Derniers Avis : Drôles d'oiseaux - Page 2

Bon tout d'abord j'aime beaucoup Owen Wilson (Les Stagiaires) & Jack Black (Les Voyages de Gulliver). Deux acteurs du Frat Pack relativement drôles ensembles dans un même film, ça ne peut pas faire de mal...Les deux acteurs ont en commun Ben Stiller. En effet, les deux hommes avaient fait leurs début dans Disjoncté en 1996, réalisé par ce dernier justement. Cerise sur le gâteau, Steve Martin rejoint le duo. Il ne faut pas non plus oublier Rosamund Pike (Meurt un autre Jour) qui interprète l'amante du personnage d'Owen Wilson. Donc à prioris, ce film a tout pour plaire : un intrigue sympa qui consiste à mettre de la concurrence dans les troupes puisque comme ne l'indique pas forcément le titre "The Big Year" est le nom donné à un année en laquelle il faut observer le plus d'oiseaux possible; & de bons acteurs dans leur registre respectif (la comédie uniquement). Ce film avait vraiment un grand potentiel : le trio aurait pu se donner à fond pour jouer la carte de la rivalité rigolote, se battre, un peu comme dans Mon Beau-Père & Moi, un tension aurait pu naître... Mais non, vraiment malheureusement il n'y a rien, le réalisateur laisse la place au réalisme. Mais pourquoi aller au cinéma pour voir un film qui a tout d'ordinaire ? Ce film est plat tout le long. Il n'a aucun intérêt, exactement comme Marley & Moi. Il n'est pas non plus ennuyant, mais en vérité c'est un mélange des genres et comme tout mélange des genres (Lucky Luke) : ça passe ou ça casse. Ce n'est ni drôle, ni vraiment dramatique, c'est tout bonnement mauvais. spoiler: Owen Wilson alias Kenny Bostick
(honnêtement ce nom là, je l'ai recherché sur wiki parce que si vous vous rappellez des noms des personnages à la fin : Chapeau !) spoiler: est en quelque sorte le bad boy du film puisqu'il s'oppose à Jack Black
(narrateur ici) mais il n'a pas une tête de méchant donc il n'est pas convaincant : c'est comme donner à Robert Downey Jr. le mauvais rôle, on y croit pas une seconde. L'histoire tourne mal pour Bostick et au final ça nous attriste un petit peu donc : les rôles ne sont pas bien attribués. Au cinéma, les méchants ont des têtes de méchants, c'est comme ça que ça a toujours marché. Et quand à la fin, je ne voudrais pas vous dégoutez du film mais il y a une lueur d'espoir puis...plus rien. spoiler: [spoiler]Jack Black, le héros du film, le premier-rôle, rate la concours !!!
. En fait vous ne savez pas qui suivre dans ce film, Owen Wilson, le plus charismatique, Jack Black, le plus gentil, délaissé par ses parents et seul, ou bien Steve Martin qui a un bon fond et que l'ornithologie passionne. Regardez l'affiche du film, en la voyant on se dit que ce doit être marrant, mais l'affiche n'est pas du tout révélatrice de l'athmosphère du film. Ce film n'est pas non plus émouvant (ce n'est pas La Ligne Verte). Bref, grosse déception pour cette comédie (si je puis dire) signée David Frankel : justement le réalisateur de Marley & Moi. Un conseil : oubliez ces deux films largement dispensables.

Sur le coup j'ai adoré, ensuite ça passe moins bien : le genre de bon film qui passe bien une fois. Il fait voyager, et on apprend pas mal de choses sur les oiseaux, c'est une comédie sympathique.

Très bon film, qui fait passer quelques messages de vie très intéressant, du début à la fin.

Excellent casting, réalisation assez moyenne (gestion du temps un peu bâclé/raté), mais le scénario est plutôt bon.

Alors certes, l'observation des oiseaux et pas forcément très passionnante, mais on s'intéresse au côté humain ici !

Le film est estampillé comédie, mais une comédie c'est pas forcément pour faire rire ! Et l'originalité de l'histoire en fait un film à voir !

Une comédie décevante qui traite de l'ornithologie , sujet pas très intéressant pour commencer , rajoutons que l'humour ne vole pas haut dans ce film , si ce n'est qu'il y a vraiment de l'humour ?
Le casting était bon mais ça ne rattrape en rien le film , l'histoire est inintéressante , ennuyeux et encore une fois pas drôle . Passez votre chemin ceci est un navet .

Petite comédie sympathique et originale, elle ne mérite pas le 4 que je lui ai allouée, mais au vue de sa mauvaise moyenne, je tiens tout de même à faire remonter sa note.

