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    Kung Fu Panda 2
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Kung Fu Panda 2" et de son tournage !

    Kung-Fu Panda

    Parce qu'un panda qui fait du kung-fu c'est toujours drôle à voir...

    Une évolution

    Pour l'évolution des relations entre Po et les Cinq, notamment avec Tigresse.

    Petit panda

    Parce qu'on voit Po bébé...

    JCVD

    Pour entendre, en VO, la voix de Jean-Claude Van Damme, qui incarne Master Croc.

    Les origines...

    Parce que dans ce deuxième opus, plus adulte, Po retrouve ses origines. Et oui son vrai père n'est pas une oie...

    Et de deux!

    Kung Fu Panda 2 est la suite de Kung Fu Panda, sorti en 2008. Ecrit par les mêmes scénaristes (Jonathan Aibel et Glenn Berger), le film voit en revanche le départ des deux réalisateurs du premier opus (Mark Osborne, John Stevenson) en faveur d'une réalisatrice, Jennifer Yuh qui avait collaboré au scénario sur le premier volet des aventures de Po. "S'il y a bien quelqu'un qui connaisse cette histoire, ces personnages et cet univers, c'est Jen. C'est donc tout naturellement qu'elle a été promue réalisatrice du deuxième épisode", indique la productrice Melissa Cobb.

    Un succès planètaire

    Le premier opus relatant l'histoire du panda Po a engrangé 633 millions de dollars de recettes mondiales et décroché une citation à l’Oscar du meilleur film d’animation, ainsi que 10 Annie Awards (la plus prestigieuse distinction du secteur de l’animation).

    On prend les mêmes...

    On retrouve bien sûr dans Kung Fu Panda 2 Jack Black dans le rôle de Po mais aussi Dustin Hoffman qui joue le Maitre Shifu ainsi que les quatre acolytes du panda: la tigresse (Angelina Jolie), le singe (Jackie Chan), la grue (David Cross), la mante religieuse (Seth Rogen) et la vipère (Lucy Liu).

    De même, parmi les techniciens qui ont déjà collaboré au premier opus et qui occupent de nouveau les mêmes fonctions, on retrouve le chef décorateur Raymond Zibach, le responsable de l’animation des personnages Dan Wagner, la chef monteuse Clare Knight, le directeur artistique Tang Kheng Henh, les compositeurs John Powell et Hans Zimmer et Rodolphe Guenoden, à la fois superviseur animation, chorégraphe combats et storyboardeur.

    Pourquoi changer une équipe qui gagne ?

    Grand écart cinématographique

    Le compositeur John Powell, entre autres nombreux films, a la caractéristique de composer à la fois des musiques de dessins animés (Kung Fu Panda donc - aux côtés du vétéran Hans Zimmer -, L' Âge de glace, Happy Feet...) mais aussi de très sérieux films de Paul Greengrass (La Mort dans la peau, Vol 93, Green Zone...). Des films aux ambiances très différentes donc.

    Un papa oie

    Afin de recentrer l'intrigue sur le personnage de Po, les scénaristes se sont posés la question de la figure parentale, nécessaire à la quête initiatique du personnage. "Il aurait été logique de faire de son père un panda, mais d’entrée de jeu, on souhaitait que Po soit le seul panda du village", explique Jonathan Aibel. "On a alors demandé aux animateurs ce qu’ils avaient en rayon", poursuit Glenn Berger. "Et ils nous ont montré leur collection de lapins et de canards et puis, on a vu qu’ils avaient une oie. Et on s’est dit, "et si l’oie était son père ? Mais dans ce cas, comment est-ce possible ?" Du coup, cela a soulevé d’autres questions : Po ne sait-il pas qu’il ne s’agit pas de son père biologique ? Ou peut-être est-il au courant ? On s’est alors demandé ce qui pourrait se passer si Ping n’était pas le père de Po. Au bout du compte, je trouve que cela a enrichi l’intrigue".

    JCVD en crocodile

    Jackie Chan ne va plus être la seule voix de Kung Fu Panda à véritablement maitriser les arts martiaux puisque c'est un célèbre kick-boxer qui incarne Master Croc dans cet épisode, à savoir Monsieur Jean-Claude Van Damme!

