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    Easy Rider
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    3,8
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    345 critiques spectateurs

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    Le Français Glacé
    Le Français Glacé

    22 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2017
    Easy Rider réalisé par Dennis Hopper en 1969.
    *Les points que j'ai appréciés →
    • L'évasion (le voyage et non la drogue)
    • Les méfaits de la drogue (les acteurs jouent à merveille les effets)
    • Les événements de la fin qui montrent encore une fois la cruauté des hommes

    *Les points que je n'ai pas appréciés →
    • Les dialogues assez ennuyeux (normal en même temps ils sont drogués presque tout le film

    *Conclusion →
    J'ai aimé, c'est intéressant à voir car on y voit les dégâts de la drogue. 7/10.
    Miamsolo
    Miamsolo

    179 abonnés 1 467 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 novembre 2011
    Quand je pense à Easy Rider, la première chose qui me vient à l’esprit est la chanson ‘Born to be Wild’, du groupe Steppenwolf, qui joue dans ma tête. Cette chanson est aussi célèbre que le long-métrage réalisé par Dennis Hopper. Dans ce film, nous suivons le parcours de deux hippies, assez défoncés. Lors du tournage de ce film, le réalisateur et les acteurs étaient eux aussi défoncés. Et ça se ressent à l’écran. Ce film a ses moments délirants, où les interprètes prennent leur rôle très au sérieux, à tel point de faire la même chose dans la vraie vie que ce qu’ils font devant l’écran. Pour être franc, je m’attendais à quelque chose d’un peu mieux. D’après les critiques et les cinéphiles, Easy Rider est un film culte. Ce film est réussi, mais de là à dire qu’il est culte, je ne suis pas vraiment d’accord. La fin est très réussie et rend le film encore plus intéressant qu’il ne l’était déjà.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    158 abonnés 2 421 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 octobre 2019
    Le film de contre-culture par excellence, avec ces qualités et ses défauts.
    On retrouve Peter Fonda et Jack Nicholson, tout jeunots, à l'aube de leur carrière (à peine quelques années de films derrière eux) et ils sont déjà très convaincant dans leurs rôles. Dennis Hopper (également réalisateur du film) est très bon également.
    La playlist est culte (démarrant par un très approprié Born to be Wild pour présenter les personnages, mais aussi du Jimmy Hendrix).
    On y suit des bikers qui parcourent le pays entier, à la façon de marginaux nomades et sans toit dans une société extrêmement sédentarisée.
    On redécouvre l'Amérique à travers les yeux de ses bikers et leurs rencontres avec d'autres marginaux de tout genre (les pueblos, les hippies, les rednecks de bourgades perdues, les prostitués, …). On y découvre des décors inattendues (les maisons closes, les petites villes abandonnées, les plaines, le village hippie) peu présent dans le cinéma hollywoodien de l'époque (bien plus focalisé sur les grandes villes et les décors à paillettes).
    Après, le film manque d'une intrigue, d'un fil conducteur (à l'image des protagonistes du film qui partent sans objectif en tête) : on se contente uniquement de vagabonder avec les personnages principaux.
    Et le film a tout de même pris un sacré coup de vieux. Le trip sous drogue est moyennement palpitant. J'imagine que c'était complètement nouveau à l'époque de filmer ce genre d'hallucination dans le cinéma ; mais depuis c'est devenu assez classique et certaines scènes de trip sont bien plus cultes (Las Vegas Parano ou Trainspotting pour ne citer qu'eux).
    Mais bien qu'ennuyeux, difficile de ne pas être sensible au charme révolutionnaire de ce film, montrant un autre visage de l'Amérique, mettant en avant les personnages de paria, qui étaient jusqu'à maintenant au mieux relégués au second rang.
    Le film a clairement bouleversé le cinéma, comme les années 60 d'une manière générale ont bouleversé l'Amérique (et le monde occidental dans une autre mesure).
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    46 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 janvier 2017
    vu le 20170105 avis le 20170130
    . . . . . . . . .
    C'est un film qui en a sous le capot alors qu'il n'y a quasi que deux motos - sans capot donc.
    . . . . . . . . .
    Superbe performance d'acteur, bien filmé, une histoire intéressante qui montre une vision des usa des années 70. Le film est fascinant par son magnétisme, il capte le spectateur d'une façon étonnante, peut-être par une joie de vivre sous-jacente au film, ou une noirceur latente ou je ne sais, ... probablement l'art de la mise en scène, du montage.

