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    La légende de Zatoichi : Le Fugitif
    Note moyenne
    3,3
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    4 critiques spectateurs

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    AMCHI
    AMCHI

    5 037 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 mars 2014
    Ce 4ème volet des aventures de Zatoichi se situe dans la bonne moyenne car si ce n'est pas du tout un mauvais épisode de la saga du masseur aveugle ce n'est pas non plus un film vraiment marquant. Parfois les Zatoichi se suivent et se ressemblent un peu et Le Fugitif fait partie de ceux qui manquent de personnalité pour se distinguer des autres, après on passe relativement un bon moment, Shintarō Katsu joue avec beaucoup de sympathie son personnage attachant et il est ici doublement aveugle, sa cécité physique bien sur mais aussi par amour. Le final est pas mal mais Le Fugitif a tendance à manquer de dynamisme.
    Lenalee23
    Lenalee23

    34 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 août 2010
    La légende de Zatoichi : Le Fugitif est en totale rupture avec les trois premiers volets. Le style du film change et deviens au fond un véritable Matatabi no Mono (un film de samouraï errant). Le changement de scénariste y est peut être pour beaucoup car cette fois ci Seiji Hoshikawa prend la relève de Minoru Inuzuka (je rassure certains Inuzuka reviendra pour d'autres volets). Tanakura tranche avec les précédentes figures du Ronin, des hommes jusqu’alors prisonniers de leur passé remplacés par des yakuzas corrompus avide d'argent, de pouvoir et un ronin sans foi ni loi. Zatoichi lui même a changé, ou plutôt, a évolué. Il n'est plus aussi hanté par ses démons, libéré il n'hésite pas à s'afficher au yeux de tous dans un combats de sumo au début du film. La figure de celui-ci change aussi il devient de plus en plus mythifié, un sabreur légendaire voit le jour, défenseur de la veuve et de l’orphelin, un véritable héros iconifié, marquant son entrée dans la légende. Ichi évolue et celui qui, dans le troisième épisode refusait le combat ne se fait pas prier pour sortir son sabre. La rencontre de la belle Tané au destin tragique, femme déjà présente dans les deux premiers volets nous permettra même de voir une facette de Ichi encore inconnue : une haine sauvage, un tourbillon de vengeance. En général un film de Chanbara ou de ken-geki se termine souvent par une grande bataille ou un Dai-Ketto (grand duel). Ici c'est coup double comme pour marquer la fureur destructrice qui peut s'échapper d'Ichi. La fin toute particulière voit Ichi s'en aller en dansant mais lorsque celui-ci est assez loin de ceux qu'il quitte, alors tombe un visage sombre : Ichi est revenu à la dure réalité mais sa voie est maintenant définitivement tracée.
    rogerwaters
    rogerwaters

    126 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 septembre 2015
    Après un troisième volet moins bien réalisé, mais dans lequel Tokuzo Tanaka avait introduit une dimension tragique fort appréciable, ce quatrième épisode est celui de la rupture. Le scénariste n’est plus le même et cela a une incidence manifeste : le personnage de Zatoichi est légèrement différent, plus intrusif dans la destinée des autres, et surtout capable de tuer de sang-froid uniquement pour se venger. Le réalisateur ne s’est pas franchement amélioré et il manque clairement à ce long-métrage un point de vue. De même, on peut regretter le manque de tension générale lié à un script finalement peu intéressant et parfois franchement confus. Heureusement, l’interprétation magistrale de Shintaro Katsu permet de s’accrocher, mais dès qu’il disparaît de l’écran, le film perd de son intérêt. Finalement, on retiendra de cet épisode plus faible un dernier quart d’heure martial très efficace, ainsi qu’un duel final vraiment bien fichu.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 21 mars 2012
    Nettement plus fondé sur l'action que les volets précédents, la psychologie du pesonnage de Zatoichi est quelque peu mise en retrait pour insister plutôt sur la noirceur et la décadence du monde qui l'entoure et l'avadité et la cupidité des hommes. Zatoichi est ici moins humain et plus emblématique, seul exemple de vertu au sein d'un monde empli de bassesse.
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