Voyage of Time : Au fil de la vie : Critique presse
Voyage of Time : Au fil de la vie
Note moyenne
3,3
11 titres de presse
20 Minutes
La Septième Obsession
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
Le Journal du Dimanche
Première
Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
Libération
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11 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Voyage of Time est une suite d’images à couper le souffle avec un commentaire un tantinet grandiloquent sur la vie et l’univers. Le côté mystique de son œuvre, véritable trip sensoriel, peut évoquer "2001, l’Odyssée de l’espace".
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Ce qui distingue Voyage of Time d’un quelconque documentaire casé faune et flore, c’est l’entrelacement de lignes hétérogènes. Le cinéaste joue sur les échelles, mêlant l’infiniment petit (les microbes) et l’infiniment grand (le cosmos), associe les contraires en un même lieu (la lave aquatique), traverse les différents états d’un même élément (le liquide, la vapeur, la glace), passe de la terre à la mer avant de refluer vers l’espace, fait entendre le fracas de la météorite et la berceuse du silence.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Somptuosité des images, grandeur épique du projet, lyrisme du texte et philosophie New Age prolongeant celle qu’exprimait "The Tree of Life", dans un film qui a le côté sublime et grandiose, mais aussi l’emphase, de son ambition, entre la pesanteur et la grâce.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Présenté à la Mostra de Venise 2015, "Voyage of Time" est un hymne à l'Univers qui mêle science et poésie, pour s'interroger sur la place de l'homme dans le cosmos.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce regard plein d’humanité et de lucidité enveloppe le film d’une puissance émotionnelle indéniable. Chaque plan foudroie par sa beauté. On ne résiste pas à cette promenade en apesanteur aux effets presque thérapeutiques.
Première
par Gérard Delorme
À la première vision, on a l’impression d’un de ces trips immersifs qui rappellent certains passages de "2001 – L’Odyssée de l’espace", ou encore les films psychédéliques de Ron Fricke qui interrogent les rapports entre l’homme et l’éternité.
Critikat.com
par Nicola Brarda
Fidèle à lui-même, Malick se sert d'images à la beauté unique pour donner vie à une ode au monde.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Elsa Badenelli
Hymne à la nature et à l’univers, le huitième film de Terrence Malick et son premier documentaire ressemble à la version longues des séquences de Big Bang de “Tree of Life”. Indéniablement composé d’images fascinantes, il laisse aussi perplexe.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le résultat est donc beau par son absolutisme. Un pur programme de contemplation méditative, rythmé par la voix angélique de Cate Blanchett, qui scande des mantras dont il faut d’ailleurs clarifier la portée. Non pas de la dissertation mais de la poésie (…).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Cet impressionnant romantisme psychédélique déjà affaibli par son écart entre le pas assez expérimental et le trop implicitement scientifique, abâtardi par quelques séquences très National Geographic, s’écroule dès que les humains apparaissent.
Libération
par Julien Gester
On assiste là, mi-assommé mi-médusé par tant de pompe grandiose, à une radicalisation pure et simple de la béatitude panthéiste du cinéaste, et de son inclination pour la contemplation éperdue de l’invisible, dans un film auquel on soupçonne que seuls le Futuroscope et lui auraient jamais osé rêver.
20 Minutes
Voyage of Time est une suite d’images à couper le souffle avec un commentaire un tantinet grandiloquent sur la vie et l’univers. Le côté mystique de son œuvre, véritable trip sensoriel, peut évoquer "2001, l’Odyssée de l’espace".
La Septième Obsession
Ce qui distingue Voyage of Time d’un quelconque documentaire casé faune et flore, c’est l’entrelacement de lignes hétérogènes. Le cinéaste joue sur les échelles, mêlant l’infiniment petit (les microbes) et l’infiniment grand (le cosmos), associe les contraires en un même lieu (la lave aquatique), traverse les différents états d’un même élément (le liquide, la vapeur, la glace), passe de la terre à la mer avant de refluer vers l’espace, fait entendre le fracas de la météorite et la berceuse du silence.
Le Dauphiné Libéré
Somptuosité des images, grandeur épique du projet, lyrisme du texte et philosophie New Age prolongeant celle qu’exprimait "The Tree of Life", dans un film qui a le côté sublime et grandiose, mais aussi l’emphase, de son ambition, entre la pesanteur et la grâce.
Le Figaro
Présenté à la Mostra de Venise 2015, "Voyage of Time" est un hymne à l'Univers qui mêle science et poésie, pour s'interroger sur la place de l'homme dans le cosmos.
Le Journal du Dimanche
Ce regard plein d’humanité et de lucidité enveloppe le film d’une puissance émotionnelle indéniable. Chaque plan foudroie par sa beauté. On ne résiste pas à cette promenade en apesanteur aux effets presque thérapeutiques.
Première
À la première vision, on a l’impression d’un de ces trips immersifs qui rappellent certains passages de "2001 – L’Odyssée de l’espace", ou encore les films psychédéliques de Ron Fricke qui interrogent les rapports entre l’homme et l’éternité.
Critikat.com
Fidèle à lui-même, Malick se sert d'images à la beauté unique pour donner vie à une ode au monde.
Les Fiches du Cinéma
Hymne à la nature et à l’univers, le huitième film de Terrence Malick et son premier documentaire ressemble à la version longues des séquences de Big Bang de “Tree of Life”. Indéniablement composé d’images fascinantes, il laisse aussi perplexe.
Les Inrockuptibles
Le résultat est donc beau par son absolutisme. Un pur programme de contemplation méditative, rythmé par la voix angélique de Cate Blanchett, qui scande des mantras dont il faut d’ailleurs clarifier la portée. Non pas de la dissertation mais de la poésie (…).
Cahiers du Cinéma
Cet impressionnant romantisme psychédélique déjà affaibli par son écart entre le pas assez expérimental et le trop implicitement scientifique, abâtardi par quelques séquences très National Geographic, s’écroule dès que les humains apparaissent.
Libération
On assiste là, mi-assommé mi-médusé par tant de pompe grandiose, à une radicalisation pure et simple de la béatitude panthéiste du cinéaste, et de son inclination pour la contemplation éperdue de l’invisible, dans un film auquel on soupçonne que seuls le Futuroscope et lui auraient jamais osé rêver.