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    Only God Forgives
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    2,4
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    1 602 critiques spectateurs

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    Master Dream
    Master Dream

    17 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 octobre 2014
    pas facile en effet de noter ce film tant il est déroutant et anticonformiste. personnellement ce que je regrette dans ce film c'est que l'on apprend pas a connaître les personnages.
    mimilebarge50
    mimilebarge50

    14 abonnés 33 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 octobre 2014
    Chiant a souhait... Une etoile pour la puissance des scènes ou le sang coule, 0,5 pour le jeu d'acteurs de certains. C'est mou, c'est chiant, c'est plat !
    NomdeZeus
    NomdeZeus

    69 abonnés 1 044 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 octobre 2014
    Tant de talent au service de si petits desseins. C'est la pensée qui m'accompagnait à la sortie de la salle. Nicolas Winding Refn nous ressert sa formule magique qui avait si bien fonctionnée pour ses derniers films: scénario minimaliste, mise en scène léchée et longs moments de stase entrecoupés d'effusions de violence aussi brusques que brutales. Mais cette fois-ci, il pousse le bouchon un peu trop loin. Le réalisateur danois s'enferme dans un style caricatural et essaye de choquer le spectateur par tous les moyens, sans aucune considération pour la cohérence de son récit. C'est d'autant plus dommage que l'intrigue, bien que simpliste, s'avère par moment fascinante. Reste des images sublimes mais tout cela est beaucoup trop vain.
    Pauline G.
    Pauline G.

    32 abonnés 561 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mars 2017
    Ce film n'en est pas un, c'est une expérience. Il ne faut pas s'attendre, comme d'habitude, à voir les acteurs bouger, avoir des expressions et, une chose en entraînant une autre, raconter une histoire au travers de codes connus de tous. Ici, tout est chamboulé. Le scénario n'est pas exprimé comme le point d'accroche de l'oeuvre, celui autour duquel tout va s'articuler, mais comme étant à ressentir à travers la succession d'atmosphères présentée. Ce que Nicolas Winding Refn nous propose ici, c'est une oeuvre à part entière, sans demi-mesure. Et son oeuvre, il a choisi de la composer à parts égales entre photographies mises en musique et scènes "classiques". Les premières sont largement dominantes pendant la première partie pour présenter le contexte et les personnages avant de s'effacer au profit des secondes et entrer dans l'action. Alors c'est long à se lancer et on a le temps de décrocher en attendant que les bases se posent et qu'on plonge dans le bain. Il faut être patient, prendre (perdre ?) son temps et regarder Ryan Gosling faire une démo d'impassibilité pendant de très longues secondes. A côté de ça, toutes les images, actives ou passives, sont magnifiques. Mais elles ne sont pas belles pour être poétiques, tout comme les musiques n'"illustrent" pas forcément ce qui est montré mais contrastent avec la violence pour susciter le malaise. Et de la violence, il y en a. Et elle est, elle-aussi, livrée de manière brute, en dehors des sentiers battus. Ce film se démarque, il va au bout de ses idées et c'est pour ça qu'il me plaît.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 octobre 2014
    C'est pas que c'était trop violent ou quoi que ce soit, c'est juste que je me suis ennuyé pendant tout le film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 octobre 2014
    Et un chef-d'oeuvre incompris en approche, un ...
    Ce film n'est pas à la portée de tout le monde !

    Tout dans ce film est excellent. Que ce soit la mise en scène; le son; les couleurs et l'ambiance (qui me font penser toutes deux à "Enter The Void" de Gaspar Noé, également un chef-d'oeuvre incompris) ...

    Avant hier, je n'avais jamais vu le film. Je voulais le voir depuis longtemps, lors de sa sortie au ciné, grâce à sa superbe bande annonce ! Mais je n'ai pas trop eu le temps, et surtout toutes les critiques négatives me faisaient hésiter ! Il y a quelques jours je l'ai acheté en DVD, et je ne suis pas du tout déçus, bien au contraire !

    ! SPOIL !

