Avis : Resident Evil : Chapitre Final - Page 7

Il était temps que cela finisse! Ce film ne révolutionne en aucun cas la saga et la termine d'une façon bien peu originale. le scénario semble n'être qu'un prétexte à une dernière déferlante d'effets visuels.

J'ai adore
J'ai trouvé qu'il avais bien clôture la saga
Certes il y a une incohérence avec le 2 mais le lien est fais entre le 5 et 6
Donc je dirai à ceux qui continue à regarde la saga alors qu'il ne font que la critique passez votre chemin et allez critiquez d'autres film
Je suis une fan inconditionnelle de cette saga elle reste ma préférée

Ce film est bien mauvais, voilà un nanar bien inutile et désagréable.
C'est abrutissant au possible, bref rien à sauver.

Le dernier épisode de la saga zombiesque, et il était temps! Le gros problème de ce final, toujours porté par Paul W.S. Anderson, est qu'il est beaucoup trop basique et simple. Malgré un bon début avec une bonne scène d'introduction permettant de se remettre dans le bain, 5 ans tout de même après le cinquième épisode (grossesse de Milla Jovovich oblige), ainsi que des scènes d'action prouvant les progrès techniques visibles entre chaque film, et enfin la bande son rythmée et apocalyptique, ce "Chapitre Final" est vraiment très classique et ne satisfait pas assez. Mais "Resident Evil" a toujours été une saga, commencée en 2002, sans plus, où les films manquent d'innovation (contrairement à la franchise du même genre "Underworld" que je préfère et que je recommande plutôt) et il ne faut de toute façon pas s'attendre à une fin grandiose et épique. Les personnages de l'hexalogie adaptée des jeux vidéos sont très plats et se font vite oublier. Les scènes d'action sont régulières dans les longs métrages, mais sont pour la plupart du déjà-vu. Les répliques sont très peu travaillées. Pour finir, il y a des problèmes de scénario et de casting. En effet, spoiler: on retrouve Alice dans un endroit totalement inconnu à sa première scène par exemple, et il n'y a pas de raccord avec "Retribution".
Il y a aussi spoiler: des retours de personnages assez inexpliqués
. "Resident Evil" et les aventures d'Alice contre Umbrella Corporation est à mon sens une saga donc sans grand intérêt. Cette conclusion me paraît bâclée et veut servir de promo pour le nouveau jeu qui est sorti début 2017. A voir seulement pour ceux ayant suivis les films précédents et voulant voir un épisode de plus, mais pour les autres, passez votre chemin.

Une conclusion pour ce sixième volet, pénétrer dans le Hive, la ruche. Détrompez vous, nous ne sommes pas face à un épisode de mission impossible. Par contre comme pour tout épisode de la franchise lancée par Paul W.S Anderson, l'étude est différente. Plus en retrait, moins de galipettes et d'high-tech de bazard. On retrouve la poussière du troisième épisode, mené par Russell​ Mulcahy. l'Invincible Alice se bat toujours face aux invincibles mêmes​ méchants qui reviennent toujours et les zombies biologiques sont bien évidemment de plus en plus gros. Pas de surprise, mais toujours beaucoup de style. Le montage est maîtrisé, tout comme l'univers qui ne cesse de nous convaincre avec ses décors poisseux et ces corps suspendus, qui nous rapproche parfois d'un Dead Space movie. Ça change radicalement des deux derniers épisodes, insondables, ésotériques. Ici, on est plus dans le film de genre, et c'est déjà plus parlant. Parce-que ​qu'auparavant c'était le petit PWS Anderson qui avait avalé des céréales Wachowski au petit déj et qui parlait la bouche pleine. Ceux qui ont ressenti ça me comprendront.

On pourra dire ce qu'on veut de la saga Resident Evil, mais il y a une chose que personne ne pourra faire mieux que Paul W.S. Anderson : construire des univers complètement WTF, avec des héroïnes badass et des effets spéciaux toujours plus dingues. Alors même si les précédents Resident Evil n'étaient pas à la hauteur des jeux vidéos du même nom, ce Chapitre Final est vraiment un bon "chapitre".

Entre 2002 et aujourd'hui, on a eu droit à 5 films, tous plus délirants les uns que les autres, mais tous aussi peu inventifs : à part le premier film, rien dans cette saga n'était à sauver. Le 5ème film a cependant eu la bonne idée (voulue ?) de réveiller un peu les vieux esprits de la série de jeux vidéos : avec une fin mystérieuse qui laissait présager un nouvel épisode un peu plus novateur.