J'aurais mis 3,8 si c'était possible, mais vu le nombre de mauvaises notes contre ce film, j'arrondis au supérieur (de plus au vu du vide sidéral des critiques "professionnelles" à son encontre).
Alors, "The Big Year", de David Frankel, avec dans les rôles principaux Jack Black, Steve Martin et Owen Wilson, suit 3 ornithologues amateurs lancés dans une compétition d'observation d'espèces aviaires sur le sol américain. Au vu du pitch et du casting, la majorité, moi y compris, auraient pu s'attendre à une comédie limite lourdingue de trois énergumènes se jetant les uns sur les autres pour avoir le bonheur d'être le premier à apercevoir une plume. Nada. Même en s'élargissant au reste du casting, qui à part Rosamund Pyke, sort quasi exclusivement du registre comique (entre autre Calum Worthy, Jim Parsons et Tim Blake Nelson), une bande de joyeux drilles à qui l'on doit de nombreux sourires et qui contribuent justement à la légèreté du film.
La seule lourdeur que j'y ai trouvé, et qui insufflent cet ennui de la première moitié du film, vient du scénario: les cascades burlesques de Jack Black et le dédain éhonté de Bostick (Wilson) pour sa compagne (Rosamund Pyke), qui cherche par tous les moyens à garder son attention, allant jusqu'à suggérer l'adultère, par un jeu de contre champ ou de cadre.
Et justement, pour ça, on peut dire que le film est bien foutu.
Le cadre est bien choisi, harmonieux.
L'action se déroulant sur une année, on suit les saisons dans la nature aux côtés de ces passionnés, qui vont jusqu'à affronter 3 tempêtes pour pouvoir observer un maximum d'espèces (que voulez-vous, avec la météo actuelle, les tempêtes, ça court les rues).
Les plans natures sont magnifiques, on regrette certains oiseaux en 3D, mais imaginez le temps qu'il aurait fallu pour tourner ces scènes avec de VRAIS oiseaux... Comme pour tous les films animaliers qui ne soient pas des documentaires, et au vu du tarif pour déplacer une équipe entière de tournage et d'interprétation dans tous ces décors, il vaut mieux éviter d'étaler le tournage.
On y balance presque à la pelle des noms communs d'oiseaux (pas les noms latins, ça aurait plus qu'ennuyé le peu de public qui soient entrés dans LA salle pour la France, et les quelques salles aux US), mais on ne montre pas vraiment le temps alloué à l'étude de ces oiseaux comme de vrais ornithologues (nidification, comportement, alimentation...) car ce n'est PAS un film sur l'ornithologie... Et non! En outre, ça plaira bien peu aux ornithologues passionnés qui auraient voulu s'y trouver, mais auront plutôt des rires nerveux en voyant leurs propres caricatures. En réalité, c'est un film sur le hobby, plus précisément sur la passion, et sur l'importance qu'elle prend dans la vie d'un homme (ou d'une femme) moderne. Car jusqu'à nos jours, l'homme a toujours été occupé à trouver de quoi se nourrir, se loger, se chauffer et autre besoins naturels de survie, mais aujourd'hui, avec le confort de la société occidentale, l'homme s'ennuie et cherche un centre d'intérêt auquel s'adonner, allant jusqu'à délaisser derrière ce qui devrait lui être plus cher. C'est un film qui propose une analyse du thème de la passion à travers 3 cas de figures, nos principaux protagonistes, qui vont tous devoir choisir à un moment ou à un autre entre leur passion et leurs familles, leurs amis, leurs emplois...Et la difficulté était là. Ne pas tomber dans la niaiserie, mais ne pas non plus trop désintéresser le spectateur par un hobby trop banal ou trop sédentaire, ce qui aurait posé un lourd problème de rythme. C'est pourquoi le thème de la philatélie ou de la numismatique aurait manqué de pep's. Avec l'ornithologie on voyage, on fait face à l'inattendu, on est face à la nature, et on tourne le dos au quotidien, au domicile familial qui semble trop petit pour soi. D'où le besoin de cet employé de changer d'air, de ce chef d'entreprise de pouvoir enfin profiter de sa retraite, de cet entrepreneur de fuir la grisaille de son métier et ses problèmes conjugaux, de briller en société, par le biais de leur hobby.
D'ailleurs, une fois rentrés d'une session d'observation, on porte sur eux via une caméra portée et un jeu de focus le même regard qu'ils portent à leurs oiseaux, une observation distante, dont on se rapproche avec l'objectif, en tendant l'oreille.
Je tiens aussi à féliciter le choix des musiques dans leur ensemble, quoique parfois trop présentes à certaines moments. Inutile de préciser qu'en raison de l'accueil ridicule adonné à ce film, la VF est tout simplement bonne à jeter, et a sans doute contribué à descendre un peu plus le film par les voix nasillardes des principaux protagonistes, qu'on croirait sortis d'un dessin animé, comme quoi, on ne répétera jamais assez à quel point le son est primordial dans un film. Au final un très bon film (j'ai pas dit un chef d'oeuvre qui surpasse les plus grand), à voir ou à mieux regarder pour certains qui auraient laissé leurs jumelles à la maison.

