Avis sur Un tueur pour cible

Un film d'action très moyen pourtant ça débutait assez bien mais les scènes d'action sont quasiment similaires et peu spectaculaires d'où un certain ennui.

Des duels chorégraphiques au ralenti. Des fusillades compulsives. Des visages impavides et des regards tranchants. Pas de doute, on est bien dans un de ces produits dérivés signés par un émule de John Woo. Chow Yun-fat, star de Hong-Kong, est d'ailleurs de la partie. Réalisateur de clips, Antoine Fuqua sait faire passer l'énergie dans ses plans. Mais son mitraillage sonore et visuel, plus mécanique que magnétique, est orchestré sans véritable imagination.

Pas vraiment captivant à cause d'une impression de vu et revu, et d'un scénario bien maigre.

un film qui ma déçu John woo yun fat se sont cesser les dent avec se mauvais film qui na rien avoir avec se qu’il on fait Hong Kong sai nul les scène d'action sont raté et le scénario et bidon a éviter .

Pour son premier film, Fuqua reprend non seulement l'acteur fétiche de John Woo mais également son style. Cela offre un film sans scénario et très chorégraphié, qui divertit tout juste.

Le clipper Antoine Fuqua faisait ses débuts en 1998 en réalisant Un tueur pour cible, hommage assumé aux films de John Woo. Hommage par la présence du charismatique Chow Yun-Fat, par les gunfights savamment chorégraphiés et par John Woo crédité comme producteur exécutif. En fait, il ne manque que les colombes et on aurait eu la totale. Le scénario tient sur un ticket de métro : un tueur se retourne contre son employeur en refusant d'honorer un dernier contrat. L'employeur, un patron de la mafia chinoise, se vengera en traquant sa famille. Du coup, Chow Yun-Fat, très énervé, décimera pendant 90 minutes la moitié de Chinatown avec deux flingues à sa ceinture et une escroc (Mira Sorvino) se baladant la plupart du temps en soutien-gorge. Ça n'ira pas plus loin mais ça reste un honnête divertissement du samedi soir.

Un tueur refuse d'exécuter une cible (on ne sait pas pourquoi d'ailleurs) alors qu'elle est dans son viseur et donc son méchant patron veut le zigouiller, s'en suit des scènes de flinguage dans divers endroits de la villle ou le "gentil" tueur fait le ménage et dégomme à gogo mais malheureusement c'est réalisé sans génie et les scènes sont banals et classiques, bref n'est pas John Woo qui veut.

Alors là je cherche , mais je me souviens pas d'avoir vu un film avec un scénario aussi simple : un parrain de la mafia veut tuer par vengeance le fils d'un flic et le tueur engagé refuse donc : boucherie.Ce polar est largement inspiré des films de John Woo et ce cher Antoine Fuqua a une fois de plus chié dans la colle.En effet , dans ce genre de film quand on fait une histoire simpliste c'est qu'on se rattrape sur le reste mais là même pas , Chow yun Fat nous fait une bien maigre performance , franchement il m'a habitué à mieux , cela dit Mira Sorvino rattrape un peu le coup.Ensuite les dialogues sont vraiment moyens et quand au "point fort" du film à savoir les scènes d'actions et bien c'est très décevant.En effet , c'est sur ce point que Fuqua s'est inspiré de John Woo mais il n'a copié que le mauvais coté à savoir qu'elles ne sont pas toujours crédibles , c'est bien beau de faire des gunfights stylés mais quand l'adversaire est à bout portant c'est franchement ridicule surtout quand on abuse des mouvements.Donc voilou dans l'ensemble c'est un film médiocre à moins d'être un inconditionnel du genre.

Ce film est en fait un film sur des fusillades. Il y a plus de batailles d'armes à feu dans ce film qu'il n'y en a eu pendant la guerre de Sécession. Des pistolets capables de tirer des dizaines de coups sans recharger et des criminels qui ne parviennent pas à atteindre leur cible bien qu'ils soient armés d'un milliard de munitions. Un héros qui est capable de les tuer par dizaines sans viser. C'est la version de la fusillade de gangsters qui consiste à se mettre à couvert lors d'une attaque atomique et d'attendre. C'est la chute et la roulade devant toutes les balles qui se dirigent vers vous. Donc si vous aimez les fusillades avec des armes automatiques et semi-automatiques et que la seule raison pour laquelle votre vie a un sens est de voir des fusillades avec des armes automatiques et semi-automatiques alors croyez-moi ce film est fait pour vous. Mais pour les autres je me le demande encore...

Bonne réalisation d'Antoine Fuqua. Même si le scénario n'est pas très innovant il est efficace. La distribution est de qualité. Aucun temps mort...
Une réussite...

Film un peu cliché mais qui se laisse regarder ...

Un excellent film d'action signé par un pro du cinéma A. Fuqua. Le scénario est certes ultra conventionnel mais les scènes d'action façon John Woo (qui est producteur exécutif) sont exceptionnelles et Chow-Yun Fat est un très bon comédien.

L'ELITE DE CHINE. Le minimum syndical du crime. Un coup dans l'eau pour un refus de tuer. Un combat inégal, criblé de trous scénaristique. Je pars en randonnée.

Un film Panpan-Boumboum dans lequel on ne fait que se flinguer de façon grotesque (je sais bien qu'on est au cinéma, mais il y a des limites quand même !) Ajoutons-y quelques enchainements incompréhensibles et on aura une idée du tableau. La seul chose intéressante est la présence de Mira Sorvino, mais elle ne peut sauver le film

La classe et le charisme de Chow Yun-Fat ne peut suffire à faire un film. Et si c'est toujours un plaisir de voir l'acteur honk-kongais dans un rôle de tueur à gages, rappelant le "The Killer" de John Woo mais la profondeur en moins. Le reste ne suit malheureusement pas. On nous ressert une histoire déjà vu un paquet de fois avec ses rebondissements prévisibles. Bien que la mise en scène d'Antoine Fuqua n'arrive pas à la hauteur de celle d'un John Woo, les scènes de gunfight sont plus qu'appréciables. Manque d'inventivité, de surprises, de saveurs mais le divertissement est là. C'est déjà ça.