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    Mes chers amis
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    29 critiques spectateurs

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    MOI TOI
    MOI TOI

    19 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 octobre 2023
    ennuyeux, pas d'histoires, des scénettes sans intérêt, noiret et Tognazzi avaient besoin d'argent pour tourner dans ce navet ?
    Pascal
    Pascal

    117 abonnés 1 385 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 juin 2022
    On sait que des les années 70 le cinéma italien n'était plus dans son époque la plus faste, même si d'excellents films sortirent à cette période.

    Ce n'est pas le cas de " mes chers amis" qui, malgré son réalisateur talentueux, sa distribution internationale, son succès public est une déception lorsqu'on le revoit aujourd'hui.

    Si Jean Tulard dans son dictionnaire des cinéastes qualifiait Mario Monicelli comme le cinéaste le plus drôle du cinéma italien ( en tout cas, il est sans conteste l'un d'entre eux), cet opus est très loin d'être une réussite.

    Beaucoup trop de manque de rythme, de gags pas franchement au point ( à l'exclusion toutefois de ceux de la dernière demi-heure qui semblent avoir inspiré les futurs auteurs du " diner de con").

    On retiendra les difficultés des personnages à comprendre les femmes et la description sans filtre des tréfonds des penchants archaïques
    ( voire caricaturaux) du sexe masculin.

    Pietro Germi qui était très malade, lors de la rédaction du scénario, au point qu'il ne put le tourner en confia la tâche à Monicelli.

    Il faut ainsi voir ce film comme un adieu à la vie et au cinéma du récipiendaire de la palme d'or avec " ces messieurs dames ( le personnage incarné par Philippe Noiret est sans doute un clin d'oeil que se fait Germi à lui-même).

    Les amateurs de l'univers du cinéaste se tourneront avec plus de plaisir vers ses réalisations de la précédente décennie. "Chers amis" n'est en aucun cas un opus de Monicelli qui rend justice à son talent, ni d'ailleurs à celui de Germi.
    Nicolas S
    Nicolas S

    38 abonnés 511 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 septembre 2019
    Profondément ancré dans don époque, les années 70, 'Amici miei' a généralement assez mal vieilli. Son aspect libertaire ou subversif est la plupart du temps neutralisé par des gags assez désolants. On rit quand même, un peu, et si la conclusion est mal amenée, on se prend toutefois à la trouver assez émouvante.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    88 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 décembre 2018
    Les délires à l'italienne sont inimitables et maintenant bien enterrés dans leur tombe du temps qui passe. C'est une délectation que de découvrir ce que le mot "blague" n'est pas encore trop daté pour désigner : pas du vaudeville, pas des jeux de mots, juste des gags qu'on doit enfiler au plus vite pour divertir le spectateur. Et l'inconvénient de Mes chers amis, c'est qu'ils ne sont pas vraiment ceux du spectateur. Il y a quelque chose d'inévitablement assommant à regarder courir ces quatre ou cinq hommes dans toutes les directions de leurs fantasmes enfantins. On retombe sur nos pattes quand la conciliation de ces derniers avec la vie réelle intervient, mais l'aspect �farce continue� tue un peu l'idée dans l'œuf ; le scénario ne voit pas plus loin que le sketch suivant. C'est drôle, mais on finit par s'attendre à ne plus rien vouloir attendre. Au final, c'est la confusion induite par le flash back qui contribue à rendre les choses peu claires.

    septiemeartetdemi.com
    Estonius
    Estonius

    2 448 abonnés 5 218 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 février 2016
    Du bon et du moins bon, le début est lourd avec l'agent de la circulation, puis l'interminable et médiocre scène de l'hôpital. Certaines des blagues sont stupides, aller gifler des gens aux fenêtres des trains, on verrait des gosses faire ça on crierait au scandale, mais là ce sont des acteurs d'un film italien, on crie au miracle, faudrait qu'on m'explique. Et foutre la trouille à un village entier en faisant croire qu'une autoroute va passer par là, qu'est-ce que c'est tordant. L'humour bête et méchant je veux bien, mais n'est pas Hara-Kiri qui veut ! Heureusement le film prend une autre dimension avec l'arrivé de Bernard Blier qui donne une toute autre profondeur au film, mais l'ensemble reste bien moyen.
    soulman
    soulman

