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    Beginners
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    283 critiques spectateurs

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    toxicbo!
    toxicbo!

    15 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 novembre 2011
    Enrichie d'une mise en scène inspirée, le film réfléchi sur l'impact de l'éducation dans la vie d'un individu, sur les ravages de la dépression et la notion de repère. Résoluement optimiste, sans donner d'issu, il apporte à Ewan McGregor "l'ombre de lui-même", Mélanie Laurent "la lumière qui l'éclaire", en amorçant la reconstruction du moi intérieur, tout en abordant son obstacle premier: la peur d'un inconnu prometteur... Sensible et touchant!
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    910 abonnés 4 836 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 février 2015
    Film assez mélancolique au rythme doux sur la mort, la famille. C'est lent mais ça correspond bien au sujet. Ça pose des questions et il faut bien le temps de réfléchir pour y répondre. Assez artificiel je trouve
    Shiwamada
    Shiwamada

    32 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 avril 2020
    C'est un film teinté d'une certaine mélancolie, contrebalancée par la musique et les interventions du chien, très bien écrites. Oliver a assisté à l'histoire de ses parents, mariés par convenance. Sa mère décède, son père fait alors son coming-out et décède quelques années plus tard d'un cancer. Alors qu'il s'est occupé de son père pendant sa maladie, il se retrouve alors désespérément seul, et l'arrivée d'Anna va heureusement venir embellir sa vie. Mais en même temps, Oliver a tellement peur de reproduire l'histoire de ses parents qu'il ne s'implique jamais totalement dans cette relation. Mike Mills nous livre un film indépendant de bonne facture porté par un superbe duo d'acteurs et un Christopher Plummer parfait, assumant à la fois sa sexualité et accueillant la mort avec philosophie. On reconnait une certaine inspiration Woody Allen dans cette dualité permanente des sentiments, reflétée par l'affiche. Cela n'empêche que le film est relativement lent et manque de vrais rebondissements. spoiler: La fin résume également très bien notre sentiment global : "Et maintenant on fait quoi ?". C'est vrai que leur phase lune de miel est déjà loin d'être palpitante, alors qu'est-ce que ce sera après dix ans de mariage ?
    ffred
    ffred

    1 495 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juin 2011
    Deuxième film de Mike Mills après Age Difficile Obscur (pas vu). Ce réalisateur vient de la pub et du clip et cela se voit. Visuellement le film est très léché, les images sont très belles. Une multitude de photos, de dessins et de graffitis émaillent et illustre le récit avec bonheur. Sa mise en scène est simple, fluide et très plaisante. Son écriture aussi est très belle. J'ai trouvé que cela avait un ton plus british qu'hollywoodien. L’histoire (celle du père) est auto-biographique et cela se sent, c'est la plus plausible et la plus émouvante. De l'autre côté l'histoire d'amour semble un peu plus factice et fade, et même si elle est très sympathique, se ramollit un peu vers le milieu. Mais ce n'est jamais mièvre ni dégoulinant, aucun pathos, juste beaucoup de délicatesse et de subtilité. Le film est donc éclaté sur deux époques (peu lointaine l'une de l'autre) et l'on fait des aller-retours entre les deux, l'une nourrissant l'autre. Au delà du rapport au deuil et à la perte du père, plusieurs thèmes sont abordés avec plus ou moins de profondeur, de l'homosexualité d'un parent à la peur de s'engager, des conséquences de l'enfance au rapport à la mère...Le tout emballé avec une belle finesse, de l'humour mais aussi et surtout avec beaucoup de tendresse et d'émotion (la petite larme assez souvent...). Comme souvent Ewan McGregor est formidable, sobre, discret, efficace. Christopher Plummer est, quant à lui, vraiment très touchant dans le rôle du père septuagénaire faisant son coming-out, une très belle prestation. Mélanie Laurent, pour son deuxième film américain après Inglorious Basterds, remonte un peu le niveau de sa filmographie après les navets dont elle vient de nous gratifier (Requiem pour une tueuse, Et soudain tout le monde me manque). Si le rôle n'est pas renversant, elle est plutôt convaincante mais sans briller non plus. A noter dans le rôle de l'amant du père le docteur des Urgences Goran Visnjic, pas mal. Un très joli film donc, dans la lignée de Gigantic ou (500) jours ensemble. Une comédie dramatique et romantique éminemment sympathique, drôle, tendre, touchante et très émouvante mais surtout avec un charme fou. Une bonne petite surprise pour un très joli moment...
    velocio
    velocio

