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    Alienator
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    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 107 abonnés 4 226 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 septembre 2016
    Alienator a un titre qui raisonne bien quand même ! Mais c’est la seule chose qui raisonne bien ! Là c’est du nanar très lourd, et surtout très vide !
    Le souci number one du film c’est, comme souvent dans ces petites productions, une véritable histoire ! Ici c’est tellement simpliste et repompé qu’on se demande même si on peut noter l’intrigue ! Le hasard veut qu’en peu de temps j’ai visionné Dark Angel, Abraxas et cet Alienator, sortis presque en même temps, et traitant tous de la venue d’extraterrestres sur Terre pour se bastonner ! Des trois celui-ci est le plus faible. Il est bourrelé d’invraisemblances (on ne croit pas une seconde aux tribulations du méchant dans le prologue du film), il souffre de certaines lenteurs, il repompe allégrement Terminator (certaines scènes sont franchement très proches), et si un face à face entre le méchant et Alienator aurait pu à la limite être intéressant, la présence de ces humains débiles est abêtissante !
    Scénario médiocre pour un film franchement très pauvre. Deux bois, une cabane, voilà la Terre, deux conserves pour soutif et un flingue en plastique acheté au rayon jouet pour enfant, voilà pour Alienator (bon elle a aussi une culotte quand même !), un cachot et quelques couloirs, voilà pour le super vaisseau extraterrestre ! Comme souvent dans ce genre de production minuscule j’imagine que le budget est passé dans les quelques effets pyrotechniques et, soulignons-le, dans les quelques effets spéciaux qui ne vont pas affoler la foule ! Ray filme tout cela avec roublardise, mais soyons franc, l’Alienator est une calamité ambulante qui fait rire à chacune de ses apparitions !
    Le casting est composé de quelques abonnés des films Z ! Un pauvre Ross Hagen, totalement pas crédible en méchant de l’espace, Jan-Michael Vincent qui essaye de se donner une prestance et de jouer aussi passivement que possible pour faire l’extraterrestre, mais qui de toute façon ne fera pas grand-chose tout du long, et Teagan Clive dans le rôle éponyme. Une héroïne bodybuildée qui aurait le physique de l’emploi, si elle n’était, la pauvre, dissimulée sous un fatras de conserves avec un bikini ridicule !
    Franchement Alienator est fendard pour son monstre (désolé Teagan Clive !), mais c’est ridicule. Succession de fusillades dignes d’une cour de récréation, de dialogues bouffons, Alienator ressemble à un moment de détente potache pour les acteurs et le réalisateur, style film de vacance, mais c’est très insuffisant pour susciter l’intérêt au-delà des vrais amateurs de nanar, ou de trucs improbables et inconnus. 1, même si cela ne reflète pas complètement le film, qui reste malgré lui drôle et sympathique.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 150 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 septembre 2019
    Si elle saigne elle crèvera ! » Mettez dans un même nanar, une espèce de zigoto un peu beubeu sur les bords qui vient d'une planète pènitentiaire et une espèce de Catherine Lara en jupon qui cherche à atomiser tout ce qui bouge sur la planète Terre! Les deux sortent tout droit d'une boîte de conserve dirigèe par Jan-Michael Vincent en personne! Tout un programme! Bref, mèlanger puis servez immèdiatement [...] Le destin du monde est en jeu! C'est la guerre des mondes et l'aficionado est en première ligne avec une bière à la main et une pizza dans l'autre! Première règle ? Ne jamais donner ses armes! Deuxième règle ? Pulvèriser votre ennemi en miette avant qu'il vous volatilise! Les autres règles, vous les apprendrez en regardant cette sèrie Z très cheap où le fou rire et le second degrè sont garantis pour la soirèe! Avec quelques fulgurances dans les rèpliques (« Vous connaissez E.T ? ») et une V.F aussi attrayante que le costume de P.J. Soles...
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 249 abonnés 7 253 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 avril 2020
    Mais pourquoi Jan-Michael Vincent est-il venu se fourvoyer dans cette p.u.r.g.e ?! Celui qui interprétait le rôle principal de l’une des plus célèbres séries télévisées des années 80 (Supercopter - 1984/1986) se retrouve embarqué dans un improbable nanar, réalisé par le tâcheron Fred Olen Ray (pourvoyeur de nanars et autres téléfilms bas de gamme depuis de trop nombreuses années, à raison de 3 à 4 films par an ! sous couvert de différents pseudonymes).

    Alienator (1990) est en réalité le (plus ou moins) remake de The Astounding She-Monster (1957). Le titre quant à lui, surf sur l’engouement d'Alien & Terminator (quelle originalité). L’intrigue démarre dans un pénitencier spatial (dirigé par Jan-Michael Vincent) avant de revenir sur Terre durant les ¾ du film. Un des prisonniers s’échappe et qui d’autre pour le récupérer ? Je vous le donne en mille : le fameux Alienator (interprété par Teagan Clive, une célèbre culturiste 80’s). Cette dernière, grimée en une espèce de travelo de l’espace (un bikini en inox et une chevelure peroxydée) aura fort à faire pour rattraper le prisonnier.

    Cette SérieZ à grand renfort de décors en carton-pâte, d’acteurs de seconde zone, de répliques affligeantes, d’une bande-son tonitruante et des trucages nauséeux, aura le don de réduire à néant votre patience. De la SF sans le sou et sans le talent, avis aux amateurs...