    67 abonnés 1 151 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 janvier 2016
    Un des fleurons de la comédie à l'italienne, doté - hélas - d'une post-synchro calamiteuse (où Noiret et Blier sont doublés de surcroit par d'autres comédiens). A la fois cruelle et tendre, cette œuvre ne caresse jamais dans le sens du poil et ose exprimer l'aspect sombre et potache qui subsiste dans chaque adulte (vanité, veulerie, égoïsme) au sein d'un groupe d'amis sans séduction aucune.
    La fin est aussi belle qu'inattendue, soulignant le côté éphémère de l'existence et donnant raison aux protagonistes, éternels "tziganes" désireux de vivre toutes leurs envies, fussent-elles bassement infantiles.
    Prad12
    Prad12

    77 abonnés 1 085 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2015
    Pas le meilleur film de l'immense vague de la comédie italienne, plutôt son ressac amer et désenchanté......... reste sur la gréve, Noiret et Tognazzi, comme toujours superbes et quelques dialogues d'un cynisme avéré......
    nikolazh
    nikolazh

    52 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 septembre 2014
    Si on arrive à passer outre le dérangement dû à une très mauvaise VO où Philippe Noiret a été doublé par un acteur italien n'ayant pas du tout le même timbre de voix (ce qui n'aide pas à l'immersion), on pourra s'amuser de ce film gentiment provocateur typique des années 70 avec un ton relativement trivial, et gros succès ciné de l’époque en Italie, qui donnera lieu à deux autres épisodes. Mais on s'ennuiera aussi beaucoup, tant le scénario, décousu, tire en longueur bon nombres de scènes, si bien que le film finit par ressembler plus à une suite de sketchs pas très drôles qu'a une histoire homogène. Forcément, on ne peut s’empêcher de la comparer à un autre film du même style sortit à la même période, "Un éléphant ça trompe énormément" et force est de constater qu'il fait pale figure.On ne s'attache malheureusement guère aux personnages assez disparates et on a du mal à trouver crédible leur amitié. Bref, il y a de très bons gags, mais trop d'a peu prêt pour en faire une comédie efficace, sans compter de nombreuses incursions scatologique des plus lourdes. Bof.
    Jahro
    Jahro

    43 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mai 2014
    Ancêtre du film de potes, Mes chers amis raconte une bande de quinqua qui n’ont jamais grandi. Au grand dam de leurs femmes, ils parcourent les rues de Florence en multipliant farces, canulars et autres entourloupes de la Comedia dell’arte. Ils sont vulgaires, intensément culottés, prônent l’impasse de la vie conjugale et préfèrent entuber leur prochain à grands coups de défis saugrenus. Ils sont des stéréotypes du Rital : bruyants, hâbleurs, charmeurs, frimeurs, extravagants. Et tandis qu’ils enfilent allegro (e troppo) les quatre cents coups, leur famille se délite, leurs enfants s’échappent, leur argent s’envole, leur carrière est inexistante. A lire les plus éclairées des critiques, il semble que tout ça doive se prendre de travers, comme un constat amer du ratage de cinq pitres enfermés dans l’adolescence. On en voit pourtant peu les symptômes. Jamais nos lurons ne semblent regretter, jamais l’échec de leurs existences ne parait les toucher. Qu’en pensent les millions de transalpins qui se sont rués dans les salles ? Il faudra leur demander. Dans l’attente on profite d’un quintet sympathique ; lourd, bavard, excessif, assommant mais sympathique. Et qui plus est, jamais avare en idées. L’archétype du mauvais exemple ?
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 2 janvier 2014
    En regardant pour la première fois "Mes chers amis", j'ai pu être à la fois ravi de ce film racontant les pitreries de cinq quadragénaires ayant gardé leur âme d'enfant, comme déçu. Techniquement parlant, le réalisateur Mario Monicelli, ne possède pas de grands défauts, si ce n'est quelques jumps cuts qui viennent quelques fois surprendre l'œil avisé du spectateur. Mis à part ça, la photographie est bonne et instaure dès les premières minutes une ambiance mêlant la gravité de la vie aux farces et attrapes organisés par les cinq amis. Grand succès en Italie en 1975 (le film donna d'ailleurs même lieu à deux suites), "Mes chers amis" mélange le côté "grande comédie italienne" avec le côté "grand bâclage italien". A croire que Monicelli ne maîtrisait pas la totalité de son film. Ainsi, l'on passe de moments excellents, ou la comédie grave et le comique de situation fonctionnent parfaitement bien, à d'autres moments plutôt plats et sans réelle saveur, sans réelle ambition. A croire qu'entre ces moments réussis, Monicelli se contentait de faire du simple remplissage, afin d'apporter à son film la durée souhaitée par les producteurs. L'on passe de l'excitation devant les multiples blagues faites par les cinq potes, à la déception en voyant ces derniers venir et partir dans leur ville, sans réel but, à fricoter avec les putes et autres personnages "underground". A croire que l'inspiration n'était pas toujours de la partie, Monicelli tombant parfois dans un aspect vulgaire simple, qui ennuie plus qu'il ne fait rire. "Mes chers amis" fonctionne comme une montagne russe. On commence par une présentation du narrateur, Giorgio (Philippe Noiret) plutôt plate et sans grand intérêt, avant de monter vers les summums de l'excellence dans le domaine de la comédie (voire l'hilarante séquence de l'hôpital). Malheureusement, le film retombe dans les travers du début puis alterne entre séquences formidables et d'autres, banales. Dommage car "Mes chers amis", si il était resté constant du début à la fin, aurait pu être une savoureuse comédie italienne, déjantée comme il faut. Hélas, le scénario emprunte des chemins tortueux et inutiles, ce qui vaut au film un statut d'œuvre inégale.
    ferdinand
    ferdinand