    This is the President!

    C'est un ex-président qui donne de la voix pour le personnage de Maitre Boeuf. En effet, Dennis Haysbert, qui interprète l'ex-président des États-Unis Jack Palmer dans la série 24 heures chrono, prête son timbre solennel au personnage.

    Des maîtres aux voix d'or

    Les fans d'Alias sauront peut-être reconnaitre la voix du Maitre Rhino puisque c'est celle de Victor Garber qui incarnait Jack Bristow, le père de Sydney - Alias - Bristow (Jennifer Garner) dans la série.

    Et des voix françaises inspirées

    Manu Payet, Marie Gillain, Pierre Arditi, Mylène Jampanoï et Tomer Sisley sont de nouveau de la partie et reprennent les rôles des personnages qu'ils doublaient dans le premier opus. Tous sont unanimes pour dire qu'ils se sont inspirés des voix originales tout en essayant d'apporter une touche personnelle.

    Manu Payet jubile

    La doublure française de Po dit avoir trouvé "jubilatoire" ce travail de doublage. Il ajoute : "J’ai baigné pendant toute mon enfance dans la VF et je suis reconnaissant de tout ce que les dessins animés m’ont apporté en humour et en plaisir… C’est donc agréable aujourd’hui de participer à une VF de dessin animé en doublant un personnage et d’être au service du film."

    Fil rouge

    Marie Gillain, la voix française de Tigresse, fait part de la difficulté de reprendre la voix d'un personnage à la référence vocale si marquée (Angelina Jolie prend en effet une voix assez grave pour l'interpréter) : "C’est comme un flambeau qui se passe d’actrice à actrice. Ce film va sortir dans de nombreux pays et il existe une sorte de fil rouge entre les différentes actrices." Elle raconte qu'elle a essayé d'apporter une petite touche personnelle au personnage : "Angelina Jolie apporte une prestance assez charismatique, avec sa voix grave et posée : on sent très bien que c’est une femme de tête car il y a une autorité naturelle dans sa voix. Moi, je souhaitais mettre un peu plus de vie dans la voix, davantage de tendresse…"

    Cocteau en Asie

    Pierre Arditi, la voix française de Shifu dans Kung Fu Panda 2, nous fait part d'un parallèle qu'il a perçu entre la philosophie de son personnage et la pensée de Jean Cocteau : "Shifu est un personnage de petite taille, mais d’une grande valeur éthique. C’est un maître kung-fu, porteur de raison et de sagesse. En réalité, sa force réside dans sa pensée. Son message me fait penser à ces mots de Cocteau : "Ce qu’on te reproche, cultive-le, c’est toi !" Il n’existe pas une bonne ou une mauvaise façon d’être et l’essentiel est de s’accepter tel que l’on est, de le revendiquer et de vivre avec."

    Dans l'intimité de Mylène Jampanoï

    "Faire de la post-synchro est un travail assez inhabituel et nouveau et très différent des tournages habituels. Il faut être beaucoup plus spontané et en même temps c’est très, très intime car on travaille seul en cabine et il n’y a donc pas d’interactions avec les autres comédiens", confie l'actrice qui prête sa voix au personnage de Vipère et espère qu'il y aura un troisième volet.

    Tomer Sisley, un grand gamin

    L'acteur et humoriste Tomer Sisley avoue être un grand fan de David Cross, la voix américaine du personnage Grue à qui il prête sa voix en français. Il n'a d'ailleurs pas hésité une seconde avant d'accepter ce doublage : "Comme beaucoup d’enfants, j’ai grandi avec des dessins animés qui me parlaient énormément. Pouvoir faire partie de ce processus, c’est absolument génial ! J’ai adoré avoir un ticket pour le backstage", explique-t-il.

    Jack Black complètement gaga d'un panda

    Jack Black, qui prête de nouveau sa voix à Po, était enchanté à l’idée de retrouver l’un de ses personnages favoris. Grâce au film, l’acteur avait eu la chance d’ouvrir le festival de Cannes en 2008 et de monter les marches déguisé en panda !

