Avis : La Disparition d'Alice Creed - Page 6

J. Blakeson réalise ici son premier film. De bonnes surprises et un coup de théâtre inattendu nous captivent tout au long de ce long métrage. Si la fin du film se laisse deviner facilement, on reste, toutefois, pris par ce huit clos palpitant. Une actrice, (G. Arterton) deux acteurs (M. Compston et E. Marsan) sont, tous les trois, tout à fait convaincants.

Je dois dire que je suis un peu déçu du résultat final de ce long métrage sur l'enlèvement "peu banal" d'une jeune femme. Un méli-mélo de plusieurs choses plutôt originales mais des acteurs pas vraiment à la hauteur, surtout Gemma Arteton qui n'est carrément pas crédible par moment. Cependant, l'environnement est bien approprié à l'histoire que l'on pourrait presque qualifiée de huit-clos. Règnent quelques imperfections qui sautent régulièrement aux yeux mais dans un autre temps, la photographie est réussie et l'ambiance assez pesante. La bande originale est, quant à elle, en adéquation parfaite avec l'ensemble des scènes. Même si "La disparition d'Alice Creed" n'est pas un grand long-métrage, il se laisse voir mais aurait pu mieux tourner ... le dénouement est peu commun se qui permet au film de sauver l'honneur en quelque sorte. A vous de juger. 12/20.

Mais en voilà une excellente surprise. "Alice Creed" est un huis clos dans lequel les rebondissements et les retournements de situations n'arrêtent pas. C'est ce qui rend l'intrigue efficace. Le spectateur imagine une fin, complétement anéantie par un rebondissement, nous faisant complètement changer de fin. Celle que nous propose J Blackson est, à ce propos, un peu décevante.
La réalisation est elle aussi efficace. Les plans sont superbes. La scène d'ouverture, par exemple, laisse présager une bonne mise en scène. Et ça n'y manque pas.
Le réalisateur, met en place, une ambiance oppressante. La musique est dans le style des meilleurs thrillers.
Les acteurs ne sont pas mauvais du tout, bien que Martin Compston jouant Danny peut agacer.
Une bonne surprise.

Il y a un parti pris assez intéressant, il y a des idées mais le problème c'est que c'est vraiment un peu pèle mêlé et brouillon tout ça. Enfin pas exactement brouillon mais on a l'impression que le réalisateur a du mal à vraiment rester simple, il veut faire une surenchère parfois inutile, comme s'il avait peur que le spectateur ne s'ennuie. Le problème c'est qu'en plus, ça manque souvent de subtilité et qu'on tombe dans des trucs assez attendus. C'est dommage car on a l'impression qu'iil ne fait pas assez confiance à son parti pris, à son sujet, du coup ça devient parfois vraiment un peu trop et c'est dommage car c'est plutôt pas mal.

Huis clos haletant autour d’un kidnapping, avec seulement trois comédiens, un scénario astucieux et pleins de rebondissements. Gemma Arterton, donne de sa personne, les acteurs envoient. Sont forts ces anglais.

La disparition d'Alice Creed, un polar de chez polar, surprenant par les rebondissements qui tiennent vraiment en haleine. Si il y a un thriller à ne pas manquer c'est celui là...

J'ai adoré ce huit-clos (c'est un genre que j'apprécie beaucoup). L'intrigue ménage quelques surprises (sans qu'on puisse parler de retournements de situation) et le suspense est maintenu jusqu'au bout. Le film réussit à ne pas paraître théâtral, malgré les contraintes (lieu clos,casting réduit à 3 personnages) et l'interprétation est remarquable, surtout celle de la belle Gemma Arterton. J'ai passé un excellent moment !

La disparition d’Alice Creed est un thriller avec 3 acteurs et très peu de décors (3 pièces et 1 camionnette)



Le thème de kidnapping et de la séquestration n’est pas nouveau au cinéma, et il y a donc obligatoirement du déjà vu (avec l’accent américain ^^). On connaît la fin dès la moitié du film mais J Blackeson tire son épingle du jeu puisque tout le film est ponctué de vraies surprises et de situations cocasses.
La dernière demie heure est vraiment stressante et on a (j'ai eu ^^) toutes les réactions qu'il faut avoir devant ce genre de scènes!