Eh bien, heureusement, ce Chapitre Final se révèle être franchement cool : on comprend enfin toute l'histoire, l'utilité des personnages et le réel but d'Alice, l'héroïne, qui apprend son passé. Même si les explications sont parfois trop simples et souvent un peu 'balancées' au visage du spectateur, et bien ça répond à toutes les questions qu'on peut se poser.

Bon, on ne va pas se mentir, ça se bastonne tout le long du film, on découvre des personnages qui meurent deux minutes après, on a droit à plein de nouveau monstres et mutants. Mais sincèrement, est-ce que c'est pas ce qu'on attend vraiment en visionnant un film comme ça ?

En bref, Resident Evil : Chapitre Final, c'est le meilleur film de la saga. Il répond simplement à toutes les questions, rend l'histoire compréhensible et les personnages utiles et clôt ENFIN cette saga. Même si ça se bastonne et ça crie dans tous les sens, la réalisation nous scotche à notre siège et on passe un bon moment.

Mention spéciale à la musique signée Paul Haslinger, qui est assez inspirée.

J’espérais un léger retour aux sources en voyant mentionner la ruche, il n'en n'est rien, le film reste dans la ligné des précédents opus:
-des plans saccadés abominables
-des scènes qui s’enchaînent à la vitesse de la lumière
-des combats tu me défonce je te défonce sans aucune originalité
-des dialogues aussi fournies qu'une relation entre 2 pots de fleurs
-et un scénario qui vient conclure en ne concluant rien du tout.
Aussi inexpressif qu'un Travolta en fin de vie, Resident Evil Chapitre Final, n'a même pas réussi à mettre un terme a ce désastre, puisqu'il n'a de final que le nom. 1.5/5

Du Resident Evil, cela étant le lien avec le dernier laisse beaucoup de question et doute moi qui aimez la continuité.... il se rattrape tout de même du dernier opus catastrophique.
Bonne action et bon jeux d acteur pour un

Pourquoi avoir changé l'histoire ?!! Je veux dire, ça fait 6 ou 7 films qu'on suis Alice !! A un moment donné, il suffisait juste, avant de nous pondre celui-là, de regarder ceux d'avant et de pas raconter que des âneries au début !! Et ça ne changeait rien à la suite nullissime digne d'un nanars ! Mais après on s'en fou, on signe pour ça ! ON LE SAIT!

Juste, qu'à un moment donné, un vêtement rouge, ben on peut pas nous dire qu'il est bleu ! ça ne marche pas !

Le reste, ben c'est du résident... FX, action, ralentis, ralentis, ralentis, bombasses, morts, ha... et du zombie humain occasionnellement (non par ce que là, ouhaou !!! l'espèce des dragons a refait surface hein =D

spoiler: Je ne m'attendais pas au religieux... Mais en même temps, dans du post apo, c'est étonnant qu'on en ai pas eu dans cette sage...

Bref... celui qui doit conclure cette sage est bâclé... Ils auraient pourtant pu faire quelque chose de plus propre d'autant plus qu'on ne s'attends initialement pas à grand chose.

Déception...

La saga a définitivement atteint ses limites. Un chapitre de conclusion qui n'apporte pas grand chose à l'histoire ( spoiler: à part les origines d'Alice
). L'action est bien dosé et permet d'oublier l'absence d'un vrai scénario. Milla se défend toujours dans son rôle. Mais il serait bien de la voir dans autre chose dorénavant. Au final la saga n'a fait qu’effleurer le potentiel du jeu vidéo.

Ce sixième opus de la franchise Resident Evil a rapporté plus de 300M$ pour un budget de 40M$, autant dire que ce chapitre sera tout sauf final...... après il y aura l'héritage, le testament, le sequel, le prequel, le tutti quanti.....bref, tant que le robot Milla Jovovich tiendra debout (41 ans et 27 ans pour le 1er en 2002, quel est son secret ?....) et se bastonnera avec autant de vigueur, on aura notre compte d'action. Le scénario est toujours aussi basique et indigent mais bon, c'est pas c'qu'on cherche en visionnant cette vidéo....

Vu et commente le 20170126

Très bien pour qui a envie d action et rien d autre.

Le pire, c est que j aime bien ça, mais lorsque je suis en train de regarder, je passe mon temps à me désoler.

Juste de l action, de la musique, du mouvement dans tous les sens partout à l écran.
Désolant à quel point le scénario est faible. Pour l illustrer par des exemples non représentatif : tout premier son de mémoire l écran est encore noir, le preprepreprepregenerique n a même pas commencé je gros - du gros son bien lourd pour nous dire : attention, vous allez voir de la grosse action, préparez vous.
Pareil, dernier son : le générique est complètement terminé - plus personne dans la salle, même l employé qui ramasse les déchets a fini de parcourir la salle et est repartit. Écran noir, une voix électronique articule : vous allez tous mourrir. Une promesse maintes fois non tenue dans le film. Pas un seul éclat de rire ou sourire dans la salle tellement c est nul.