    Black évoque un autre souvenir émouvant lié au film : "Il y a quelques mois, alors que je visitais le zoo d’Atlanta, j’ai vu un bébé panda qui était né en captivité… qu’on avait appelé Po ! Ça, c’était énorme ! Il n’est pas encore prêt à se battre, mais ça viendra. Ça sera un sacré panda, croyez-moi !"

    Kung Fu Fighting

    Jack Black, depuis qu'il participe à l'aventure Kung Fu Panda, affirme s'être mis au kung-fu : "Effectivement, j’ai suivi un entraînement pour les deux épisodes", reprend-il. "Ce n’était pas seulement pour mieux comprendre le personnage, mais aussi pour me maintenir en forme. Ce qui m’intéresse dans les arts martiaux, c’est qu’ils mêlent les exercices physiques, l’auto-défense et un troisième élément, plus insaisissable : la spiritualité. Quand on pratique le kung-fu et qu’on en est vraiment imprégné, on en saisit la propension à la méditation. C’est un sentiment presque mystique. C’est une forme d’expression artistique. Ce n’est pas pour rien que ça s’appelle arts martiaux !"

    A l'aise

    Quand on demande à l’actrice Angelina Jolie ce qui l’a le plus séduite dans ce tournage, elle déclare en riant : "C’est qu’on peut aller travailler en pyjama !"

    Dustin Hoffman plutôt zen

    "Notre réalisatrice Jennifer Yuh et notre productrice Melissa Cobb ont orchestré toute l’opération comme s’il s’agissait d’une promenade de santé. Ce n’était pas du tout frénétique et stressant, au contraire, l’atmosphère était presque zen. En tout cas, c’est comme ça que j’ai vécu ce tournage et je leur en sais vraiment gré. Mais peut-être qu’elles se sont bagarrées comme des chiffonniers avec Jack Black et que, du coup, elles étaient trop crevées pour me reprocher mes remarques idiotes ou ma paresse !"

    Singe, le double de Jackie Chan ?

    L'acteur confie en effet, à propos du personnage Singe à qui il prête sa voix : "On se ressemble beaucoup, lui et moi : on maîtrise bien les arts martiaux et on sait se servir d’une plaisanterie comme d’une arme – puisque pendant que nous faisons rire nos adversaires, ils ne se rendent même pas compte qu’on les a désarçonnés. Mais la plupart du temps, je raconte des blagues pour le plaisir".

    Seth Rogen aime tout le monde

    L'acteur qui prête sa voix au personnage de la Mante, Seth Rogen, semble avoir passé de bons moments lors du doublage et avoir apprécié ses camarades ! "Je ne sais pas si Jackie Chan s’en rend compte, mais il est vraiment très drôle. Lucy Liu est très drôle, elle aussi et quant à Jack Black, il sait être drôle à volonté. Concernant Angelina Jolie, elle a non seulement un formidable sens de l’humour, mais elle est assez sexy, bien qu’elle incarne une tigresse, ce qui m’a beaucoup impressionné. Tout cela dépasse l’animation. Je crois donc que les rapports entre les personnages et le fait que ceux qui les interprètent soient des gens très drôles donnent lieu à un film réjouissant".

    Le père de Po : entre la mère juive et le père chinois !

    James Hong prête une nouvelle fois sa voix à M. Ping, le père de Po. "J’avais été sidéré par le premier film et par le dispositif de tournage", souligne-t-il. "Je n’en croyais pas mes yeux car c’était hallucinant, pour ainsi dire, de "voir" ma voix sortir de la bouche de Ping. Même si je crois que c’est sans doute un personnage qui a plus d’épaisseur que moi. Il a de multiples facettes. Pour le décrire, je dirais que c’est un homme qui élève seul son fils – il est à mi-chemin entre une mère juive et un père chinois !"

    Un nouveau méchant dans l'histoire

    Jonathan Aibel s’explique sur l’origine du personnage : "Quand on s’est attelé à la suite des aventures de Po, on était conscient qu’on avait déjà inventé un redoutable méchant dans le premier opus – Tai Lung – car il était le dépositaire de la puissance du kung-fu", dit-il. "Et la victoire de Po symbolisait la victoire de la douceur sur la violence. On a compris qu’on ne pourrait pas égaler Tai Lung si on imaginait un méchant encore plus fort et on s’est donc dit qu’on pouvait tenter de mettre au point un personnage qui soit plus redoutable par sa force intellectuelle et émotionnelle que sa force physique. C’est comme ça qu’on a imaginé le personnage du paon blanc, Seigneur Shen", qui découvre le potentiel destructeur des feux d'artifice, ou "fleurs de ciel", dont l'usage est réservé aux paons ...

