Avis : The Crow : la Cité des Anges - Page 2

Bon film de genre mais plustôt décevant lorsqu'on le compare au premier.

Une suite complètement ratée et sans intérêt, dans laquelle Vincent Perez n'a pas du tout à sa place.

une véritable nulitée!

Incroyable toute cette pellicule qui peut être gâchée. Je me demande toujours où les réalisateurs trouvent de l'argent pour filmer ce type de délire issus des pétards qu'ils semblent avoir fumé.
C'est mauvais au possible !
0,5 car on ne peu donner moins.

Mouais Etant fan du 1er, celui-ci se laisse regarder, l'univers est toujours aussi dark mais à part ça, vraiment moyen et pas très recherché.

C’est ce qui s’appelle une très mauvaise suite. La cité des anges est un film de vengeance lambda assez laid et aux scènes d’action pataudes. Je ne suis pas un grand amateur du look gothique, mais il est ici caricaturé de bien vilaine manière. J’ai trouvé ce film désincarné là où le premier film de Proyas faisait preuve d’une sacré personnalité qui lui permettait de passer outre ses défauts. La on ne voit justement que les défauts et bon sang ils sont nombreux.

Film que j'avais découvert au cinéma à sa sortie en salles en 1996 (mon adolescence) et que je viens de le revoir après tant d'années à la télévision, l'original est une oeuvre qui m'avait marqué, le meilleur role de Brandon Lee qui décèdera sur le tournage dans les mèmes circonstances que son père Bruce Lee. La suite reprend les thèmes de son prédécesseur, un homme nommé Ash est sauvagement assassiné avec son fils et ressurgit un soir d'Halloween par un corbeau dans un lieu sinistre et violent pour se faire justice de trouver et tuer les criminels. La mise en scène est dirigé par Tim Pope qui vient du milieu du clip et je trouve qu'il s'en sort pas trop mal coté réalisation, il y a un univers glauque et virtuose. Bon, c'est la mème histoire que l'original, les dialogues sont vulgaires, mais c'est pas ridicule. C'est aussi le premier role Américain de Vincent Pérez à l'époque qui a la lourde tache d'enfiler le costume de celui de Brandon Lee et je trouve qu'il s'en sort pas trop mal, il amène un coté sauvage et poétique à son personnage. Mia Kirshner amène de la douceur dans ce monde de brutes et dans les méchants , on note l'une des rares apparitions de Iggy "l'iguane" Pop pas mal dans son role.

Cette fausse suite de "The Crow", réalisée cette fois par Tim Pope et sortie en 1996, est mauvaise, tout simplement. Fausse suite en effet car nous ne sommes pas dans la continuité de l'histoire du premier film, qui se suffisait d'ailleurs très bien à lui-même, mais dans une sorte d'histoire parallèle dans laquelle nous suivons Ashe, revenu des morts afin de venger son fils.Le scénario est cette fois écrit par David S. Goyer et n'est pas l'adaptation d'un comics de James O'Barr (le seul publié sous le même nom a été adapté du scénario du film). Ce n'est pas que l'histoire de cette suite soit inintéressante, c'est qu'elle soit tout simplement calquée sur le premier film, l'histoire d'amour en moins. Nous sommes en effet ici dans une pâle copie du premier film, qui tente désespéramment d’imiter son style sans jamais vraiment y parvenir, et nous sommes dans une histoire de vengeance très classique. Tous les personnages sont calqués sur ceux du premier film, que ce soit en ce qui concerne le héros ou les antagonistes, et nous retrouvons même une jeune fille que le héros prend vaguement sous son aile à un moment donné. Il n'y a donc rien de vraiment original et l'histoire est de plus très prévisible étant donné qu'elle reprend l'intrigue du premier film. Ainsi, en voulant trop se rapprocher de son prédécesseur (ce qui n'était apparemment pourtant pas l'intention de départ puisque nous sommes dans une sorte d'univers parallèle, ce qui aurait pu donner quelque chose de très intéressant), le film se confond dans une sorte de copie version lowcost, ce qui est très dommage ! Pourtant, l'univers visuel est loin d'être dénué d'intérêt, on retrouve aux commandes un réalisateur habitué à ce style un peu sombre et gothique (notamment au travers de ses clips pour "The Cure") et la mise en scène nous offre de très beaux plans et surtout une ambiance assez prenante, crasseuse et glauque. Cependant, on retrouve aussi quelques fois un côté un peu clipesque, qui nous sort du film. En ce qui concerne les acteurs, nous retiendrons particulièrement Vincent Perez qui endosse bien le personnage et puis Iggy Pop dans le rôle d'un des principaux antagonistes. "The Crow : La Cité des anges" est donc une suite qui n'apporte rien, ni au premier film, ni à l'univers général de la franchise.

