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    Vincere
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    3,7
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    136 critiques spectateurs

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    Pascal I
    Pascal I

    664 abonnés 4 048 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2011
    Une page historique méconnue du grand public sur Mussolini concernant le ravage de sa femme et de son fils (légitimes tous les 2). G. Mezzogiorno a tout le film sur les épaule et ressort, elle seule, bien au dessus du lot sur l'interprétation. Seul point négatif du film : la prestation des autres acteurs. Elle donne beaucoup, c'est ce qui fait la beauté de ce drame historique. Un destin scellé lors de la reconnaissance public du future Duce. Abominable. L'Italie, après l'Allemagne commence à faire ce que nous sommes encore incapable de mettre à l'écran : nos démons. Nous ne sommes actuellement qu'avec des pseudo historique comme "La rafle", peut-être "Elle s'appelait Sarah" qui ose un peu plus. 4/5 A voir !!!
    fm1981
    fm1981

    5 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 avril 2010
    Magnifique
    Tanezir
    Tanezir

    26 abonnés 583 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 décembre 2009
    Le film est très beau et on sent parfaîtement bien la puissance qui s'en dégage. Le début annonce deux heures très prometteuses qui, même si la fin est un peu moins bonne, passent très vite. Les acteurs maîtrisent leur rôle à la perfection pour faire encore mieux ressortir le vivant et le touchant de ce drame.
    kinophil
    kinophil

    19 abonnés 262 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 juin 2012
    Bon d’accord, on apprend que Mussolini avait un fils caché et qu’en plus d’être fou, (Cf discours hallucinés des images d’archives) c’était un salaud. Mais faire plus de deux heures là-dessus, était-ce bien nécessaire ? C’est lent, long, banal, grandiloquent, classique et manque cruellement de rythme.
    Charles R
    Charles R

    48 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 novembre 2009
    Marco Bellocchio est un des cinéastes majeurs de la dénonciation en Italie. Depuis "Les poings dans les poches", il ne cesse de jeter un regard critique sur le monde qui défile, épinglant la psychiatrie traditionnelle, le poids de la religion en Italie, l'hypocrisie de la société bourgeoise. Dans "Vincere", c'est tout l'univers haï de Bellocchio qui est passé en revue: le fascisme et l'horrible cabot que fut Mussolini, la psychiatrie trop commode quand on veut se débarrasser d'un(e) importun(e), les lâchetés d'une société ivre de pouvoir, les complicités bêlantes de la religion catholique, apostolique et romaine et d'une dictature bien musclée... Et Giovanna Mezzogiorno illumine de son regard ce monde parfaitement pourri.
    Itaelle
    Itaelle

    57 abonnés 664 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 avril 2010
    En un mois, l’année 2009 qui s’annonçait morose est partie totalement en orbite. Vincere, sans doute le dernier grand film du mois de Novembre (faut pas déconner non plus), rentre vite dans le vif du sujet. La première partie est étourdissante, comme un discours enflammé devant une foule en délire. Le montage est très incisif et elliptique favorisant l’association d’idées et d’émotions à une continuité chronologique. C’est la personnalité de Mussolini qui dirige alors la structure du film, personnage guerrier et passionné, qui ne pense qu’à vaincre, à réduire l’autre en poussière. Une sorte de Rock Star timbrée et ultra narcissique qui emporte le personnage féminin dans sa passion avant de l’abandonner. La laisser seule dans son existence fictive, comme si elle avait été un fantasme comme elle le dit, elle, et son fils, homonyme bafoué du père. Et c’est là que se rejoignent les deux partis pris les plus intéressants du cinéaste, à savoir le choix de donner comme ligne de fond, le cinéma lui-même, propagandiste ou burlesque, et la disparition de l’acteur qui joue Mussolini. Il ne reste donc que des images de lui, forcément différentes vu qu'elles prennent la forme du vrai Mussolini, et il demeure toujours absent en étant présent partout. Parce qu’il la rayé de sa vie, parce que le Mussolini socialiste qui avait le look de Freddie Mercury n’existe plus. La structure devient beaucoup plus posée et, centré sur son personnage principal (sublimement interprété par Giovanna Mezzogiorno) le film prend la forme et la force des grands classiques, quelque part entre Visconti et le cinéma Hollywoodien. Bellocchio atteint un lyrisme paroxystique baroque et dramatique, aidé par une musique grandiose et une puissance picturale symbolique bouleversante. Les séquences de projections, très nombreuses sont toutes formidables, d’une projection christique dans un hôpital à des extraits bouleversants du Kid, en passant par les images du Duce, devant lesquelles le corps réinvesti
    Pauline G.
    Pauline G.