    Le film est quand même très étrange, on ne comprend pas tout c'est vrai, mais il ne faut pas s’arrêter à ce que l'on voit à l'image. Le film n'est pas juste l'histoire d'un truand états-unien. Non il faut regarder au dessus; au-delà de ça. En réalité le film raconte l'expiation de Julian auprès de Dieu, qui est représenté dans le film par Chang, "le policier au sabre" !
    Le moment ou Julian pourra ce libérer et expier ses fautes, c'est quand sa mère mourra, mais Julian ne peut le faire de lui même. Il est totalement contrôlé par sa mère. Le seul qui pourra le sauver de son emprise et de se libérer de tous ses péchés est Dieu ou en l’occurrence Chang !
    A la fin du film, Julian accepte son destin. Il accepte de souffrir pour être pardonner par Dieu. Il accepte donc de se laisser trancher le bras par Chang "Dieu" pour être totalement libéré, et repartir de zéro dans sa vie !
    D’ailleurs depuis le début du film on ne sait pas d'ou sort Chang. Il arrive, et puni les meurtriers, sans pour autant s'investir sur le plan sentimentale, et il laisse une chance aux gens ! Par exemple, il laisse le choix au père de la petite (tuée par Billy le frère de Julian) de faire justice soit même ou de laisser la police (représentation des séraphins auprès de Dieu "Chang") faire son travail ...

    Bon tout ça, il faut le voir avec les commentaires audio de Nicolas Winding Refn dans le DVD. Il ne dit pas clairement tout ça, mais la partie sur Dieu représenté par Chang; l'expiation de Julian ... tout est dit par le réalisateur !

    En tout cas ce film est une bombe ! Mais pour totalement apprécier le film, il faut déjà apprécier les films qui traitent d’ésotérisme ...
    Si je devais mettre une note sur 20, et bien je mettrais 19/20. La perfection n’existant pas je ne peux lui mettre 20/20 ;

    PS: Je préviens que je ne suis pas croyant :)
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 1 octobre 2014
    Si le résultat est d'une splendeur visuelle indubitable, le récit, engoncé dans son symbolisme, souffre d'un trait trop épais pour convaincre, rendant l'ensemble assez lourd et prévisible. Reste un doux cauchemar dont on émerge sans sueur froide.
    Lourde influence de Gaspard Noé (Enter the Void).
    bibtar
    bibtar

