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    Rabia
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    2,9
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    50 critiques spectateurs

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    kevinsolstice
    kevinsolstice

    50 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 septembre 2011
    bien, bien, un film de bonne facture marqué par la performance de l'acteur principal...
    traversay1
    traversay1

    3 081 abonnés 4 620 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juin 2010
    Sebastian Cordero, cinéaste équatorien de 38 ans, a réalisé deux premiers films qui sont restés inédits sur nos écrans. Avec Rabia, co-production entre le Mexique, la Colombie et l'Espagne, il a l'assurance de toucher un plus large public qui devrait normalement apprécier ce film aux qualités certaines bien qu'un peu frustrant, en définitive. Rabia appartient à plusieurs genres cinématographiques à la fois : film social, thriller, drame romantique, huis-clos fantastique ... Ce qui en fait l'intérêt, c'est son style, avec l'emprunt de la plupart des codes des films fantastiques voire d'horreur : musique oppressante, travellings avant dans le cou des personnages, jeux d'ombres inquiétants etc. Ouvert sur l'extérieur, pour planter le décor, le film se referme peu à peu dans cette drôle de maison, en partie inoccupée et où rôdent quelques rats bien gras. La mise en scène est prenante mais elle ne s'appuie pas hélas sur un récit suffisamment charpenté et souffre de quelques incohérences narratives. Le rôle de son sombre héros, qui a la rage dedans, de par son statut d'immigré latino dans une Espagne qui le méprise, n'est pas assez développé et la chronique sociale et familiale, qui pourrait être passionnante, est diluée dans l'atmosphère léthale que le cinéaste impose à mi-parcours. D'où cette frustration d'avoir vu un film qui privilégie largement la forme au fond, dans un exercice en fin de compte stérile, qui s'égare quelque peu en route.
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 006 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 octobre 2010
    (...) Loin d’être aussi malsain que sa bande annonce laissait présager, Rabia, pourtant non dépourvu de talent, souffre de deux maux. Le premier est que Guillermo Del Toro n’a rien apporté à ce film et donc aucune de ses ingéniosités ne se retrouve dans cette réalisation. Le deuxième est bien plus inquiétant puisque Rabia a été très mal vendu à mon sens. Vendu comme un film à suspense au dénouement que l’on pouvait aisément imaginer intense, Rabia n’offre au final qu’une interrogation aussi futile que passagère du gouffre existant entre les différents classes sociales. Un film au potentiel sacrifié.
    Lire la suite: http://www.leblogducinema.com/2010/10/31/critique-rabia/
    Pascal I
    Pascal I

    661 abonnés 4 042 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 janvier 2011
    Encore un film Espagnol ahurissant où l'on est obligé de mettre un 5/5. Un scénario terrifiant pour ce pur drame joué de main de maître. Les plans sont impressionnants de véracité, que du bonheur ! les premières images ne présagent absolument pas ce qui va se dérouler et tout doucement, la magie opère ! A la technique du film, des gens qui ont bossé sur "28 jours plus tard", "le labyrinthe de pan", "Resident evil", "Splice", "Rec", "l'orphelinat" etc ... Que du bon ! 5/5
    Alejandro Almodoclint
    Alejandro Almodoclint

    15 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juin 2010
    Tragédie amoureuse sous forme de thriller en huis-clos . Une cohabitation fantomatique dans une immense maison pleine de recoins qui donne au film une atmosphère étrange. Etrange également la métaphore récurente suivante : comment l'homme peut devenir presqu'un animal lorsqu'il est obligé de se terrer.
    L'histoire est aussi une colère sociale de deux immigrés latinos.
    Une femme passionnée mais frustrée jouée par la délicieuse Martina García (déjà excellente dans "Perdre est une question de méthode" et "Satanas, Perfil de un asesino" et qui d'ailleurs parle un excellent français sans accent). Bon film même s'il y a quelmques lenteurs et imperfections.
    Rik13
    Rik13

