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    Le Grand sommeil
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    3,9
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    112 critiques spectateurs

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    Napoléon
    Napoléon

    115 abonnés 1 536 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juillet 2016
    Une histoire bien menée qui captive rapidement, mais qui par la suite, devient soit malheureusement soit intelligemment extrêmement complexe ou incompréhensible. Après la scène finale est bien gérée.
    willyzacc
    willyzacc

    72 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2011
    Un couple mythique (Bogart et Lauren), une atmosphère vraiment étrange et un film qui nous mène on ne sait où, voici le programme de "The Big Sleep". Alors au final un film noir plaisant mais vraiment trop confus pour être pleinement apprécié.
    NicoMyers
    NicoMyers

    50 abonnés 302 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 février 2011
    L'anecdote célèbre sur Le grand sommeil est que ni Hawks, ni le scénariste, ni l'écrivain du roman n'avaient complètement compris l'intégralité de l'intrigue. En effet, on passe de rebondissement en rebondissement, qui chaque fois font remonter le mystère, l'interrogation du spectateur. Au final, on n'a pas tout compris, on ne sait plus vraiment qui est le cadavre et qui est l'assassin, mais on est pourtant envoûté par ce summum du film noir. C'est même cette instabilité de l'intrigue qui nous tient en halène. Un film jubilatoire, brillament mis en scène par Hawks, et interprété par le couple Bogart/Bacall.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 octobre 2008
    Sur les traces de «To have and have not», Humphrey Bogart et Lauren Baccal se retrouvent sous l’égide d’Howard Hawks dans «The Big Sleep» (USA, 1946). Outre le presence à l’écran du couple star, que la mythification d’Hollywood s’est chargée de couronner d'un aurore glamour, Hawks retrace le parcours d’un detective privé dans une affaire don’t il ne réussit pas à se défaire, même une fois qu’elle est officiellement close. Dans les rhizomes de l'enquête policière, qui risque de perdre le spectateur inattentif aux rebondissements, une idylle se lie entre le personnage mystérieux du détective (Bogart) et une curieuse femme plantureuse (Baccal). Au-delà de ce film noir, transaparaît l'amour difficile des deux êtres. Dans une moindre mesure que dans «To have and have not», «The Big Sleep» érige une relation moins perturbée par des discordes et davantage pétrie par le mystère et le double jeu. Le double jeu est justement tout le moteur qui régit la machine du film, et par ce biais, le cinéma entier d'Hawks. Le double jeu est celui auquel se livre l'identité du film. Cinéma d'action où des hommes armés en viennent aux mains pour s'entretuer, Hawks n'en fait pas moins appel aux dialogues, aux échanges cordiaux ou sous forme de dispute. L'action, par intermittence se confond avec les scènes plus intimes, sans qu'il n'y ait hétérogénéité. La réussite d'Hawks est, une fois n'est pas coutume de le dire, de cautériser la plaie du double jeu, de la dialectique qu'implique le phénomène du montage. Rohmer écrivait qu'on ne pouvait pas aimer le cinéma sans aimer Hawks. Si un tel propos a quelque chose d'irrévocable et d'affreusement absolu, l'énoncé a sa vérité. Hawks saisit les fonctionnements du cinéma, sa nécessaire abstraction, sa belle fluidité. «The Big Sleep» est un nouvel exemple de la mise en scène hawksienne. Or a contrario de la limpidité narrative de «Rio Bravo», l'adaptation de Faulkner, entre autre, du roman de R. Chandler omet de clarifier les rudesses du récit.
    moonboots
    moonboots

    46 abonnés 1 322 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 mars 2011
    le film repose essentiellement sur le charme de ses acteurs
    VodkaMartini
    VodkaMartini

    40 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Chef d'oeuvre absolu de par la réalisation et l'interprétation. Le scénario, incroyablement tortueux, aurait dû plomber le film mais Hawks, en génie qu'il est, en profite pour explorer sa galerie de personnages et faire croitre la tension que la confusion générale engendre. Bacall et Bogart sont absolument éléctriques lorsque réunis, et ce polar se voit et se revoit car ici l'intrigue n'est pas essentielle.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    114 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 août 2013
    Outre son couple mythique Lauren Bacall / Humphrey Bogart, Le Grand Sommeil tire ses lettres de noblesse d'innombrables interrogations soulevées par une intrigue compliquée - incompréhensible diront certains - qui naquit dans l'esprit torturé de l'immense Raymond Chandler.

