Avis : The Last Days of American Crime - Page 2

Un film sur lequel on a pas envie de mettre une mauvaise note tant on sent la volonté de faire bien. Une réal propre, bien filmé, le casting a une gueule, la BO est soignée.. et malgré tous ces efforts c'est quand même mauvais. Caricatural, facile, un scénario hyper classique sans recherche, et une succession de scènes clichées même si la fin est assez bien faite. Pour une film de plus de 2h ça manque clairement de finesse

Les 30 premières minutes sont décousues, les dialogues sont inutilement longs et surjoués pour apporter un semblant de profondeur et de gravité aux personnages.
On a clairement du mal à tout comprendre et rentrer dans le film.
Esthétiquement le film est beau, on sent l'inspiration BD et c'est une de ses rares qualités avec les combats.

Comme je ne sais pas par où commencer, je vais aller directement à la fin : ce film est une catastrophe. Et le mot est faible. Le seul avantage de The Last Days of American Crime, c'est qu'on ne risque pas d'occulter ses qualités puisqu'elles brillent par leur absence. Rompu à l'exercice du nanar radioactif (Taken 2 ou 3, Colombiana) le réalisateur Olivier Megaton revient et il n'a rien perdu de son mauvais goût. Bien au contraire, à ce petit jeu-là, il pourrait même filer des leçons à Michael Bay (j'exagère à peine).
Prenant source d'un comics dystopique, on suit la planification d'un braquage au beau milieu d'une société asservie par le contrôle des masses (une puce intégrée au cerveau empêchera tout acte jugé criminel). il y avait matière à livrer une peinture à mi-chemin entre Tueurs-nés et Paul Verhoeven, du moins à mon sens. Bref, tous les éléments pour passer un bon savon aux dérives sécuritaires et autres insanités liberticides commises "pour le bien de tous".
Le problème, c'est que ces choses-là (qui donnent du cœur ou de la profondeur à un récit), Olivier Megaton s'en balance au moins autant que de servir le récit au premier plan. Sa mise en scène est un vrai repoussoir à toute forme de narration, de cohérence, de lisibilité ou d'efficacité. Le film réussit la performance d'être irregardable à chaque scène. Oui, même lors de simples séquences dialoguées. À coups de caméras à l'épaule abominables, de découpages infects et d'une photographie malpropre, la réalisation oscille entre vulgarité crasse et déviance formelle. À titre d'exemples, les transitions ou SnorriCam -caméras attachées aux acteurs- sont odieuses.
Au moins, cela fait ton sur ton avec le script, très généreux en dialogues embarrassants et voix-off écrite avec les pieds. Les tares ne s'arrêtent pas là, fort heureusement. La musique -parfaitement immonde - s'accorde à merveille avec les images et les comédiens sont en pleine souffrance. Edgar Ramirez est complètement éteint tandis que Michael Pitt est limite hystérique (curieusement, c'est parfois drôle). Sans parler de Sharlto Copley, cantonné à un troisième rôle insipide au possible. Seule Anna Brewster parvient à tirer son épingle de ce gâchis de talents.
The Last Days of American Crime est une expérience douloureuse, à tous points de vue. Et elle affiche une durée tortionnaire de presque 2h30 ! Tenir jusqu'au bout tient de l'héroïsme ou de l'irresponsabilité, au choix. Un film sorti de nulle part qui aurait mieux fait d'y rester, puisqu'à défaut son visionnage s'apparente à une propulsion vers la première décharge publique.

Pas encore disponible à la notation lorsque j'ai découvert l'existence de ce film, j'ai lu son résumé ici, et j'ai trouvé qu'il donnait envie de le voir. Je me le suis "procuré". Quelques jours après, alors que je ne l'avais toujours pas visionné, voilà que je repasse ici et qu'il a une moyenne de 1,7/5. Je me suis dit "pas de chance pour moi qui regarde toujours ce que je prends"...
Verdict ? Il souffre de trop de longueurs. Il aurait mieux été adapté à un format d'une demi-heure voire une heure en moins. L'intrigue comporte du suspens mais les personnages principaux ne sont pas très attachants, ce qui lui nuit forcément.
Enfin, si c'est loin d'un grand film, je trouve que celui-ci ne mérite pas une telle moyenne.

Belle bande annonce mais film très mauvais 2h17 d'une longueur interminable une production Netflix ratée de plus perte de temps

Comment c'est possible de faire un film aussi inutile et qui dure 2h30 !
C'est complètement nul, invraisemblable, inintéressant, mou seul la prestation de Michael pitt est a la hauteur.

Olivier Magaton (de l'écurie Besson)...ces ont des films aux belles images, on ne peut pas dire grand chose côté réalisation mais c'est une succession de navets qui n'en finit pas.
La 1ère fois que son nom m'est apparu c'était pour "Sirène Rouge", très bien marketé mais très mauvais, puis des suites de franchises diverses, un film avec la superbe Zoe Saldana malheureusement tout aussi médiocre.
Il s'agit globalement dans tout ces films d'aligner des scènes d'action sans queue ni tête au sein d'un scénario où l'on se fiche de tout (crée un intérêt, respecter un minimum de vraisemblance).
Voici quelques exemples ci-dessous (si ça peut vous éviter de perdre...2h28...et oui, il y a tellement de choses à dire dans ce film qu'en plus on se permet le luxe d'une durée totalement inappropriée...


spoiler: un méchant se fait torturer à coups de regards mauvais dans une baignoire remplie d'essence.Son bourreau lui laisse un cigare à la bouche.Oh, bien-sûr, notre méchant pourrait sortir de la baignoire de tout un tas de façons, ou au pire cracher ce cigare en dehors de la baignoire mais...il n'y pense pas et attend que l'autre ait quitté l'immeuble pour mourir dans une magnifique explosion.


spoiler: Notre héros bois tranquillou un verre quand une jolie fille le drague parce que dans sa TODO list il y avait de se faire tirer dans les chiottes d'un bar glauque.

