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    Le Secret de l'enfant fourmi
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    16 critiques spectateurs

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    defleppard
    defleppard

    302 abonnés 3 239 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 octobre 2012
    Un faux enfant maudit dû à des croyances arriérées débiles . Une mise en scène bancale, surtout au niveau de la photographie. 2 étoiles.
    traversay1
    traversay1

    3 085 abonnés 4 622 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mai 2012
    Le secret de l'enfant-fourmi a été inspiré par le témoignage d'une femme qui a adopté un bébé africain. Une histoire vraie et un sujet très sensible, celui des infanticides rituels pratiqués par une ethnie du nord du Bénin, dès lors que le nouveau né présente des caractéristiques "d'enfant sorcier", susceptible d'être possédé par le mal. Il n'y a pas de doute à avoir sur l'implication et l'honnêteté de la réalisatrice Christine François dans son entreprise. En revanche, que de maladresses et de mauvais choix dans ce film qui met mal à l'aise par l'accumulation de dialogues ineptes et de scènes gâchées, les plus importantes, celles qui devraient émouvoir et choquer et qui se révèlent totalement ratées. Au-delà de son thème majeur, le film brode sur la personnalité intransigeante et rebelle de son personnage principal, la mère adoptive. Là encore, la mise en place est gauche, la psychologie de cette femme-courage sans épaisseur. Et ce, même si Audrey Dana fait ce qu'elle peut pour donner de la chair à son rôle et elle y parvient parfois, de même que Robinson Stevenin. Enfin, et c'est peut-être le plus important, presque jamais les béninois n'ont véritablement la parole et semblent continuellement impuissants, quand ils ne sont pas tétanisés de peur. Au fond, le film s'attache plus aux problèmes de la mère française qu'à l'analyse sociale de ces terribles pratiques ancestrales. Une vision blanche avec le refus de traiter son sujet de façon complète, qui sortirait des sentiers battus d'une fiction seulement compatissante.
    Yetcha
    Yetcha

    740 abonnés 4 268 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 octobre 2012
    Sujet passionnant mais très mal traité. Le jeu des acteurs et notamment Audrey Dana est vraiment de piètre qualité. On a l'impression d'être devant un téléfilm mal fagoté et la seule envie qu'on a est que le supplice se termine rapidement pour nous spectateur. Un beau ratage!
    Gonnard
    Gonnard

    214 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 février 2014
    Si l'idée de départ, à savoir déconstruire un mythe africain, est séduisante sur le papier, elle est finalement mal exploitée. Après 20mn pleines, l'intrigue s'enlise pour finalement se décanter dans le dernier quart d'heure. Elle présente en outre un intérêt plus que limité, étant facilement prévisible. Histoire de passer le temps, Audrey Dana enchaîne les coups de gueule, mais ceux-ci finissent eux-aussi par lasser, et grande est la tentation pour le spectateur de couper le son histoire de retrouver un peu de sérénité. Après, je dois confesser que je ne suis peut-être pas complètement objectif sur cette question, ayant déjà beaucoup souffert de ses soufflantes dans "Torpedo". La musique n'est pas vilaine, bien que très répétitive.
    tixou0
    tixou0

