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    Casanova
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    56 critiques spectateurs

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    Alain D.
    Alain D.

    492 abonnés 3 204 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 mars 2020
    Sur de très belles images de Venise, de fabuleux décors et de merveilleux costumes, Federico Fellini nous offre des saynètes grandioses aux détails fantastiques, des scènes d'un érotisme torride frôlant les limites de l'impudeur. Le réalisateur néoréaliste Italien trouble délibérément le spectateur avec bon nombre de scènes aussi fantastiques que délirantes. Lors des voyages du grand séducteur Vénitien à Paris, Rome ou Berne, le scénario nous prodigue des rituels à l'Amour, des séquences "dantesques" (le salon à Paris) aux personnages étonnants, (coiffures et chapeaux inclus), des êtres aux faciès improbables comme le docteur, ou le bossu Dubois joué par Daniel Emilfork ...
    Donald Sutherland se révèle fabuleux dans le rôle de Giacomo, l'homme qui aimait et comprenait les femmes, l'écrivain diplomate et espion, condamné par l'inquisition Vénitienne du XVIIIème siècle.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 28 mars 2019
    Le mythe littéraire du séducteur revisité dans cette étrangeté du cinéma, un style de réalisation particulière, je ne connais pas trop les cinéastes italiens, plutôt les anglo-saxons et vieux français me disent quelque chose. Le libertinage au temps des aristocrates italiens du 18ème siècle, chevauchant les sectes confréries pyramidales adorateurs d’icône blasphématoire, le contemporain des lettres de noblesse « les liaisons dangereuses ». L’homme possède un appétit libido effrénée, entouré de nymphomanes, son estomac bien rempli, ça saute sur tout ce qui bouge y compris les poupées de cire. J’ai pensé à « Barry Lyndon » dans la même trempe, ça peut être bien et peut mieux faire, la mise en scène musicale rythmée sans temps mort. Un peu long sur la durée, une drôlerie de machin chouette, pas d’émotion transcendante ni de psychologie dans ce délire d’orgie femme homme Casanovien sans intérêt à intrigue, montrer une scène de théâtre jouant le jeu qui choqua le plus sa société de phallocrate d’époque. Les effets spéciaux rendus maritimes sont très bien comme ambiance bruitage, la mer est une poubelle sac plastique ventilée, une métaphore physique dans un unique décor spécial.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    80 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    Le Casanova de Fellini. Si le nom du réalisateur est repris dans le titre (original, français ou international) du film, c’est pour Federico Fellini un moyen de marquer la vision personnelle du personnage-titre qu’il soumet dans son film. A l’écran, le rôle-titre, un temps promis à Robert Redford et Marcello Mastroianni, est endossé par Donald Sutherland. Le cinéaste s’approprie le personnage de Casanova de façon même très personnelle puisque toutes les scènes du film sont issues de l’imagination du cinéaste. Aucune n’est tirée des écrits dudit Casanova. Il parait plus judicieux de parler de variation que d’adaptation cinématographique. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com/festivals/lumiere/lumiere2019/
    Benjamin A
    Benjamin A

    647 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 août 2017
    C'est en plein XVIIIème que Federico Fellini nous envoie une fois le remarquable Amarcord terminé, pour mettre en scène l'histoire de Casanova et ses diverses aventures, oscillant entre glamours et sombres.

    Si l'immense Federico Fellini m'a déjà déçu une fois, je ne pensais pas que la seconde serait avec Casanova, et pourtant... il propose là trois heures d'ennuie où il nous invite dans un immense foutoir baroque pour y suivre un dragueur en collant plus énervant et inintéressant qu'autres choses. Fellini propose là son Casanova, mettant en avant une sexualité qui relève plus de la pathologie que du vrai désir, livrant un discours contre la séduction à travers un personnage machiste cachant son homosexualité et la peur de cette dernière, ainsi que des femmes.

    Tout n'est pas à jeter non plus, notamment la partition de Nino Rota, comme toujours, ainsi qu'un soupçon d'ambiance crasse par moment, servant le propos mais retombant toujours trop vite dans la caricature et l'inintérêt. Fellini enchaîne les choix douteux et étranges, ainsi que les fautes de goûts, tandis que l'oeuvre est affreusement lente, et surtout hystérique et très fatigante, en voulant ridiculiser le fameux séducteur, le pourtant brillant cinéaste italien se ridiculise lui-même.

