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    Portrait d'une enfant déchue
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    chrischambers86
    chrischambers86

    11 968 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2016
    Le metteur en scène Jerry Schatzberg a souvent choisi ses hèros parmi les dèclassès : couple de droguès dans "The Panic in Needle Park", clochards à la dèrive dans "Scarecrow", voleuse dans "Sweet Revenge" et nèvrosèe en quête d'identitè dans ce très èmouvant "Puzzle of a Downfall Child", le premier long-mètrage de Schatzberg qu'il rèalise en 1970, alors que la critique amèricaine n'avait pas du tout aimè la chose! Mais petit à petit, ce film moderne montè comme un puzzle a pris une sorte de petite rèputation grâce à la critique française! Vieillie, malade, perdue dans ses pensèes, Faye Dunaway livre une prestation remarquable! C'est difficile de parler de cette oeuvre brûlante, extrêmement singulière, d'une vulnèrabilitè coupante où la mise en scène de Schatzberg se veut passionnelle même si elle peut paraître superficiellement distante! De cette plage vide à l'hôpital psychiatrique, "Puzzle of a Downfall Child" va en profondeur dans la psychè et dans la complexitè du personnage de Lou Andreas et rejoint par la même occasion certains aspects de la personnalitè de Faye Dunaway qui aurait mèritè pour ce rôle un Oscar! Le montage est intèressant, tout en restant cohèrent avec le reste du mètrage! La construction de l'oeuvre est très èlaborèe à la diffèrence de la plupart des films amèricains ou europèens! Une complexitè que l'on retrouve surtout dans la bande son qui joue un rôle central car elle permet de localiser les protagonistes! On diffèrencie ce que l'on voit du lieu où ils sont vraiment! Mèfiez vous quand-même de vos paresses mentales, de vos prèjugès, etc...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 octobre 2011
    Il est intéressant de préciser que le réalisateur fut l'amie de ce célèbre mannequin, et qu'il a lui-même recueilli ses confidences, dans l'intimité de longues séances introspectives qu'il coucha sur bandes avant de lesz confier à une scénariste, Carole Eastman (qui utilisa là un pseudonyme masculin, Adrian Joyce).

    L'ayant vu dernièrement dans le cadre du festival Lumière à Lyon, je peux dire que j'ai aimé ce film (inédit en DVD), malgré ce qui pourrait le rendre, sinon antipathique, du moins légèrement agaçant.
    En effet, le vrai problème avec ce "Portrait d'une enfant déchue", réalisé quatre ans avant "Une femme sous influence", le film choc de John Cassavetes, c'est qu'il n'a ni la force de ce dernier, qui possédait en outre une héroïne (incarnée avec une puissance rare par Gena Rowland), certes dramatiquement névrosée, mais attachante, à la vulnérabilité poignante.

    Si la folie qui gagne les deux héroïnes pertubées des deux films respectifs, le personnage (Emily alias Lou Andreas Sand, un nom hybride entre ceux de deux femmes fascinantes qui ensorcelèrent nombre d'hommes prestigieux : Lou Andreas-Salomé et George Sand) incarné - magnifiquement - par Faye Denaway (qui est de tous les plans) dans ce premier film de Jerry Schatzberg ne nous communique pas, je crois, cette empathie immédiate que l'on pouvait ressentir devant le chef d'oeuvre de Cassavetes. Pire, on se demande même, devant la déliquescence psychique de cette femme-enfant (j'avoue qu'elles ont le dont de m'irriter) "déchue", pourquoi en arrive-t-elle à se mettre dans les situations délétères qui la mineront toujours plus.
    Je ne me le suis jamais demandé face à la démence progressive de cette tragique "femme sous influence", dont la maladie, si ses causes nous échappent (forcément ?), ne nous rend pas moins capable d'élans protecteurs et d'accès de compassion sincère et dérisoire.

    Sinon, comme on pouvait s'en douter avec l'ex-photographe de mode, le film de Schatzberg est absolument sublime formellement parlant, très esthétisant ; mais aussi très statique (tropisme de la photographie, média figé par excellence), ce qui fut d'ailleurs reproché au film lors sa sortie initiale, en 1970.

