Avis sur 24 heures chrono - Redemption

Très bon !! Ce prologue annonce une saison 7 prometteuse !! La réalisation est formidable, pas mal de suspense et de tension et un Jack Bauer toujours impeccable !!

Evidemment ce film est excellent tout comme la série, il introduit la saison 7, la bande son est evidemment parfaite, les décors sont magnifiques, on regrettera juste la courte apparition de Carl Benton mais ça mort était une nécessité! Bref ce film est a voir de toute urgence pour les fans de la série qui ne l'ont pas encore vu!

Version grand format de la série, on y retrouve l'ingrédient principal avec l'espèce de compte à rebours censé nous faire flipper notre race. Sauf que dans le film cet artifice est plus ridicule qu'autre chose. La course poursuite ne débute qu'à partir de la première demi-heure, avant cela on s'emmerde royalement. Et que dire des deux histoires mises en parallèles, elles n'ont aucun impact l'une sur l'autre, du coup lorsqu'on nous montre ce qui se passe à Washington on a un peu l'impression d'avoir droit à une page de pub. Si l'on oublie le côté adaptation à partir d'une série télévisée, le film est plutôt honorable, on ne s'ennuie pas trop sauf au début. On peut juste lui reprocher sa trop grande linéarité.

Dans la lignée de la série , le film est explosif. toujours avec du suspens

Un superbe film fidèle à l'univers de la série du meme nom et qui fait avancer l'intrigue de manière très intéressante il faut le dire. Il faut l'avoir vu entre les saisons 6 et 7 de la série !

Après une longue attente, Jack Bauer est enfin de retour dans un format plutôt inédit : le téléfilm. Avec 24 : Rédemption, les créateurs et scénaristes du show nous emmènent dans un lieu complètement inhabituel, l'Afrique où l'on retrouve notre héros préféré dans une nouvelle aventure toujours en temps réel. L'histoire permet d'introdure les événements de la saison 7 (qui se trouve être la meilleur par ailleurs) ainsi que les nouveaux personnages dans ces quelques 1h20 d'action et de suspense. Le réalisateur Jon Cassar signe donc un téléfilm énergique, grâce notamment à sa réalisation toujours aussi efficace, mais de plus la bande son de Sean Callery est toujours aussi remarquable. Un rythme soutenu grâce aussi aux talents des comédiens et en particulier de Kiefer Sutherland qui apporte vraiment toute son énergie à l'un des personnages les plus complexe de l'histoire des séries télévisés. Jack Bauer qui tente d'échapper au gouvernement américain pour une sombre affaire, qui sera traité au cour de la saison 7, fuit depuis plusieurs années et se retrouve en Afrique où il retrouve son ami interprété par l'incroyable Robert Carlyle. Mais il devra alors sauver un groupe d’enfants des griffes de miliciens sanguinaires au Sangala, en risquant de ce faire rattraper par son passé. 24 : Rédemption est donc un excellent téléfilm (sans toutefois être nécessaire puisqu'il fut tourné après le début de la saison 7, heureusement c'est toujours avec plaisir que l'on retrouve Jack Bauer) mais nous permet d'avoir un légère aperçu de ce que pourrait donner 24 Heures Chrono dans un autre format que tous les fans attendent : le film. La série révolutionnaire réussi son pari et la présence en plus de Jon Voight et Cherry Jones apporte encore de la qualité. Jack Bauer est donc de retour pour un nouveau compte à rebours, un vrai régale.

Se situant entre les saisons 6 et 7 de la série ce téléfilm est une transition réussite entre les 2 saisons on peut juste regretter que le format soit trop court (1h23 seulement soir l'équivalent de 2 épisodes) mais 24 heures chrono - Redemption est assez riches en situations diverses.

C''est le plus décevant des 24.

