Avis : Terminator: Dark Fate - Page 9

un nouveau Terminator est toujours un grand moment de cinéma et celui ci est vraiment réussit pour plusieurs raison. le premier c'est le plaisir de retrouver les personnages du début qui se repayent un tour de manège mémorable dans cette opus (les 2 en forme olympique bravo) puis c'est ces courses poursuites et bastons qui s'enchaînent jusqu'à la fin face à ce méchant indestructible deux en un, sur terre avec de vrais cascades, dans les airs et l'eau avec des effet spéciaux dernier cri. l'histoire n'est que prétexte à remettre en route la Genése des débuts (éviter l'apocalypse du futur).. c'est un excellent divertissement de sciences fiction qui rassemble ancienne et nouvelle génération..vivement le prochain.

Tout d’abord, sachez qu’aucun film de la franchise n’égalera Terminator 2. Alors certes ce nouvel opus (qui fait table rase du 3, de Renaissance et de Genesys) nous plonge en pleine nostalgie en retrouvant le duo iconique Arnold Schwarzenegger et Linda Hamilton. Mais la surprise n’est pas présente, ni le côté course-poursuite haletante qui nous prend aux tripes. Mon attention s’est plus porté sur Mackenzie Davis qui joue un super-soldat génétiquement augmenté. Ses scènes de combats contre le Rev-9 sont ultra-violentes. Concernant le T-800, j’ai regretté de le retrouver pantouflard dans sa cabane. Heureusement il retrouve vite ses instincts de guerrier à la fin du film. Malgré ses quelques défauts, ce nouveau long métrage de la franchise reste un pur bonheur de cinéphile jubilatoire!

Grand Réchauffé avec un gand R! Mélange du 1,2 voir même du 3. Skynet remplacé par un autre superordinateur, le T-1000 remplacé par un autre super méchant, le jugement dernier non pas évité mais repoussé... Et j'en passe... Et schwarsy qui envois des sms à Sahara Connor pour lui indiquer les emplacement des Terminator, ça c'est le pompon !

Fan de la saga, ce que cette saga transmet, c'est que l'on peut reecrire le futur, ainsi que font les scénaristes presque à chaque fois. Là cet opus s'en vante ouvertement en mettant les femmes à l'honneur avec un beau message, c'est qu'aujourd'hui contrairement à la Sarah Conor des années 80, ça peut être elle l'héroïne la leader des hommes, pas parce qu'elle porte un garçon. Et vraiment, elles tabassent ces meufs elles sont à la hauteur, un épisode loin d'être anecdotique, complètement dans la lignée des classiques, une nouvelle place, plus subtile du Terminator Schwarzy, et aussi héroïque même plus que dans le 2 puisque pour la première fois il agit par choix, il est devenu plus qu'une machine. Alors respect

Après avoir vu le film cet après-midi, je me tiens de dire que le film est génial !!! Malgré les critiques très négatives de beaucoup de personnes je ne suis pas de cet avis, ce n'est pas le meilleur Terminator mais il n'en est pas loin,certes le scénario est un peu répétitif mais les 2h de film je ne les ai pas vu passées !!! Ils ont repris les idées de bases tout en les changeant, en les modifiant un peu et hop voilà un film génial !!! Je vous le conseille !!!

