Avis : Riddick - Page 5

Voilà comment être direct... Le vieux Vin s'est bien empatté depuis les précédents opus, il a bien veilli et ne bouge plus comme avant. Riddick 3 a été fait juste pour que l'acteur principal viennent retirer son gros chèque. Scénar sans fondement vide et creux, action au abonnée absent (tout juste 10min en tout et pour tout, la bande annonce est en fait le véritable flim) et enfin dialogues merdiques. Juste un bon gros étron comme Hollywood à l'habitude de nous pondre maintenant depuis une bonne décennie. A éviter absolument.

Film très bizarre mais finalement ça passe sans être un chef d'œuvre ! Plutôt un peu gore sinon !
On reconnaît bien le jeu d'acteur de vin diesel

Riddick, plus qu'un navet, une usine entière de navets !
Ce film cumule a lui seul un casting déplorable, des dialogues de tocards, un scénario bidon et incohérent et des effets spéciaux avec des images de synthèse digne des bouses de NRJ 12 et D17.
Riddick est le seul Zéro aveugle au monde qui peut vous provoquez une cécité immédiate a la vu des jeux de lumières notamment a la fin lors des tirs du vaisseaux : Paroxysme de la destruction rétinienne pour le spectateur ..
Heureusement Riddick est truffé de bonnes idées, comme le fait de faire fuir TOUS ces ennemis en leur jetant des os.. NORMAL !! Le bon père vétérinaire Riddick nous mettra la larme a l'oeil lors de la mort de son chien/tigre/zebre/panda/cactus .. Séquence émotion assurée !
Un film pour les décérébrés ou pour les amis des bêtes (je ne parle pas des animaux).

Riddick : R.I.P

Ouais bon, j'ai bien aimé le début. C'est original, sympa, viril et ça pendant une bonne heure. Après c'est lourdingue, un pâle remake du premier et on y croit pas une seconde. Ca reste sympa à voir pour les amateur de SF. Film moyen-bon...

Cette critique va être assez spéciale : je ne sais, moi même, que penser de ce métrage...
Replaçons les choses dans leur contexte (je tiens à préciser que je ne parlerai pas de Dark Fury, pour la simple et bonne raison que je ne l'ai pas vu x) :

Pitch Black, sorti en 2000, et réalisé par David Twohy (qui reprendra d'ailleurs les 2 épisodes suivants), révèle Vin Diesel au public et le film en lui-même est un bon essai dans le genre du "survival-minimaliste". Le scénario : rachitique ; le jeu des acteurs : inégal ; la musique : plate et sans saveur ; les effets spéciaux : artisanaux (l'utilisation de simples filtres pour simuler la présence de plusieurs soleils confirmant cela, malgré la présence de scènes incluant un grand nombre de créatures en CGI assez réussies). Mais, rien n'y fait, on prend un grand plaisir à suivre ces aventures grâce à la présence imposante de Vin Diesel, du côté kitsch-série B assumé et maitrisé, de la très bonne mise en scène de Twohy, bien qu'encore inégale à l'époque. Sans être excellent, Pitch Black se révéla être et reste un très bon film du genre. (3,5-4 sur la notation Allociné pour ma part

Ensuite, vint Les Chroniques de Riddick. Ces nouvelles péripéties donnent le ton dès les premiers plans : + + + + +. Plus de tout en somme : + d'effets spéciaux numériques (réussis d'ailleurs !), + de personnages, + de situations, + de planètes, + d'action, + grande profondeur du scénario, + d'acteurs (meilleurs que dans le premier d'ailleurs...), + de Diesel (bon, blague pas très drôle à part, il est toujours aussi excellent dans le rôle x). Le problème, c'est que + de tout ne signifie pas forcément + de qualité... Et le film, bien que possédant toujours un charme fou et une mise en scène toujours aussi léchée, ne parvient pas à reproduire l'exploit du 1er en voulant lui donner un caractère presque épique, à la manière d'un drame mythologique ! Mais, tout en devient + classique, + long, + poussif même...
Une partie de l'ambiance "sale" et "kitsch" s'était envolée pour laisser place à un blockbuster plus consensuel, plus "polish", mais aussi + en dent-de scie et AU COMBIEN moins prenant que son prédécesseur (mais, je le reprécise, ces Chroniques restent PLUTOT agréables à suivre et assez recommandables, 3 sur 5 pour ma part).

