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Bruno65
25 abonnés
797 critiques
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1,5
Publiée le 5 avril 2015
Je sais que pour beaucoup il à le statut de film culte.Mais pour moi ce n'est un road-movie sans intérêt,à la réalisation hasardeuse et à la fin abrupte qui tombe comme un cheveu sur la soupe.Seule la courte apparition de J.Nicholson et les paysages ont ma mansuètude!
Un pur chef d'oeuvre sur la liberté. Dennis Hopper et Peter Fonda incarnent des motards en quête d'évasion. Jack Nicholson les accompagne dans ce voyage. Un bon road-trip à travers les États-Unis à l'ancienne.
J'ai vu Easy Rider pour la première et unique fois avant ce soir il y'a 6 ans et je n'y avais rien compris ! Aujourd’hui le film m'apparais sous un tout autre angle ... Qui plus est en cette date particulière, 17/08/19, jour de la mort de Peter Fonda. Ce dernier dégage un charme et un charisme à toutes épreuves. De sa dégaine à son attitude, il incarne l'idée même de la liberté. En parlant de Liberté, qui mieux placé que Jack Nicholson lui même pour la définir ? Son incursion illuminé à la moitié du film contribue au mythe ! Dennis Hopper lui aussi y est de sa touche puisqu'il est celui qui le dirige. Sa contribution au cinéma, son hymne à être " Born to be a Wild " ! Chanson elle aussi mythique, la B.O est d'ailleurs dans son intégralité démentiel. Les séquences cultes dans Easy Rider ne se comptent plus, Dennis Hopper filme l'Amérique sous toutes ses coutures ...
"- Ce n'est pas de vous qu'ils ont peur, c'est de ce que vous représentez pour eux. -Ce qu'on représente pour eux c'est des mecs qui ont besoin d'aller se faire couper les cheveux... -Non, ce que vous représentez pour eux c'est la liberté." Ce dialogue, prononcé par un Fonda et un Nicholson fumant le cannabis (et pour de bon en plus!) au coin du feu, résume ce qui rend Easy Rider si merveilleux. On s'évade, on suit l'acheminement de ces deux motards en Chopper qui roulent vers leur rêve de Nouvelle Orléans sur du Jimi Hendrix et du Steppenwolf. Le duo formé par Hopper et Fonda fonctionne à merveille, et c'est avec un plaisir immense que l'on avance au gré de leurs rencontres, allant de l'avocat au camp de hippies. C'est le meilleur road movie qui soit à mes yeux : il donne envie d'aller sillonner la route 66 (et même n'importe quelle autre route pourvu que l'on en sillonne une !), de vivre à fond, sans se soucier des envieux. Au fond le message est plutôt simple et colle à son temps (sorti en 69...) : épicurien et hippie, anticonformiste et assez antisocial. Mais qu'est-ce que c'est bien fait ! Easy rider reste pour moi l'un de ces films qui mettent du baume au cœur. On comprend pourquoi à sa sortie c'est devenu le film culte de toute une génération désireuse d'émancipation et de renouveau... A regarder quand on rêve de voyages, de rencontres, et de liberté.
Je viens de revoir ce film et ma foi, je dois dire qu’il a quand même un peu vieilli. Il n’est pas mauvais mais le problème c’est qu’on s’ennuie par moments car il ne se passe rien grand chose et l’histoire n’est pas des plus passionnantes, heureusement qu’il y a la musique. On suit le voyage de deux motards à travers de beaux décors des Etats-Unis entre deux pétards et rencontres éphémères sans réel but. Le film est avant tout un hymne à la liberté et une recherche de soi dans une Amérique conservatrice et intolérante. Les dialogues sont assez minimes et le jeu d’acteurs encore pire - à l'exception de Jack Nicholson. A voir pour une certaine nostalgie des années soixante et sa culture cinématographique.
Ce film a certes un peu vieillit mais il est tout de même très bien. Un film qui lutte contre les préjugés et prône la liberté. En revanche je n'ai pas du tout accroché a la séquence du cimetière que j'ai trouvé trop bizarre a mon gout. Les acteurs sont très bon en particulier Nicholson qui est très drôle. Une très bonne BO et de magnifiques décors. Une fin brutal qui restera dans ma mémoire.