    Côté casting, le pourtant remarquable Donald Sutherland a rarement été aussi mauvais, guère aidé par l'écriture de son rôle, tandis que Daniel Emilfork est insupportable. L'oeuvre est vide, et plusieurs séquences en sont symptomatiques, tombant régulièrement dans le médiocre à l'image des scènes amoureuses tandis que Casanova est souvent brouillon, à l'image des décors. Même la photographie est dégueulasse, à l'image du reste, pour une oeuvre qui ne raconte finalement pas grand chose...

    Federico Fellini propose avec Casanova deux heures trente de badinages et de vide articulés autour d'un machiste peureux bien souvent ridicule, à l'image du travail du cinéaste italien pour cette oeuvre, qui contraste tellement avec les longs-métrages si remarquables, riches et puissants qu'il a su faire...
    Yves G.
    Yves G.

    1 278 abonnés 3 289 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 août 2015
    J'ai tout détesté dans "Le Casanova de Fellini" : le libertinage triste, le scénario répétitif, les monstres chers à Fellini, le titre narcissique....
    Est-ce parce que le film, qui porte à la caricature l'esthétique kitsch des années 70, est passé de mode ? Ou suis-je à ma grande honte hermétique au génie du Maestro ?
    this is my movies
    this is my movies

    617 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juillet 2016
    Au 1er abord, le film peut rebuter : outrancier, saccageant la légende d'un Casanova considéré comme le summum du romantisme, Fellini en dresse un portrait bien loin du folklore, un vieux gars qui va enchaîner les prouesses sexuelles afin d'exhiber sa légende, le tout au sein d'une Europe largement décadente, du moins dans ses hautes sphères, une Europe défraîchie qui se complaît dans une crasse luxueuse, remplie de bouffe grasse, de discussions vaines et de sexe mécanique. Casanova aime mais la réciproque est loin d'être vraie, on aime l'athlète du sexe (représenté de façon très grossière, sans aucune âme ni beauté), l'esprit brillant mais c'est tout. Un personnage pathétique qui culmine dans un final mélancolique déchirant, achevant un portrait peu flatteur du personnage, sans doute plus proche de la réalité que les écrits. Des décors impressionnants, des costumes magnifiques et grandiloquents, des scènes démesurées parfaitement mises en scène, un gigantisme et une beauté troublante rarement égalée. Oui mais voilà, ce film a un rythme trop faible, un son assez médiocre (la musique est entêtante et parfois très discrète) et une interprétation un poil trop exubérante (qui convient toutefois au style du film), dominée par un D. Sutherland excellent de bout en bout. Un grand film à n'en pas douter, qui mérite plusieurs visions. D'autres critiques sur
    girondins59
    girondins59

    37 abonnés 490 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 novembre 2008
    Un budget largement dépassé, une ambiance loin d'être au beau fixe sur le plateau (notamment entre Federico Fellini, le réalisateur italien et son acteur principal, Donald Sutherland), une sortie houleuse teintée de scandale, tels sont les défis que rencontra le "Casanova" de Fellini. Le parcours de ce grand séducteur du XVIIIème siècle est ici abordé sous un angle fantasmagorique, surréaliste, et parfois, complètement barré. Cet univers aussi féérique que dantesque est constitué à l'aide de décors et de costumes démesurés et sublimes. Donald Sutherland, méconnaisable, excelle dans le rôle de Casanova en livrant une performance fiévreuse et passionée. De son côté, Fellini nous expose le parcours d'un homme précédé par sa réputation et voué à une déchéance sociale et sexuelle. Portée par l'une des meilleures compositions de Nino Rota, cette histoire emprunte à la fois au rêve et au cauchemar. Le film bénéficie en outre d'un humour versant dans l'excessif et dans l'absurde au cours de situations endiablées où Casanova fait face à des populations plus curieuses les unes que les autres. D'un autre côté, l'oeuvre de Fellini apporte une vision profondèment pessimiste du personnage, un homme voué à la nostalgie de Venise et à l'errement à travers le continent et, la vieillesse venant, obliger de recourir à des relations aussi sordides que douteuses. "Casanova" provoqua un choc lors de sa sortie dans les années 70. Encore aujourd'hui, le film fait office d'OVNI cinématographique. Mais ce qu'il faut retenir, c'est que Federico Fellini a réalisé un film tout simplement fou dont l'univers, le lyrisme et le désenchantement ambiant en laisseront plus d'un sur le carreau. Dommage, car l'expérience reste véritablement inoubliable et bouleversante.
    benoitparis
    benoitparis

    94 abonnés 1 277 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 décembre 2009
    « Casanova » F. Fellini