    1 160 abonnés 3 024 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juillet 2011
    Le mélo pur et dur n'a plus très bonne presse dans le cinéma du 21ème siècle. Toutefois, est-ce une raison suffisante pour extirper toute émotion sur une confrontation de sujets qui aurait gagné à en montrer un petit peu : l'amour, la mort ? Bon, d'accord, on ressent un soupçon d'émotion lors de la mort du père (Christopher Plummer). Un père qui fait son "coming out" homosexuel à 75 ans, lorsque sa femme décède d'un cancer. Lui-même décède d'un cancer, 4 ans après. Il peut être intéressant de noter que la mère de Mike Mills est morte d'un cancer ! Le film fait se succéder des scènes du présent, scènes sur la relation amoureuse qui commence à se nouer entre Oliver (Ewan McGregor) et Anna (Melanie Laurent), et des flashbacks sur la jeunesse d'Oliver auprès de son père et de sa mère et sur les 4 années séparant la mort de la mère d'Oliver de celle de son père. Au fil du film, on rencontre quelques belles scènes, mais il arrive aussi qu'on ressente un soupçon d'ennui. Mike Mills, dont c'est, à 45 ans, le 2ème long métrage, a beaucoup travaillé pour la publicité et a réalisé de nombreux clips. Les réalisateurs ayant cette origine sont souvent aux extrêmes lors de leurs réalisations cinématographiques : d'un côté, ceux qui gardent les qualités/défauts acquis dans la pub et le clip en pratiquant un montage type mitraillette; de l'autre, ceux qui se méfient de leur passé et qui se retrouvent à filmer de façon trop sérieuse. C'est peut-être ici le défaut de Mike Mills.
    Requiemovies
    Requiemovies

    185 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 juin 2011
    En s’appuyant sur des faits auto-biographique Mike Mills nous touche dans sa manière de narrer et filmer son vécu. Plus intéressant et paradoxalement moins nombriliste que son premier long, Beginners par l’association Plummer-McGregor, arrive à nous émouvoir et réussit haut la main le passage en trois couche des flash-back sans perdre le spectateur. Il donne ainsi un relief intéressant à son histoire et des respirations posées à juste mesure. On sort ému de ce film à la bande son parfaite d’adéquation avec les états d’âme de ces personnages principaux. C’est beau, indépendant et réussit. Savoureux et doux.
    John Henry
    John Henry

    98 abonnés 704 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 septembre 2011
    Des acteurs touchés par la grâce. Un film d'une émotion à fleur de peau et un résultat étonnant, très émouvant parce qu'il ne donne jamais l'impression de vouloir nous emmener sur ce terrain là.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    83 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 juin 2011
    Outre le charme presque sirupeux qui s’en dégage, l’intérêt majeur de Beginners réside en la diffraction temporelle (évocation de deux époques) et dans la séduction émanant des héros trentenaires, un peu paumés et décalés tant dans l’exercice de leurs activités respectives que dans leur comportement encore adolescent et immature. L’incrustation d’illustrations (les dessins conçus par Oliver) et l’évocation des années 50 (kaléidoscope de photos de famille et d’actualité) ajoutent à l’ambiance gentiment branchée de l’ensemble. S’inspirant largement de sa propre vie, Mike Mills réalise un film qui n’évite pas toujours les facilités de mise en scène et les effets à l’esbroufe. Si le filmage, influencé par les autres activités du cinéaste, flirte parfois avec un maniérisme un peu trop voyant, la sincérité des personnages fouillés affleure constamment. L’atmosphère générale est empreinte d’une douce mélancolie, d’une douleur pudique et d’une tristesse insidieuse. Par le biais d’astuces et de petits jeux scénaristiques, Beginners aborde avec une apparente et simple légèreté des thèmes graves comme la disparition d’un être proche et aimé, mais aussi la révélation tardive de l’homosexualité. En réfléchissant au passage du temps qui altère la mémoire et la perception de la réalité, Mike Mills fait et réussit le pari d’un film empli de poésie et de tolérance.
    mazou31
    mazou31

    80 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2012
    Film qui relève à la fois de la comédie romantique — le moins réussi — et intimiste — un bijou —. Bourré de charme et de finesse, le film expose toute la nostalgie et la subtilité des relations parentales et amoureuses. Ewan McGregor joue admirablement ce rôle d’observateur tendre et mélancolique de sa propre vie et surtout de celle de ce père gay, fantasque et agonisant qu’interprète admirablement Christopher Plummer. La relation amoureuse de Mélanie Laurent, toujours entre deux avions, est moins crédible et surtout moins originale malgré le charme fou de l’actrice, qui surjoue cependant un peu trop. Quant au chien, Cosmo alias Arthur, observateur philosophe, il est parfait ! Un film léger mais touchant, bien plus profond qu’il ne veut paraître — l’histoire contée pare Mike Mills serait largement autobiographique — et qui ne se laisse pas oublier.
    stanley
    stanley