un peu rate se film se regarde mai ne vaut pas se lui de proyas

Il est dommage de porter atteinte à The Crow en se servant de son succès pour en faire une horrible copie... Encore une espèce de sorcière, même type de méchants cinglés, encore une gamine qui traine dans les rues, etc, vraiment un décalquage du 1, mais en vraiment moins bien !
Brandon Lee était tellement plus charismatique...
Halala, faire du profil pousse au plagiat des grandes oeuvres cinématographique, et c'est bien dommage...

Tim Pope, rèalisateur des clips de David Bowie et des Cure, livre la suite inutile du film culte d'Alex Proyas, inspirè d'une cèlèbre BD! Vincent Perez, hèros d'outre-tombe à cent mille lieues de Brando Lee, tue ses assassins les uns après les autres dans un dècor de citè en flammes et de cathèdrales dèvastèe inutilement sombres et manièrès! L'acteur adopte tant bien que mal le look androgyne, sensuel d'Ashe, l'archange dèchu qui flirte avec la mort! Dans ce conte de fèes en enfer, une galerie de malfrats percès et tatouès comme Iggy Pop s'agite frènètiquement sur une bande son rock saturèe de violence baroque! Une suite mèdiocre...

Parfait exemple d'une absence totale d'imagination. On a l'impression de revoir le premier volet de la série en beaucoup moins bien. Aucun suspense, tout est tristement prévisible. Quant aux allusions pseudo-intellectuelles à Charon et la Sybille, il s'agit plus d'une faute de goût que d'une fine référence à l'Antiquité. Seul point positif que l'on puisse relever, l'esthétique et l'ambiance. Vous avouerez quand même que c'est assez léger pour donner un réel intérêt au film. Le fait qu'un acteur français tienne le rôle principal ne change rien, une bouse est une bouse.

The Crow : La Cité des Anges me laisse un goût d'inachevé. D'un point de vu graphique, visuel, est d'une noirceur parfaite. Une impression de baigner dans un comics. La musique est réussite même si inférieur au précédent. La réalisation n'est pas extraordinaire mais n'est pas non plus ridicule. Vincent Pérez quant à lui est aussi inachevé que le film. Son jeu dans la noirceur est parfaite mais lorsqu'il dois exprimer autrement il est dans la surenchère. L'histoire était bien partie est annoncé de bonne chose, mais David S. Goyer est partie dans la surenchère et donne ainsi des séquences très ridicules (le passage dans le centre porno par exemple ou les séquences sado). Mais la plus grande erreur a été de donné un guide à Ash, là où la simple présence du corbeau doit suffire a guidé son âme pour la mener à la vengeance. Les dialogues sont très ridicules. Les méchants le sont encore plus, même si Iggy Pop s'en sort pas trop mal. Dommage, il y avait de très bonnes idées mais pas du tout exploité. Résultat, un film sans âme et sans passion. Une bonne déception.

Sans pourtant autant surpasser le chef-d'œuvre d'Alex Proyas, The Crow 2 reste un film convenable et surtout distrayant, le célèbre clippeur Tim Pope arrivant à proposer une série B des plus esthétiques. Dans le rôle principal, Vincent Perez succède plutôt bien au regretté Brandon Lee, le charme en moins mais la folie en plus, l'acteur devenant assez étonnant dans ce rôle de père effondré par la perte de son fils, prêt à tout pour accomplir sa sanglante vengeance. Les 'bad guys' sont plus désormais extrêmement machiavéliques et plus vicieux, en particulier Iggy Pop, qui incarne ici un psychopathe des plus délurés (il fut pour information en premier lieu contacté pour interpréter le méchant du premier film). Bien que le côté comic book se fait nettement sentir au niveau du scénario, ce dernier étant une sorte d'amalgame d'un épisode de Batman, nous plongeons avec plaisir dans cette intrigue dérangeante bien écrite et intéressante... Oubliant le côté gothique appuyé du film de Proyas, cette séquelle joue la carte d'une atmosphère glauque, plus lourde et plus cruelle, où la violence et les scènes gore deviennent omniprésentes. Cette différence majeure de ton transforme le long-métrage non pas en une réelle suite à part entière mais plutôt comme une mésaventure parallèle finalement bienvenue. En somme, un film certes inférieur à son prédécesseur mais néanmoins réussi.

Tout cela etait il vraiment necessaire?