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    La Permission de minuit
    Note moyenne
    2,7
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    113 critiques spectateurs

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    Fabrice Deabrassart
    Fabrice Deabrassart

    11 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 mars 2011
    non desoler scenario bof plat , lent , et v lindon qui commence a enerver son peuple dans ses roles comme sa vie ,plate , depressive ,.... ou est lev lindon de " tout ca pour ca " ??,
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 mars 2011
    Une oeuvre poignante , avec des personnages attachants et une histoire plutôt difficile à tourner. Vincent Lindon joue un dermatologue lié d'amitié avec un jeune malade atteint du xeroderma pigmentosum. Une maladie qui interdit toute exposition au soleil. L'amitié crée entre Vincent Lindon et Quentin Challal est très touchante. A cause de sa maladie , le jeune enfant pense que sa vie social est condamnée à rester toujours la même , ne pas avoir de petite copine par exemple. La bande d'annonce est quant à elle très agréable et nous signe un excellent film.
    Julien D
    Julien D

    1 111 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 mars 2011
    Ce petit échantillon de bons sentiments sans aucun rythme a pour seule et unique originalité la maladie de cet adolescent. On n'apprend cependant absolument rien sur cette étrange pathologie, le réalisateur préférant s'axer sur la sympathie semblable à une relation patriarcale entre le dermatologue et son jeune client sur un ton sombrant bien vite dans un pathos facile.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 mars 2011
    Fallait-il encore nous démontrer la véracité du vieil adage "de bonnes intentions ne suffisent pas à faire un bon film"...? Etait-ce vraiment nécessaire ? Pour Delphine Gleize, il semble que oui. Alors c'est quoi l'idée, Delphine ? Un enfant atteint d'une maladie orpheline, son médecin, sa mère, la femme et la remplaçante du médecin, le récit semblant se focaliser sur les relations complexes et fortes liant le médecin à l'ado, on dit bien "semblant", tant le film donne la désagréable impression de se chercher à chaque image. Quête de sens, quête de point de vue, quête de cinéma... Première chose : pourquoi la maladie si particulière du gamin n'est-elle pas davantage exploitée ? Pourquoi avoir choisi cette maladie ? Parce que c'est plus joli qu'une leucémie ? Alors, si c'est plus joli, peut-être aurait-il été intéressant d'en traduire la singularité en langage cinématographique, non ? L'intérieur protecteur toujours, l'extérieur meurtrier le jour ? Non ? Le reste est à l'avenant : des pistes lancées mais jamais explorées, une mise en scène chaotique encombrée d'une insupportable musique boucheuse de trous (comme si la réalisatrice avait peur du silence, ou du simple son direct), un scénario pas clair, pas net, les liens unissant le médecin au gamin demeurant toujours dans le flou (le doc a un fils, donc ce n'est pas filial, par contre le père du gosse s'est barré de la maison, donc y aurait-il transfert, etc, etc...), jusqu'à un final interminable qui ne termine rien. Le seul sujet "exploité" de manière classique, concerne les amourettes du gamin, et c'est traité avec une telle accumulation de clichés que c'en est ridicule. On s'ennuie, on baille, on ne s'intéresse pas, on s'en fout. Et en plus, cerise sur le gâteau (ce qui n'arrange rien) celui qui joue le gosse est mauvais. Bien sûr, Vincent Lindon est impeccable, de même que les femmes qui l'entourent, Caroline Proust, Nathalie Boutefeu et Emmanuelle Devos, toujours plaisante à voir même si elle se contente ici du minimum syndical. Un film pas beau, pas intéressant, pas émouvant... une sorte de téléfilm inutile.
    diehard5
    diehard5

    20 abonnés 482 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 mars 2011
    Les relations d'un adolescent atteint de la maladie de la lune, qui le contraint à vivre à l'abri de la lumière, avec son médecin traitant devenu comme un deuxième père. Une intrigue, à peu près complètement inepte, qui défie toute logique et toute raison. Des digressions (le tombé de dominos...) comme aucun étudiant à l'IDHEC n'oserait. Des clichés psychologiques, des pantins qui illustrent le dictionnaire des idées reçues (le chef de service qui ne veut pas passer la main...). Et la vulgarité, la pire qui soit : la vulgarité sentimentale, avec ses morceaux de bravoure, bien épais, bien lourds et tous faux (la cérémonie de départ...). Seules valent peut-être le déplacement les prestations d'Emmanuelle Devos et de Vincent Lindon, au titre des curiosités extravagantes, dans des numéros comiques bien involontaires. Et cependant, il reste le sujet : grandiose, éminemment cinématographique, douloureux. A traiter.
    pierrepp
    pierrepp

    13 abonnés 301 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 mars 2011
    un peu décu, malgré le talent de vincent Lindon, Emmanuelle Devos, ainsi que l'originalité du sujet, il reste un gout d'inabouti. La direction des autres acteurs parait incertaine (le jeune), et le son est mauvais à certain moment. Dommage...
    shmifmuf
    shmifmuf

    159 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 décembre 2012
    Un propos juste et sincère et de bons comédiens font-ils nécessairement un bon film?
    Tout sonne juste dans ce film: les sentiments, les rapports humains.....
    Alors j'ai du mal à comprendre mon absence de plaisir en regardant ce film.
    Peut être que tout simplement il ne suffit pas d'un sujet et d'acteurs touchants pour faire un bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 mars 2011
    Comment ne pas être anesthésié d'ennui devant "la permission de minuit", froid et irritant comme une compresse de Dakin. Vincent Lindon nous refait le coup des gros yeux de chien battu "plein d'humanité", le jeune garçon est atrocement mauvais et le scénario hésite en permanence entre le mélo hospitalier et "la boum 2"… Seule, Emmanuelle Devos arrive à sauver son (petit) rôle de cette erreur médicale !
    BATNICO76
    BATNICO76