Au niveau du scénario, ça reste du classique par rapport à la saga (aucunes nouveautés originales). On a un terminator qui est envoyé dans le passé pour tuer une personne, et on a une personne qui est envoyé dans le passé pour protéger la cible du terminator. S'en suit alors une course poursuite jusqu'à ce spoiler: qu'ils arrivent à tuer le terminator
... Et on nous ressort une scène avec spoiler: le terminator dans un camion qui poursuit sa cible
... ce qui n'est pas très originale (car déjà vu plusieurs fois) même si c'est spectaculaire. Après, en ce qui concerne Sarah Connor (Linda Hamilton) et le T-800 (Arnold Schwarzenegger), ils n'apportent rien au film et ils n'ont aucun intérêt à être dans l'histoire si ce n'est pour le fan service ! Le T-800 est là aussi pour quelques pointes d'humour. Le début est (très) surprenant car spoiler: on voit Sarah Connor à l’hôpital psychiatrique qui parle du futur et du jugement dernier puis on bascule dans le futur où règnent les machines qui sont en guerre contre les humains, mais juste après on apprend qu'ils ont réussi à empêcher le jugement dernier et donc les machines de régner, et ce futur "disparaît" pour laisser place à un monde paisible. Dans le 2, ils sont sensés l'avoir fait et donc ce Terminator serait une suite direct à Terminator 2 et il oublierait Terminator 3 et Terminator 4... parce que dans Terminator 3 on découvre qu'ils ont juste repoussé la date du jugement dernier, mais comme Sarah Connor est morte dans Terminator 3, ça ne peut être qu'une suite de Terminator 2... Et ensuite, on voit le T-800 tuer John Connor. Le T-800 a été envoyé avant la mort de Skynet, donc comme il ne sait pas qu'il n'y aura plus de Skynet dans le futur, il ne sait pas que la mission de tuer John Connor est devenue obsolète. Tout ceci se passant dans la première minute du film, ça commence mal car on détruit une saga en oubliant Terminator 3 et Terminator 4. Exactement comme on a fait avec Terminator 5 en faisant une suite du premier film.
Bref, il n'y a plus de logique et on fait n'importe quoi avec la saga. spoiler: Dans les 4 premiers films, on voyait que le futur était inévitable (Skynet et le règne des machines) et qu'il fallait absolument que John Connor soit vivant pour mener la résistance contre les machines ! Après, même si Skynet et John Connor n'existe plus, on découvre qu'à la place de Skynet on a eu Légion, et donc que finalement on a quand même eu le règne des machines mais un peu différemment, et qu'on a nouvelle personne (Dani Ramos) qui va mener la résistance contre les machines.
Un moyen de changer un peu l'histoire et les personnages principaux. spoiler: Tout en disant que, si on arrive vraiment à empêcher un règne des machines, on en aura un autre, et donc qu'il y aura forcément un règne des machines et que c'est inévitable (pour quand même rester dans la thématique de la saga). Sarah Connor et le T-800 ne sont là que pour un passage de relais entre le précédent futur et le nouveau. Ce qui veut dire qu'on peut se retrouver avec une nouvelle saga Terminator comme on a eu avec John Connor et Skynet mais là avec Dani Ramos et Légion. Je ne suis pas trop fan de ce changement de futur, et donc du scénario de ce Terminator quand on le place dans la saga.
Par contre, si on prend ce film en dehors de la saga Terminator, le scénario est très bien. spoiler: En même temps, si on enlève Sarah Connor et le T-800 de l'histoire, c'est la même chose que le premier Terminator, et donc si la saga Terminator n'avait pas existé, ce Terminator aurait pu être le film qui lance la saga Terminator. Peut-être que certains diront qu'on avait fait le tour avec John Connor et Skynet, et donc qu'il fallait un peu de changement, mais quand on est attaché à une saga, le changement passe mal. Dans ce cas là, autant juste refaire un reboot de Terminator !!
Sinon le film est plutôt bien rythmé avec de grande scène d'actions et de beaux effets spéciaux. De quoi passer un bon moment malgré la déception cité plus haut.

Pour ceux qui ont connus les épisodes précédents ce dernier, qui compile habillement les ingrédients des 2 premiers opus, n’apporte rien de nouveau et joue le roule d’une madeleine de Proust plutôt savoureuse. Pour les autres c’est une entrée de qualité dans cet univers qu’il respecte et modernise.

Un film distrayant et efficace qui arrive à effacer le manque d'imagination du scénario qui ne fait que tourner en rond .
Rythmé et haletant, tout à fait recommandable.

Bon divertissement, un casting pas si mal, et les scènes d'actions sont vraiment pas mal construites !
Le scénario n'est pas une merveille, mais c'est pas ce que l'ont demande en priorité à ce film ! J'ai regretté de ne pas avoir vu les anciens avant pour comprendre tout.