Je savais plus au moins a qui m'attendre vu le casting, et ce n'était ni plus ni moins que ce que j'en attendais. Le genre de film qu'on regarde quand on a pas du tout envie de se prendre la tête et même si le film n'a pas vraiment d'intérêt, il se laisse regarder jusqu'au bout et s'oublie aussi vite.

Comment peut-on mettre 41 millions de $ de budget dans un pareil film ? Qui plus est, traitant de l’ornithologie ! Sans réelle surprise, ce film a fait un gros flot au box-office US (en rapportant 7 millions de $ !), si bien que le film n’est sorti dans l’hexagone qu’un an plus tard en sortie technique (une seule salle pendant une semaine, quel était l’intérêt ?).
David Frankel (Le diable s'habille en Prada - 2006 & Marley & Moi - 2008) a mis en scène ce que l’on appelle dans le jargon des "cocheurs fous", à savoir des amateurs d’ornithologie puissance mille, capable de parcourir des distances folles pour observer des oiseaux rares, les filmer ou les prendre en photos. Une véritable traque qui pousse ces passionnés à se couper de leur entourage pour vivre pleinement leur passion. C’est ce que nous raconte The Big Year (2011), à travers une compétition qui a régulièrement lieu aux Etats-Unis. L’ennui, c’est que le film s’avère extrêmement ennuyeux et vous ne devriez y adhérer seulement si vous être un féru d’oiseaux en tous genres ou fan des acteurs qui composent le casting (Steve Martin, Jack Black, Owen Wilson & Rosamund Pike). Pour le reste, l’histoire s’avère être totalement dénuée d’un quelconque intérêt et finie par devenir rapidement lassante, un manque flagrant d’idée (l’intrigue tourne en rond) et vu le casting on s’attendait à une comédie, mais en réalité il n’en est rien.

Un film pour les amateurs d'oiseaux, pas pour les amateurs de ciné !
Jack Black est, comme à son habitude, désopilant !!

Porté par un trio d’acteurs aussi improbable que grandement séduisant, ce nouveau David Frankel (Le Diable s’habille en Prada, Marley et Moi) a de quoi laisser dubitatif le spectateur, la faute à un scénario a première vue assez repoussant. Et pourtant, l’intrigue tient la route et on se laisse facilement charmé par les paysages sublimes et l’originalité du scénario. Si The Big Year ne possède pas les caractéristiques d’un grand film, il correspondra parfaitement à une clientèle fervente des comédies gentillettes.

Les 93 ( j'aime ) sont les avis d'ornithologues dénués de sens cinematographiques. Aucun scenario, aucun rebondissement. Un casting improbable pour un film aussi nul. J'ai vraiment perdu mon temps devant ce film. Allez promenez votre chien est une meilleure idée. J'ai espéré durant tout le long une panne d'électricité ! A ne surtout pas recommender !!!

ce film ne genere que l'ennui et l'indifference.
le sujet est tellement soporifique que le visionnage devient un suplice.
remplace avantageusement tout somnifere.

Beaucoup de fraîcheur dans ce film. On passe un bon moment, pas prise de tête. On a juste à s'installer tranquillement et regarder. C'est une comédie nouvelle et unique.

Evidemment, en France le thème du film paraît obscur. Mais dans les pays anglo-saxons cette course aux espèces est bien davantage pratiquée... Une sorte de dérive de l'ornithologie qu'on peut certes regretter car après tout ce n'est que du tourisme rétinien. Ceci étant dit, le film rend pas mal compte du phénomène et des hurluberlus omnibulés qui y gravitent. Partant de là, avec une touche d'humour, le résultat n'est pas si mal et ça se laisse voir.

Oui vous ne revez pas, 4 étoiles! Je ne m'attendais pas à un film aussi attendrissant et agréable à regarder. Même si le sujet peut vraiment paraître absurde et inintéressant, au final, cette course aux oiseaux s'avère accrocheuse, drôle et touchante. En plus on apprend plein de noms d'oiseaux, les paysages sont splendides et le trio d'acteurs est parfait. Très belle surprise avec la présence de Jim Parsons qui commence à sortir de "The big bang theory".