    Un film très intéressant, ce qui se passe à l'image n'est pas forcément le plus intéressant mais la façon dont cela est montré.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 juillet 2010
    Easy rider sue l'amateurisme et le "je m'enfoutisme" par tous les pores de la pellicule.
    Long pour rien, visuellement pauvre, sous couvert de "liberté" le film de Hopper relève en fait du néant artistique contemplatif.
    A regarder debout si on veut pas s'écrouler.
    Mieux: (re)regarder Vanishing point à la place.
    njer57
    njer57

    25 abonnés 322 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 février 2009
    LE film du nouvel Hollywood, celui qui le 1er mit un énorme coup de pied au cul des producteurs et ouvrit la voie à toute une génération de réalisateurs talentueux. Un scénario minimaliste dans un décor gigantesque pour un road-movie dans la plus pure tradition du genre avec un sentiment récurrent : la Liberté. On suit avec beaucoup d'envie ces 2 motards dans leur périple, rencontrant à la fois des marginaux comme eux mais aussi de bons gros américains intolérants, stupides et ne connaissant que la violence. De par sa réalisation psychédélique, sa marginalité et ses personnages atypiques joués par des acteurs fantastiques (Jack Nicholson y est inoubliable) Easy Rider, sans être un film exceptionel loin s'en faut, est le symbole d'un nouveau cinéma, âge d'or de la contre-culture. Pour peu on aimerait presque se retrouver assis derrière Dennis Hopper ou Peter Fonda sur un de leur chopper à avaler les kilomètres sur l'immensité des routes américaines ou au coin du feu à refaire avec eux le monde. Un joli rêve.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 19 juillet 2010
    En 1968, Dennis Hopper signait là son premier long-métrage en compagnie de Jack Nicholson (Chinatown, Shining...) et Peter Fonda (fils de Henry) côté casting. Hopper se fait réalisateur-acteur-scénariste avec Peter Fonda (donc un film d'auteur) lui-même producteur du film.
    "Easy rider" est sans doute le meilleur road-movie de tous les temps qui révolutionna l'ère américaine. Alors pourquoi une étoile seulement ?
    Parce que : il n'ya aucun scénario ; des dialogues inutiles ; une scène que l'on revoit éternellement (les bikers hippies) ; et une caméra brouillon pour des acteurs qui ne font rien.
    Mais... que du bonheur !! Je souligne le fait que Dennis Hopper laisse libre cours à son imagination au fil de "Easy rider" et que chaque plan, chaque décor, chaque dialogue, chaque couleur, chaque coup de caméra est une prise de génie sur ce film devenu culte. Hopper a réalisé le film avant même de savoir ce qu'il allait réaliser ! Inimaginable !! Un moment affranchi de liberté pour toute l'équipe du film, le réalisateur et les acteurs (en roue libre) en tête !
    Un véritable réquisitoire de la vie entre Los Angeles et Miami, au coeur des Etats-Unis, qui est différent selon les Etats. Un état d'esprit différent lui aussi des hippies (Nicholson en tête avec un bijou, son dialogue farfelu sur les extra-terresres).
    Un chef d'oeuvre intemporel qui n'a pas pris une seule ride. Notons aussi une BO d'enfer avec les Byrds et l'emblématique "Born be wild" pour ne citer que ça. Inclassable, cet état (ou éclat) de liberté nous transporte (corps et âmes) pour ne laisser brûler que notre esprit, incandescent.
    Je n'ai mis qu'une étoile, amis spectateurs, uniquement pour juger "Easy rider" de Dennis Hopper sur son scénario, sa réalisation, le jeu des acteurs, décors et autres sans oublier la musique des années 1970. En revanche, je peux mettre trois étoiles et laisser cette critique, je ne sais pas combien d'étoiles "Easy rider" mérite...
    On ne peut pas ne pas connaître ce film coup de poing. A regarder de toute urgence ! Spectateurs, à vos bécanes !!
    Guimzy
    Guimzy

    159 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 avril 2015
    Film considéré comme l'un des premiers road movies, Easy Rider est un classique du 7e art dans la mesure où, à travers son coté un peu nanardesque, se cache une vision futuriste de l'Amérique. Pays sans pitié et sans scrupules pour nos deux motards interprétés par les grands Peter Fonda et Dennis Hopper.