Le film se regarde, il y a toujours les bonnes recettes qui sont utilisées, de l'action, des cascades, des effets spéciaux, ça fonctionne encore, j'ai tenu grâce à cela. C'est bien, mais ça sent le dernier round.
Les ficelles sont usées, ont nous as sorti un pot-pourri de tout ce qui avait fonctionné jadis.
Comme une bande-annonce à l'envers, une sorte de rétrospective.
Les boules qui tombent du futur et la course poursuite commence, nouveau modèle, ancien modèle, protéger la cible, on s'en débarrasse il revient, il y a du spectacle, comme d'habitude, mais rien d'inédit, c'est du recyclage.
Linda Hamilton qui ressort. Arnold Schwarzenegger qui passe dire au revoir. On arrange le scénario, quitte à ce qu'l en devienne incohérent pour faire place à la jeunesse. Terminator : Dark Fate, sert à passer la main.
Des vrais Terminator, il n'y en aura plus. James Cameron est encore là, pour nous rendre nostalgique des 2 premiers. Comme il l'avait dit si bien lui-même "Ce n'est pas la peine d'en rajouter".
Nous aurons surement d'autres suites, sans acteurs charismatiques, sans scénario solide, sans humour, ni dialogues, ni pieds de caméra, avec leurs lots de prequels, de reboot, de prequels de reboot, de reboot de prequels et de remakes jusqu'à ne plus rien y comprendre et se refaire Terminator, et Terminator 2.

Je pense que beaucoup de monde n ont pas compris où voulait en venir James Cameron avec ce film. Pourtant la scene d ouverture est aussi ahurissante qu audacience et claire: Terminator, a force de suite et de voyages temporels s'etait perdue dans la complexité de son scenario. Je l'avais particulierement ressenti avec Genesis (que j apprecie aussi), où le concepte temporalité a atteind son paroxisme, a tel point qu il en devient difficile de demeller tout ça sans revisionner plusieurs fois le film.
Dark fate se debarasse de tout ça, de toute ces suites, et surtout de John Connor.
Alors ca parait brutal pour ceux qui sont des fan hardcore, mais c est tellement evident en fait. Et pour ça j applaudis.

Apres oui le traitement du t800 est quasi comique mais encore une fois c est une nouvelle approche. Le scenario est pas tres original et on est sur la meme structures que les précédents mais le film est spectaculaire.

Le matraquage sur le film est injustifié. La serie s etant perdue deja depuis longtemps dans l enmellage scenaristique. Cameron n a fait que balayer tout ça et avec audace. Bravo a lui.

Eh bien c'était bien, déjà parce que la scène d'intro m'a presque laissé sans voix! Perso je ne m'y attendais vraiment pas. Après, oui il y a des choses qui sont un peu problématiques (était-il vraiment judicieux d'humaniser le T-800?) et surtout le film est un remake du 3 qui était lui-même un remake du 2 qui était lui-même un remake du 1, mais comme le 3 commence à dater un peu, ça passe finalement pas si mal. J'avais de grandes craintes concernant le casting et le côté Girl Power, mais au final pas du tout (si on excepte une ou deux phrases), et tout le monde est très bien, au point de regretter de ne pas voir plus le personnage de Grace, intéressant et vraiment bien interprété, qui est un peu sacrifié une fois qu'il faut remettre Arnold dans l'équation. Car oui, à mon avis cet opus aurait certainement gagné à se faire sans le T-800, qui n'apporte pas grand-chose à l'histoire (si ce n'est de souligner involontairement combien tout ceci est peu original) et de décrédibiliser dans la foulée le REV-9, certes indestructible et omnipotent, mais aussi curieusement apparemment moins fort qu'un T-1000 si on compare leurs affrontements directs... Sans le T-800 Grace aurait aussi eu un rôle plus important et je pense que ça aurait été meilleur, d'autant que la pléthore de combattants fait qu'en unissant leurs forces ils arrivent toujours plus ou moins à repousser le robot tueur et qu'il devient difficile de craindre un ennemi dont on se débarrasse finalement plutôt facilement à chaque fois. Mais bon, sans trop pouvoir dire pourquoi j'ai quand même trouvé bien, et j'ai passé un bon moment purement blockbuster.

