Mon compte
    Monsieur Lazhar
    Note moyenne
    4,0
    1311 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Monsieur Lazhar ?

    223 critiques spectateurs

    5
    26 critiques
    4
    122 critiques
    3
    52 critiques
    2
    16 critiques
    1
    5 critiques
    0
    2 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    reymi586
    reymi586

    402 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 septembre 2012
    Un très beau film québécois de Philippe Falardeau plein d'humanité grâce au grand acteur qu'est Fellag et à une bande d'enfants bluffant. Je m'attendais à une histoire un peu plus légère et drôle mais le film n'est pas très gai. C'est une belle rencontre entre un homme en reconstruction et une classe en reconstruction, les deux vont s'entraider pour oublier des périodes difficiles. Le film montre bien aussi les différents problèmes que rencontre l'éducation nationale dans nos sociétés occidentales. On regrette peut être cette fin soudaine mais Monsieur Lazhar est un très beau film qui vaut le coup d'oeil.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 septembre 2012
    Film plein de pudeur, de sensibilité, d'intériorité. Amateur de films d'action à l'américaine s'abstenir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 septembre 2012
    film boulversant, des acteurs incroyables, surtout les enfants, notamment celui qui joue le rôle de Simon.
    Dans une scène vers la fin du film il est tout simplement stupéfiant, j'ai jamais vu un enfant d'un age aussi jeune jouer aussi bien. Incroyable performance.
    Craoux
    Craoux

    19 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 septembre 2012
    Rentré hier bien déçu par "Cherchez Hortense" (cherchez l'histoire !), je me réconcilie aujourd'hui avec le cinéma grâce à ce joli film canadien (dur de tout comprendre ! attention ...). Monsieur FELLAG apporte tendresse et gravité pour délivrer une leçon de vie poignante (vivre après la mort d'un être cher)qui fait écho au drame qui touche une classe de pré-ados (le suicide de la prof, pendue dans leur classe). Que ce cinéma là, humaniste et subtile, fait du bien ! ...
    Gonnard
    Gonnard

    214 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 avril 2012
    "L'instit" version québécoise. Nul doute que ce mélo ravira le public féminin : ça cause beaucoup, on y évoque aussi bien le suicide que l'éducation, l'asile politique ou encore les relations amoureuses. Le personnage incarné par Mohamed Fellag est touchant. Enfin, la BOF s'avère pas mal du tout. Il y a aussi, bien évidemment, un dossier à charge. La première lacune de "Monsieur Lazhar" réside dans la faiblesse des dialogues. Le propos reste souvent creux. Ainsi, les belles phrases dispensées par le héros laissent songeur. En outre, l'intrigue manque de mordant, elle est tellement prout-prout qu'on finit par regarder sa montre. Pour finir, voir tous ces sales mioches se chamailler peut taper sur le système. Qu'on leur foute des baffes et on aura la paix. Sentiment global mitigé donc.
    svtlben
    svtlben

    21 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 octobre 2012
    Très bon film, riche et profond, rien à avoir avec tous ces films superficiels. L acteur principal joue super bien, tres touchant et humain. Un seul reproche c est la fin, qu'on aurait aime comme happy end. la fin est triste, mais M.fellag est excellent
    titicaca120
    titicaca120

    347 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2013
    comme a son habitude Fellag est juste prodigieux et dans ce contexte de suicide
    de leur enseignante les enfants donnent une réplique juste et poignante.
    Salim S
    Salim S

    48 abonnés 500 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 juin 2013
    Encensé par la critique, primé dans tous le Canada. Deçevant, lent, peu intéressant. Ne se frôle pas au récents phénomènes québécois.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 septembre 2012
    Très bonne direction d'acteur,jolis dialogues,il y a juste un ou deux mots que j'ai pas compris.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 173 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 septembre 2012
    Neuf mois, c’est la durée qu’il a fallu attendre entre la sortie du film dans son pays d’origine (le Canada, mais principalement au Québec) et une exploitation dans l’hexagone. Pourquoi avoir attendu tout ce temps pour nous faire découvrir cette magnifique et touchante fable humaniste ? Adaptée d’une pièce de théâtre (d’Evelyne de la Chenelière), Monsieur Lazhar (2011) nous plonge en cœur d’une école primaire de Montréal. Le suicide d’une enseignante contraint le proviseur de l’école à embaucher au plus vite un professeur pour la remplacer et choisit Bachir Lazhar, un immigré algérien. Si son intégration au sein de l’école se passe sans encombre, ses méthodes de travail ne passeront pas inaperçues (les jeunes élèves du primaire n’ayant jamais fait de dictée, ils sont rapidement désorientés). Philippe Falardeau réalise ici un magnifique drame brassant de nombreux sujets (des problèmes rencontrés dans l’éducation au Québec en passant par le suicide, de l’exil à l’intégration, etc), le cinéaste québécois à qui l’on doit Congorama (2005) nous offre ici une très belle œuvre, sincère, poignante et réaliste. Cet instituteur venant au secours de ses élèves traumatisés ne peut que vous émouvoir (les jeunes acteurs sont particulièrement touchants, mention spéciale à Sophie Nélisse). Quant à Mohamed Fellag (à l’émotion palpable), il porte le film sur ses épaules, brillant dans la peau de ce professeur amoureux de la langue de Molière. Le genre de professeur que l’on aurait tant aimé avoir au moins une fois dans son cursus scolaire.
    Pour la petite anecdote, le film fut nominé à l’Oscar dans la catégorie du Meilleur film étranger.
    ffred
    ffred

