Avis : Killing Bono - Page 2

J ai vu Killing Bono au cinema et j ai adore. On rit beaucoup, les chansons sont geniales, bref c est un film allais T res reussi que je vous conseille absolument. Moi, je viens de me l offrir en dvd.

Killing Bono est basé sur une histoire vraie. Il y avait deux groupes rivaux amicaux jouant à Dublin. L'un d'eux a changé son nom en U2 et nous connaissons la suite de cette histoire. Bono voulait que le guitariste quitte le groupe rival. Plutôt que de demander directement au guitariste Ivan il demande à son frère Neil le chef du groupe, qui refuse. Neil pense que son groupe deviendra meilleur que U2 qui n'a pas encore enregistré son premier album et il rend service à Ivan. Ivan ne réalise pas qu'il a eu la chance de jouer pour ce qui sera le groupe le plus populaire du monde. Pendant ce temps pour devenir grand le groupe s'implique dans la mafia irlandaise. Ils finissent par jouer dans un club de strip-tease avant d'emprunter de l'argent pour aller à Londres. Enfin vers la fin du film nous comprenons le titre. Neil pense que tous ses problèmes sont causés par Bono et s'il pouvait simplement le tuer ? Le titre du film est un crochet et n'a pas grand-chose à voir avec ce film extraordinaire incontournable pour les fans de rock. Martin McCann a fait un excellent travail en jouant à Bono. Le film était drôle et divertissant. Souvenez-vous seulement de ceci : la mesure d'un homme est ce qui reste quand sa renommée tombe...

Film qui se laisse regarder, mais le resultat est plutôt moyen tout comme les acteurs. Je m' attendais à mieu vu le scenario et le casting. Dommage.

Excellent film ! Drole, moqueur, sur la fraternité et l'envie de succès, le tout pour une excellente comédie sur fond de Rock eighties. Les acteurs sont fantastiques, Ben Barnes et Robert Sheehan en tête, l'acteur Martin McCann jouant Bono est tout a fait crédible. On aime se moquer de ses pauvres gars qui n'ont jamais de chances, et le film est tout a fait efficace dans sa totalité. La bonne comédie de l'été, courez !

Ben Barnes (Neil) interprète très bien le loser qui accumule les plans foireux, un peu cracra mais gentil dans le fond. Robert Sheehan (son frère Ivan, à l’écran) aussi surprend dans un rôle presque naïf – ça change du branleur qu’il est dans Misfits ^^ Très bon duo en tout cas. On sent l’alchimie entre eux deux et leur galères semblent délirantes. C’est incroyable cette histoire, à croire qu’une force cosmique s’acharne effectivement sur les frères McCormick, enfin, sur Neil surtout.

J’avais peur d’un biopic ennuyeux (oui, ça peut arriver) sur U2 (ok, je n’ai lu aucune critique ni vu aucune bande-annonce donc j’ignorais le sujet) et je tombe sur un biopic énorme, truffé de déboires burlesques, d’humour et de musique bien sûr.

A voir, à revoir et à lire !!!

Vraie bonne surprise et vraie bonne découverte . Original et permet de voir les à côtés des potes de l'époque de l'avant U2

A réserver aux fans du groupe , sinon l'évolution du film devient ennuyeux . 1 étoile et demi.

L'ascension de U2 et de son leader, au détriment de camarades restés sur le carreau pour ne pas avoir fait les bons choix. Le film tente de s'éloigner des lieux communs de ce type de biopic mais n'y parvient que trop peu souvent. Les inévitables scènes de disputes, secrets cachés, regrets etc sont belles et bien là. Cela reste tout même un morceau de l'histoire de ce groupe qui n'est pas inintéressant mais aurait mérité un traitement plus sérieux et moins caricatural. Les acteurs sont excellents.

Aussi énervant qu'attachant, pour finir par être totalement craquant.Cette histoire d'insuccès est étonnante,c'est celle de Neil Mc Cormick, sorte de Salieri d'un Mozart-Bono à qui tout réussit.Histoire d'un loser parfait, assoiffé de reconnaissance,le film est pathétiquement drôle. C'est plein de défauts, ça part souvent dans tous les sens,c'est foutraque et fantasque à l'image de la mode vestimentaire de l'époque, mais c'est au final diablement attachant, surtout dans sa dernière partie, possiblement tragique.
On retiendra surtout l'histoire fratricide, et le lien fort entre les deux frères McCormick.La douceur fade de Ben Barnes rend souvent touchant un personnage agaçant ,coincé dans sa névrose d'échec et Robert Sheehan est la révélation flamboyante du film, d'une énergie et d'une beauté remarquables !

Pour commencer une bande son juste prodigieuse (évidemment si on aime U2 et le rock héroïque), un sujet en or. Beaucoup de plaisir et de générosité dans l'aventure naïve et incroyable de ces 2 frangins losers et poisseux comme c'est pas permis. Un très joli film. 4/5

Un film sympathique, rythmé (même si la dernière partie du film se traîne un peu) et plein de couleur, interprété par des acteurs plein d’énergie qui tirent le film vers le haut.