En voilà une introduction (bon, en fait j'ai fait 3 critiques en une xD). Maintenant, passons à ce qui nous intéresse aujourd'hui : Riddick !
Ayant eu vent des critiques mitigées aux states, et des 1ers retours français, eux aussi assez partagés, je commençais à avoir peur malgré le fait que j'en attendais beaucoup.
Alors qu'en est-il réellement : et bien, bon boulot Twohy et félicitations Vin oO !

Riddick revient TRES (trop ?) clairement aux sources, et cela lui fait un grand bien ! Le film se décompose en 3 parties : la 1ère ou Riddick est laissé pour mort, MAGNIFIQUE, que ce soit au niveau des décors (tout en CGI mais SPLENDIDES), de l'ambiance, de la photo, du rythme (très lent et posé, mais nécessaire), du jeu d'acteur de Vin (qui est + humain pour le coup et moins stoique), de la musique (qui trouve enfin une vraie dimension et qui colle parfaitement à ce que l'on voit). Cette introduction prend la forme d'un récit d'initiation, ou le héros doit passer des épreuves, de + en + difficiles, pour déboucher vers le monde qui lui est interdit. Les créatures, elles aussi en CGI (mais quelle CGI ! Viscérale !), sont très bien animées et certains plans les incluant feraient presque penser aux 12 travaux d'Hercules en version SF post-apo... Parfait. (d'autant que par un flashback relativement rapide et bievenue, on fait tout de même intelligemment le lien entre les Chroniques et cet épisode).

Ensuite vient la seconde partie... un peu + inégale... En effet, je ne spoilerai pas trop mais... le gros problème vient principalement de l'écriture... Tout d'un coup, le film se fait plus bavard, le souci étant que les dialogues ne suivent pas toujours et certains personnages des spoiler: 2 troupes des mercenaires
sont excessivement "bourrins" avec quelques dialogues bovins un peu... sortis de nul part. Cependant, cela donne un petit charme kitsch à l'ensemble et participe néanmoins à l'ambiance (oui, un défaut qui devient PRESQUE une qualité). L'ambiance est toujours là et le montage se fait plus rapide. La tension est bien gérée, et la chasse à l'homme qui rappellera sans problème Pitch Black (sans tomber dans la redite), est rondement menée (avec une mise en scène toujours au poil).

Tout cela pour amener inévitablement à la troisième partie, où le danger de la précédente est substituée par une menace d'une toute autre nature : spoiler: des prédateurs alien qui se sont déplacés jusqu'à la base abandonnée grâce à une immense tempête
. C'est cette partie qui est la plus belle artistiquement parlant... mais aussi celle ou les défaut d'écriture se font le + ressentir... Malgré cela, tout la séquence débouche sur une scène finale magnifique et mémorable où Riddick est spoiler: acculé au bout d'un rocher, au bord du vide, faisant face à une armée de créatures monstrueuses.
Tout ceci avec, en fond, une nuit percée d'éclairs titanesques, une pluie battante, et une vue en contre-plongée vertigineuse... Dommage que la scène ne dure que 1 ou 2 minutes :/.

Au final, que retenir de ce film ? Et bien, le fait que Twohy et Diesel ont réussi encore une fois à nous plonger dans un univers original, avec un budget pourtant serré, décrivant des personnages plutôt attachants bien que maladroitement amenés pour certains, une direction artistique d'enfer, une présence de l'interprète principal encore + "minérale" et imposante qu'auparavant, des scènes mémorables... Alors, je suis d'accord : certaines séquences présentent des dialogues pas très fins, certains moments trainent un peu en longueur, le lien avec la série est un CHOUIA maladroit (mais pas malvenu...)... Mais bon dieu : on prend un pied d'enfer à regarder cette troisième aventure en compagnie de Riddick ! Ne boudons pas notre plaisir !