    12 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 août 2013
    C'est d'une méchanceté et d'une drôlerie irrésistible. Avec la touche d'amertume et de tristesse qui donne une dimension aux pitreries lamentables et réjouissantes de ces vieux copains. Blier en crétin absolu est grandiose! Le plaisir des acteurs est communicatif.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 908 abonnés 12 156 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juillet 2013
    C'est un film qui joue constamment sur la nostalgie, voir la tristesse, dans une composante de mort qui tenait à coeur le rèalisateur Pietro Germi! Ce ton, cette humanitè, ce sourire un peu douloureux, il y a un peu de tout ça dans "Amici miei" que Germi prèpara avant de mourir et qui fut tournè par le grand Mario Monicelli! On y voit cinq amis quadragènaires traverser la vie et ses pires moments en s'obstinant à la tourner en farce, à en souligner la dèrision en se livrant à des plaisanteries de collègiens telle la scène d'anthologie des baffes infligèes aux passagers d'un train se penchant à la fenêtre au moment de partir! Evoquant les "Vitelloni" de Federico Fellini près de vingt ans après, ainsi que le quatuor de "La grande bouffe" de Marco Ferreri, ces adultes qui refusent de vieillir sont vraiment à l'image de cette comèdie quotidienne et dramatique qu'est la vie même et qui effectue naturellement et en permanence le mèlange des genres! Les acteurs sont excellents mais c'est Philippe Noiret qui se dètache dans une oeuvre sans sentimentalisme qui met en scène une humanitè très âpre! S'enfermer tout seul en quatre murs après une nuit au travail ne l'attire pas du tout! Pouvoir rire ou bavarder, c'est ce qui intèresse avant tout Giorgio Perozzi! Certes, il y a de l'amitiè dans "Amici miei" mais cette dernière ne sert qu'à rèunir des hommes qui veulent s'amuser ensemble! ils sont tsiganes avant-tout, sans but ni programme! Amis d'ècole et de caserne, donc amis depuis toujours! A noter la magnifique musique de Carlo Rustichelli qui ajoute vraiment un plus aux folles èquipèes de ces amis quadragènaires...
    AMCHI
    AMCHI

