Depuis la présentation, nous pouvons comprendre que “The Artist” est aligné avec un philosophie de contre-culture. Dans une ère des VFX emblématique, le film est tout enregistré en noir-et-blanch et, dans la plupart des scénes, muet. Cela suffit pour avoir un impact sur le spectateur moderne. Mais ce ne pas suffisante pour graver son nom dans l'histoire du cinema du 20e siècle, ça se doit aussi a l'ensemble de l'oeuvre.
Juste au début, il nous est présenté George Valentin, interprété par Jean Dujardin, dont les expressions toujours parfaitement ponctuées traduisent les situations expérimentées pour le personnage et sont très utiles pour l'empathie ressentie pour le personnage. D'autre caractéristique remarquable au début c'est la BO, composée par la musique dans l'orchestre, qui est toujours en train de donner a là scène des touches émotionnelles nécessaire pour comprendre le progrès des scènes sans la nécessité d'un dialogue.
Avec seulement ça, “The Artist” pourrait être un très bon film, mais, on y ajoute aussi la présence de Peppy Miller, interprétée pour la charismatique Bérénice Dejo, qui ne manque pas de s'exprimer de façon passionnante, avec ses danses et de baisers charmants, et aussi la présence des scénarios simples, mais très bien placés. Et pour finnir, l'histoire, qui raconte parfaitement la transition entre le cinéma muet e le cinéma parlant, l'impact de ce changement dans la vie des artistres existants, et enfin, mais non moins des plus importantes, l'amour vivant entre George et Peppy, transforme “The Artist” en un classique instantané.