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    Himalaya, terre des femmes
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Himalaya, terre des femmes" et de son tournage !

    "Angmo"

    Considérée par certaines populations vivant au cœur de l'Himalaya comme l'une des leurs, Marianne Chaud a même hérité d'un prénom local, "Angmo", signifiant "celle qui est capable d'agir". La cinéaste s'est tellement assimilée à cet univers qu'en 2004, elle a participé à l’émission Ushuaïa-Nature sur le Ladakh (région du nord de l'Inde), en tant que spécialiste scientifique. Elle y expliquait alors les fondements du bouddhisme, à savoir le mode de vie des nomades et des villageois ladakhis.

    Une alpiniste en herbe

    Avant d'élire les plateaux himalayens comme terre d'adoption, la réalisatrice a gravi bien d'autres montagnes : originaire des Alpes, elle s'adonne à l'alpinisme et à l'escalade dès son plus jeune âge, avant de découvrir les hauteurs du Haut Atlas marocain lors d'une mission humanitaire.

    Le langage des hautes montagnes

    Marianne Chaud est diplômée de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, à Paris. Elle a consacré sa thèse de doctorat à l’étude de la relation des hommes à leur territoire dans la région himalayenne du Ladakh-Zanskar, où elle retourne régulièrement depuis dix ans. Passionnée par l’ethnographie, Marianne Chaud a même appris à parler la langue de ces populations du nord de l'Inde, et parle également le hindi.

    Un film plébiscité par les festivals

    Avec Himalaya, terre des femmes, Marianne Chaud a fait le tour du monde des festivals puisqu'elle a reçu le Prix du Public et du Meilleur Film au Festival de Montagne d’Autrans, en France, mais aussi le Prix du Meilleur Film au Festival de Montagne de Trento, en Italie. Son documentaire est également en sélection officielle dans plusieurs autres festivals français, canadiens et anglais.

    Un oeil sur l'Himalaya

    Marianne Chaud n'a pas moins de cinq films documentaires à son actif, tous tournés dans la même région de l'Himalaya et des hauts plateaux du Tibet. Très attachée à cette partie du globe, elle a notamment réalisé Himalaya, le chemin du ciel en 2008, pour lequel elle a reçu une nomination aux Césars dans la catégorie Documentaire, mais aussi La Nuit Nomade en 2011, dans lequel elle pose le dilemme qui se présente aux peuples de l'Himalaya: rester sur les hauts plateaux, ou partir en ville?

    Immersion totale

    Anthropologue et ethnologue spécialisée dans l'étude de la région himalayenne du Ladakh-Zanskar, au Nord de l’Inde, Marianne Chaud aime tourner ses documentaires seule, avec le matériel le plus rudimentaire, en immersion totale avec un peuple dont elle adopte le style de vie et les conditions d'existence. Son cinéma s'apparente donc à une réelle expérience ethnographique.

    Caméra subjective

    Filmé en caméra subjective par Marianne Chaud, Himalaya, la terre des femmes propose une immersion sensible et poétique dans l’univers de quatre générations de femmes pendant la saison des moissons. La réalisatrice se montre très concernée par la question des femmes et de la féminité dans les régions reculées du globe, puisqu'elle avait déjà réalisé un documentaire sur ce sujet en 2006, intitulé Devenir Femme au Zanskar.

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