    Ce film se perçoit comme le pur produit d’une époque, d’'une jeunesse qui a soif de vivre et veut échapper aux carcans d’une société figée et moralisatrice. La mise en scène, plutôt sage sur la longueur, explose lors d’une séquence de délire plutôt ahurissante, vers la fin. Emblème de toute une génération, symbole d’un état de vivre, porte-parole de la contre-culture des années 60-70, Easy Rider est le film le plus renommé sur la communauté hippie, malgré son constat final plutôt amer.

    Ce road-movie existentialiste, remarquable mais sans surprises, a depuis sa sortie acquis une stature de film culte, notamment grâce à sa magnifique bande originale (SteppenWolf, The Byrds, Jimi Hendrix..), accompagnée de ses somptueux paysages de l'Ouest.
    Appeal
    Appeal

    135 abonnés 569 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juillet 2012
    Une bonne surprise parce que j'avais finalement pas mal de préjugés sur ce film que j'imaginais plus comme l’œuvre ultime des bikers qu'autre chose. Bien mieux en réalité, Easy Rider fait partie de ces films qui ont bien compris leur époque. Dennis Hopper, acteur et réalisateur, a parfaitement pigé les enjeux de l'Amérique année érotique, de ces jeunes qui ne supportent plus l'aigreur conservatrice des précédentes générations, ni le fossé de plus en plus grand entre bouseux de la campagne et jeunes des villes. Si le scénario est plutôt vide, il est compensé par une très bonne photographie des mouvements contestataires de la fin des années 60 qui était quelque chose d'inédit à l'époque (fortement inspiré de la nouvelle vague française), et un trio d'acteur (Dennis Hopper, Peter Fonda, Jack Nicholson) sympathiques. Mieux encore, Easy Rider nous gratifie de quelques scènes psychédéliques inédites dans le 7ème d'art qui sont un délice. Si Easy Rider n'est pas forcement le grand film annoncé, il est réussi et crédible, suffisant pour l'avaler même aujourd'hui.
    Claricewins
    Claricewins

    54 abonnés 1 053 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 septembre 2010
    Bon film, qu'il faut savoir apprécier à sa juste valeur. Un peu long par moments, mais certains passages sont magnifiques (notamment les passages avec Jack Nicholson, très en forme).
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    96 abonnés 2 926 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 novembre 2020
    Film étonnant où il semble pendant un moment qu'il n'y ait pas ou peu de violence mais ensuite la violence est telle à plusieurs moment que la façon s'apparenterait presque à un film d'horreur. Une violence extrême de deux façons celle de gens ordinaires et celle de la drogue en fin de film où même l'image part en vrille un bon moment. En cela le film s'il a conquis presque tout le monde par un consensus contre la grosse connerie humaine car il est bien question de cela, n'est cependant pas si clair notamment sur ses démonstrations des excès de liberté et de drogues. Des excès de liberté qui n'ont rien à voir avec ce qui leur est reproché par les gens "à poil ras" mais dans le libertinage qui va avec l'usage de la drogue en quelque sorte, principe du mouvement hippie. La drogue n'y est pas légitimée par la liberté qu'elle apporte et vient plutôt en parallèle de la violence qu'elle suscite indirectement comme une forme de punition. Il y a peu de dialogue sinon des chansons qui parsèment et accompagnent le film, en cela il serait bien qu'une version traduite ait à un moment l'intelligence de les traduire mais cela c'est juste une réflexion d'un neuro-atypique. Les rares dialogues à certains moments font intervenir la religion, et même une apologétique de Dieu et Jésus. Cela dans des circonstances inappropriées de vices dans le bordel et dans le cimetière. Le personnage de Wyatt est bien différent de celui de Billy et encore bien différent de celui de George. Il y a cette phrase Si Dieu n'existait pas il faudrait l'inventer, c'est une citation de Voltaire plus déiste que chrétienne mais dans le film il semble qu'il y ait la confusion entre les deux. Cela pourrait être une clé du film sur le fait que le personnage phare est Wyatt et celui-ci exprime à différent moment des doutes et des attitudes d'une certaine recherche existentielle et d'idéal comme lorsqu'ils sont accueillies par une famille qui prie avant de manger ou lorsqu'il dit que l'auto suffisance alimentaire serait une bonne chose. Mais cet ensemble d'interprétation ne pèse pas lourd devant toutes les récupérations qui ont été faites du peu de clarté du film à différentes période depuis 50 ans. Il reste un film sauvage qui exprime de façon certaine la condamnation d'un monde intolérant, sur cela il y a un large consensus et une très large audience que l'on ne contestera pas.
    Jahro
    Jahro