    5 014 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 juillet 2013
    Avant de le voir j'avais vaguement attendu parler de Mes chers amis et je dois dire que les histories d'amitié masculine du genre vieux potes qui veulent encore déconner n'ont jamais été ma tasse de thé mais ce film date des années 70, c'est italien, c'est cynique et Philippe Poiret joue dedans. Au tout début du film j'ai plutôt apprécié Mes chers amis mais finalement je ne suis pas parvenu à trouver mon plaisir car tout simplement l'histoire ne m'a du tout intéressé, j'ai trouvé ça longuet pour raconter peu de choses. Pas de véritable intrigue ni de véritable ambiance mais les acteurs sont bons. Il existe une suite mais ce sera sans moi.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 004 abonnés 4 088 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juillet 2013
    « Mes chers amis » se situe dans la queue de comète de la comédie à l’italienne. Les réalisateurs ayant vielli, la fraîcheur naïve des débuts a peu à peu laissé place à une désillusion et un pessimisme qui teintent une grande partie de leur film. Ce sont dès lors « Parfum de femme » ou « Le dernier amour » chez Risi ou « Nous nous sommes tant aimés » chez Scola. La peur du vieillissement et de la mort ont profondément changé tous ces petits maîtres qui le temps d’une longue décennie ont bousculé le cinéma de leur pays. On rit certes dans «Mes chers amis » mais on rit le plus souvent jaune. Le film était au départ prévu pour Pietro Germi qui mourant a demandé à son ami de le remplacer. Les vitelloni de Fellini ont pris vingt ans mais ils ont toujours autant de mal à assumer leur statut d’adultes. Dans l’intervalle ces grands dadets ont pris le temps d'infliger leur insouciance à femmes et enfants qui doivent vivre au gré de leurs fantaisies qui relèvent le plus souvent d’un comique troupier parfois à la limite du graveleux ou pire de la cruauté. Monicelli est sans pitié avec ses héros notamment avec Lello Mascetti (Ugo Tognazzi) personnage veule et sans aucune consistance qui ne semble être capable de rien d’autre que de courir le jupon et vivre aux crochets de ses camarades. Nos quatre larrons sont bientôt rejoints par Aldo Celfi, le médecin qui a eu en charge la joyeuse bande lors d’un séjour dévastateur à l’hôpital suite à une de leurs mésaventures. Par le truchement du personnage joué par le trop méconnu Gastone Moschin est mis en avant l’immaturité affective de cette génération d’hommes qui entendent rester toute leur vie des « ragazzi » au détriment bien sûr de celles et ceux qu’ils ont entraîné avec eux pour faire comme tout le monde lors d’un moment d’oubli. Avec son fameux diptyque (« Un éléphant ça trompe énormément » et « Nous irons tous au paradis » Yves Robert a donné presque à la suite sa version française de « Mes chers amis » mais le regard qu’il porte sur ses adolescents attardés est plus bienveillant que celui ce Monicelli. Rochefort, Brasseur, Bedos et Lanoux sont en quête de leur équilibre sentimental et sont remplis de scrupules ou de remords après chacune de leurs incartades. Rien de tout ça chez Monicelli, la force du groupe et l’envie de s’amuser emportent tout et se révèlent finalement presque destructrices pour les destins individuels de ses membres au contraire de chez Robert et Dabadie où chacun aide l’autre à préserver sa structure familiale par-delà les avanies de la vie. L’œil acéré des réalisateurs de la comédie italienne est beaucoup plus féroce et sans illusion sur l’âme humaine. N’oublions pas que c’est en Italie qu’est né le néo-réalisme et que Monicelli en est un des héritiers. La deuxième partie du film prend un tour carrément comique mais aussi très cruel avec l’apparition de Bernard Blier, pauvre zig devenu le jouet de cinq idiots qui n’ont plus de limites. Là encore Monicelli fait étalage de toute sa lucidité n’omettant pas la tendance naturelle des groupes constitués à faire souffrir ceux qu’ils ont d’abord rejetés. Le tour de force de Monicelli est admirable, on souffre pour le pauvre Blier tout en se tordant de rire face à l’imagination débridée de ses « tortionnaires ». Le seul reproche a faire à cette violente pochade tient au doublage de Noiret et Blier qu’il est bien difficile pour des spectateurs français de ne pas entendre avec leurs timbres originels si particuliers.
    Plume231
    Plume231

    3 464 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juillet 2013
    Dommage que la post-synchronisation soit il faut bien le dire assez médiocre car ce film propose un mélange rare et réjouissant : le ton sarcastique cynique de Pietro Germi, à l'origine du projet, et celui tout aussi sarcastique mais nettement plus tendre de Mario Monicelli, qui est à la réalisation. Ce cocktail détonnant peut se faire uniquement passer pour une farce très drôle certes (les baffes sur le quai sont énormes !!!) mais une farce tout de même, jusqu'à quand à la fin on a encore la preuve que la drame et la réalité ne sont jamais loin du rire et que tout ce qu'on a vu était nettement plus profond que ce que l'on pourrait imaginer ; les italiens sont (étaient ???) imbattables pour montrer ça, si vous en doutez voyez ce film...
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