    J'espère vous avoir tout de même donné envie de le voir, car ce film, s'il n'est pas le "chef d'oeuvre" annoncé (un écueil hélas récurrent avec les films rares, restés trop longtemps invisibles, et qui deviennent ainsi l'objet d'un culte, d'un mythe trop écrasant), mérite franchement d'être vu, sensible et suffisamment puissant qu'il est.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 008 abonnés 4 091 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 février 2022
    La très courte filmographie de Jerry Schatzberg, photographe de mode renommé des années 60, se résume globalement à une trilogie tournée sur une période de 2 ans qui lui amènera la consécration à Cannes en 1973 avec la Palme d’or pour “L’épouvantail”, road movie sur fond de misère sociale avec Al Pacino et Gene Hackman. Pour son premier film il se tourne tout naturellement vers le milieu qu’il connaît le mieux, celui de la mode. Sur le ton très particulier d’une confession intime en vue d’un film documentaire dont il pourrait lui-même être l’auteur, il s’intéresse au parcours d’un mannequin célèbre passé rapidement de la gloire à la déchéance. Un parcours que doivent sans aucun doute affronter beaucoup de celles qui auront choisi d’accéder à la gloire en faisant de leur corps leur unique moyen d’expression et devenues les jouets d’affairistes qui n’ont pas plus d’attention pour elles que le maquignon vendant ses bêtes sur une place de marché. Jerry Schatzberg a la bonne idée de confier le rôle de Lou Andreas Sand, inspiré de la vie d’Ann Saint Marie, à Faye Dunaway qui est alors en pleine ascension après “Bonnie and Clyde” et “L’affaire Thomas Crown”. Ancienne conquête du réalisateur, l’actrice se livre complètement face à la caméra et parvient ainsi à rendre une vision très juste des tourments qui assaillent le jeune mannequin, sans doute occasionnés par une sexualité précoce qui l’a amené à être abusée par un homme nettement plus âgé. Les craintes de Lou se mêlent à ses fantasmes qui finissent par l’éloigner progressivement de la réalité au point que l’on ne sait plus très bien distinguer le vrai du faux parmi ses souvenirs livrés sans retenue. Vite remplacée et plus maîtresse de son destin, elle termine son parcours dans un bungalow isolé d’une plage de la côte Ouest. Schatzberg qui connaît mieux que quiconque cet univers impitoyable nous démontre de manière crue qu’il vaut mieux être parfaitement structurée et entourée pour se frayer un chemin sans heurt dans ce milieu fait par essence de strass et de paillettes. Faye Dunaway magnifiquement filmée occupe tout l’écran, laissant peu de place à ses partenaires Barry Primus et Roy Scheider.
    brunocinoche
    brunocinoche

    69 abonnés 1 072 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2011
    Un film qu ifait date, premier film de Jerry Schatzberg à qui l'on doit le superbe "épouvantail" et peut-être le plsu beau rôle de Faye Dunaway, à la fois fragile et magnifique.
    Caine78
    Caine78

    6 015 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2013
    Un peu oublié aujourd'hui et souvent raillé pour avoir longtemps travaillé dans la mode avant sa carrière cinématographique, Jerry Schatzberg était un talent à l'état pur, et ce mépris on ne peut plus déplacé. Alors que cette histoire de star déchue pourrait être des plus classiques voire superficielle, le réalisateur transcende son récit en nous offrant une narration éclatée particulièrement innovante et ô combien surprenante, si bien que notre plongée dans cet univers étrange est totale du début à la fin. Le pari était pourtant risqué : ces allers-retours dans l'esprit perturbé d'une ancienne top-model aurait rapidement pu tourner à l'indigestion : ce n'est jamais le cas. Au contraire, les souvenirs sont tellement bien choisis, « cohérents dans leur incohérence », que le puzzle est immédiatement fascinant à reconstituer, la relation entre Lou Andreas et Aaron, ponctuant le récit, s'avérant en parfait équilibre avec les (très) nombreux flashbacks. Schatzberg n'oublie pas pour autant de nous offrir une œuvre visuellement très belle, mais surtout un portrait de femme absolument inoubliable, tourmentée et infiniment subtil, auquel la magnifique Faye Dunaway (rarement aussi bien filmée) apporte une complexité, une émotion, une grâce rarissime, signant assurément l'une des plus belles prestations des années 70. Bref, longtemps mal-aimé, « Portrait d'une enfant déchue » est un film à (re)découvrir d'urgence, et assurément un des très grands moments de cinéma que j'ai pu connaître cette année.
    Parkko
    Parkko

