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    Damsels in Distress
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    39 critiques spectateurs

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    Gonnard
    Gonnard

    214 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 janvier 2015
    Un OVNI cinématographique qui laisse perplexe. C'est tellement désuet et réac qu'on espère pendant longtemps être dans une sorte de second voire troisième degré , avant de finalement admettre la triste réalité. Et le pire n'est même pas là. Le côté vieille Amérique des personnages n'est pas compensé par un intérêt scénaristique quelconque. L'intrigue se révèle vide, de même que des dialogues qui n'en finissent pas de s'étaler. Au final, "Damsels in distress" a vraiment le profil du film à voire entre potes lors de soirées de beuverie, c'est peut-être là et uniquement là que l'on percevra tout le potentiel d'une telle œuvre.
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 772 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 septembre 2015
    Je l’avoue, j’ai eu du mal à rentrer dans ce récit ; je me demandais même si mon existence pouvait se permettre de gaspiller autant de temps. Puis, peu à peu, à force d’insister, de se convaincre que l’on n’est pas plus bête qu’un autre, j’ai eu la surprenante surprise de m’intéresser ! Surtout après que Violet disjoncte, elle qui semblait si souveraine dans ses avis. Violet, c’est GG, Greta Gerwig, une actrice pour qui j’ai de l’affection et c’est pour ça non seulement j’ai voulu voir ce film mais surtout insisté à le regarder ! C’est pour Greta Gerwig que j’ai enduré les premières minutes, et c’est grâce à elle si j’ai fini par m’y intéresser. Il n’était pas possible que je perde une partie de mon existence avec Greta Gerwig ! Elle, que je suis depuis « Greenberg ». Et pourtant si je parcours sa filmo, je m’aperçois, que j’ai vu « Lola Versus » et « France Ha » et « To Rome With Love » bien avant ce « Damsels and Distress ». Oui, il faut du temps pour s’accoutumer à ce récit proposé ; à ces demoiselles à la voix posée, souriantes, maîtrisant un verbe raffiné et continu. Ca peut paraître snob de se laisser bercer par un langage sophistiqué, mais parfois ça fait du bien même si par moments cela peut paraître hermétique. Peu importe, ce film est inclassable et c’est ce qui le rend classe ! Quand je vous dis que ce film me rend snob ! Et le comble du snobisme, c’est d’entendre Xavier parler des Cathares, même si c’est d’une manière légère pour justifier sa pratique sexuelle ; peu importe, c’est bien la première fois qu’un petit laïus soit consacré aux Cathares et qui plus est dans un film américain confidentiel, indépendant. Si ce n’est pas snob, ça ? ou raffiné ? Non, je n'ai pas perdu une partie de mon existence à voir ce film.
    FaRem
    FaRem

    7 406 abonnés 8 816 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 mai 2013
    C'est très rare que je ne regarde pas un film jusqu'au bout mais c'était impossible j'ai pas du tout aimé j'ai pas compris l’intérêt du film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 juin 2015
    Rien compris au projet. Un film complètement hors sol, tant les personnages et leur environnement sont déconnectés de toute réalité observable par chacun d'entre nous. Le côté décalé/déjanté apparait tellement forcé... et cette logorrhée incessante... et cette odeur persistance de naphtaline...Certes, la grande gigue blonde qui joue l'héroïne principale a une vraie personnalité et un vrai charisme, mais ses qualités sont utilisées en pure perte. Essayer d'entrer dans ce film est encore plus difficile que d'escalader une paroi de verre.
    natlin 06
    natlin 06

    22 abonnés 325 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 13 décembre 2012
    rien , il ne se passe rien, jamais vu une daube pareil, j'ai arrete au bout de 20 mn, a eviter!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 octobre 2012
    ce film est une blague, j'ai réussi à tenir 50 minutes en espérant toujours qu'il se passe quelque chose, et puis je suis passé vite à la fin et non il ne s'était toujours rien passé (ouf j'ai économisé 40 minutes de mon temps) bref à éviter absolument
    à quoi sert ce film ??
    Caine78
    Caine78