    Au bout du film, on a l’impression que pour Fellini la sexualité masculine et la civilisation du libertinage et des lumières sont l’une comme l’autre assimilables à la maya hindoue. La séduction est illusion et imposture, le sexe est mécanique et artifice, l’art est un fard sur du décati. Le maître de tout cela, Casanova, n’est rien d’autre qu’un aventurier carriériste et un baiseur de poupées. Le cinéma de Fellini nous met dans un espace onirique totalement personnel, hors de ce que le cinéma peut avoir d’industriel, de genre, mais avec un sens formidable de l’artifice. Le nihilisme est assez déconcertant, mais donne à penser.
    Trelkovsky
    Trelkovsky

    57 abonnés 264 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 février 2011
    Quand le grand Federico Fellini s'empare du personnage emblématique de Casanova ... voilà ce que ça donne. Le maestro laisse plus que jamais exploser son inventivité et son génie et nous raconte, à sa manière, la décadence du grand séducteur italien. Ici, tout touche à l'hyperbole, que ce soit dans les décors extravagants ou dans le jeu d'acteurs d'un comique terrible. Mais au final, tous ces artifices sont d'un goût bien amer. Le foisonnement d'extravagances artistiques du film ne font que ressortir le vide intérieur de son personnage central ; un personnage qui existe davantage par son titre et ses ridicules exploits que par lui-même. Le "Casanova" de Fellini, sous ses airs paillards, est un constat glacial et impitoyable sur une vie vouée à l'artificiel : à l'image de la société dans laquelle il erre, Casanova n'est qu'une âme vide de substance, plus proche de la bête de foire dont on vient admirer les numéros que d'un être humain. Oui, même les figures mythiques sont promises à la décadence, au dénigrement, voire à la déshumanisation (ce denier point n'est-il d'ailleurs pas l'essence d'un mythe - ne plus être un humain ?). Quoi qu'il en soit, on se rappellera longtemps de ce Casanova au final terriblement seul, dansant avec une femme de plastique, sur la musique sarcastique et désespérée de Nino Rota ...
    GabbaGabbaHey
    GabbaGabbaHey

    185 abonnés 1 583 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 septembre 2011
    Une véritable tuerie... Un film choc, une vraie bonne gifle provoquant une douleur étrangement agréable ! Cette évocation Fellinienne de la vie de "Casanova" est absolument brillante, c'est un film mouvementé, tordu, envoutant, sensuel, décalé... du vrai grand et beau Fellini ! Avec en ,plus l'immense Donald Sutherland dans un de ses meilleurs rôles. Un film surpuissant.
    VodkaMartini
    VodkaMartini

    40 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Le "Casanova" de Fellini est un film volontiers antipathique, le réalisateur ne cachant pas son mépris du personnage, en faisant un fat, aussi vain que ridicule. En somme, trés loin du sympathique libertin que l'on aime à se représenter (pour cela, allez voir du coté de Comencini), Fellini marque la différence fondamentale qui existe entre un "libre penseur" et un "penseur libre", l'hédonisme n'ayant que peu de crédit aux yeus du créateur épris de sens. On pourra trouver cela puritain, mais ce serait un contresens. Et surtout Fellini capte admirablement Venise (que j'adore, ne me méprenez-pas!), ce théatre sur l'eau, rêve plus que ville, à l'ambiance mortifère autant que dramatique (quiconque connait cette ville sait combien les clichés romantiques sont surfaits). La scène finale est admirable.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    128 abonnés 675 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 avril 2017
    Génial! Du grand, du très grand Fellini, qui retrouve l'espace de 2h30 une inspiration débridée digne de son «Satyricon»! Après la période néo-réaliste des débuts puis celle des chef-d'oeuvres absolus, vient cette 3ème période des longs métrages démesurés, bouillonnants de créativité. Certes ces derniers comportent quelques défauts et ont un peu plus vieilli que les opus précédents, mais force est de constater qu'ils ne sont pas en reste pour ce qui est de leur pertinence et surtout de leurs admirables qualités! Le «Casanova» de Fellini est donc volontairement outrancier, excessif, factice, mais surtout débordant d'énergie et de joie. Comme toujours chez Fellini, cette gaieté est contrebalancée par un désenchantement, une touchante mélancolie, et même un sombre désespoir. Profondément contrasté, tout comme son héros éponyme, trivial mais qui ne rêve que de finesse et de hauteur d'âme, «Casanova» marque avant tout par sa décadence, par son esthétique déliquescente, par ses personnages grotesques et dépravés. La vie de Casanova est pour un temps heureuse, et le Dom Juan italien, fier, court de conquête en conquête sans se pencher le moins du monde sur ses actes. Mais lorsque la vieillesse peu à peu le gagne, il perd de sa superbe et plus encore de sa bravoure, déjà toute relative. On pourrait discourir des heures durant sur la profondeur de ce long métrage, sur ce qu'il nous renvoie par le biais de ses personnages ou de ses dialogues, miroirs tendus au genre humain. On pourrait aussi évoquer la mise en scène unique et géniale du cinéaste, ce talent cinématographique sans pareil, ces décors magnifiques et surprenants, ou encore l'interprétation de Donald Sutherland, parfait dans son costume de séducteur décrépi... Je m'attarderai juste sur ces moments de poésir pure, où avec trois fois rien, de la fumée et des bâches en plastique, Fellini nous emmène avec lui dans ses rêves les plus fous, cette onirisme délirant qui lui sied si bien... Bravissimo caro Maestro! [4/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/
    Kubrick's Club
    Kubrick's Club