    C'est pourquoi me vient l'idée saugrenue et maso d'en démêler le fil souterrain, la succession des noeuds psychanalytiques d'une narration pas si abstraite, où l'improvisation n'est pas, loin s'en faut, l'ingrédient essentiel du résultat obtenu.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    661 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2010
    Réalisé dans les années 40 par Howard Hawks, le Grand Sommeil est un film noir extrêmement efficace dans son ensemble.
    Il s'agit d'une adaptation qui s'avère assez fidèle au roman de Raymond Chandler, jusqu'à une fin qui est malheureusement nettement moins pessimisite que celle du livre, mais l'ensemble de l'oeuvre est tout de même très bien adapter.
    On y retrouve en tête d'affiche le fameux duo Humphrey Bogart - Lauren Bacall; qui s'avère magnifique et excellent tout au long de l'intrigue.
    La mise en scène du réalisateur du Port de l'Angoisse est très classe et dynamique, la photographie de Sidney Hickox est très raffinée et la musique du légendaire Max Steiner est très agréable à écouter.
    Une oeuvre donc très réussi et qui se doit d'être vu par tous les fans du cinéma noir.
    pilouBoulogne
    pilouBoulogne

    7 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 septembre 2009
    Un film sans temps mort, avec une belle partition de H. Bogart.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    514 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 mai 2017
    A plus d’un titre ce film est intéressant. En 1960 il fallait le voir et faire semblant de tout comprendre au risque de passer pour ne rien connaître du grand cinéma. Aujourd’hui, Il demeure important pour sa place dans l’histoire du film noir. Sur la mort qui plane (le grand sommeil) et son absence d’attachement à tout personnage. Pour le jeu des acteurs et la qualité de la mise en scène dans les différentes séquences qui le parsèment (à ce petit jeu ma préférence va à celle de la libraire). Pour son érotisme intellectuel particulièrement vif (chaque femme rencontrée souhaite revoir Marlowe en privé pour une heure) et sa pudeur visuelle. Seulement voilà, le grand cinéma c’est bien autre chose et ce n’est pas Hawks qui aurait dit le contraire. Avec du talent, un réalisateur peut tout faire mais il n’a pas le droit de se moquer des spectateurs à ce point. La fascinante beauté de Lauren Bacall (jamais elle ne sera image féminine plus parfaite) n’excuse pas l’embrouillamini de cette histoire qui n’est en aucun cas un scénario et si on n'est pas cinéphile indéfectible, on ne peut y trouver d'attrait.
    Julien D
    Julien D

    1 099 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 septembre 2014
    Même si, du propre aveu de son réalisateur, l’intrigue issu du roman et les coupes que dut lui faire faire le code Hayes rendent Le grand sommeil terriblement difficile à entièrement comprendre, avec ses questions laissées sans réponses et ses fausses pistes qui se multiplient, il n’en reste pas moins un classique incontournable du film noir des années 40-50 qui accumule les archétypes et les codes du genre. Première d’une longue série d’adaptations des romans de Raymond Chandler, ce film culte marque surtout la seconde collaboration entre le duo Bogart-Bacall et le réalisateur Howard Hawkes dans laquelle le célèbre réalisateur fera tout pour créer un parfait équilibre entre une ambiance générale très sombre et oppressante et une très forte intensité sensuelle entre les deux acteurs dans leurs échanges verbaux et notamment lors d’une métaphore aux courses de chevaux qui passa entre les filets de la censure. En plus d’avoir offert aux deux acteurs des rôles qui marqueront leur carrière, ce polar noir impose tous les personnages clichés d’un genre aux prémices de son âge d’or.
    Acidus
    Acidus

    611 abonnés 3 644 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 octobre 2013
    "Le Grand sommeil" est à la fois un classique du film noir et un film noir tout ce qu'il y a de plus classique. Pas de grosses surprises que ça soit une intrigue assez confuse, dans une mise en scène convenue ou encore dans les personages. D'ailleurs, le détective Marlowe incarné par Humphrey Bogart n'est qu'une copie de Sam Spade, interprété par le même acteur dans "Le Faucon maltais". Si l'ensemble tient la route, rien ne justifie ce statut de film culte.
    matt240490
    matt240490