    134 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 novembre 2012
    Après "A la recherche de Garbo" que je ne pensais jamais voir et finalement diffusé dans "mon" cinéma, j'ai finalement trouvé le DVD de "Portrait d'une enfant déchue", autre film que je désespérais de voir, à la médiathèque. Ca me fait toujours plaisir cette idée de découvrir un film quasiment inconnu, comme s'il s'agissait d'une pépite oubliée. Bon, malheureusement Portrait d'une enfant déchue est un bon film mais qui ne m'a pas complètement emballé. En tout cas, pour un premier film Jerry Schatzberg propose quelque chose de vraiment intéressant, que ça soit dans son propos (j'aime ce portrait de femme alors que nous ne sommes qu'en 1972), dans sa forme (on sent qu'il a été photographe) et porté par une magnifique Faye Dunaway. Mais le problème c'est que pour ma part ça ne prend jamais vraiment. Il y a pourtant un vrai travail artistique, sur la lumière, sur l'esthétique de façon général, mais son propos, intéressant au début finit par lasser quelque peu. On voit assez vite où tout cela nous mène, on a un peu l'impression de tourner en rond par moment. Mais pour un premier film, Portrait d'une enfant déchue est vraiment pas mal du tout, l'oeuvre reste en effet de qualité, même si je n'ai pas complètement accroché.
    DarioFulci
    DarioFulci

    83 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 septembre 2012
    Splendide histoire d'une déchéance dans un univers égoïste. Une star éphémère avalée puis oubliée, confrontée à ses regrets et sa solitude. Faye Dunaway brille de mille feux dans chaque scènes où elle apparaît. Sa beauté, sa froideur d'étoile du moment, puis sa tristesse subjugue. Elle était véritablement une grande actrice. La mise en scène de Jerry Schatzberg fait preuve d'une grande modernité pour l'époque. Le récit fonctionne par flashbacks entre le passé et le présent, la gloire et la réclusion. Un procédé multi-utilisé de nos jours, que Schatzberg utilise parfaitement et qui dénote pour un film du début des années 70. Le sujet peut facilement tomber dans un gouffre de sentiments faciles mais il évite les pièges du pathos. Excellent.
    annereporter94
    annereporter94

    47 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2011
    Un film où l'omniprésence de Faye Dunaway est absolument étonnante. L'actrice irradie qu'elle y soit triste, heureuse, saoule, droguée ou amoureuse. Elle est de tous les plans et c'est magnifique!
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    225 abonnés 1 597 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 novembre 2013
    C'est le premier film de Jerry Schatzberg qui fut photographe de mode et réalisateur de pubs TV avant de tenter l'aventure du grand écran. Plus connus sont ses deux films suivants, Panique à Needle Park (1971) et L'Épouvantail (Palme d'or en 1973). Ce début de carrière en trois tableaux a révélé un cinéaste sur un terrain où l'on ne l'attendait pas forcément. Celui de la réalité, sans glamour, sans artifice. L'Épouvantail présente deux vagabonds paumés, Panique à Needle Park sonde l'univers de la drogue et des drogués, tandis que Portrait d'une enfant déchue focalise sur la décadence d'une cover-girl après une période de strass et de paillettes. Bref, c'est l'envers du rêve américain que Jerry Schatzberg veut montrer en faisant ses armes dans le septième art.
    Pour ce film, le réalisateur a procédé en quelque sorte à une mise en abyme. C'est un peu lui que l'on retrouve dans la position du personnage d'Aaron Reinhardt, interrogeant son amie mannequin pour réaliser un film. Jerry Schatzberg s'est en effet inspiré des souvenirs de son top model préféré, Ann Saint Marie, afin de nourrir son scénario. Il développe ici une réflexion sur la beauté et la célébrité, le diktat de la jeunesse et des tendances, la dépendance et la lassitude d'être sous le regard d'autrui. Le réalisateur expose les névroses et la dépression de son "héroïne" en adoptant une forme parfaitement cohérente avec la psyché de celle-ci et avec le principe narratif du film. Portrait d'une enfant déchue est une évocation débridée de souvenirs, réels ou fantasmés, sur le mode fragmentaire. Comme autant de morceaux qui doivent reconstituer la vie et la personnalité de cette Lou Andreas Sand. Le titre original, Puzzle of a Downfall Child, n'a pas été choisi au hasard.
    Sur le fond comme sur la forme, le projet est donc très intéressant. Mais c'est le dosage qui pêche un peu. L'aspect répétitif et appuyé de l'illustration des névroses ou de la critique du milieu de la mode crée une petite lassitude en cours de film, qui disparaît heureusement lors de la séquence en hôpital psychiatrique, avec ses images fortes et sa couleur blanche dominante. Par ailleurs, les derniers plans du film sur le personnage principal ont quelque chose de très émouvant. La composition de Faye Dunaway, fragile, borderline, et sa beauté singulière y sont pour beaucoup. Deux ans après avoir été révélée dans Bonnie and Clyde, l'actrice confirmait son talent et son charisme.
    Dans le casting, on trouve aussi Barry Morse, plus connu pour son rôle dans la série Cosmos 1999 (il y interprète le professeur Bergman).
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 mai 2012
    Splendide. Mais à un point... Et Faye Dunaway, plus belle que jamais.
    gemini-hell
    gemini-hell