J'avais peur pour ce Riddick, j'avais bien raison... Je ne sais même pas par où commencer tellement c'est la fête du slip...
Bon commençons par le commencement: Riddick est tout seul et survit dans une espèce de savane de l'espace (je passe les détails, parce qu'on s'en fout), et puis à un moment nous fait gentiment savoir que c'est fini, qu'il s'est émoussé par le passé, mais que ça va redevenir une bête, un gros badass avec zéro pitié, genre qui mange des bébés au petit déjeuné et tout. Bon j'étais pas trop rassuré depuis le début avec cet espèce de rythme super mou, je dois dire que cette petite réplique m'a un peu réconforté sur le moment quant au reste du film, je me suis dit , enfin, on va avoir du Riddick, du vrai... Mais comme dirait l'autre "twice the pride, double the fall", et il faut dire qu'après une réplique de fier survivor de l'espace qui mange du lézard fluo séché, la chute fait sacrément mal: effectivement, quoi de plus normal pour la célébration de la renaissance du primal, de l’instinctuel et du bestial... que d'adopter un chien chien avec qui on fait copain copain à qui on fait des guili guili... Après ces séquences bethoveenesques d'un mièvre sans nom, Riddick arrive à une base de mercenaires (notez à quel point dans tous les films de SF ou un mec se retrouve parachuté sur une planète, y a toujours un putain d'avant-poste pas loin...). Bon comme Riddick a besoin d'un vaisseau, il envoie un message de détresse et deux équipes rivales de mercenaires arrivent: ceux qui sont débiles et bourrins, et ceux qui ont l'équipement high-tech et qui sont un peu plus malins (mais pas tant que ça). Et il faut dire, que les échanges entre les membres des deux groupes sont folkloriques, la dessus on peut dire que les dialogues sont en parfaite harmonie avec le reste du film: c'est nul a chier. Non sérieux, c'est pas parce qu'on balance trois insultes bien grasses par phrase que c'est badass, c'est juste bien vulgos et bien lourd, surtout quand le registre n'est constitué que d'une poignée de phrases qui tournent en boucle; ça donne envie de mettre le film en polonais pour ne plus entendre autant de conneries à la minute. (Je passe sur les interprétations qui globalement sont assez mauvaises, à part une de mémoire qui relève un peu le niveau) Bon enfin bref, on en arrive au seul moment intéressant du film, qui au total ne doit pas dépasser trois minutes (et je vois large): le moment où Riddick dézingue du mercenaire débile. Ah, je me disais tout de même, statistiquement il devrait bien y avoir au moins une minute de film de potable, et bien effectivement, on arrive enfin à un moment où ça commence à devenir rigolo, quoi que un peu soft: donc on les voit disparaitre un par un, en mode ninja genre "hé Robert, tu te rappelles de cette fille sur la lune de machin? Robert? Oh Robert!? Oh putain les gars y a Robert qui s'est fait couper en tranches par Riddick!". Puis brutalement, il s'arrête... Putain ce réal tient le seul morceau intéressant de son film et subitement il se rappelle que, ouai, dans Riddick, y a aussi des bestioles, et que donc il faut vomir du numérique pour assurer. Nous voila donc partis pour la deuxième partie de ce périple épique qui est d'ailleurs aussi chiante que la première puisqu'il s'agit ni plus ni moins d'un très mauvais copié collé de pitch black. Donc on a le droit à une invasion de bestioles qu'on a déjà vu de très près au début et qui donc ne font plus peur du tout du tout, des personnages qui multiplient les conneries, visiblement pour crever encore plus vite, et ainsi mettre fin à cette atroce souffrance qu'est le visionnage. Ensuite on a une petite révélation histoire de faire un clin d'oeil qui ne passe encore pas trop mal sur le premier opus et voilà.

Enfin bref, j'avais beaucoup aimé pitch black, un peu moins les chroniques de riddick qui sont tous deux des films de série B sympas. Mais là non, c'est tellement surfait a tout les niveaux qu'on a presque l'impression de regarder une parodie par moment, et quand on a aimé le perso de Riddick, ça passe pas vraiment.
En fait, je cherchais un qualificatif pour définir Riddick, et le correcteur orthographique m'en a gentiment proposé un : Ridicule.

Non mais c'est une blague? Quelle incroyable daube! Le scenario est digne du téléfilm le plus minable, les dialogues quasi-inexistants.. 20 min passées sur spoiler: la relation avec son clebs (c'est un reportage de 30 millions d'amis?!).
Le pire film que j'ai pu voir au ciné et j'en ai vu à la pelle.. Une honte.
Une demi étoile pour les effets spéciaux.
Ne perdez pas votre argent.