    30 abonnés 598 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 septembre 2014
    C'est sans aucune surprise que N. Winding Refn propose un film en dehors de tout ce dont on a l'habitude de voir dans le genre auquel il s’intéresse, et ici l'esprit de vengeance est mis en avant par une atmosphère absolument unique, sachant jouer de la violence tout autant que sur l’esthétisme de l'ensemble de l'image,du film qu'elles soient simplement démonstratives ou plus actives, le réalisateur donne une fois de plus une vision d'une singularité incroyable et hypnotique, même si l'ensemble n'est pas toujours passionnant et que quelques passages sont bien trop expérimentaux pour fonctionner totalement, mais après tout cela fait partie de la patte Refn, et on ne peut qu'admirer le talent dont il fait preuve pour donner de la puissance à l'image sans fracas de toutes part. Tout d'abord dans cette qualité qu'il possède en ce qui consiste à mettre l'image au cœur de l'ensemble par des plans plus ou moins long afin de laisser le temps de profiter de l’esthétisme général de certaines scènes, avec ce filtre rouge très imposant qui rend l'ambiance encore plus stressante lors des passages dans les lieux sombres, technique qu'il apprécie tout autant, et surtout sa facilité à poser du son par nécessairement lors des passages clés mais tout au long du film, toujours parfaitement adaptée et qui donne à l'atmosphère une force de plus du fait que cela suffit à nous aspirer, même lors de passages simplement démonstratifs, les rendant encore plus beaux. Bien évidement, quand on aime le réalisateur, il est incontestablement touché par la manière dont il orchestre la violence dans ses films, et bien que ce soit souvent furtivement, la puissance de cette dernière est impressionnante de par son réalisme et son exécution qui laisse souvent sans voix, et dans ce film il semblait essentiel que cet élément figure comme l'une de ses forces, et il est évident que c'est la pièce maîtresse du film, montrant des moments d'une violence exacerbée par une ambiance travaillée minutieusement afin de provoquer ce sentiment de mal être, et bien évidemment que la dessus on se régale à chaque passage. D'ailleurs, c'est grâce à son flegme naturel que R. Gosling parvient à donner toute sa force à son personnage, surtout lorsque celui ci est montré dans ses accès de violence vengeresse, le transcendant totalement et donnant des moments jouissifs, bien que souvent très expéditif, et bien que la scène de combat finale soit archi bien réalisée et pleine de grâce cinématographique à tout les égards, celle ci n'est pas celle à laquelle on s'attendait pour atteindre l'apothéose de la vengeance. Puis en ce qui concerne le scénario, le réalisateur réussi une fois de plus à proposer une oeuvre d'une singularité indiscutable, et même si l'intrigue générale repose sur des éléments classiques du genre, c'est surtout la manière dont ceux ci sont mis en scène tout du long, sachant allier images sublimes, violence tant physique que psychologique à travers le schéma familial démentiel qui est au cœur du scénario, ou encore tout un tas de dénonciation sociale qui ne sont pas les piliers même du film mais qui permettent une fois de plus d'appuyer l'atmosphère nauséabonde qui règne, surtout à travers les quartiers glauques thaïlandais. Et même ses personnages réussissent à se détacher totalement de ce dont on a l'habitude, que ce soit par le flic amateur de sabre, très mystérieux, pas toujours très clair d'ailleurs de par son aspect très expérimental dans sa mise en scène et son rôle dans le film, qui laisse souvent sur le bord tellement il n'est pas simple de suivre l'intégralité de son portrait, ou encore à travers le sujet de la matriarche d'une famille de pourris expatriés, violents et trempés dans un monde pas très net, totalement cintrée et qui ne vit que part une violence hors norme et un comportement totalement castrateur avec son propre fils, à l'image de la scène du repas avec la prostitué, amante de ce dernier, durant laquelle il y a de quoi halluciner des propos qu'elle tient envers son propre enfant, tout cela bien évidemment de manière toujours subtile et esthétique, et c'est ce que l'on aime dans le cinéma de Refn. Pourtant ici il est clair que l'ensemble du film manque légèrement de rythme et de surprises scénaristiques, et se contente de rendre visuellement belle la violence qui traduit la volonté de vengeance de cette mère totalement en dehors de la réalité, mais bien que l'on apprécie énormément le travail cinématographique effectué afin d'être à la fois d'une singularité sans faille en étant efficace dans ce qui est proposé, il a certain moment durant lesquels on attend ou espère qu'il se passe quelque chose pour que finalement le film s’intéresse plutôt à un visuel bien particulier dans une ambiance toute aussi spéciale, ce qui n'est pas pour déplaire dans l'oeuvre de Refn, mais il y avait de quoi être un peu plus expansif à certains égards, surtout quand on sait que la violence exacerbée, si bien rendue soit elle, est l'une des clés de voûte du film, tant que par les poings que dans les mots, pourtant celle ci ne semble pas trouver sa juste place dans le film. Quoiqu'il advienne, on ne peut que reconnaître que le réalisateur danois offre une fois de plus un film bien empreint de sa marque, et ça c'est très appréciable.
     Kurosawa
    Kurosawa

