'animation est très réussi , les personnages attachants Po est assez drôle bref une suite réussi
Le premier volet avait rattaché le panda devenu entre-temps guerrier-dragon à sa nouvelle famille symbolique, composée des Cinq Cyclones et Maître Shifu, tout en maintenant présent son ancrage populaire par le prisme du restaurant de nouilles. Sortie trois ans plus tard, la suite élargit encore le cercle de dépendance familiale en remontant aux origines de Po, soit au massacre de son peuple et de sa famille. Cette origine jusqu’alors inconnue resurgit par bribes cauchemardesques, à la manière de petits flashs tout droit sortis d’un feu d’artifice, arme privilégiée d’ailleurs par le grand méchant Shen. Car il y a un lien profond entre notre héros et le spectacle pyrotechnique : parvenu dans la cour centrale grâce à une chaise allumée de pétards et de fusées, Po doit ainsi à l’artifice son élection au rang de guerrier. La réalisatrice a l’intelligence de filer davantage la métaphore pour remonter à la source vive d’un traumatisme, là où tout a commencé : un génocide biblique embrasant les villages chinois et allumant dans les forêts des feux rouge-orange. La première heure du métrage voit notre panda terrassé par ces explosions de réminiscences, incapable de détourner la goutte d’eau de sa trajectoire initiale pour la diriger vers la plante ainsi nourrie. Dans cette dépendance du feu et de l’eau, seules valent la persévérance et la croyance que les deux matières pourtant ennemies peuvent être maîtrisées et unies. Le noir et le blanc, le feu et l’eau. « Seule compte la suite de ton histoire », indique la Divinatrice. Cette phrase confère à Kung-Fu Panda 2 une légitimité et résume à merveille son ambition : explorer l’identité par un rapiéçage des souvenirs, aussi fragiles qu’une gouttelette d’eau, aussi dévastatrices que le feu d’un canon. Et ce n’est que lorsque les cicatrices auront été guéries – tels sont les propos de Po – que le tour de magie fonctionnera. Feu d’artifice visuel où l’action est mené tambour battant, le film trouve toutefois sa force dans la tonalité tragique qu’il donne à certaines de ses scènes – notamment un adieu déchirant d’une mère à son fils –, rendant presque vaine la débauche de combats et de courses-poursuites. La partition du duo Zimmer-Powell n’innove pas et se contente de remâcher thèmes et sonorités du premier opus avec, en prime, des échos à How to Train your Dragon en guise de clausule. Peut-être moins équilibré que l’original, Kung-Fu Panda 2 poursuit néanmoins la saga de façon intelligente et poétique.
En dessous du premier film et à tendance à oublier les autres personnages. L'animation est toujours aussi belle et le teasing pour l'épisode 3 est très bien réfléchi.
Une suite d'un niveau équivalent au premier opus. Nous retrouvons les personnages de Po, des 5 cyclones et de Shifu. Cette fois, l'histoire se focalise principalement sur la raison pour laquelle Po n'est pas l'enfant biologique de Ping, l'oie commerçante et sur la lutte qui va s'engager contre Shen, un paon qui a pour projet de dominer toute la Chine. Po, en apprenant d'où il vient acquiert la faculté d'être en paix avec lui-même et trouve la paix intérieure qui lui permet de dompter les éléments tels que l'eau ou des boulets de canon incandescents. Comme le premier opus, pas inoubliable mais divertissant.