Sympathique biopic sur le « groupe qui a fréquenté U2 et Bono avant qu'ils ne soient célèbres et qui pensaient eux-même devenir très célèbres tandis que l'un des deux frères a eu lui-même l'occasion de chanter pour U2 à un moment, ce que lui a caché son frangin pour le garder avec lui » (vous n'avez pas tout compris? Rassurez-vous, dans le film c'est très clair), « Killing Bono » a beau ne pas faire d'étincelles, il n'en est pas moins très agréable. C'est d'ailleurs avec ce même plaisir que l'on retrouve le réalisateur de l'intrigant « The Hole », auquel le changement radical d'univers ne fait pas de mal. La reconstitution est soignée et c'est avec joie que l'on plonge dans cet univers très « sexe, drogue et rock 'n' roll » décomplexée mais en définitive assez tendre, l'attachement du metteur en scène pour ces deux « losers » de héros étant constamment palpable. Le but n'est d'ailleurs jamais de nous peindre un portrait sombre et triste de ce groupe passé complètement à côté de la gloire. Bien au contraire, l'ensemble est vif, plein d'humour et écrit avec enthousiasme, à l'image d'un Pete Postlethwaite savoureux dans son ultime rôle. Loin de la fadeur qui caractérise souvent ce genre de productions, « Killing Bono » est une vraie bouffée d'air frais dans une année 2011 assez terne, certes modeste (trop?), mais salutaire.

Killing Bono (2011) est l'adaptation autobiographie du roman "I was Bono's Doppelganger" de Neil McCormick. Le film raconte les déboires de deux frères qui décident de monter un groupe de rock au même moment où un camarade de classe fait de même (et qui deviendra par la suite, le célèbre Bono du groupe U2). Neil McCormick, déterminé et buté pense qu'il a toutes ses chances avec son jeune frère Ivan (ce dernier apprendra bien plus tard qu'une opportunité en or s'était présentée à lui, à savoir intégrer U2, mais son frère ayant refusé l'offre afin de le garder auprès de lui, il le lui fera payer très cher).
On suit ainsi les mésaventures de ces deux frères, qui essaient tant bien que mal, dans l'ombre de U2, de percer dans l'univers de la musique, entre les répétitions dans le garage aux premières représentations dans des pub miteux, avant de connaître un certain succès avec leur première tournée (alors qu'au même moment, U2 est adulé dans le monde), Neil McCormick est tellement déterminé qu'il en vient à mentir à tout le monde, même à son propre frère (et même à se lier avec la mafia locale). On y découvre un loser attachant et détestable à la fois, un pauvre type rongé par la soif de reconnaissance.
Nick Hamm a su parfaitement retranscrire l'Irlande et l'Angleterre des années 70/80 (décors, costumes, etc), ajoutez à cela une sympathique B.O et le charisme des acteurs (Pete Postlethwaite, mention spécial à Ben Barnes & Robert Sheehan), que demandez de plus ? Attention, le film n'est en rien un biopic sur U2, il est uniquement centré sur les deux frères McCormick.

A moins d'aduler le groupe U2 (dont les membres jouent un petit coucou dans le film, et dont les chansons résonnent à la moindre occasion), Killing Bono n'a pas l'âme d'un rockeur. Et pourtant, les acteurs sont très en forme, chantent et jouent réellement leurs chansons, on ne peut que reconnaître leur investissement. Mais le rythme ne se tient pas toujours, le drame prend trop le dessus sur ce qui devait être une comédie, et le scénario n'avance pas jusque dans les dernières secondes, qui nous lâchent sur un lot de post-faces écrites hilarantes, mais qu'on aurait adoré voir en vrai. Les shows sont cependant très agréables à écouter, et sont finalement les seuls passages que l'on retient de Killing Bono, avec les petits caméos des membres du groupe. Un peu mou par moment, ça s'enguirlande trop pour ne pas plomber l'ambiance, mais le final est plein de bonnes idées, les acteurs se donnent corps et voix, et le film offre quelques musiques rock and roll parfaitement dans l'esprit du genre.

Après « Nowhere boy » où on entendait peu la musique des Beatles alors que le film rendait compte de l’enfance du plus célèbre de ces membres : John Lennon, voici venir « Killing Bono » où non seulement la musique de U2 est quasiment absente du film mais Bono lui-même n’est présent à l’écran que pendant une faible partie du film. Escroquerie ? Non, car en fait « Killing Bono » est plutôt l’histoire de ceux qui côtoyaient les stars, quelle qu’elles soient, avant leur envol vers les sommets de la célébrité et qui rêveraient d’en faire autant. Ici Neil McCormick avait pour pote au lycée Paul Hewson avec qui il partageait le désir de fonder un groupe de rock et de devenir célèbre. Si ce dernier au sein de U2 et en tant que Bono s’élève jusqu’au sommet, Neil lui vit de piges et ne parvient pas à percer, développant en outre une jalousie et une rancœur contre son vieil ami. Sous forme de comédie dramatique inspirée du livre du vrai Neil McCormick, Nick Hamm nous livre une fable un peu foutraque sur le désir de célébrité, au combien dans l’air du temps, et ses névroses. Les épisodes où le groupe de Neil finit par décrocher un engagement qui coïncide invariablement avec un grand évènement (venue du Pape ou concert pour la lutte contre la faim en Afrique) qui draine les foules les laissant sans publique sont vraiment parmi les moments les plus savoureux du film. Ben Barnes, en Neil McCormick, donne d’ailleurs sa meilleure performance en cassant son côté beau mais un peu lisse acquit dans le volet de « Narnia » ou dans l’adaptation du « Portrait de Dorian Gray ». Le film est agréable tant on finit par se demander si Neil va finira par avoir son moment de gloire et en même temps on espère aussi que finalement il trouvera quelqu’un sur sa route pour lui mettre une baffe et lui dire arrête ton délire t’as pas de talent lâche l’affaire ! Distrayant mais un peu long, il permet de découvrir qu’être musicien dans l’ombre d’un des plus grands groupes du monde n’est pas sans poser des problèmes.