    57 abonnés 751 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 juillet 2011
    Je donne une appréciation mitigée à ce film qui finit, à la réflexion, par émouvoir. Il y a des films dont on ressent une certaine gêne à aimer (certains blockbusters américains ou comédies "limites") et d'autres, comme Beginners, comme on aurait aimé plus. On sera sensible à la magistrale et émouvante interprétation du grand Christopher Plummer, dont le coming out lui permet, in extremis, de vivre enfin une vie inhibée avec son amant, excellent acteur sorti d'Urgences. On admire celle du fills, joué avec ambiguité (problème de l'engagement, de prendre sa vie en main) d'Erwan McGregor. On est amusé par celle du chien à la fois confident et témoin. Par contre, on sera exaspéré par le jeu de la frenchie de service joué par une Mélanie Laurent, avare en charme, et à qui Mike Mills fait dire des imbécilités. Les scènes du jeune couple sont très longues et ennuyeuses, sans imagination. Certains dialogues sont d'ailleurs très naïfs. Mills incorpore avec un certain talent (mais un peu forcé) des scènes d'époques et des dessins niais un peu lassants. Un film bancal mais somme toute très touchant par instant qui lorgne entre Woody Allen et Douglas Sirk.
    -Vinz-
    -Vinz-

    33 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 août 2011
    Un film émouvant, tout en délicatesse. Un chouette trio d'acteur jouant avec sincérité. Reste un montage un peu confus et qui manque parfois de rythme. L'ensemble est bon, à voir et revoir!
    Inglorious_Ben
    Inglorious_Ben

    47 abonnés 1 425 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 août 2017
    Ewan McGregor et Mélanie Laurent? Voilà un duo auquel on ne s'attend pas du tout. Si les acteurs sont tous excellents et talentueux, l'interprétation ne fait malheureusement pas tout dans un film. Ici le scénario est si plat et le rythme si lent que l'excellent choix du casting vient enfoncer encore plus le film... Beginners reste un drame classique, qui manque cruellement d'efficacité et d'originalité pour convaincre l'auditoire...
    Rourkewhite
    Rourkewhite

    40 abonnés 912 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 janvier 2024
    Chronique sensible et existentielle, ce petit film attachant mérite mieux que de tomber dans l'oubli. Le charme et la justesse des interprètes (excellent casting!) finiront de faire opérer le charme d'un film profondément délicat, teinté d'une poésie douce-amère, d'un romantisme libéré et d'un humour mélancolique qui, alliés à une réalisation inventive mais sans excès, ainsi qu'à un scénario juste, émouvant et vulnérable, permettent à un film mineur de se hisser au-dessus du lot!
    diki2
    diki2

    23 abonnés 312 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2012
    beau film auquel j'étais préparé pour avoir visionné les critiques avant. J'ai aimé la poésie de la mise en scène, qui tisse avec élégance une narration éclatée entre présent et passé sans jamais nous perdre. J'ai adoré les acteurs , les trois sans distinction . Cette histoire de névrose ne raconte rien de palpitant, juste une vie qui s'en va, en vivant enfin au grand jour sa vraie vie, une autre qui peine à trouver son chemin après des échecs amoureux. Pas terrible hein? hé bien détrompez vous. Pour peu qu'on s'intéresse aux gens et à leurs comportements, pour peu que nous ayons traversé des moments un peu stone dans notre vie , ce film fourmille de détails tellement bien vus et pensés qu'on se laisse envahir sans déplaisir par cette torpeur magnifiée par le jeu et la présence d'ewan Mcgregor et de mélanie laurent que j'ai rarement vu plus lumineuse et de christopher plumer vraiment émouvant . Un très bon souvenir cinématographique.
    PIERRE-QUI-ROULE
    PIERRE-QUI-ROULE

    34 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 octobre 2011
    Je suis un bon public. Je regarde tous les films du début jusqu’à la fin, même les daubes.



    Mais ce film était un vrai supplice. Pourtant, j’aime les film dit « indie » qui ne sont pas produits par des grands studios de hollywood.

    Mike Mills a écrit et fait ce film, tiré de son propre expérience personnelle. Le sujet, par ailleurs intéressant, est traité d’une manière bizarre.


    Les dialogues sont nuls. Il n’y a pas une scène qui nous fait rire. Il n’y a pas une scène qui nous émeut. Parfois, les sujets fades peuvent être traités par des acteurs magnifiques. Ici, ce n’est pas le cas. Plummer comme gay ne passe pas.


    Mélanie et Ewan, bien que charismatiques, semblent se poser la même question : « Qu’est-ce que c’est ce film de …… ».

    Quelqu'un dans ces critiques avait comparé ce film à 500 jours ensemble. Soit. Seulement, 500 Jours Ensemble est mille fois mieux.
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