Dans le film on suit une demoiselle qui à un contrat sur sa tête. un terminator, robot doté d'IA et en provenance du futur à pour objectif de tuer Dani, tandis que Grace, un humain/robot venant du futur à pour objectif de protéger Dani. Les scènes d actions sont enorme, j ai bien aimé. Par contre je n ai pas aimé le côté girl power, et le film pert en intensite avec l arivée de Carl.

Avec Dark Fate, la saga Terminator se raccorde à ce qui faisait ses talentueuses prémices, soit la machinisation du blockbuster à grand renfort d’effets spéciaux impressionnants et surtout d’une féminisation du héros non plus pensé comme ventre maternel sur le point de porter l’espoir de l’humanité mais comme femme armée et dangereuse qui agit sur son environnement, qui a entre ses mains l’avenir d’une civilisation sur le point de s’éteindre. Aussi les liens de parenté ne sont plus héréditaires mais symboliques, organiques en ce sens où les protagonistes sont autant d’organes aptes à faire avancer un corps vers sa victoire. Et cet acte de foi placé en la vie réussit ici à s’enraciner dans ce tableau de famille peu à peu reconstitué : du Mexique aux États-Unis, on récupère mamie sur le bord de l’autoroute puis papy dans son chalet, devenu entretemps décorateur et conseiller-rideaux à motifs ; on prend l’avion, l’hélicoptère ou la voiture, on se transmet une mémoire tantôt effacée tantôt sur le point de disparaître à grand renfort de flashbacks pompeux, avec comme point commun l’amour qui, à un moment ou à un autre, a su rassembler les êtres. Dans son mouvement intrinsèque, le film épouse cette dynamique du lien social progressivement resserré autour d’une cellule hétérogène d’abord, homogène enfin, et sans cesse menacé par une technologie plus puissante, plus avancée, mais solitaire. Et l’affrontement qui a lieu montre comment la nécessité de sauver l’humanité conduit des solitudes à s’apprivoiser, les générations à trouver un terrain d’entente jusqu’à refonder un microcosme à part entière, et qui aura raison du mal au prix de nombreux sacrifices. L’articulation de ces deux niveaux passe aussi par l’ancrage du long métrage dans un contexte politique marqué par le repli identitaire : de façon consensuelle certes, Tim Miller représente le problème mexicain qui obsède tant l’Amérique actuelle pour faire de la famille mexicaine initiale, peu à peu décimée, ce qu’il y a de plus humain et sincère, contre un robot et une Sarah Connor revêche et militarisée. Le salut vient d’ailleurs, nécessaire au renouvellement des vieux automates grisonnants de l’Oncle Sam. Notons également que les scènes de désolation futuriste ne sont pas sans rappeler certaines séquences captées lors des guerres qui déciment actuellement le continent africain. Tout cela pour dire que Dark Fate ne constitue pas un épisode de plus, mais bien un film à part entière qui trouve dans la saga une place de choix – directement après les deux premiers – tout en apportant à son action charcutée par un montage épileptique quelques touches de cauchemar (les transformations visqueuses de la machine impressionnent) et suffisamment d’autocritique et d’humour pour offrir un divertissement de bonne facture, proche du nanar à certains moments, notamment dans l’écriture de ses dialogues, que nous aurions tort de bouder sous prétexte de postures rétrogrades (le fameux « c’était mieux avant ») ou de préjugés ineptes (« la saga Terminator est morte »).

Le politiquement correct ne tue pas ... ce film le prouve.
Je suis vraiment peiné de dire ça car j'aime bien la licence mais j'ai clairement honte pour James Cameron...
Habituellement je n'écris presque jamais de critiques mais là je ne pouvais pas rien dire.
Ce film deviendra, comme le film 'joker', (mais malgré lui ! ) un porte étendard de ce qui ne va pas dans notre debut de siècle, bien réel.
Juste un exemple ?
Faire passer le T-800 (alias le terminator) pour un bon père de famille... 😂
C''est comme faire passer le monstre 'Alien' du film éponyme, pour un animal de compagnie, un gentil toutou bien APPRIVOISÉ par ses maîtresses.
Non mais franchement, vous êtes sérieux monsieur James CAMERON ?... 😂
SI on regarde le traitement du propos, je suis désolé de constater qu'on est à la limite d'un film hoministe... ce qui est grave et dérangeant.