Derniers Avis : Total Recall Mémoires Programmées - Page 27

Tout juste la moyenne pour ce film, l idée de départ est plutôt bonne mais on se perd trop souvent entre le présent le passé et l imaginaire de la réalité . Le choix des acteurs n est pas très malin non plus car la majorité (biel, nighty, beckinsale notamment) sont plutôt sur le devant de la scène dans les bouses. Bref ça se laisse regarder mais rien de plus.

Mais quelle daube. Y a rien qui tient la route dans ce film. L'histoire, qui n'a aucun but, aucun intérêt, des décors nullissime, des effets spéciaux qui piquent les yeux, du combat à longueur de temps. J'ai perdu mon temps sur ce film.

2 pour les FX et le visuel sinon le reste est plastique et sans âme. Merci à Kate Beckinsale qui a reussi a me faire oublier Marion Cotillard pour sa piteuse prestation dans TDKR !

Très agréablement surpris, surtout par le rythme non-stop et efficace. Les décors, somptueux, donne un coté post-apocalyptique des plus accrocheurs et des FX mêlant du 5ème élément et du Star Wars ont un rendu assez bluffant. On regrette que cela n'est pas assez marqué. Quelques clins d'oeil de l'original sympas mais "Mémoires programmées" reste moins sombre sur le scénario, moins dramatique et plutôt tourné action que SF. De bonnes interprétations concluent une critique qui lui donne 4/5 ! A voir !!!

Ayant pas vue l'original , j'ai beaucoup aimer cette reprise de Total Recall . J'ai adorée les scenes d'action futuriste et surtout la scene dans le "noyau de la terre" qui est trés bien realiser ! Treés beau casting au sens propre du terme (Jessica Abiel

Total Recall: Mémoires Programmés est le remake du film Total Recall lui-même adapté d'une nouvelle. Ce remake possède de bonnes scènes d'actions ainsi que des effets spéciaux plutôt réussis. A noter aussi que le film possède une histoire intéressante. Mais cette même histoire est par moment compliquer à suivre et en plus le film n'est pas toujours intéressant. En gros Total Recall: Mémoires Programmés est un bon remake.

Tant qu'à passer pour un vieux con, autant l'assumer, alors je me lance... Total Recall, c'était mieux avant ! Nan, mais sans rire hein… La version 2012, voilà quoi… Elle manque de mutants, d'humour, de baroque et surtout, surtout elle manque de ne jamais instiller le moindre doute dans l'esprit du spectateur. Bon, faut parler des acteurs et actrices aussi, et là, aille aille aille… Mis à part peut être Jessica Biel, il n’y en à pas un qui tienne la comparaison avec sa copie venue du passé, Farrell et Beckinsale en tête. Bref, un remake lisse et sans âme mais qui à le bon gout de donner envie de revoir l’original… Eh puis, ça fait passer 2 heures…

Un film plutôt bon, contrairement à ce qui est beaucoup dit. Des effets spéciaux assez impressionnants, des acteurs assez bons... Soit, y a pas de grande psychologie, mais ça se tient pas trop mal.

Très bon film pour ceux qui aiment les troubles de mémoire au cinéma :)
Bon scénario, et bon film d'action pas trop niais.

Je m'attendais a un navet, et Ben non!!! J'ai adoré!!! Loin de l'original mais c'est ça qui est bon dans ce film, n'attendais pas un Schwarzenegger!! Mais un Colin farrell qui sait nous emporte, des effect spéciaux à couper le souffle ,une créativité dans ces nouveaux gadgets du futur, on ne voit pas le temps passé, un bon total recall ;) a voir :)

plaisant a regarder meme si le contexte est difficilement comprehensible. compare a l original, il ne soutient pas la difference...

Une nouvelle vision du film culte de 1990 rien de bien intéressant a part que effets spéciaux sont beaucoup améliorés par rapport au film original, et l'action ne se déroule pas sur Mars mais sur la Terre exit donc les mutants.L'histoire n'est pas subtil et elle est sans âme et ne tient pas le spectateur en haleine,et le film n'as pas sa propre identité c'est un mélange entre Total Recall, IRobot,Blade Runner,Minority Report et même Matrix. Total Recall 2012 s'avère être un film d'action "classiquement efficace" mais malheureusement trop impersonnel pour faire date et trop déconnecté de l’œuvre de Paul Verhoeven. Un blockbuster qui ne marquera pas les mémoires.

Total Recall, remake inutile ? Oui et non.

Bien évidemment, en visionnant ce film, on ne peut s’empêcher de faire le parallèle avec la version de Paul Verhoeven. C’est là que les principaux détails foireux s’accumulent. Certes, la « Verhoeven touch » reste kitch mais ô combien fun et trippante. La barbaque qui vole dans tous les coins et les effets gores donne au film un caractère spécial. Chose que l’on ne retrouve pas dans cette nouvelle sauce 2012. En lieu et place à la violence visuelle de son aîné, on retrouve des robots découpés en morceaux (Ironside déchiqueté, c’était autrement plus jouissif) et une Kate Beckinsale qui ne s’embarrasse pas avec deux pauvres figurants qui en font injustement les frais. Un peu maigre pour faire croire que l’on ne veut surtout pas édulcorer la sauvagerie initiale.