La musique est très peu présente, je crois même qu'elle n' apparait qu'à la fin.

Gemma Arterton est donc Alice cette jeune femme que les 2 hommes kidnappent et séquestrent. (La violence présente n’est que verbale, pour la violence physique on a déjà vu pire). Après Quantum of solace (007) Prince of Percia elle a la possibilité de nous montrer (enfin !) ce dont elle est capable en tant qu’actrice (et pas en tant que potiche) puisqu’elle passe presque tout le film couchée, attachée, à avoir peur, à pleurer et à jurer (in english ça donne des fuck toutes les 3 secondes)

Une actrice à suivre et j’ai hâte de voir son nouveau film Tamara Drewe (présenté à Cannes !)



Eddie Marsan(V pour Vendetta, Sherlock Holmes,..) joue (encore) un rôle de méchant, qui terrorise son partenaire de « jeu » … qui bave dès qu’il s’énerve.



Martin Compson, en revanche, n’est pas très crédible en kidnappeur puisqu’il a plus le physique d’un héros beau gosse. Il passe le film à se prendre la tête. Ce qui, en fait, est logique puisque dans chaque duo de méchant il y a le gros dur et le faible qui se pose des questions, qui doute. Ce personnage nous réverse quelques bonnes surprises.


Au final "La disparition d'Alice Creed" est un bon film que je suis contente d'avoir vu et que j'acheterais en dvd.

Un huit clos à petit budget vraiment honnête. Les acteurs sont très bons avec une mention spéciale à la charmante Gemma Arterton. Le film arrive à maintenir le suspense jusqu'à la fin même si les trop nombreux rebondissements entrainent une perte de crédibilité scénaristique. Un film sympa à voir.

La réalisation efficace et plus que bien menée du réalisateur montre que des progrés ont été faits dans le genre. On ressent tout à fait l'angoisse oppressante exprimée par le personnage de Gemma Anterton et l'inquiétude de l'audace mesurée de ses deux ravisseurs. Néanmoins, l'intrigue se tournant autour de ces trois personnages, on a l'impression de plus assister à une situation théâtrale qu'à un thriller où plus de personnages sont mêlés à cet enlèvement.

Une très bonne surprise !! Avec un petit budget, des décors simples et trois acteurs seulement, le réalisateur nous propose un divertissement de qualité ! Sans tomber dans la caricature (car le scénario est basique), en misant sur un jeu d'acteur performant, on a au final un film avec du suspense, de l'action et on se demande qu'est qu'il va se passer. Les deux acteurs masculins sont très bons dans leur rôle ; mention spéciale à Gemma Arterton qui nous livre une prestation impressionnante de réalisme et d'implication/transposition dans son rôle. L'ambiance est opressante et le réalisateur réussit donc son coup. Le scénariste de The Descent 2 (décevant), pour son premier film, donne envie et je pense qu'il y a un grand potentiel pour qu'il devienne un réalisateur respecté ! C'est donc une très bonne surprise que je conseille à tout le monde d'aller voir (en vost, c'est un très bon choix) et c'est pour moi un des meilleurs films de cette année. Le seul défaut du film est parfois la surenchère au niveau du scénario dans les rebondissements pas toujours très crédibles ! Sinon c'est agréablement surprenant. C'est une bonne surprise.

Ce huit clos est un peu trop sobre, un peu trop classique. Accompagné d'un paquet de BAFF c'est déjà plus sympa.

La Disparition d’Alice Creed est donc la petite surprise britannique du moment, racontant entre violence et suspense cet enlèvement qui semblait presque banal. Le film réussit à immerger son spectateur dans l’action, qui ne devrait pas ressortir totalement indemne de ce huit-clos.

Après une ouverture rythmée, on peut craindre d'assister à une captivité sans rebondissement, mais au contraire le suspense monte crescendo autour du trio de personnages. En matière de mise en scène, les scènes extérieures paraissent bien moins originales que celles en intérieur, mais ce film est toutefois très bon pour un premier.

Un huit clos peu prenant, lent et répétitif. Des acteurs peu convainquant et un scénario vraiment léger, voila ce que nous réserve ce film. A éviter.