    6 015 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 novembre 2012
    Réalisateur très apprécié par une petite chapelle de cinéphiles pour son « Metropolitan » réalisé 21 ans auparavant, « Damsels in Distress » n'est probablement pas le retour que ces inconditionnels espéraient depuis si longtemps. Pourtant, après quelques minutes d'acclimatation indispensables pour rentrer dans ce drôle de monde universitaire, volontiers kitsch et n'ayant pas peur du ridicule, avouons que le résultat peut séduire, pour ne pas dire enchanter parfois. Alors une fois de plus il faut être sensible à cet aspect très verbeux et à ces héroïnes que l'on a pas franchement l'habitude de croiser tous les matins, mais l'ensemble a du charme, de l'élégance et délivre un délicieux parfum à l'ancienne, bercé par l'ombre du grand Fred Astaire et de la comédie musicale. Difficile en définitive de résumer ce film assez riche, agaçant parfois, « bobo » et jouant probablement trop sur le caractère original, décalé et « spirituelle » de ces personnages, mais ayant suffisamment de talent pour plaire, celui de la toujours craquante Greta Gerwig en tête. Inégal donc, mais salutaire.
    CeeSnipes
    CeeSnipes

    250 abonnés 1 708 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 octobre 2014
    Premier film de Whit Stillman en treize ans, Damsels in Distress est une campus teen comedy, un genre qui avait perdu de sa superbe depuis quelques années, devenu un recueil à blagues graveleuses à l’alcool qui coule à flots.

    Non pas que Damsels in Distress soit un film totalement chaste, le film de Whit Stillman se démarque déjà par son ton, si original et rafraîchissant. En effet, les dialogues sont aussi frivoles qu’extrêmement écrits, avec des réactions irréalistes mais si absurdes et drôles qu’elles en deviennent passionnantes. Il y a un vrai amour du dialogue chez Whit Stillman et Damsels in Distress est un film qui se repose entièrement sur des dialogues qui mériteraient presque qu’on écoute qu’eux et qu’on ferme les yeux sur ce qu’il se passe à l’écran. On y parle de couleurs en y buvant des cocktails, de playboys, des Cathares ou encore de propreté, de suicide et de savon.

    Sauf que ce faisant, on louperait le parti pris visuel absolument splendide du film de Stillman. On est loin de l’image numérique que tous les films utilisent en ce moment. Ce n’est pas une qualité en soi, mais cela permet au réalisateur de composer quelques plans particulièrement fabuleux. En effet, sous l’effet des dialogues scintillants, l’image elle-même se met souvent à briller constamment, tout est magnifique et charmant, sans oublier l’effet d’un score de Mark Suozzo, quasiment inécoutable en dehors du film (s’il on omet la Sambola, la reprise de Things Are Looking Up et un autre morceau à propos d’un arc-en-ciel) mais terriblement adéquat au propos, hors du temps.

    Bien évidemment, une œuvre aussi singulière et radicale dans son approche cinématographique ne marcherait que s’il y avait un casting à la hauteur de son ambition. Rassurons-nous, Greta Gerwig est totalement parfaite dans un rôle qu’elle magnifie grâce à ses réactions plus vraies que nature (pour le coup), son abnégation qu’on retrouvera dans Frances Ha l’année suivante et surtout son sens de la comédie inné, qui aurait fait un grand bien au spin-off de HIMYM s’il avait été validé. Autour d’elle, c’est du grand art. Entre les bien connus (et excellents) Adam Brody, Analeigh Tipton, Aubrey Plaza, Zach Woods ou encore Alia Shawkat (dans une savoureuse apparition), on retrouve des acteurs moins connus mais tout aussi drôles, comme Billy Magnussen, Jermaine Crawford (qu’on a connu dans un rôle marquant de The Wire), Hugo Becker et les deux fabuleuses Carrie MacLemore et Megalyn Echikunwoke, dont le jeu tout en regards perdus et présence charismatique est la meilleure partie du film.