    70 abonnés 1 059 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 octobre 2015
    Le Grand Sommeil, du "grand" Howard Hawks, est un policier comme on en fait que trop rarement de nos jours. Et pour cause, le scénario, le jeu d'acteur et la mise en scène sont solides, bien qu'il faille s'accrocher un peu pour ne pas perdre le fil dans ce labyrinthe de noms et de lieux. Ainsi, c'est un compagnie de Humphrey Bogart et de Lauren Bacall que le spectateur suit les péripéties de cette enquête, déjà fort choquante pour l'époque, où chaque détail compte. C'est alors subjugué par le show que l'on ressort du métrage, rarement ralenti par quelques temps morts, et où les soubresauts musicaux prennent toute l'importance qui leur est due. Proche d'un Hitchcock, le métrage n'aura jamais aussi bien porté son manteau fait de noir et de blanc.
    Kloden
    Kloden

    113 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mars 2015
    A la fois satisfait et déçu par cette adaptation du livre de Raymond Chandler, l'un des grands classiques de la série noire. Globalement très respectueuse de la densité de l'oeuvre, cette version cinéma a la chance d'avoir compté Faulkner parmi les rédacteurs de son scénario. Les légers remaniements de l'intrigue s'avèrent au départ très justes, permettent de respecter scrupuleusement le roman tout en l'allégeant de ses passages les moins essentiels. Un point important, tant le fil de cette intrigue doit s'avérer délicat à suivre, si on a pas lu l'ouvrage en question, qui ne s'embarrassait déjà pas d'une clarté qui n'aurait rien à faire dans le genre, qui se doit évidemment de multiplier les recoins d'ombre dans le fond comme dans la forme. Mais vraiment, l'adaptation est scrupuleuse, reproduisant souvent des dialogues entiers, prenant soin de soigner ceux qu'elle incorpore en respectant la parfaite cohérence du ton et les contours des personnages. Le problème finit par venir du rôle extrêmement important (comparativement au livre) accordé à Lauren Bacall, qui finit par dénaturer un poil le propos du livre de Chandler, où plus que jamais dans le roman noir, les personnages, dévorés par leurs parts d'ombre, voyaient disparaître la possibilité de construire une relation stable, malgré l'attirance exacerbée qui se cachait derrière la plume cynique et efficace de Chandler. Alors voilà, certes les remaniements du final ne sont pas honteux, mais je ne peux m'empêcher d'en conserver une petite gêne. D'un autre côté, comment reprocher à Hawks d'avoir mis en avant l'alchimie manifeste entre la splendide Bacall et Humphrey Bogart, son partenaire à la ville. Celle-ci éclabousse chaque plan, et marque nettement la construction du long-métrage. Bogart, en dehors de ça, a très bien compris le personnage de Marlowe, même si je l'aurais presque souhaité encore un peu plus insolent. Sinon, on note à nouveau les interférences de la censure de l'époque, et son fameux code Hays, qui supprime par exemple l'homosexualité de certains personnages. Heureusement, le bouquin n'était pas le plus vénéneux qui soit, ne tombant jamais vraiment dans l'excès, et Hawks pare très bien à cette légère perte en se concentrant à fond sur le charisme de Bogart. Son rôle de réalisateur, malheureusement, se cantonne à cela, tant un classicisme sans grande ambition règne sur sa mise en scène, avant tout concentrée sur le travail et la présentation du récit (comme souvent à l'époque). Pour qui a déjà lu le roman, cette absence de plus-value formelle n'est pas dérangeante, mais j'aurais quand même souhaité que la forme essaie davantage de faire corps avec le fond. Il serait quand même très dur de cracher sur la propreté du noir et blanc et l'élégance sans bavure des cadrages, qui ne subliment peut-être pas le matériau, mais sont loin de lui faire déshonneur. Bref, un classique incontestable, que j'aurai sans doute davantage apprécié si je n'avais pas constamment, du fait de ma lecture du roman, eu un temps d'avance sur le scénario. Après tout, enlever au film noir le droit de nous perdre constamment, c'est le priver d'une partie essentielle de ce qui en fait la force. Voilà pourquoi, en définitive, ma note ne veut pas dire grand chose.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 septembre 2009
    L'histoire est trop embrouillée on a l'impression de ne pas avancer, pour le reste la réalisation est assez quelconque finalement sans la présence de Bogart et baccal le film n'aurait pas grand intérêt.
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