L’autre coup foireux du film revient au scénario qui ne sème jamais le doute. Tout est tranché. En 90, l’intérêt du métrage tenait principalement sur le fait que l’on ne savait jamais quoi ou qui croire. Chaque vérité faisant écho à une contre-vérité et vice versa. En 2012, l’ambigüité ne dure que quelques secondes, juste histoire d’insuffler un peu d’adrénaline, pour qu’en fin de séquence, le soufflet retombe malencontreusement. Tout est clair, rien n’est jamais remis en cause, de peur, peut-être, de perdre le spectateur ?

On en arrive alors à regarder un pur divertissement très agréable, à condition que l’on décroche totalement avec son aîné, voire totalement avec le reste des films de science-fiction tournés jusque-là. Le fantasme technologique est plaisant, parfois innovant, mais malheureusement, on ne peut s’empêcher de penser à Blade Runner (ville verticale, sombre et quasi constamment sous la flotte), Minority Report (que se soit le design général ou encore les véhicules en suspension), I, Robot (la horde de robots assassins, l’hologramme que l’on doit interroger pour obtenir des réponses et l’architecture des bâtiments) ou encore Matrix (du bullet time en veux-tu en voilà et la séquence où Quaid se fait appréhender chez Rekall, qui n’est pas sans rappeler celle où Trinity claque du flic au début de Matrix). Référence ou pompage intégrale, mon cœur balance. D’autant que d’autres références à Total Recall premier du nom semblent être complètement anecdotiques. Quaid ne se bat plus pour Mars, même s’il envisage de s’y installer un jour, pourquoi pas ? La question « mutants » n’est jamais posée mais on ne se gêne pas pour faire réapparaitre la femme aux trois seins. Juste pour le plaisir des yeux ? Mince. Les mutants avaient un réel rôle dans le temps… et on en profite aussi pour éjecter Kuato par le sas. On termine avec la rousse de l’aérogare… enfin, ici, le terminus de « La Chute ». Sympa le clin d’œil mais encore une fois ça tombe à l’eau. Au départ, la séquence était de l’autodérision où l’on n’attendait pas Schwarzie sous les traits d’une grosse mégère adepte du « deux semaines ». Deux semaines, oui ! Et non « 15 jours » – je sais, c’est pareil mais tout le monde ne peut comprendre le délire vu qu’il est associé directement à celui du masque de camouflage dont on se demandait à l’époque comment Verhoeven avait pu faire un truc aussi génial. Aujourd’hui, on ne se pose plus la question : l’informatique n’a pas de limite… ou presque.
Et je ne parle pas des effets de réflexion de lumière à tout va, style propre à J.J. Abrams, qui en a fait une sorte de marque de fabrique. D’accord, c’est coloré et élégant mais cela devient impersonnel.

La note d’intention ici aura été de se désolidariser un maximum de l’œuvre originale (et je ne parle que du film) tout en faisant quelques références inutiles (juste pour faire plaisir), en semant des indices à foison (juste pour rendre le film plus compréhensible, plus linéaire, à croire qu’ils n’ont rien compris à ce qu’ils voulaient remaker), le tout sans doute pour dire qu’on ne fait pas un remake, du moins pas un vrai, non, ce n’est pas pareil que le premier Total Recall… et blablabla !

Qu’on se rassure, en débranchant correctement le cerveau, on est devant un film plaisant, sans temps morts avec un rythme assez effréné et des effets spéciaux ahurissants. Bon ok, il y a aussi Jessica et Kate.

"Mais si je ne suis pas moi, qui suis-je ?" : on se souvient tous de cette réplique maintenant devenue culte prononcée par Arnold Scwarzenegger dans le non moins culte "Totall recall" de Paul Verhoeven. Dans ce remake, que l'on peut aussi considérer comme une nouvelle adaptation d'une nouvelle de Philip K. Dick ( qui inspire décidément le cinéma, voyez récemment "L'agence" avec Matt Damon), Colin Farrell qui reprend le rôle de Douglas Quaid s'amuse en effet à la déclamer telle quelle. Ce qui nous ramène avec délice vingt ans en arrière avec ce qui fut une claque dans le domaine de la science-fiction. Cette version qui commence pareil mais prend en cours de route un autre chemin, ne restera certainement pas, elle, dans les mémoires (programmées ou non), même si je l'ai néanmoins trouvée assez pêchue. On y trouve ainsi, dans une ambiance à la "Blade Runner", de vertigineuses scènes d'action auxquelles on ne peut rester insensible. Tout comme on ne peut demeurer de marbre au charme de Kate Beckinsale qui après avoir pendant une dizaine d'années chassé les vilains lycans dans la saga "Underworld" prend ici un malin plaisir à jouer les affreuses. Menant notamment un combat acharné contre la non moins mignonne Jessica Biel, dans une lutte qui atteint presque la violence des crêpages de chignon entre Ségolène Royal et Valérie Trierweiler. Après, et c'est malheureusement l'époque qui veut ça, l'ensemble est un peu too much, certainement trop m'as-tu-vu, ce qui m'a un peu gêné. D'un autre côté, suis-je vrament moi ?

Remake excellent du premier total recall interprété par Schwarzenegger. Colin Farell est magistral, l'histoire diffère un peu du premier. En effet, on ne se retrouve pas sur mars...