    Damsels in Distress est un délice rayonnant, une sorte de soirée au Crillon au milieu d’un déluge de Burger King. Le film est absolument fabuleux, mérite tout le respect possible et souffre les nombreuses visions. Un océan de bonheur.
    vidalger
    vidalger

    291 abonnés 1 226 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 juillet 2013
    Ce film est un navet snobinard, dont la forme est tellement classique qu'elle en est démodée, et le fond, un banal film de campus, est à la fois niaiseux et souvent abscons pour un Français. L'humour du scénario et la finesse de certains dialogues nous ont fait esquisser deux ou trois sourires. Les répétitions de gags (l'influence des odeurs, le garçon précoce qui n'avait jamais appris les couleurs par exemple) ont plus un effet soporifique que d'accentuation d'effet. On ne peut même pas dire qu'on gardera de ce film, la surprise de la découverte de quelque jeune talent caché. Les héroïnes, les damsels, nous ont tellement tapé sur les nerfs que l'on ne veut plus jamais les voir!
    Guillaume182
    Guillaume182

    120 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2014
    J'ai souvent envie de regarder un film d'un réalisateur que j'aime ou qui m'intrigue, mais j'aime aussi beaucoup découvrir des films pour y retrouver des acteurs que j'aime, dans celui-ci, il s'agit de l'inoubliable et la géniale Greta Gerwig, qui est une très grande actrice et une personne qui sait ce qu'elle veut. C'est une actrice de film indépendant très célèbre aujourd'hui, pourtant elle ne suit pas le même chemin que ses collègues Ellen Page, Jennifer Lawrence ou bien Joseph Gordon Levitt qui sont devenus célèbre grâce à leurs prestations remarqués dans des films indé et qui maintenant se prostituent à Hollywood.

    Voilà ca c'est dit, sinon Whit Stillman le réalisateur j'en ai jamais entendu parlé et apparemment il réalise un film tous les dix ans.

    En tout cas j'aimerais en voir plus des films avec des dialogues intelligents et des acteurs aussi bons.

    Je dis intelligents parce que le film fait réfléchir le spectateur sur son propos c'est-à-dire les rapports des gens les uns envers les autres, la culture, l'éducation, la société, les relations amoureuses. C'est très vaste et pourtant le film est court, c'est une comédie un peu bizarre parfois, mais cela contribue au charme du film, c'est accessible à tous pourtant le film n'a pas touché un large public à sa sortie et c'est bien dommage, car c'est un film très intéressant et plaisant à voir!
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 octobre 2012
    Dans les nombreux et passionnants métiers du cinéma, il existe celui de distributeur, dont le job consiste, entre autres choses, à vendre les copies du film qu'on lui a confié aux exploitants de salles. Le distributeur ne laisse rien au hasard : le nombre et le type de salles choisies répondent à la demande supposée des spectateurs. « Damsels in distress » sort donc en France avec une combinaison plutôt curieuse : 5 salles seulement, toutes à Paris. S'il est traditionnel de voir un film d'auteur bénéficier d'une sortie confortable dans la capitale et plus discrète en province, il est rare que cette dernière soit totalement inexistante, surtout dans les grandes villes comme Lyon, Bordeaux ou Toulouse. La carrière française du dernier film de Whit Stillman sera donc parisienne, et c'est un choix, autant dire un aveu de la part des distributeurs qui, lucides, sont conscients que « Damsels in distress » n'intéressera qu'un public limité répondant plutôt bien au cliché du bobo parisien propre sur lui.