    36 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 janvier 2009
    Univers étrange dans lequel nous plonge Fellini. C'est parfois drôle, plus souvent ça nous laisse sceptique, car en voulant ridiculiser le séducteur vénitien, Fellini se ridiculise avant tout lui même par des décors grotesques et des scènes pour le moins bizarres.
    Henrico
    Henrico

    133 abonnés 1 268 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 juillet 2020
    Quelques lenteurs et lourdeurs ici et là... Mais peut on s'attacher à ces détails lorsqu'une oeuvre est aussi maîtrisée. Ce regard sarcastique et attendri de Fellini pour son personnage de Casanova dans une atmosphère alliant baroque, merveilleux, absurde, surréalisme et Commedia Del Arte, constitue l'analyse la plus subtile et la plus complexe jamais réalisée au cinéma et en littérature sur Casanova, l’homme de lettres raté, et sa légende, née de ses écrits de rêveur frustré. Carrément génial!
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    88 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 février 2020
    Je révisionnise si je dis qu’il était inévitable que Fellini touchât un jour à Casanova ? La folie des hommes, la débauche d’un monde, l’hypersexualité mondaine : après avoir déterminé avec Roma où se situait son opinion définitive de la Ville & dans Amarcord celle de la Famille, il n’était qu’une question de temps avant qu’il ne fît de même avec l’Homme à travers celui-ci qui l’est trop, dans une forme de triptyque à moitié “travail-famille-patrie” ultramature.

    Qu’on soit bien d’accord, j’ai presque autant abhorré son Casanova que son Satyricon. Les âmes maladives, figures quasi-mythologiques viciées qui se tortillent dans leurs tourments littéralement dantesques, ça n’a jamais été pour moi & ce n’est pas l’habitude fellinienne de concocter les doublages les plus abominables qui me réconciliera avec le concept (en plus, c’est difficile d’apprécier Sutherland sous ce maquillage sonore minable).

    Mais il y a du grotesque, aussi, & une certaine dissolution de son arrogance dans le peu de sérieux que le réalisateur accorde à sa propre œuvre : la mer ne cherche pas le moins du monde à cacher qu’elle est faite de sacs en plastique, & le médecin surgit à la demande, comme au théâtre où la bouffonnerie remplace la transition procédurale.

    Fellini devient Casanova peut-être plus que Sutherland lui-même, car les deux hommes ont en commun un caractère obsessionnel & de vouloir trouver le juste milieu entre poésie & vulgarité, à désirer devenir des êtres d’air, d’eau, de terre & de feu à la fois (quoique surtout de feu, hein), qui fassent naître l’inattendu du compromis.

    Mais Fellini me perd quand il cesse d’être élémentaire pour se faire élémental : des ellipses énormes, quoiqu’elles achèvent de rendre futiles toutes les femmes que le grand séducteur connaîtra (puisque c’est le but), hachent menu le personnage, lui faisant porter le fardeau d’une vie vide, entrecoupée de scènes supposément significatives en roue libre comme par des rêves érotiques qui ne collent pas ensemble.

    Heureusement, on est amené à réfléchir un peu sur la place du Casanova fellinien fornicateur & détaché, androgyne gentilhomme & amant méchant, emporté par la déliquescence de ses passions, laissé avec quelques souvenirs creux & le réflexe mécanique d’un onanisme désolant. C’est vraiment le moins que Fellini pouvait faire.

    → https://septiemeartetdemi.com/
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