    1 498 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 septembre 2012
    ...Le tout est fait avec un tact et une sensibilité rares. Deux mondes qui se rencontrent, se télescopent, pour nous donner une très belle histoire qui nous voit sortir de la salle en larmes. D'un bout à l'autre, le metteur en scène arrive à nous tenir en haleine sans aucun pathos, ni facilités. C'est une émotion pure et simple qui nous assaille. A mille lieux de ce que peuvent nous vendre d'ordinaire les américains par exemple. Pour incarner cet enseignant algérien, Fellag s'avère être l’interprète idéal. Il est absolument parfait en Monsieur Lazhar...
    La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-monsieur-lazhar-110107818.html
    velocio
    velocio

    1 163 abonnés 3 025 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 septembre 2012
    Il y a 6 ans, le réalisateur canadien Philippe Falardeau avait régalé les spectateurs de la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes avec un petit bijou intitulé "Congorama". Malheureusement, ce film n'avait pas réussi à trouver son public dans notre pays. 2 ans plus tard, "c'est pas moi, je le jure !" n'avait fait qu'une apparition au Festival d'Angoulême, non suivie d'une sortie nationale. Voilà qu'arrive "Monsieur Lazhar", couvert de prix dans moult festivals et présenté aux Oscars dans la sélection des meilleurs films en langue étrangère. Un film adapté de la pièce "Bashir Lazhar" d'Evelyne de la Chenelière et qui comporte 2 thèmes principaux : le système scolaire canadien et l'intégration d'un immigré. En l'occurrence, l'intégration d'un algérien venu spontanément se présenter pour remplacer une femme professeur qui venait, quelques jours auparavant, de se suicider dans sa classe. Pourquoi ce film m'a-t-il paru largement inférieur à "Congorama" ? Une évidence pour commencer : l'absence de sous-titres nuit considérablement à la compréhension du film ! Bien gentils, nos cousins québécois, mais, statistiquement, on ne comprend que la moitié de ce qu'ils racontent et, à partir de là, il faut essayer de reconstituer le reste. Par contre, aucun problème pour comprendre Mohamed Fellag, qui joue le rôle de l'immigré. Mais il n'y a pas que ce problème de langue. Il y a aussi le fait que, contrairement à "Congorama", qui était pétillant et enlevé, "monsieur Lazhar" souffre assez souvent d'une réalisation un peu mollassonne. Heureusement, il y a de temps en temps des scènes d'une grande force qui relèvent l'intérêt mais, globalement, on est en droit d'être un peu déçu par ce nouveau film de Philippe Falardeau.
    Acidus
    Acidus

    617 abonnés 3 647 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 avril 2017
    Sympathique long métrage québécois qui s'apparente à une version longue de la série « L'instit » avec Gérard Klein. D'un point de vue cinématographique, « Monsieur Lazhar » est plutôt pauvre et ressemble plus à un téléfilm. Il ne faut pas attendre beaucoup plus de l'histoire même si elle reste mignonne et touchante. De bonnes intentions et de beaux sentiments ne suffisent pas à faire un bon film.
    Requiemovies
    Requiemovies