    (http://bit.ly/CinephileNostalGeek ☆ http://twitter.com/B_Renger)
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 039 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 août 2019
    Ce n'est pas une surprise, rien ne va dans Alienator. Son titre, déjà, laissait présager du pire pour la suite des évènements : mélange, à première vue, entre Alien et Terminator/Predator, il vire au mauvais plagiat de Star Wars, grotesque et sans le sou, incroyable de pauvreté visuelle, scénaristique et artistique, au point qu'on se demandera, finalement, comment l'on peut se satisfaire de laisser un tel résultat inachevé.

    Des plus idiots, il marque surtout par son absence de débrouillardise : renseignez-vous sur le maquillage du prisonnier libéré pour comprendre à quel point l'oeuvre ne sait pas ruser pour convaincre, se contentant de balancer un maquillage gris-noir sur la gueule d'un acteur perdu pour faire croire qu'il vient de l'espace, et d'une autre galaxy. Qu'il parle anglais n'a en fin de compte que peu d'importance, aux vues de l'absence de logique du tout.

    Long pour nous le présenter, il n'évite, bien évidemment, aucun cliché des films de prisonniers, tombant dans un genre de sous Etoile de la Mort fauchée, avec un incroyable décolleté, et une absence de design des costumes désarçonnante. Seul notre alien fraîchement échappé, qui utilisera l'unique effet spécial pas trop mal élaborré (des limaces qui s'incrustent dans la peau d'un pauvre prisonnier), portera une tenue de l'espace qui fera penser au désastreux costume de Didier Bourdon dans l'horrible L'extra-terrestre.

    Arrivé sur Terre, ce premier héros (qui deviendra, à n'y rien comprendre, le grand méchant des dix dernières minutes, avant de s'éclipser de manière ridicule du scénario) nous laisse en pâture au reste de l'intrigue, et des personnages. Littéralement tous plus idiots les uns que les autres, les protagonistes restant se livreront, visiblement, un concours pour décerner, au vainqueur à l'issu, la coupe de l'acteur le moins naturel et de la personnalité la plus stupide.

    Si l'on notera l'amusante présence au doublage d'un Patrick Poivey (voix officielle de Bruce Willis) décomplexé, bordélique et partant dans tous les sens, le reste des doubleurs, bien moins professionnel, convaincra sans problème les amateurs à la recherche de nanars savoureux, Alienator s'inscrivant clairement dans les bonnes catastrophes du sous-genre.

    Cependant perdu dans son rythme, il manque d'intensité et de folie, lent sur les vingt minutes de l'arrivée du prisonnier alien sur Terre, jusqu'à ce que survienne la véritable menace du film, l'Alienator, sorte de femme body-buildeuse au costume proprement hallucinant, qui mélange, en partant loin, la tenue cybord du Terminator, avec le principe de chasseur du Predator.

    C'est surement pour cela que le film, dont le héros est un alien, a décidé de se renommer comme cela; l'arnaque n'est pas des plus répugnantes si l'on analyse ce qu'elle contient, les éléments présentés en promotion étant tous présents. Certes affreux, ce mélange de Terminator et de Predator transmet au spectateur d'immenses barres de rire, autant pour le sérieux dont faire preuve l'actrice que pour son costume des plus originaux, au soutien-gorge en armure que n'aurait pas refusé Robert Rodriguez pour un nouvel hommage au cinéma Grindhouse.

    L'on passera sur le retournement de situation final précédemment évoqué, où le héros deviendra méchant quand l'Alienator, pourtant multi-meurtrière, prendra le rôle de la gentille en rétablissant l'ordre des choses. Ne réfléchissons pas non plus sur la révélation finale, que l'autre taré mal maquillé était le fils d'un personnage secondaire aussi marquant qu'un figurant, le tout élevé rayon nanar fendard par un combat d'un seul sabre-laser mythique, où l'on comprend qu'il n'y a, au final, aucun gentil dans ces hommes de l'espace.

    Comment avoir de l'empathie pour un seul des personnages, si tous les aliens sont des méchants (bien que visuellement humains) et que tous les humains sont à ce point stupides qu'on pourrait, dans notre monde, les considérer eux-mêmes comme des aliens? Voilà le grand paradoxe d'Alienator, film plus intelligent qu'il n'y paraît, qui pose une véritable question existentielle sur comment faire un bon personnage au sein d'une bonne intrigue, pour les mêler à un bon jeu d'acteur, saupoudré d'une bonne mise en scène.

    Mais étant donné qu'il est incapable de réunir tous ces éléments, surement qu'il n'est qu'horreur filmique, et que je vais chercher trop loin pour essayer de lui trouver au moins une qualité. Un poil long, mais il est reste hilarant pour une soirée entre potes entre chips, bières et pizza, tout ce qu'il faut pour se mettre le bide à mal avant de se fusiller les neurones devant cette oeuvre complètement incohérente, bordélique et profondément laide.
    jerome s.
    jerome s.

    1 abonné 82 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 18 octobre 2020
    Son côté nanar le sauve du nul, le costume de la cyborg est ridicule, ça se voit qu'on est dans un film des années 80, avec un retournement de situation à la fin bien tenté mais un changement trop extrême pour être pris au sérieux spoiler: la cyborg est le système pénitencier sont passé de méchant à gentil dans les 20 dernières minutes et le prisonnier de gentil a méchant.
    , sauf si le but du film était de nous tromper l'œil en nous montrant que la violence des policiers envers les criminel est justifiable voir même bénéfique. Mais la encore le chef pénitencier est trop extrême et autorise à sa cyborg de tuer tout ce qu'elle voit d'humain spoiler: et même à la fin elle épargne les humains qui l'ont attaqués c'est insensé !
    .
    Pour résumé, c'est un gros nanar copiant sur predator et terminator, avec un retournement de situation illogique et qui est gore pour rien du tout, franchement pour les adorateur de ce type de film allez y c'est pas mal.
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