    32 abonnés 561 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 septembre 2016
    Magnifique mise en lumière de la triste vie d'Ida Dalser, consacrée à la lutte pour la vérité par amour pour son enfant et injustement sacrifiée à l'amour propre d'un fou. La tragique histoire de cette femme uniquement animée par la rage de vaincre et l'espoir de voir la justice renverser le mal est incarnée par une touchante, attachante et convaincante Giovanna Mezzogiorno. Quant à la prestance de Filippo Timi en Mussolini, elle est tout simplement bluffante de grandiloquence, toute aussi démesurée que celle de l'original et juste dans la retranscription de son extravagance. Le film, qui s'articule en trois parties, commence par la rencontre des deux personnages et la création de leur lien, avant de souligner leur progressive distanciation en passant de l'un à l'autre et conclue en focalisant sur la mère. On peut donc regretter de ne pas voir davantage Filippo Timi à l'écran à partir de la moitié du film puisqu'il s'efface pour laisser place à Giovanna Mezzogiorno, mais Vincere est un biopic d'Ida Dalser et non pas de Mussolini, qui passe dès lors au rang de personnage secondaire. A noter aussi la sublime bande originale, qui joue pour beaucoup dans l'intensité tragique du film, tant au regard des personnages que d'un point de vue historique.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 387 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 octobre 2020
    Malgré les autres critiques Vincere est tout simplement un mauvais film. La mise en scène, l'écriture, le jeu des acteurs, la photographie et la musique sont tous mauvais à leur manière. Les 45 premières minutes du film sont déroutantes et sans but. Le film fait des va-et-vient d'années en années différentes ce qui le rend presque impossible à comprendre. Au moment où Giovanna Mezzigiona est confinée dans un hôpital psychiatrique (la dernière moitié du film), nous ne nous en soucions tout simplement pas et rien n'est ajouté au film. Le film aurait pu mieux fonctionner comme une histoire chronologique. Comment elle a rencontré Mussolini, leur relation ultérieure et aurait dû se terminer avec son enfermement. Le générique de fin aurait peut nous dire qu'elle n'a jamais revu Mussolini. Il n'y a eu absolument aucun drame à l'heure de l'histoire pendant laquelle elle est confinée. Le film a essayé et a échoué de faire trop de choses. L'histoire, les guerres mondiales, le socialisme journalistique, le fascisme, la romance, la trahison pour n'en nommer que quelques-uns et les a toutes mal faites. Le film commence de manière chaotique et n'entre jamais dans aucun rythme. Le début était si mauvais qu'il ressemblait à un film d'étudiant. La musique était beaucoup trop intrusive et ne faisait qu'ajouter à la douleur de regarder ce film. Le jeu des acteurs était également médiocre. Giovanna Mezzogiorno est une actrice italienne majeure et a pourtant une habitude persistante dans les films récents de ne pas se connecter avec le public et de nous faire prendre soin de son personnage...
    Cronenberg
    Cronenberg