    512 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 août 2014
    Après le chef-d’œuvre "Drive", Nicolas Winding Refn revient derrière la caméra avec "Only God Forgives", thriller d'une grande violence, qui met en scène Julian ( Ryan Gosling ), jeune trafiquant dirigeant un club de boxe thai, qui doit venger son frère, tué indirectement par un flic pourri. Ce film est d'abord une grande réussite esthétique. Tous les mouvements des personnages sont pensés, le contraste des couleurs aussi. Mais l'aspect narratif n'est pas écarté pour autant. Si le film est peu bavard, la psychologie (ou non-psychologie) des personnages est montrée de manière extrêmement complexe. En effet, R. Gosling est incroyablement passif, sous la coupe de sa mère, qui lui préfère son frère mort. Cette mère, incarnée par K. Scott Thomas, est d’ailleurs extrêmement troublante dans un rôle plus autoritaire qu’à l’accoutumée. Et enfin, Vithaya Pansringarm joue ce flic énigmatique, intransigeant et redoutable figure d’ange de la mort. Il crève littéralement l'écran, et finit par voler la vedette à Gosling. Ce trio infernal va donc se déchirer pendant une heure et demi de tension insoutenable, d'une violence rare, accompagné d'une musique asiatique électrisante. Au delà de sa beauté formelle, le film veut démontrer que la frustration se libère par la torture ou par le meurtre. Personne ne ressort indemne de ce véritable film asiatique, ni les personnages, ni le spectateur. Virtuose, stylisé et envoûtant : Winding Refn n'a pas finit de nous épater.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 août 2014
    Ne nous méprenons pas, Nicolas Winding Refn est un réalisateur qui choque pour choquer car il n'a rien de clairement intéressant à délivrer à son public, dérobant ainsi son soit-disant message derrière une mascarade de très beaux jeux de lumières et autres effets sonores. Refn réutilise les mêmes caractéristiques qui lui ont valu sa dernière réussite, à savoir les enchaînements de scènes psychédéliques via de différents effets visuels couplés, son univers onirique avec une atmosphère lourde propre à la mise en scène de ce réalisateur et autres éléments de bonne volonté qui deviennent très vite insupportable. Cette démarche avertie est aussi vide intérieurement que son personnage principal qui m'a l'air tout droit ressorti d'une séance de lobotomie. J'en conviens l'empreinte visuelle est là et est très bien mise en valeur, mais pour quoi sinon éblouir et servir de motif justifiable quant à la pauvreté de son contenu ? Alors doit-je pour autant laisser sur la touche l'aspect scénaristique qui est si peu travaillé et si inintéressant qu'il a poussé mes paupières à s'incliner ? Un film renié et passer inaperçu à Cannes pour une bonne raison, il n'a strictement rien à proposer. Dans les bas-fonds de ce « Only God Forgives », notons parmi ses hauts moments de bravoure audacieuse, son hyper-violence caractérielle, propre aux films de Refn, qui n'a jamais été mise au profit d'un sujet intéressant, mais préfère sombrer dans la violence gratuite au point qu'elle en devienne même ridicule. Cet abus de violence vient rappeler la médiocrité de l'oeuvre, qui se veut dans le prolongement direct de cette mise en scène expérimentale mais qui au final n'apporte rien, ne transmet rien, si ne serai-ce qu’emmener l'ennui aux seins des rangs d'une salle déjà presque vide. Le titre lui-même suffit à résumer la vacuité de l'oeuvre, l'explication de ce simple terme rapporté au propos du film est complètement vide de sens. Il faut dire aussi que pendant cet intriguant spectacle, je ne vous cache pas que mon but premier était de garder les yeux ouverts plutôt que de comprendre en totalité ce film que j’espère jamais ne revoir.
    Mimit_le_vrai
    Mimit_le_vrai

    25 abonnés 504 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 août 2014
    Le film se veut surement original, mais comme on dit, chacun ses gout, et moi je n'est pas du tout apprécié. Même si certaines scènes beaucoup trop rares attires l'attention, j'ai trouvé le scénario comme la réalisation trop lents et sans rythmes. Au bout d'un moment, ces longueurs en devenez très agaçantes, tout comme l'atmosphère étouffante du film. 5/20
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 août 2014
    Bien dormi pendant... De beaux plans... De la violence... Beaucoup de plans fixes avec des acteurs nature morte... J'aime pas très beaucoup ce ciné là.
    Christophe V.
    Christophe V.

    16 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 août 2014
    Ce film n'est pas visible pour tous le monde, les âmes sensible sont fortement déconseillées.
    En effet ce film est très violent !
    L' image est magnifique !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 juillet 2014
    only god forgives... comment dire... je suis à peu près sûre que même dieu ne peut pas pardonner une merde pareille. Malgré les mauvais critiques j'ai voulu le voir quand même en espérant que personne n'avait compris le film. Mais la vérité c'est que l'équipe du film a du se noyer dans une mare d'opium en arrivant sur le lieu de tournage et c'est ce qu'il fait qu'il y a à peine 5 dialogues dans le film. La seule chose sensé sur une heure et demi c'est la retranscription de l'amour qu'ont les asiat pour le karaoke! non sérieux après drive et le mec qui se barre à la fin sans thune et sans la fille voici le film où le mec tend ses poignets de lui même pour se Les faire trancher. ne plus laisser de caméra au réalisateur!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 juillet 2014
    Je viens de voir le film. Je suis extrêmement déçu. J'ai fait une pause au bout d'une heure pour manger un morceau, et là je constate que le film est en fait bientôt terminé. Le soucis c'est que je me croyais encore dans l'intro.
    Je mets 2.5 pour la réalisation, mais côté scénario et acteurs (pourtant des pointures), je ne vois pas en quoi on peut classer ce film dans la catégorie des masterpieces.

    Si vous aimez Gosling en muet (encore moins bavard que dans Drive), foncez...
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