Normal direz-vous, il n y avait plus que moi.

Pas: étonnant qu on ne voit pas plus souvent mila jocovich dans des films, elle est très bien. C est juste le film qui est nul pour qui n est pas indulgent a tout prix. 3 étoiles quand même car il tient ses promesses pour qui ne veux que ça.

Dernier chapitre, dernier combats, dernier round pour un ultimatum pour Alice et ses congénères. Une saga richement illustrée par son visuel décapant, numérique au départ laborieux qui se sera très rapidement améliorer, effets mécaniques démesurer qui, comme "Alien vs Prédator" auront marquer le cinéma d'horreur comme S.F. Paul W.Anderson signe sa dernière production dans un scénario très simple ou seul le final est "recherche" mais au fond, bien basique de l'époque à laquelle le film sera sortie mais d'un côté, ce récit simpliste est digne de la réalité à laquelle nous sommes aujourd'hui confronter car oui, "Résident Evil" aura traiter en n°1 d'une pandémie planétaire dû à un virus créer en laboratoire, 2020 / 2022, nous entamons la 2ème années d'une épidémie virale qui, fort heureusement ne nous change pas en zombie mais aura changer bien des mentalités. Si le récit est donc simple avec une conclusion bien efficace, le casting emmener comme depuis le départ par la grande et belle Milla Jovovich reste sans grande surprises avec d'un côté les membres passager qui mourrons très rapidement, et ceux qui à l'inverse resteront jusqu'à l'assaut final. Aucun développement personnel pour ceux-là mais une belle continuité pour Milla qui, cette fois-ci et pour la première fois de mon propre ressenti, se voit une mise en scène moins fluide, des combat presque moins esthétique ainsi qu'un script moins "cousu main". Quand à l'instigateur principal Shawn Roberts, sa mise en scène aura enfin été plus fluide, moins statique et robotisée. Sur le plan visuel, aucun problème tant l'évolution technique et artistique fut présente au fil des films, seul une créature fut légèrement bâclée mais dans son ensemble, toutes les scènes d'action et de démesure durent à la hauteur de l'enjeu. Seul point faible majeur, le final de "Rétribution" nous montrait un large plan de Washington DC en guerre totale apocalyptique, le début de cet ultime volet n'aura pas prit pour peine de suivre cette fin épique pour nous mettre un élan démonstratif, au lieu de cela nous découvrons la capitale directement en ruine après l'affrontement. Un ultime film ou révélations sont présentes, ultimes actions présentes et mini clins d'œil aux précédents volets avec certaines scènes afin de pouvoir dire adieux à Alice et ses principaux adversaires, et sa grande amie de mi-parcours, Ali. L'une des plus grandes sagas d'horreur adaptée de l'une des plus grandes sagas... virtuelle. Les morts n'auront jamais réellement fini de nous hanter.

Commencée 15 ans plus tôt, l’aventure de l’iconique héroïne Alice (jouée par Milla Jovovitch) touche à sa fin avec Resident Evil : Chapitre Final, de Paul W. S. Anderson.

S’ouvrant comme à l’accoutumée par un monologue d’Alice narrant tout ce qui a pu se passer jusqu’au dernier cliffhanger, son récit s’achève cette fois-ci autrement, par « Je m’appelle Alice et ceci est mon histoire, la fin de mon histoire ». Une introduction qui annonce donc la fin de la série de films adaptée du jeu vidéo homonyme L’intrigue qui démarre juste après les événements qui se sont déroulés dans Resident Evil : Retribution (sorti en 2012), tourne autour d’un vaccin au T-Virus (propagé dans le monde par Umbrella Corporation et à l’origine de l’apparition des zombies). Annoncé par le programme d’intelligence artificielle « Red Queen » représenté sous la forme d’une petite fille en hologramme (interprétée par la fille de 9 ans de Milla Jovovitch, Ever Gabo Anderson), ce vaccin, capable de stopper la propagation du T-Virus et de sauver les quelques milliers d’humains qui restent sur Terre, se trouve à Raccoon City dans le Hive (le laboratoire sous-terrain où a été créé le T-Virus). Ainsi, avec deux jours pour se rendre dans ce ground zero où le cauchemar apocalyptique a commencé et sauver le monde, un dernier périple attend notre ex-agent d’Umbrella Corporation, Alice.

Bonne surprise que ce dernier volet avec une véritable intrigue, pour une fois.
Le pourquoi de répandre le virus, nous y sommes confrontés en plus
Une fin bien meilleure que les autres volets.