    211 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 octobre 2018
    Vraiment médiocre, ça frôle le 1/5. C’est ennuyeux comme c’est pas possible. Mal interprété et filmé. Nul, nul. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 2/5
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    224 abonnés 1 597 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 septembre 2013
    C'est à la fois une fresque historique (nourrie d'images d'archives) et un récit intimiste. Un mélodrame tragique et un beau portrait de femme. Où il est question d'amour fou, de sacrifice, de désir de reconnaissance, d'obstination jusqu'au martyre. La première moitié du film évoque l'ascension de Benito Mussolini, son évolution idéologique, mais aussi cette histoire d'amour cachée. Un tourbillon de passions, dans un style enlevé, tour à tour ample (musique lyrique omniprésente) et subtil. Bellocchio s'applique notamment à présenter Ida comme une femme de l'ombre, surgissant de l'obscurité ou fendant une foule pour être toujours aux côtés du futur Duce. Apparitions-disparitions d'une femme fantôme dont Mussolini cherchera à effacer l'existence. La seconde moitié du film (la rébellion, l'asile, le questionnement sur la folie...) est plus classique et un peu longuette.
    À défaut d'émouvoir, Vincere séduit par sa belle maîtrise. On retiendra aussi la performance des deux acteurs principaux : Giovanna Mezzogiorno et Filippo Timi.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 5 mars 2013
    Pas vraiment enchanté ni ému par ce film. Néanmoins quelques scènes sont exceptionnelles, tout comme l’actrice principale.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    151 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 janvier 2010
    Depuis plusieurs années, il devenait rare de sentir que la grande histoire du cinéma était encore en marche. Certes, ce film est dense (ça en déconcertera certains) mais il est d'une inventivité et d'une énergie exceptionnelle. Je n'insiste pas sur le talent des acteurs. Je préfère souligner la capacité de Bellocchio de prendre à bras le corps la grande Histoire du XXe siècle et surtout la grande histoire du cinéma (les projections de films sont omniprésentes, les hommages à Hitchcock, Scola, Fellini sont intégrés avec brio, etc.). Les dix derniers plans sont d'une rare perfection.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 février 2010
    Très bon film avec une mise en scène originale qui mélange sans complexe images d' archives et reconstitution... Plus que sur le Duce le film est centré sur cette femme qui jusqu au bout ne lâche rien, dérange... À une époque les femmes qui dérangeaient étaient sorcières, ce film dénonce aussi l'époque où on les disait folle où on les internait à vie...
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    14 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 décembre 2023
    Au début du siècle, jeune serveuse, Ida s'éprend passionnément, au hasard d'une manifestation réprimée, du viril et impétueux Benito Mussolini.
    Marco Bellochio nous fait découvrir l'histoire méconnue, de ce côté-ci des Alpes en tout cas, d'Ilda Dalser, la maîtresse répudiée du Duce dès lors que ce dernier accède au pouvoir. C'est tellement l'histoire d'Ilda que Mussolini disparait à mi-film, au faîte de sa gloire, et n'apparait plus que dans des images d'archives évoquant succintement les étapes de sa vie politique. Et Bellochio de relater, pour ne pas dire s'apesantir sur le combat perdu d'avance d'Ilda pour faire reconnaitre son existence de "femme" de Mussolini et celle de leur enfant caché.
    On ne fera pas grief au film de n'être pas une chronique du fascisme italien. Ce n'est pas son objet mais on le regrette. Car la bataille d'Ilda, après une première partie de film romanesque et charnelle, prend une tournure dramatique affectée et redondante. spoiler: En résidence surveillée puis séparée de son fils, expédiée en hôpital psychiatrique,
    Ilda n'a de cesse de clamer la vérité. Vainement à tout point de vue. En dépit des efforts de la comédienne qui l'incarne, on ne ressent pas plus d'émotion qu'on ne trouve d'intérêt à son obstination, à son drame intime à cheval sur l'anecdote et l'Histoire. On reste généralement indifférent aux sentiments passionnels de l'héroine.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 juin 2010
    réfléxion parfaite sur la cruauté,l'amour,la folie,la faschisme le tout réunis dans un même film,bouleversant
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