The last days of American crime est un roman graphique que l’on doit au duo Rick Remender / Greg Tocchini. Cette adaptation a été confiée aux bons soins du réalisateur français Olivier Megaton qui est loin de se montrer inspiré. Les personnages se révèlent terriblement fades au point qu’on a l’impression que Michael Pitt fait son numéro dans le vide. Que dire aussi du rôle tenu par Sharlto Copley, on ne comprend même pas sa place dans l’histoire. Les scènes d’action n’ont rien d’extraordinaire et ne parviennent pas à sortir le spectateur d’une (trop longue) léthargie compte tenu du manque de rythme. Clairement, un film que vous n’avez surement pas envie de mettre sur votre liste.

Ce film réalisé par Olivier Megaton, très proche de Besson depuis ses débuts au cinéma, est dans la lignée de ses autres long métrage. Malgré un bon casting et un scénario à potentiel, c’est long, très long et il y a trop la patte, le style Luc Besson des années 90. Note moyenne pour avis mitigé

L'histoire du film est une équipe qui tente de commettre un casse juste avant qu'un signal ne vienne pour empêcher quiconque de commettre un crime grave. Le personnage principal Edgar Ramirez joue le personnage principal ici et honnêtement je n'ai jamais été un grand fan de lui car je le trouve vraiment ennuyeux à regarder. Ce film n'est pas différent car il est un personnage principal ennuyeux. Il n'y a rien d'unique en lui en tant que personnage principal et le film ne vous donne aucune raison de vous soucier de lui. Anna Brewster joue l'intérêt amoureux de Ramirez et je veux dire qu'elle a les meilleures motivations mais elles ne fonctionnent toujours pas et je me fichais de leur romance. Il n'y avait tout simplement rien et aucune chimie entre les deux interprètes pour le rendre intéressant ou convaincant. La fin du film est folle et essaie de vous faire vous soucier des personnages mais vous ne le faites pas. Le scénario est vraiment mauvais et le drame ne me connectait pas ou je ne faisais pas attention à quoi que ce soit. Il n'y a littéralement pas d'humour ce qui en fait une expérience très sombre et frustrante. De plus le film est de 2 heures et demie ce qui est absurde. Il entraîne une mort lente et douloureuse. Le realisateur aurait dû savoir ce que c'était et viser un peu moins au lieu de traîner avec l'un des plus lents films que vous verrez de toute l'année. Globalement c'est un film vraiment médiocre. The Last Days of American évite une note 0 à cause de certaines scènes d'action et de Sharlto Copley mais c'était proche parce que je m'ennuyais tellement à regarder ce film. Je ne recommande à personne de perdre 2 heures de la journée avec ça...

un film symptomatique de la maladie netflix, a part quelques belles production la majorité de la production netflix est au rabais et ce film en est la parfaite illustration, un synopsis allechant mais une mise en scene ringarde des cliches partout c est faible cinematographiquement parlant

Film épouvantablement long et absurde. Jeu d'acteurs nullissime. Alignement incohérent de scènes sans scénario. Film totalement dépourvu d'intérêt, même pour simplement passer le temps.

extrêmement laborieux, beaucoup trop long (genre 1h trop long), mal écrit, les dialogues sont souvent ridicules, trop étirés, inutiles ou clichés, 80% du film ne sert à rien et n'a rien à voir avec le concept de base: une puce empêchant de commettre des crimes. On pourrait être tenté de le résumer à un simple film de braquage, mais même celui-ci dure peut-être 15min... sur 2h30 c'est peu. Les personnages sont très mal introduits, on ne s'attache pas, bref, raté.

Daube.
Point. Même les annees 90 renieraient cette façon de filmer, kitsch et ringarde. Tu veux perdre ton temps ?? Regarde !
Pour moi, c'est Next(Flix) !

Cela relève du masochisme que de s’infliger un film d’Olivier Megaton et encore plus s’il dure 150 min (!) Pour rappel, ce bonhomme est responsable de bon nombre de purges scénarisées/produites par Luc Besson, à savoir Le transporteur 3 (2008), Colombiana (2011) ou encore Taken 2 & 3 (2012/2014).

The Last Days of American Crime (2020) nous entraîne en plein cœur d’une Amérique dystopique où le gouvernement a mis au point une onde radio rendant impossible pour chacun de commettre un acte illégal. Adapté du roman graphique éponyme de Rick Remender & Greg Tocchini,

Olivier Megaton restitue ici une œuvre tellement lénifiante que l’on déchante au bout de 30 minutes, autant vous dire qu’il faut être sacrément motivé (ou maso) pour vouloir continuer et se farcir les 120 autres minutes (ce que je me suis efforcé de faire, hélas). Il en résulte une œuvre totalement lénifiante et chiante à en mourir, où il ne se passe strictement rien, c’est d’une platitude désarmante. Insipide et fade, bourré de clichés et de dialogues à n’en plus finir et qui ne mènent à rien, le film brasse continuellement du vent et ne comptez surtout pas sur les acteurs pour sortir le film de ce marasme, Édgar Ramírez est totalement éteint, face à un Michael Pitt complètement allumé.

Olivier Megaton reste égale à lui-même et continue de réaliser de la mǝrde, sauf que cette fois-ci, il prend un malin plaisir à nous torturer. 2h30 de sadisme pure, incroyablement long, vide de sens et d’un quelconque intérêt. Jamais je n’aurais pu tenir de tel propos, mais je crois qu’à ce stade, j’aurais préféré revoir l’un des Taken plutôt que de m’infliger pareille souffrance.

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