    43 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 novembre 2012
    Une certaine idée de l’Amérique. Peter Fonda le producteur et Dennis Hopper le réalisateur sillonnent les routes désertes à perte de vue, traversent les patelins arriérés et font connaissance avec la faune locale, entre deux pauses joints au feu de bois. Le silencieux mystique et le rustique impénitent, le duo fonctionne, d’autant mieux quand il est rejoint par un tout jeune Jack Nicholson, fantasque et généreux. Country-folk aux oreilles, chopper Harley sous les fesses, nos héros font l’apologie de la liberté, celle du voyage, de la défonce, de la nudité. Admirer les paysages majestueux, aimer les femmes de passage, échanger avec l’habitant, et toujours, rouler, rouler mains aux guidons, rouler mains à la feuille. Sous l’œil vigilant du drapeau national, celui qui fascine les âmes, avive les haines et affirme les fois. Tout de même, tout ça parait un peu trop bath pour être honnête. Comme une sorte de teen-movie punk avant l’heure, un produit marketé pour la jeunesse cool d’époque. Le terroir qui rejette, les beatniks qui accueillent, le message est clair, net, et pour le moins caricatural. Et les tentatives de réflexion philosophique qui parsèment l’histoire illustrent assez explicitement le vide qui couve derrière le mythe. Easy rider, ou comment on est passé du Peace, love and unity au Sex, drugs and rock’n’roll.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 juillet 2010
    Le film de toute une génération autour de la traversé à travers les Etats Unis de deux marginaux (Dennis Hopper et Peter Fonda dans des rôles qui leurs colle à la peau) affranchis d'une société américaine puritaine et intolérante. Avec Easy RIder, Dennis Hopper montre qu'il est cappable de sortir de ses travers pour filmer les magnifiques paysages d'une Amérique à la nature sauvage et aux habitants hostiles à la differance. Jack Nicholson crève l'écran par son immense talent avec un rôle assez éphémère mais marquant. Une oeuvre culte.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 octobre 2010
    Un film culte qui a changé pas mal de choses dans le cinéma américain, à la fin des années 60. Pas vraiment de scénario, mais de bonnes scènes, de la bonne musique (1er film avec B.O. composée de chansons pré-existantes), et un aspect bordélique terriblement sincère. D'une certaine façon, ce film est un véritable document historique sur une époque et une génération. Il faut le voir, ne serait-ce que pour ça...
    SYNEPHIL
    SYNEPHIL

    39 abonnés 1 134 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mars 2016
    Globalement decu par ce qui reste l'un des road movie les plus celebre du cinéma.Le 1er film de Hopper possede des qualités indeniables comme la remarquable bande son ("born to be wild" en intro) ou ses jeunes comediens dont certains ont depuis realisés de belles carrieres ( excellent Nicholson en avocat "cinglé") ,le meilleur reste pour moi les sublimes paysages des grands espaces americains : quoi de mieux pour exprimer la liberté que ces 2 types chevauchant leur moto tel des cow boys modernes !! Dommage que les dialogues et le scenario soient si pauvres car en dehors des hippies ,de l'avocat ou des quelques locaux ,on peut pas dire que nos 2 amis rencontrent des tas de gens.Je veux bien croire qu'a sa sortie en 68 ,ce film a eu un fort impact sur la jeunesse d'une epoque en plein boulversement sexuel et culturel mais aujourd'hui ,de ce message libertaire ,ne subsiste que les decors et la musique ,par contre le portrait d'une societé refusant les minorités reste lui toujours d'actualité.
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