    18 abonnés 639 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 mars 2011
    Decevant, le film est mou et certaine scènes sont inutiles! les dialogues entres les ados sont mauvais est scrypté et le film manque d'une cruelle puissance et émotion! Dommage car vincent lindon est très convaincant comme souvent!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 juillet 2011
    Un très beau film, très réussi. Le sujet n'est pas original, mais la réalisation, l'image, le jeu des acteurs, sont tous emprunts de beaucoup d'émotions rentrées. Un délice.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 août 2011
    Pourquoi seulement *** de la part des spectateurs d'habitude plus affutés. Ce film mérite une meilleure note car les thèmes évoqués sont forts (la mort, l'amour, l'amitié), c'est pour cela qu'on va au cinéma. Les acteurs sont sublimes. Dans la scène du pot d'Adieu, Lindon rivalise avec le Depardieu de "je n'ai rien oublié", pas de texte mais quelques secondes de pure magie. Juger le jeu de Quentin Chalall, c'est comme essayer de critiquer Lionel Messi ou Picasso, on n'a pas encore trouvé les mots. Il est.
    Le peu de musique tombe parfaitement comme le pli d'un pantalon.
    Ne serait-ce pas le film parfait pour un César?
    Les à-côtés, les décors (la ville, les dominos, le rugby, la grotte) rendent le film cinématographique.
    Le raté, car il y en a un, c'est la prise de son. On a du mal à comprendre les dialogues. Oui, ça fait moderne de ne pas articuler mais s'il faut tendre l'oreille... c'est pénible. Dans la vie, on ne parle pas si mal.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    929 abonnés 4 847 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 décembre 2014
    Film délicat et très humain. Un poil déçu par le déroulé de l'action. La fin n'est pas à la hauteur des espérances du début. Étonnamment (et pourtant une des actrices que je préfère) la présence du second médecin (Devos) est en trop. Lindon est fabuleux et s'est attaché à l'enfant. On aurait aimé une histoire plus linéaire, sans rebondissements. C'est peut-être dû à l'intrigue mais à eux deux, l'histoire aurait été plus forte: témoin vers la fin la scène dans la grotte par exemple
    Hotinhere
    Hotinhere

    425 abonnés 4 756 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 février 2024
    Un drame médical sincère et délicat mais inabouti et manquant d’émotions, en dépit d’un casting impeccable.
    Caine78
    Caine78

    6 055 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 avril 2013
    Peut-être un peu généreuses, ces quatre étoiles n'en sont pas moins méritées ne serait-ce que pour la nuance et la sensibilité qui se dégage de « La Permission de minuit ». Alors que Delphine Gleize aurait pu tomber 1000 fois dans le pathos et la lourdeur, voilà que se dégage dès le départ une touche, une douceur parfois étrange et ô combien agréable, permettant de ne jamais rendre pénible ou énervant ce thème de la relation entre médecin et patient, la question de la maladie étant en définitive un thème parmi d'autres abordés ici. Il y a ainsi quelque chose de très juste qui se développe tout au long de l'oeuvre, nous permettant de toujours rester concerné par l'histoire qui se déroule devant nos yeux, le tout porté par plusieurs beaux personnages, fort bien interprétés notamment par Vincent Lindon, Emmanuelle Devos et Quentin Challal. Et si certains trouveront probablement le résultat un peu froid, cela était probablement le meilleur moyen pour que « La Permission de minuit » apparaisse aussi crédible et convaincant à nos yeux. Une jolie réussite.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    84 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mars 2011
    Il faut beaucoup de tact et de délicatesse pour ne pas transformer un tel sujet en une sorte de plaidoyer tire-larmes, à l’émotion facile et convenue. Avouons que Delphine Gleize ne réussit que partiellement à tenir cette gageure, notamment dans la surabondance nuisible des situations hautement symboliques à la résolution prévisible. De la lâche démission du père aux interrogations récurrentes de Romain sur la possibilité ou non de faire un jour l’amour, la réalisatrice multiplie ainsi les moments très lourds, avec un habillage musical ad hoc, comme si elle ne faisait pas confiance à sa thématique, optant pour la surcharge et la fioriture. Ainsi, la scène des adieux, largement annoncée et dont on présuppose à juste titre en quoi elle sera déchirante, semble-t-elle sans cesse ajournée. Et encore elle ne marque pas l’issue du film, auquel est rajouté un épilogue tout aussi mélodramatique, avec l’impression pour le moins désagréable d’un étirement dilatoire.
    De la même manière, appuyée et volontariste, la cinéaste signifie l’importance des lieux avec comme ligne directrice l’opposition entre l’univers hermétique et aseptisé de l’hôpital – souligné également par la combinaison opaque que doit porter Romain – et l’espace de liberté que constitue une route enneigée ou une grotte souterraine, sans parler de l’escapade bruxelloise, certes sympathique mais peu vraisemblable. Le comédien de Welcome et Mademoiselle Chambon continue à appliquer les mêmes recettes du dur au cœur tendre, au doux regard éploré, bourru et taciturne, mais une grande âme au fond.
    Au final, La Permission de minuit ne nous apporte guère d’éclairage singulier sur la relation équivoque et profonde reliant un médecin à son jeune patient, dans laquelle le cadre professionnel vole en éclats pour pénétrer la sphère intime des personnages. La dramaturgie croissante qui empile petits et grands événements pour mieux délayer une narration impropre à son autosuffisance emmène le film aux confins d’un aimable téléfilm, esthétique et message compris.
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