Easy rider navigue entre le road trip et le documentaire façon National Geographic sur les années post hippies, 69 c'est déjà plus ou moins la fin du mouvement hippie......Dennis Hopper et Fonda fils entame la traversée du continent, sur fond de musique sublimes et de paysages grandioses, à l'aide de multiples pétards qui vont les aider à supporter la médiocrité de l'époque.... le scénario est relativement plat et lent mais cela ajoute au charme du récit, il y a quelques bons moments, notamment dans le camp hippie où ils réinventent l'agriculture, la religion et les règles en société et d'où Hopper veut absolument s'enfuir et d'autres moments où la violence et l'intolérance crasse font froid dans le dos..... bref un beau voyage au bout de la route.....
Il est assez rare de voir conjugué en un seul film à la fois un témoignage d'une époque et d'une mentalité ainsi qu'une vraie oeuvre de septième art. Le film de Dennis Hopper "Easy Rider" en est un superbe exemple. Ce long-métrage, connu comme un road-movie motard, est en fait un témoignage de l'époque appelée "hippie" dans les années 60 aux Etats-Unis. Ces bons vivants qui symbolisent encore aujourd'hui ceux qui sont enîvrés, drogués, euphoriques... C'est une ode à la liberté qui émanaient de ces personnes que le film donne à voir. Des héros attachants parce que vivants à leur guise, totalement en dehors du système. D'ailleurs Easy Rider c'est aussi une critique de la société qui n'accepte pas ceux qui ne veulent rentrer dans le rang. Être libre comme les deux héros du film, c'est ce que l'on ambitionne tous un peu! Le film est aussi admirable par sa mise en scène. Photographie impeccalbe, tout passe par les images puissantes remplacant les dialogues quasi absents. Les mouvements de caméra sont intelligeamment gérés, le montage innovant nous faisant parfois croire que l'on est drogué (la transition entre les scènes) jusqu'à une séquence rappelant David Lynch (!!). Dommage que quelques passages soient ambigus, notamment le début assez ennuyeux. On appréciera également la bande son tout simplement passionante alternant de nombreuses chansons de l'époque toutes aussi superbes les unes que les autres, de Jimmy Hendrix à Bob Dylan. "Easy Rider", c'est surtout une galerie de personnages inoubliables. Les deux héros incarnés avec brio par Dennis Hopper et Peter Fonda incarnent la liberté, Jack Nicholson vient voler la vedette à tout le monde par un second rôle du tonerre. Finalement, on peut dire que "Easy Rider" est vraiment le film culte, celui qui reste dans les mémoires et dont les personnages ne nous quittent pas.
Wouah !!! Putain quel film ! Un hymne à la liberté, à la vie, servi par des acteurs fabuleux ( Hopper, Fonda et surtout Nicholson ). Sans doute le plus grand road movie du 7ème art, un film culte, un chef d'oeuvre.
J'ai eu de mal à accrocher au film, celui ci étant symbole d'une génération qui n'est pas la mienne, mais j'y ai tout de même pu apercevoir avec enthousiasme que les grandes question de la société de l'époque ( sexe, drogue, liberté, rêve américain... ) y été abordé avec brio
Culte tout simplement. Qui n'a pas révé d'enchevaucher une bécane pour traverser l'Amérique des 70's, de vivre au jour le jour en paix avec sois même et de se battre contre les valeurs puritaines des Etats-Unis. Ce film est reconnu comme celui qui a lancé la "contre-culture".
La moitié des plans extérieurs ressemble à un film de vacances en famille. Il ne se passe rien, les dialogues sont insipides et les acteurs transparents. Le seul très bon moment coïncide avec l'irruption de Nicholson qui, avec trois bouts de répliques, montre la différence que peut faire un excellent acteur.
Véritable hymne à la liberté, "Easy Rider" restera pour toujours le chef-d'oeuvre éternel sur ce thème. La réalisation très esthétique, la bande originale absolument géniale, les personnages tous autant qu'ils sont interprétés à merveille, les messages de tolérance et de liberté, tout concourt à en faire une oeuvre marquante et remarquable. Pas grand chose à dire de plus, il faut juste regarder et profiter.