    21 abonnés 648 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 août 2011
    Réalisé par Sebastian Cordero, « Rabia » est un thriller psychologique à l’atmosphère oppressante. Deux immigrés sud-américains, Rosa et José-Maria, vivent une passion amoureuse. Après une altercation avec son chef de chantier qui l’a renvoyé quelques jours plus tôt, José-Maria tue ce dernier accidentellement. Il décide alors de se cacher dans la grande maison bourgeoise de la famille Torres où travaille Rosa en temps que femme de maison. « Rabia » est construit sous la forme d’un huis clos, la majeure partie de l’intrigue se déroulant dans la maison où tous les personnages sont réunis. Le suspense tient au fait que José-Maria, réfugié à l’étage de cette grande bâtisse, observe en voyeur tout ce petit monde et en particuliers Rosa, avec qui il ne peut prendre physiquement contact. La famille Torres, en particuliers le père, est parfaitement imbuvable et semble s’appuyer sur des valeurs d’un autre temps. Rosa, esseulée dans cette vaste demeure, va subir les avances d’Alvaro, l’ainé de la famille Torres, sous le regard impuissant de José-Maria. Ce thriller au rythme inégal présente un scénario assez peu vraisemblable, sauvé par l’interprétation de Martina Garcia dans le rôle d’une Rosa fragile et vulnérable. Le climat de claustrophobie qui règne dans ce récit et une image assez sophistiquée permettent cependant de suivre ce long métrage sans déplaisir, même s’il manque au récit un peu de puissance narrative. Il est possible de voir également dans « Rabia », comme l’a voulu à l’origine le réalisateur, une parabole sur le différentiel entre les diverses classes sociales et en particuliers ici les conditions de vie des immigrés dans les pays riches, ici l’Espagne, qui n’ont que deux possibilités pour survivre : la soumission avec son lot d’humiliation ou la révolte engendrée par une colère née de ce rabaissement permanent. La vision du film sous ce deuxième angle offre effectivement, nonobstant les imperfections de mise en scène, un point de vue qui porte à réflexion.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 juillet 2011
    Ce film noir repose sur une idée de base brillante et original cependant il lui manque réelement quelque chose pour être pleinement efficace. Malgrés une réalisation trés esthétique, la molesse du montage et le manque de rythme dans le scénario émpeche l'accomplissement du "manifeste à la claustrophobie" promis par le pitch. Dommage... Cette idée de clandestin survivant en "fantôme" dans les combles de la demeure de son inaxeccible amour avait tous pour être mémorable.
    run4life
    run4life

    17 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 juin 2010
    Un bon suspens et une idée de scénario originale. Dommage que les personnages ne soient pas suffisamment attachants pour faire passer l'émotion.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 7 juin 2010
    Une bonne étude de personnage, malgré des invraisemblances, et des lenteurs. Rose m'a touché, comme Jean-Marie. On retrouve certains traits classiques de Guillaume del Toro: les cachettes, les secrets, les personnages torturés. Le sous-titrage m'a semblé insuffisant ?
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 juin 2010
    Ce film est remarquable, magnifique, le scénario est original, le réalisateur a utilisé la caméra avec une telle intelligence, l'interprétation est excellente, même les seconds rôles, la couleur, les décors, tout est bien, quant à la musique et la voix de Chavella Vargas, elle colle superbement au film. Je recommande vivement ce très grand film !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 juin 2010
    Cette histoire est une fable sociale traitée sur le mode du thriller. Cette vieille maison surannée envahie par les rats, c'est notre société. Chacun y vit à un étage bien précis et il est très difficile, voire impossible, de changer de niveau, en particulier quand on est un immigré colombien, avec ou sans papiers, comme José-Maria et Rosa. Lui, est en situation irrégulière et devient même hors-la-loi après avoir tué accidentellement son contremaître qui le traitait avec un mépris insultant. Il se cache dans la grande demeure, tout en haut, là où l'on entrepose les objets mis au rebut, dans les coins et recoins abandonnés à la poussière et aux rongeurs. Elle, est déjà plus ou moins intégrée, en tant que domestique chez le couple aisé qui possède la maison. Mais elle n'a que l'usage des étages nécessaires à son travail et reste la proie du fils, ivrogne oisif rejeté par son père. On songe inévitablement aux romans de Balzac, où la hiérachie sociale était concrètisée par les différents niveaux des immeubles! Dans ce monde clos et rigide, pas de justice autre qu'individuelle et violente : José-Maria venge le viol de Rosa en supprimant tout simplement son aggresseur. Mais lui-même est éliminé avec les rats, empoisonné par les vapeurs toxiques répandues dans la maison pour la débarrasser des "nuisibles"...Seul rayon d'humanité dans ce huis-clos impitoyable : la solidarité féminine entre Rosa, ses amies et sa patronne qui ne la renvoie pas et lui fait même cadeau du berceau de son propre fils lorsqu'elle apprend que la jeune femme attend un enfant de José-Maria. Cet enfant symbolise la mort des vieux pouvoirs et la naissance d'une nouvelle société. L'analyse sociologique proposée par Sebastian Cordero (cinéaste équatorien) est parfaitement soutenue par ses acteurs et tout particulièrement par Gustavo Sanchez Parra, tout concentré et noué autour de sa "rage", devant le sort indigne qui lui est fait.
    Alex6169
    Alex6169

    2 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juillet 2010
    "Rabia" est un (presque) huis-clos terrible où l'on suit et l'on accompagne la descente aux enfers de José-Maria. Un personnage psychopathe mais qui nous plonge dans son atmosphère pesante et destructrice. Gustavo Sanchez Parra est très convaincant dans son rôle, tout comme Martina Garcia dans celui de Rosa. Malgré quelques longueurs, la recette très réussie de ce film nous donne finalement un très bon et très prenant thriller.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 22 novembre 2010
    Un film prenant tout le long. Goût amer en fin de bouche, comme la vie de beaucoup...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 juin 2010
    "Rabia" signifie "rage" en espagnol. La rage, le rat... au sein d'une maison bourgeoise. Une cohabitation entre crime et "bonne société". Une cohabitation qui révèle une coproduction.
    albator761
    albator761

    237 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juillet 2011
    Un film qui ravira les fans d'ambiances de claustrophobie
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