    La voix du personnage est celle de l'acteur Gary Oldman, déjà habitué aux rôles de méchants. "Dans Dracula de Francis Ford Coppola, il réussit à révéler l’humanité du monstre. On s’est dit que grâce à son talent, il ne se contenterait pas d’interpréter Shen comme un personnage uniquement animé par son désir de vengeance, mais une créature fascinante et complexe. Les forces du mal sont bien plus intéressantes quand elles se déploient dans plusieurs directions", précise la réalisatrice.

    Le cinéma d'arts martiaux, un genre méprisé ?

    L'actrice Michelle Yeoh, qui incarne la Divinatrice, chèvre aux cornes imposantes dont la sagesse est réputée, a déjà joué dans des films d'arts martiaux, dont le Tigre et Dragon d'Ang Lee, qui l'a révélée aux États-Unis. "J’ai accepté de tourner dans Tigre et Dragon parce que j’avais le sentiment que ce film pouvait contribuer à redorer le blason d’un genre souvent méprisé", dit-elle. "Il est ancré dans notre histoire et notre culture et je crois qu’il a permis au public occidental de le découvrir. Je trouve que la saga Kung Fu Panda, d’une certaine façon, remplit la même fonction. Que les gens s’en rendent compte ou pas, elle aborde des aspects de la culture chinoise, comme les arts martiaux et les légendes ancestrales. Et les films sont tellement réjouissants que le spectateur n’a pas du tout l’impression qu’on lui donne un cours. Ce sont des divertissements formidables et j’ai été très heureuse d’y participer".

    Un voyage visuel

    Afin de préparer les décors de Kung Fu Panda 2 , l'équipe technique s'est rendue sur place, c'est-à-dire en Chine, afin de pouvoir prendre plein de photos, de faire des croquis et de visualiser tous les décors qu'ils allaient utiliser pour le film. "J’ai récemment revu les photos que j’ai prises pendant notre voyage en Chine, où on posait devant la Grande Muraille, plusieurs temples et autres monuments", signale Jonathan Aibel. "Et quant à Raymond Zibach et Tang Kheng Henh, les directeurs artistiques, ils ont pris des photos de briques, de mousse, de vieux morceaux de bois et de bouts de tissu. Et toute cette matière se retrouve dans le film. Il a tout fallu créer pour les besoins du film – la moindre surface, le moindre détail, la moindre texture. Et quand je revois le film, j’ai l’impression que les décors sont réels grâce à leur travail d’observation à tous".

    Une immersion totale

    Alors que le premier Kung Fu Panda s’était inspiré d’ouvrages de référence sur la culture chinoise et notamment l’art et l’architecture, le symbolisme, les costumes, la cuisine, les paysages, le deuxième opus s’appuie davantage sur les observations directes des techniciens qui se sont plongés eux-mêmes dans la culture du pays. "Même si on n’avait fait qu’un travail de recherches livresques pour le premier volet, il avait touché les spectateurs chinois", souligne Raymond Zibach. "On m’a même dit : "Vous qui êtes américains, comment avez-vous fait pour transposer ces détails avec autant d’exactitude ?" C’est le plus beau compliment qu’on ait pu me faire. Je dois dire que j’adore la culture chinoise. Je crois que c’est parce qu’on a étudié des œuvres d’art propres à une culture millénaire et qu’on s’en est inspiré pour l’intrigue et les rebondissements que le style visuel du film semble aussi authentique, même aux yeux des Chinois".

    Les techniciens, qui se sont rendus sur place, ont ainsi découvert la vieille ville fortifiée de Pingyao, le monastère Shaolin et Pékin, puis ont séjourné plus longtemps à Chengdu, dans la région du Sichuan, située au sud-ouest du pays, où ils ont notamment visité une réserve de pandas et des temples bouddhistes et taoïstes.

