Derniers Avis sur Les Rescapés Du Futur

une bonne suite! il faut avoir vu la première partie. impressionné par les effets spéciaux vu l'époque. la musique est accrochante. il y a pas mal de petits défauts, ca a vieillit. l'intrigue c'est un peu du scooby doo.

Avant la série Westworld, il y eu le film Mondwest. Mais entre les deux, on retrouve Futureworld, suite directe du drame de Mondwest ! Après le cataclysme dans le parc d’attraction futuriste, voici que les financiers ont reconstruits un nouveau parc, géré à présent par d’autres androïdes mais avec cette fois de funestes dessins, le contrôle du monde. Il était compliqué d’imaginer une suite à Mondwest sans repartir sur le même scénario, mais heureusement l’histoire développe une prolongation de ce que pourrait devenir le monde avec une telle avancée technologique. On se laisse donc agréablement prendre par cette suite en coulisse, mais on aurait tout de même aimer plus d’incursion en territoire robot.

La suite de Westworld est trop longue, sans imagination et ennuyeuse. On voit les journalistes Peter Fonda et Blythe Danner visiter le parc d'attractions Delos ré ouvert pour voir si la nouvelle direction a réussi à faire sortir tous les meurtres de ses androïdes. Il s'avère que ce n'est pas le cas. Une suite qui n'avait pas besoin d'être faite avec un rôle embarrassant pour Blythe Danner. Seulement il n'y a pas de Superman pour la sauver juste Peter Fonda. Elle fait aussi un rêve sexuel bizarre sur Yul Brynner. Parce que pourquoi pas je suppose. C'est sa seule contribution à ce film d'ailleurs. Donc si vous êtes un fan de Westworld ne vous laissez pas berner en essayant celui-ci en pensant qu'au moins Yul Brynner y est. Parce qu'il y est pendant peut-être trois minutes dans un rêve...

Ça a vieillis certes mais il reste un pur plaisir , premier film avec des effets de synthèse, le seul bémol c'est les 2 3 minutes de Yul Brynner , vedette du premier opus Mindwest , ça été une déception de ne le voir que si peu de temps et que dire de la magnifique Blythe Danner.

Malgré le massacre du précédent opus, le complexe Delos est réhabilité (plus grand avec de nouvelles map). Là il ne s'agit plus de suivre des invités (pas tout le film), mais plutôt des journalistes (Peter Fonda et Blythe Danner) qui vont découvrir la nouvelle mission des robots du parc. C'est une approche différente, et bien plus sombre voire pessimiste, que le premier opus (peut-être basé sur une peur de l'époque, encore d'actualité dans la notre). Il y a une tentative d'approfondissement de l'histoire de Michael Crichton, mais ça ne va pas bien loin. En ce qui concerne Yul Brynner, il se contente d'apparaître quelques minutes dans un rêve. spoiler:

Dotée d'une réputation très moyenne, cette suite du film "culte" de Michael Crichton ne démérite pas, jouant habilement sa logique de série B futuriste. Divertissant.

Ce film de 1976 à pris un petit coup de vieux, mais reste agréable à regarder et son charme vintage ne gâche rien. Un bon scénario, des personnages attachants et la charmante Blythe Danner qui apporte une touche d'humour. Ce film fait suite au plus célèbre Mondwest.

C'est une bonne suite de Mondwest. Yul Brunner refait une réapparition dans son rôle du robot cow-boy détraqué. Le film dénonce les dérives de la robotique sur la conscience humaine.

Cette suite de Mondwest en reprend le thème, les codes et une grande partie du casting. Même s'il subsiste un fort air de déjà vu, le film se laisse regarder sans déplaisir.

Cette suite de Mondwest n'était sans doute pas indispensable mais elle se laisse voir en dépit d'une mise en scène sans relief et d'un couple de comédiens qui manquent singulièrement de charme et de charisme. La première partie évoque un copié-collé de l'original, mais la seconde recèle quelques idées nouvelles qui auraient pu justifier ce remake si elles avaient été mieux utilisées. La très brève apparition de Yul Brinner, qui portait pourtant le premier film sur ses épaules, vient un peu comme les cheveux sur la soupe. Les poursuites et bagarres sont laborieuses et trop longues. La subtilité ne semble pas le fort du réalisateur. Une troisième version est parait-il en cours de fabrication. On l'attend avec intérêt.

Cette suite de Mondwest vaut surtout pour le jeu de Peter Fonda et de Blythe Danner plutôt connue pour être la mère de Gwyneth Paltrow.... le scénario est parfaitement banal et les rebondissements prévisibles, seul l'atmosphère est assez bien rendue avec quelques effets spéciaux inédits.

Cette séquelle du formidable "Mondwest" est moins mauvaise qu'il serait permis de le penser. Si l'on excepte une scène totalement débile spoiler: dans laquelle la jolie héroïne fantasme sur le robot du premier film joué par Yul Brunner,
, le film bien qu'un peu daté constitue un divertissement agréable et donne nevie de découvrir la prochaine version pour le petit écran de "Mondwest" qui devrait arriver en tout début d'année prochaine.

La première heure du film est un supplice, on s'ennuie beaucoup, il ne se passe pas grand-chose, ça parle mais ça n'agit pas. Le final est meilleur, sans être formidable. Cependant le contenu global est très insuffisant. Trop pour être un film agréable, intéressant !!

Cette suite de Mondwest nécessite d'un bon casting : le légendaire Peter Fonda et le dernier rôle de Yul Brynner. Il en suivra une série en 1980 Beyond Westworld. J.J.Abrams propose une nouvelle série basé sur le premier volet en 2015.La nouvelle attraction de cette suite est le voyage dans l'espace.

A la question "Cette suite de Mondwest était-elle nécessaire ?", la réponse est évidemment non. Même si le scénario tente d'étoffer l'univers créé par Michael Crichton en détaillant davantage le fonctionnement du parc, on ne peut pas dire ce se soit particulièrement passionnant. On trouve ça et là quelques ébauches de bonnes idées (l'ouvrier et son collègue robot par exemple) mais la réalisation de Richard T. Heffron est d'une platitude désolante et une arrière-goût désagréable de formatage commercial reste dans la bouche, la faute à des touches d'humour dispensables et à l'apparition complètement inutile de Yul Brynner pour justifier la présence de son nom sur l'affiche et attirer au passage le chaland.