    26 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 octobre 2011
    Sans être le chef-d’œuvre proclamé, cette première œuvre singulière de Jerry Schatzberg mérite la curiosité et le déplacement. La construction originale du film faite sur toute sa durée sous forme de kaléidoscope irrite autant qu’elle fascine. Le désavantage de cette absence voulue de linéarité sacrifie en effet l’aspect émotionnel et psychologique du personnage central. De par son style visuel, « Portrait d’une Enfant déchue » est indéniablement marqué par le sceau des années ’70 et si comme moi on est un indéfectible nostalgique de cette période, on admirera le côté « fashion » du film. Avec ou sans fards, Faye Dunaway, pratiquement de tous les plans, est sublimée par son réalisateur. A noter la présence de Roy Scheider, pas encore la vedette qu’il deviendra peu de temps après ce film et celle furtive de la volcanique Barbara Carrera, future (entre autres rôles) James Bond girl face à Sean Connery. Jerry Schatzberg signa par la suite deux œuvres fortes du cinéma américain, « Panique à Needle Park » et surtout « L’Epouvantail » (Palme d’Or à Cannes sous la présidence d’Ingrid Bergman) ; la suite de sa filmographie fut nettement moins inspirée.
    Hotinhere
    Hotinhere

    419 abonnés 4 737 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 décembre 2019
    Portrait d'une femme à la vie tourmentée en forme de puzzle.
    Une œuvre aussi singulière, subtile que fascinante, à la mise en scène sublime, portée par une Faye Dunaway juste iconique.
     Kurosawa
    Kurosawa

    513 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mars 2019
    "Portrait d'une enfant déchue" ne brille pas par son originalité : le schéma ascension-chute d'une star troublée est dégainé tel un réflexe dans les biopics académiques; quant à la confession avec un ami fidèle, elle permet de marquer un peu plus la solitude d'un personnage isolé qui émeut par la force que lui donne son interprète, l'exceptionnelle Faye Dunaway. Presque de tous les plans, on ne cesse de se dire en la regardant à quel point une actrice peut changer un film ! Comment, à partir d'une écriture balisée où l'on compte peu de scènes importantes, Faye Dunaway fascine par la richesse de son jeu, feignant l'épanouissement pendant ses représentations, se révélant timide et fragile dans les moments plus intimes ou étant encore gagnée par la folie dans une dernière partie où la mise en scène se fait aussi plus inspirée – presque forcée de se mettre (enfin) au diapason d'une performance ahurissante. La beauté du film, par ailleurs plutôt élégamment filmé, tient donc presque entièrement dans le jeu de son actrice principale, qui nuance un scénario trop lisible par son regard troublant et sa voix faussement assurée : sa présence magnétique est la raison essentielle de voir ce film qui reste néanmoins mineur.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 8 octobre 2011
    on a vraiment envie d'aimer ce film, tout y est "artistiquement" sublime, on replonge avec délice dans l'ambiance des seventies, la réalisation est simple, subtile, distanciée et proche à la fois de sa comédienne ...je ne parle pas de la prestation investie de faye dunaway. mais il est une seule raison qui fait que je suis resté en dehors de ce film ...l'impossibilité d'identification à l'histoire de ce mannequin. les douloureux affres de la vie de mannequin ..d'accord j'exagère un peu, c'est avant tout de la vie de cette femme et non de son métier dont il s'agit...mais finalement on ne sait rien ou pas grand chose du pourquoi du comment des soucis de cette femme, elle est juste là, indécise, à ne pas savoir, à hésiter ..l'amour, la vie ...j'ai envie de rajouter ..les vaches . En fait seul Woody allen réussit à nous faire aimer, à nous donner de l'empathie, pour la bourgeoisie et les bobos de NY, avec le rire ! bref ici, le second degré, la vie, sont trop peu présents
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    104 abonnés 2 176 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 mars 2019
    Anatomie d'un top modèle. Le vernis craque, le corps se déchire, l'esprit se brise. Les désillusions d'une mannequin perturbée. Agaçant, froid, expérimental, complexe et ennuyant. Un des plus grand rôle de Faye Dunaway....à l'autre bout du monde, je m'incline.
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