    Des pandas plus mignons mais moins drôles que Jack Black ?

    La province du Sichuan, habitat naturel des pandas où s'est rendue l'équipe technique du film, abrite 80% de la population de l’espèce grâce au Centre de Recherche et d’Élevage de Pandas, situé à quelques kilomètres du centre-ville de Chengdu. "Cela ne surprendra personne, mais les pandas sont aussi doux, drôles et taquins qu’on pourrait imaginer", note Jonathan Aibel.

    "On a vraiment pu voir et caresser les pandas de la réserve et même leur faire des bisous", ajoute Glenn Berger. "Il y avait une sorte de couffin avec cinq tout petits bébés pandas : si j’avais pu en cacher un dans ma veste, je l’aurais fait. Mais j’ai bien remarqué qu’aussi mignons soient-ils, ils ne sont pas aussi drôles que Jack Black !"

    La pluie, ça coûte cher

    Le scénariste et coproducteur Jonathan Aibel nous apprend que la phase de fabrication du film a pris deux ans et a mobilisé des centaines de techniciens. "Ce qui ne nous a pris que quelques jours à écrire fait ensuite travailler des départements techniques entiers et, chemin faisant, on a appris des choses très intéressantes sur l’animation. Par exemple, alors qu’on pensait que ce qui s’avérerait le plus coûteux et le plus long à réaliser serait la destruction de villes entières à boulets de canon, on s’est aperçu que c’était en réalité moins cher que si, dans une scène, un personnage se mouille. Faire en sorte que la fourrure et les plumes aient l’air vrai est déjà très compliqué, mais quand cette même fourrure et ces mêmes plumes sont mouillées, cela devient très difficile et très, très cher à réaliser."

    "Et on n’a pas cherché à réduire les dépenses pour ce film !" renchérit, en plaisantant Glenn Berger. "Il y a non seulement beaucoup d’explosions, mais aussi énormément de fourrure et de plumes mouillées ! Il y a une vieille blague qui dit que la phrase la plus chère d’un scénariste, c’est "Et il s’est alors mis à pleuvoir." Eh bien, je peux vous dire qu’il pleut dans ce film".

    Les Jeux Olympiques comme source d'inspiration

    Le chorégraphe Rodolphe Guenoden a eu l’idée de s’inspirer des mouvements qu’il a observés lors des Jeux Olympiques de Pékin pour créer le style de combat du nouvel ennemi de Po. "Shen est gracieux et élégant, mais il peut aussi se révéler menaçant et même fatal", reprend-il. "C’était un vrai plaisir de jouer avec ce personnage. Au départ, je faisais des croquis à partir de la gymnastique rythmique des Jeux Olympiques. Les filles utilisent divers objets et leurs mouvements sont d’une incroyable souplesse et fluidité. Je me suis dit que ce serait formidable de mêler les gestes propres aux arts martiaux et ces mouvements étonnants pour créer un effet d’étrangeté. Du coup, Shen lève la patte avec laquelle il réussit presque à toucher sa tête, puis il répète le mouvement avec un sabre. Comme il s’agit d’un paon, on a aussi utilisé son immense queue dans ses gestes de combattant : il s’en sert comme bouclier ou pour asséner un coup rapide. Le personnage a bien stimulé notre créativité et nous a permis de nous amuser comme des fous".

    Pierre Arditi, doubleur officiel de Dustin Hoffman ?

    Il s'agit en effet du quatrième film pour lequel Pierre Arditi prête sa voix à Dustin Hoffman. Après Le Récidiviste et Agatha, c'est dans les deux volets de Kung Fu Panda que l'acteur se prête à cet exercice. "C’est amusant d’avoir à nouveau retrouvé cet acteur ! Cette fois, je l’ai bien écouté pour voir comment il appréhendait ce rôle et il l’a fait très sérieusement. D’ailleurs, il s’agit d’un dessin animé plutôt sérieux, même s’il s’agit d’un film suscitant de nombreux éclats de rire et s’adressant aux enfants… Car au fond, le film s’adresse bien aux enfants, mais aussi aux parents qui les accompagnent."

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