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Romain J.
60 abonnés
224 critiques
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3,0
Publiée le 28 novembre 2011
Si vous allez voir le film attendez vous a etre secouer. D'une part par un scenario terriblement efficace malgré les invraisemblances et une certaine redondance(le sac cacher puis retrouver puis recacher). Le rythme est tout simplement hallucinant et malgré une realisation quelque fois trop epilliptique. Au final le film reste une reussite totale. Ici, tout est pourri, sale, fievreux. Une plongée vertigineuse dans un milieu sans pitié et dans un decor labyrinthique étouffant se terminant de manière hallucinante et désespérée. Tomer Sisley est convaincant et malgré ses lacunes, "Nuit Blanche" emporte l'adhésion grâce, également, à la formidable photographie de Tom Stern.
Film d'action au scénario ultra-light bourré d'invraisemblances. Le point positif du film est que c'est vachement bien rythmé. Les amateurs du genre y trouveront leur compte en bagarres et tirs tous azimuts et le déroulement des évènements se passe quasi-exclusivement dans les méandres d'une grosse discothèque. Le final est bâclé et le jeu des acteurs est plutôt moyen.
Ce n'est évidemment pas un chef d’œuvre mais critiquer ce film serait comme de tirer sur une ambulance, et j'ai décidé de mettre 5* à tous les films français qui sortent avec un budget de seulement 3.000.000 € (Millenium 100 000 000 $, Le Pacte 30 000 000 $, Echange Standard 52 000 000 $...). Cela relève de l'exploit, et je pense que tous les acteurs devraient recevoir la légion d'honneur .
Cela demande une ingéniosité au réalisateur, pour conserver une intrigue captivante permanente sans autre décor que l'intérieur d'une boite de nuit, ni effets spéciaux , tandis que les acteurs doivent tout donner de leur art et restent humains et crédibles.
Nuit blanche fait partie de ces films que je trouve inintéressant. Le scénario est très pauvre et aucun acteur relève le niveau. C'est faussement rythmé et finalement rien ne se passe. Passons...
Une bonne petite surprise que ce "Nuit blanche", croisé par hasard sur canal+. Un thriller français, nerveux et dynamique, comme nous savons en produire quelques uns de bonne facture ces temps ci. Le scénario est simple mais très bien réalisé et coordonnée. Le quasi huis-clos dans cette boîte de nuit bondée sait créer une atmosphère pesante et étouffante. L'action est vraiment au rendez-vous et est très égale tout au long du film, avec un suspens et une tension omniprésente jusuq'au derniers instants. Les acteurs sont très convaincants. Tomer Sisley et Joey Starr, mais surtout Serge Riaboukine, que j'ai trouvé énorme dans son rôle de malfrat chef de réseau. On notera bien quelques petite incohérences, mais le film n'en pâtit pas pour autant. Quelques scènes sont assez spéciale et rappelle le cinéma asiatique (la baston dans les cuisines), ce qui peut plaire ou déplaire. Il faut dire qu'il confère à ce film une touche de cinéma asiatique dans un film qui cherche à s'identifier aux thrillers américains.... Moi j'ai adhéré et je ne me suis pas ennuyé une seule minute !
Il y a quelques bonnes idées, en particulier l'unité de lieu et de temps : tout se passe au cours d'une nuit dans une boite de nuit. Le scénario ménage aussi quelques rebondissements intéressants mais sous utilisés. Malheureusement, c'est beaucoup trop long et répétitif, avec en particulier une bagarre interminable dont chaque protagoniste devrait pourtant être éliminé très vite vu la violence des coups. Cette outrance plombe la crédibilité du film, car on a du mal comment le héros parvient encore à se battre et même à marcher... Ca s'essouffle donc assez vite, plus vite que ce héros increvable.
Les comédiens ne s'en tirent pas trop mal, à l'exception de l'ado qui joue le fils du héros, peu servi par des dialogues caricaturaux, vulgaires et improbables.
Avec un peu plus de finesse et moins de répétition, on aurait pu avoir un bon petit polar. Dommage.
Y a des idées, mais que la réalisation est nulle ! La lumière aussi. Film empli d'incohérences. Je mets la moyenne pour le suspense, mais ce long métrage ne restera pas dans la mémoire cinématographique.
Nuit Blanche peut paraître comme un film banal mais le résultat est différent. Le scénario devient de plus en plus original au fil du film. De plus l'action est présente et le jeu d'acteurs est plutôt réussie. Mais le film est ennuyeux (surtout au début) et la vulgarité peut lasser au bon d'un certain temps. En gros Nuit Blanche est une bonne surprise.
Film très efficace, bon rythme, on veut absolument que notre héros s'en sorte. Les scènes de bagarre dans la cuisine sont d'anthologie, les salles de la boîte sont bien vues, c'est violent et tout le monde s'en prend pour son grade. On passe 1h30 sans s'ennuyer et on entre dans l'empathie avec le héros dont on suit la mésanventure.
J'ai vu ce film hier soir lors de l'avant-première. Toute l'équipe du film était présente, avec entre autres Joey Starr et Tomer Sisley. Le film est un bon polar "à la française" où la majeure partie de l'action se situe dans une discothèque où s'affrontent flics ripoux, flics pas ripoux et trafiquants de drogue. Plutôt efficace ! Petit bémol : le fils de Tomer Sisley dans le film fait trop "petite racaille" pour le rendre attachant...
Film d'action qui va à 200 à l'heure, on s'ennuie pas une seconde mais tout le film ce passe dans la boite de nuit du coup j'ai trouvé les scènes répétitives et une certaine lassitude s'installe enfin bref loin d'être un chef d'oeuvre !! Ce laisse regarder tout de même !!
Commençons par le positif : on ne s'ennuie pas dans Nuit Blanche et le fait que les trois quarts du film se passent dans une boîte de nuit où tout le monde joue au chat et à la souris avec ici un sac de coke et là un gamin en otage est une idée intéressante mais mal exploitée.
Mince, j'avais dit le positif... Autres points à saluer, la belle performance de Serge Riaboukine parfait en enfoiré première classe et bien sûr Julien Boisselier, toujours très bon mais on n'en attendait pas moins de l'un des meilleurs acteurs français actuels.
Tomer Sisley par contre, le "héros" déjà vu dans les sous-produits "Largo Wynch" est égal à lui-même c'est-à-dire rien. Quant à Joey Starr, comme d'habitude on se demande ce qu'il fait là : il s'est perdu ? Mais c'est bel et bien Tomer Sisley qui handicape sérieusement le film, lequel n'avait pas besoin de ça pour s'enfoncer dans la surenchère du n'importe quoi. Car si on ne s'y ennuie pas, les incohérences et rebondissements hautement improbables achèvent d'anéantir le peu de crédibilité qui lui restait.
La réalisation fait également dans le grand n'importe quoi avec une caméra à l'épaule secouée dans tous les sens, rendant toute action totalement illisible (la trilogie Bourne dans les cordes). Le plus ironique dans tout cela, c'est ce polar français qui reproduit ce qu'Hollywood fait de pire : histoire abracadabrante et réalisation à la rue.