    La décision de cette sortie confidentielle est sage, à la fois économiquement et artistiquement. Le film est, de fait, parisien. La chambre des filles est décorée d'une carte de Paris et d'une affiche de « La Grande Illusion », un de leurs petits copains est fan de Truffaut, et il plane vaguement sur tout le film un petit parfum de Rohmer. Stillman a vécu dix ans à Paris et prend un certain plaisir (honnête, sans doute) à étaler sa francophilie en autant de clins d'oeil complices à l'égard du public ciblé. Ce qui explique sans doute l'enthousiasme exagéré d'une partie de la presse, flattée de constater que Stillman aime à tel point les cinéphiles français qu'il leur fait un film sur mesure. De la même façon que son personnage principal invente la Sambola en empruntant des éléments préexistants à des danses qu'elle affectionne, Stillman parsème son film de références (comédie sophistiquée alleno-rohmérienne, caricatures de college movie, vague décalage intello) partagées avec une certaine tendance de la critique française. Pas déplaisant au premier abord, l'exercice de style devient complaisant et finit par agacer profondément. L'humour de Stillman se veut tellement sophistiqué et spirituel qu'il fait tout au plus esquisser un sourire toutes les dix minutes, laissant le reste du temps le spectateur de marbre devant ses vaines tentatives de divertissement. Au final, Stillman ne caricature pas tant une certaine jeunesse américaine qu'une certaine vision du cinéma indépendant américain. Le problème, c'est juste qu'il ne le fait pas exprès.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 mai 2013
    quand on regarde ce film on se prend a regretter l'époque du cinéma muet.........! ça beau être rempli de jolies filles.......elles ne font que bavasser d'un bout a l'autre du film......... Comme l'une des actrices principales qui niaisement se fait embobiner par son mec afin de la sodomiser (rassurez vous on ne voit pas la scène) c'est bel et bien le spectateur qui se fait enc.........!!!
    selenie
    selenie

    5 437 abonnés 6 016 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 novembre 2012
    Le réalisateur offre un film acidulé sur le lobby des groupes (fraternités) de filles dans les facultés américaines. On reconnait dans le casting des actrices plus ou moins connus grâce à des séries tel que "Gossip girl". La mixité dans les facs américaine date des années 70, malgré une histoire qui se passe aujourd'hui les décors et les costumes semblent avoir été étudiés comme un clin d'oeil rétro ; un côté kitsh et désuet qui a son charme mais qui ne sera pas servi par un scénario inepte, jamais drôle et dont les dialogues sont aussi peu intéressant que le contenu général du film. En fait ce film est extrêmement bavard et tourne essentiellement autour d'une psychologie primaire et démago. A priori Whit Stillman est considéré comme le Rohmer américain... Ca me laisse perplexe... C'est d'un ennui poli avec en prime des personnages qui deviennent vite agaçant car trop hyper superficiels et snobs. 1h30 de blabla et de néant.
    Parkko
    Parkko

    134 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 août 2013
    Dans ses précédents films, Whit Stillman nous avait plutôt habitué à une étude sociale des moeurs d'un groupe donné (les jeunes bourgeois on va dire). Dans Damsels in distress, il y a quelque chose de différent par rapport à ses anciens longs métrages, on est plus dans une étude sociale, on est dans un campus movie mais complètement décalé. Les personnages principaux sont des personnages qu'on a peu l'habitude de voir, on a du mal à vraiment les cerner, mais le film est vraiment réussi sur cet aspect là, c'est que le réalisateur parvient vraiment à garder une sorte d'atmosphère complètement dingue et intrigante pendant son oeuvre. C'est bien écrit, bien interprété et mine de rien j'ai regardé ce film avec beaucoup de plaisir, les dialogues sont vraiment sympa, bref c'est une vraie bonne surprise.
    Christoblog
    Christoblog

    741 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2013
    Il est très difficile de décrire l'expérience que représente la vision du dernier opus du trop rare Whit Stillman.



    Voici plusieurs versions possibles.



    Trois copines de fac emmenée par Violet (la formidable Greta Gerwig) accueillent les désespérés dans leur Centre de Prévention du Suicide, qui souvent se transforme en Suicide Center, car le panneau Prevention se casse la figure. Violet a des idées très originales : ... la suite ici : http://0z.fr/P7XJo
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