    185 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juin 2012
    Certains films, attendus et/ou à la réputation déjà avancée, ici nomination aux Oscars (meilleur film étranger), moisson de Genie Awards (Les Césars québécois), ont la saveur particulière et délicate de leur cheminement à l’international avant une sortie française. Le film est, comme Monsieur Lazhar, trop attendu en raison des échos et retours critiques positifs qui l’entourent.
    On s’attendait donc à être touché, on en ressort ému.
    Car si le film de Philippe Falardeau ne s’élève pas par son originalité, il n’en demeure pas moins un drame touchant, parsemé de légèreté, autant par la composition de haute tenue des comédiens que par la qualité de son scénario.
    Son histoire justement, est remarquable, forte, d’une construction théâtrale intense et maîtrisée. La surprise est d’autant moins impressionnante quant au générique de fin, on s’aperçoit que c’est l’adaptation d’une pièce, Bachir Lazhar d’Evelyne de la Chenelière. A défaut de connaître l’œuvre originale, on peut affirmer que la version cinématographique est de grande qualité.
    Si les thèmes abordés sont nombreux, on ne les citera pas pour ne rien déflorer du film, ils se mixent avec une agréable facilité et délicatesse dans l’ensemble du récit. Certes, des thèmes empruntés ici et là dans d’autres films, mais l’ensemble garde une force omniprésente. On pourra tout juste reprocher une surenchère de thèmes dramatiques dans un même long-métrage mais cela serait cacher la force délicate qui se déploie tout au long du film.
    Tout n’est donc pas parfait dans cette dramaturgie mais cela suffit à emporter le spectateur dans de nombreux élans poétiques, de tolérance, de compréhension et d’écoute de l’autre, et ceci par le récit, représentation de plusieurs générations et nationalités.
    Si la mise en scène classique mais légère, sans pour autant flirter avec le téléfilm, associée à la justesse de son scénario, est la partie forte de ce bloc, c’est à partage égal d’une interprétation en retenue et touchante de la totalité d’un casting, dont Mohamed Fellag serait la pièce maîtresse.
    C’est ici que le film réussit son tour de force, centrer l’ensemble des intrigues principales et secondaires sur un seul personnage quand on véhicule plus d’informations par des faits et gestes que par des mots. Ces derniers étant à chaque fois, délivrés et mesurés afin de procurer un effet majeur, autant dans l’histoire que pour le spectateur. Immergé au plus fort du récit, on découvre alors la réussite de composition de chaque rôle, à ce titre les enfants sont saisissants de crédibilité.
    Sous la forme d’un thriller dramatique léger, l’enjeu de Monsieur Lazhar n’est pas d’entourer la fin d’un mystère abscons et mystérieux, on se doute du dénouement final, mais de dégager quels chemins nous allons parcourir et comment se dessine l’évolution des personnages principaux.
    Le film se ferme alors en donnant des réponses à toutes les questions posées, là où la métaphore des mots au détour d’un poème et d’une réalisation discrète prend tout sons sens, pour en ressortir, tout simplement émus.
    http://requiemovies.over-blog.com/
    Chris58640
    Chris58640

    183 abonnés 726 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 septembre 2012
    Je ne pense que du bien de ce très beau film, nominé aux Oscars dans la catégorie « meilleur film étranger » en 2012 et couvert de prix dans les festivals francophones du monde entier. Je n’en pense que du bien parce que, tout simplement, il ne n’a pas la prétention de faire passer un message simpliste ou une morale facile sur un sujet qui s’y prêterait pourtant facilement. Il y a dans ce film et dans son scénario quelques moments franchement bouleversants qui ne sombrent jamais dans le pathos ou le larmoyant, il y a beaucoup de retenue dans ce film, qui traite avant tout de la confrontation des enfants avec la mort violente, de la culpabilité et du deuil. Il y a aussi de très beaux moments d’humour tous légers enveloppés dans de la tendresse (le coup du dictionnaire ou de la dictée sur Balzac). Pas de happy end non plus, mais plutôt une belle fin qui serre la gorge sans trop en faire là non plus. Le casting est formidable chez les enfants d’abord, très naturels même dans les scènes difficiles. Mais Mohamed Fellag, acteur algérien relativement connu mais très sous-employé par le cinéma francophone trouve là un sacré rôle. Tout en retenue, oscillant toujours entre la joie de vivre et la détresse, il compose un professeur qui cherche à soigner ses propres traumatismes en soignant ceux de ses petits élèves, que le monde entier autour refuse de voir pour ce qu’il est. Ses méthodes d’enseignement « à l’ancienne » en font un personnage décalé : dire à des petits élèves de 11 ans « c’est extrait de « L’écume des jours » de Balzac que vous connaissez surement », c’est drôlement mal connaître les enfants de 11 ans d’aujourd’hui, de Montréal comme d’ailleurs ! Mais son obstination à vouloir parler de la mort avec les enfants alors que tous les autres adultes nient l’ampleur du traumatisme rend son personnage encore plus décalé que ses expressions désuètes et ses dictées balzacienne ! Le film, assez court, passe comme un éclair et quand le générique de fin arrive à l’écran, on se sent comme orphelins de ce professeur si particulier. On va passer sur les toutes petites déceptions du film, les toutes petites lacunes, les personnages sur lesquels on aimerait en savoir plus (comme cet enfant malingre et migraineux qui cache quelque chose, mais le sujet n’est qu’effleuré) ou les intrigues nouées et dénouées trop vite, comme la relation très légèrement ambigu de Bachir et sa jolie collègue Claire. Mais qu’importe ces petites scories, « Monsieur Lazhar » est un vrai beau moment de cinéma, avec des vrais morceaux d’accent québécois dedans, la cerise sur la gâteau !
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top