Exellent film d'action,sciences-fiction et aventure avec un Vin Diesel au top. 2h de parfait divertissement.

On avait quitté Riddick en pleine gloire, on le retrouve enfoui sur une planète... Que s'est-il passé entre-temps ? Vous le saurez en une minute chrono... un peu comme si les scénaristes ne savait pas trop comment relier les épisodes... Du coup, ça enlève d'emblée tout intérêt pour l'histoire. Une fois le premier 1/4 d'heure passé (bourré de monologue et lenteurs), on arrive dans l'action...ou pas... C'est tellement décousu, incompréhensible et improbable qu'on s’ennuie vite. Même les acteurs n'y croit pas vraiment.

Le summum est l'arrivée des bêtes : ca donne du coup au film un air de sous "Alien" bien inutile.

Et ne parlons pas des soins que Riddick se prodigue pour soigner ses blessures et de la rapidité a laquelle il récupère...

La réalisation est très mauvaise... trop sombre...

Bref un film inutile sauf s'il fait le lien avec un 4eme opus que devra se révéler plus ambitieux.

A lire les critiques, je me demande ce que font certains au cinéma. Ce que je veux dire, c'est que si on paye pour aller voir Riddick, il faut quand même savoir où on met les pieds, non ? Ou alors on est riche...bref, bref. En ce qui me concerne, une fois de plus, je me suis délecté de cet univers SF cheap qui tourne TOUJOURS (ça ké bon !) autour des mêmes choses : une planète hostile facile à filmer (tu rajoutes les filtres orange), des mecs surarmés, une fille qui ne s'en laisse pas conter, un animal sympathique (il aime bien les bêtes, Riddick), un fou de religion (cette fois-ci c'est un chrétien) et puis Riddick, imperturbable, pépère. Et l'humour en plus ! Combien de films de SF sont dénués d'humour ? Des monceaux, des tombereaux, des amas galactiques. Avec Riddick, pour peu qu'on soit bon public, on se marre bien, pour les dialogues (assez débiles, certes, mais c'est ce qu'on cherche) et pour le visuel (scène hilarante où un mes mercenaires se fait couper en trois par deux gros pièges à loup). Un bon moment. Je conseille aux amateurs du genre.

Sympathique, si vous avez aimez le premier vous devriez aussi aimer celui-ci :-).
A quand la suite de ces aventures ?

Franchement agréablement surpris. Bien sanglant avec de l'action, les 2h passent vite. Je préfère celui-ci au 2.

J'y suis allé avec 5 amis et on est unanime : on aurait mieux fait d'aller voir les Schtroumphs 2 ou n'importe quoi d'autre...
La fin de l'épisode nécromanger est expédié en 2 min, il se retrouve sur une planète où tout se qui vit n'a pour but que de le tuer, mais c'est le meilleur, il s'en sort. Survient alors bien sûr pour le capturer les mercenaires les plus idiots du monde, mais aussi les plus caricaturaux.
Bref, aucune surprise ni rien, certaines séquences rappellent un peu Pitch Black, mais voulant faire un peu de tous les styles, rien n'est réussi.
Mention spéciale spoiler: à la fin, idiote (le perso de Katee Sackhoff qui exécute la prédiction...) et creuse.

Tiens, ça faisait longtemps que je n'avais pas vu une merde pareille, excusez-moi du terme. Après avoir failli m'endormir à plusieurs reprises, je me suis forcée à rester éveiller pour regarder la suite du film. J'aurais du me rendormir.
Résumons Riddick en quelques points :
- un scénario d'une pauvreté extrême
- des acteurs au stade de la médiocrité ultime
- un ennui total
Voilà. Je m'attendais à beaucoup de rythme, de dynamisme, de créatures et de combats, ce qui n'est malheureusement pas la réalité. Les acteurs sont vraiment mauvais, tous les uns autant que les autres. Les créatures se limitent à une seule espèce de scorpion ridicule, accompagnés de chiens léopards. Les mises en scènes et la réalisation sont d'une nullité affolante. C'est un bordel où l'on ne retient rien. N'allez surtout pas le voir, vous perdrez votre temps.

pas mal. une suite sympa. mais sans plus. QQ longueurs. Vin Diesel est bon, avec un personnage un brin humanisé, un héros qui s'en va comme il est venu, furtivement.