Un téléfilm de bonne facture rendu indispensable par la grève des scénaristes et qui fait le lien entre la décevante saison 6 et l'excellente saison 7. On retrouve ainsi l'increvable Jack Bauer (Kiefer Sutherland égal à lui-même) qui tente de se faire oublier au beau milieu d'une guerre civile africaine, prouvant une fois de plus qu'il se trouve toujours au mauvais endroit au mauvais moment. On pourra d'ailleurs reprocher à l'histoire quelques facilités scénaristiques qui m'ont cependant moins dérangé que le rythme moins soutenu de la mise en scène (le format 1h30 ne convient pas à la série... ce qui devrait faire réfléchir les producteurs quant au projet de film actuellement dans les tuyaux) et l'absence des éléments indispensables de la série (dépaysement oblige) à commencer par les membres de feu la Cellule Anti-Terroriste. Mais il faut être tolérant, le téléfilm ne servant que de passerelle entre 2 saisons et devant davantage se voir comme un bonus afin de permettre aux spectateurs de se mettre quelque chose sous la dent. Le casting est d'ailleurs plutôt bien fourni avec le retour des quelques anciens (Powers Boothe, Peter MacNicol, Bob Gunton...), l'introduction des nouveaux (Cherry Jones, Colm Feore, Jon Voight, Isaach de Bankole, Tony Todd...) et des guest étonnants (Robert Carlyle en protecteur d'enfants et Gil Bellows en détestable bureaucrate). Et puis, l'esprit de la série est respecté (Bauer va se battre même contre son gré, un complot international va se tramer jusqu'aux plus hautes sphères du gouvernement US...) tout comme la bande-son si reconnaissable de Sean Callery.

En grand fan de la série, appeler cela un film est une insulte. Ce produit n'a rien de plus cinématographique que la série et semble bénéficier exactement des mêmes moyens.
Episode bonus oui. Film non!

Les fans de Jack Bauer espéraient depuis longtemps voir ses aventures sur grand écran, la Fox n’a certes pas exaucé leurs souhaits mais a tenter d’adapter le concept de 24 Heures chrono en format long-métrage pour un téléfilm servant de lien entre les saisons 6 et 7 de la série. Hormis le système de pseudo-temps réel (réduit comme chaque fois aux deux tiers en en supprimant les coupures publicitaires), la plupart des éléments de la série sont réutilisés, avec plus ou moins d’intérêt, comme ces quelques scènes inutiles se passant dans les couloirs de la Maison Blanche pour illustrer la passation de pouvoir présidentiel. Celles-ci ne servent en fait à rien à la nouvelle épopée que vit le héros puisqu’on le suit, cette fois, au fin fond de la savane africaine à s’efforce de sauver un groupe d’enfants en leur offrant un exil politique au prix de sa liberté puisqu’il est devenu un fugitif à la fin de la sixième saison. Fini les enjeux complotistes et les menaces terroristes donc, juste un scénario bateau sans la moindre finalité autre que celle de faire faire patienter les spectateurs entre deux saisons.

Assez classique, ce film n'est rien d'autre qu'un très gros flashback de la saison 7. Sans rien apporter de spécial à la franchise 24. Les deux heures de la vie de Jack sont ici rapportées en 1h20. Seul point original: l'action ne se déroule pas sur le sol américain, mais africain. Même si le dynamisme est assez soutenu, le tout manque cruellement de suspense, qui est le point fort de 24.

Ce "long métrage" de transition entre les épisodes 6 et 7 de "24", a été présenté comme celui du repositionnement politique, les méthodes brutales de Jack Bauer commençant à faire tache dans une Amérique lassée par la Busherie irakienne. Et quoi de mieux que la compassion envers une Afrique massacrant ses propres enfants pour s'acheter une bonne conscience ? Mais chassez le naturel... : les rebelles sont des affreux communistes, tandis que la présidente des USA se soucie, elle, de la légitimité du gouvernement en place ; l'ONU, bête noire des néo-cons, est une organisation de couards ridicules ; et, au final, même si Bauer aime maintenant les enfants de couleur, c'est pour qu'ils comprennent bien que leur salut ne peut venir que de l'homme blanc et américain ! Tout cela est plus nauséabond encore habillé des oripeaux de la "rédemption". Comme on peine à s'intéresser à l'enfilage de clichés qui servent de scènes d'action à un film curieusement plat, on ne peut qu'être consterné !

Changement de registre et de décors avec cette fois Jack qui s'exile en Afrique! Une histoire intéressante et bien menée condensée sur 2h. Je trouve quand même que le téléfilm est un peu moins prenant que la série elle même c'est pourquoi je ne met "que" 3,5/5. Il sert aussi de transition entre la S6 et 7 mais il n'est pas indispensable de le voir pour l'intrigue de la S7 qui est différente.

Un téléfilm pour faire la transition entre saison 6 et 7 pour combler le temps suite à la grève des scénaristes. On retrouve un Jack Bauer en Afrique toujours en quête d'anonymat et de rédemption.
C'est efficace, la mise en scène est comme toujours maitrisée. C'est tout bon.