    629 abonnés 1 969 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 juillet 2012
    Le titre fait penser à quelque belle histoire africaine pour enfants – impression renforcée par l’affiche, si on la regarde distraitement. Or, s’il est bien question d’enfants, en Afrique (Nord du Bénin, en pays Bariba), et de l’un d’entre eux en particulier, ce n’est pas un avatar de « Kirikou », et encore moins un film d’animation. La documentariste Christine François (tout juste quadragénaire), dont le travail a notamment inspiré Maïwenn pour « Polisse » (« Brigade des Mineurs : l’amour en souffrance » - réalisé en 1998 pour France 3), s’est souvenu d’un début de carrière, toujours télévisuelle, consacré à la fiction, pour écrire le scénario (en collaboration avec trois coauteurs, dont Sophie Fillières, la réalisatrice de « Aïe » et « Gentille »), et réaliser « Le Secret de l’enfant fourmi », son premier « long » de cinéma. Cependant, l’histoire est inspirée par des faits réels, et oscille donc entre réalisme et précisions documentaires d’une part, et un habillage romanesque d’autre part, pour un résultat mitigé. Le cas de « Lancelot » est loin d’être isolé. Les croyances animistes sont encore vives en Afrique (même si les populations sont le plus souvent officiellement chrétiennes ou musulmanes) et les enfants qui naissent « hors normes » - avec des dents, en se présentant par le siège, ou même avant terme - sont réputés porter malheur à leur communauté. Lancelot qui est né porteur d’une dent est immédiatement repéré comme « enfant-sorcier », et ses parents savent qu’il est promis au sacrificateur. En pays Bariba, on réalise l’infanticide rituel en déposant le nourrisson dans un nid de fourmis rouges, afin de laisser la colonie faire son œuvre mortelle. Ailleurs, on les fracasse sur des arbres, ou on les livre à d’autres redoutables insectes sociaux, comme les termites. On dit que l’enfant ainsi abandonné à son horrible sort est « réparé ». Adopté par une Blanche et éloigné, Lancelot semble sauvé, mais son retour à l’âge de 7 ans dans sa région natale le soumet à nouveau à la vindicte villageoise, et seul un providentiel concours de circonstances (et l’intervention de son père qui veut obtenir son pardon pour lever la malédiction qui frappe son couple devenu stérile) le fera échapper à l’enterrement prévu au cœur d’une fourmilière. Autres latitudes, autres mœurs : en Occident tout au contraire naître avec une ou plusieurs dents est considéré comme le signe d’un destin hors du commun (Louis XIV et Napoléon 1er sont ainsi réputés avoir eu au moins une dent à la naissance). On peut cependant rapporter l’antique coutume spartiate consistant à précipiter les nouveau-nés jugés difformes, bouches inutiles pour la cité, dans le gouffre des Apothètes : on devrait alors plutôt écrire « autres temps, autres mœurs » (mais seul Plutarque accrédite cette pratique..). Audrey Dana (« Cécile ») a rejoint la réalisatrice dans sa croisade nécessaire contre cette pratique ancestrale, laquelle commence à trouver heureusement aussi un écho chez les autorités civiles et religieuses (encouragées par les agences de l’ONU en charge de l’enfance) même si les réticences restent marquées dans les tribus concernées. Tourner in situ n’a dès lors pas été simple, dans des villages existants et avec des amateurs quasi uniquement, « castés » sur place dans un souci d’authenticité. Christine François n’a pas réalisé un simple documentaire, simplement sans doute parce qu’il était difficilement imaginable de filmer un abandon et une exposition réels (et de simples témoignages, à les supposer possibles là encore à recueillir sur la base d’interviews, auraient été peu « cinématographiques »). Elle a donc décidé d’un prétexte « fictionnel ». Trois auteurs chevronnés lui alors prêté leur concours, pour mettre au point une dramaturgie et faire évoluer les personnages. Ainsi il fallait, pour entretenir le « secret » romanesque, poser par principe un total manque de curiosité initial chez Cécile (qui ne cherche pas à savoir pourquoi la mère lui confie son enfant, ne soupçonne rien en matière de superstition, ne questionne pas Didier qu’on suppose au fait des coutumes locales etc.), puis imaginer des circonstances de nature à relancer l’intrigue. A cet égard, après des années d’entente fusionnelle entre Cécile et son fils adoptif et une vie sans nuages au bord de la Gironde, l’enfant, qui a maintenant 7 ans, se met à avoir des crises de violence et des comportements bizarres sans crier gare (sauf si son énurésie récurrente était un signe annonciateur ?). Eléments déclencheurs : un dessin « maléfique » suivi d’une « noyade », puis d’une « résurrection » de cartable, et surtout l’arrivée dans son quotidien d’un instituteur noir qui remplace sa maîtresse qui vient d’accoucher – seul gamin de couleur de son école, il semble avoir une peur panique de qui lui ressemble ! Après une peu justifiable (« scénaristiquement ») transe nocturne (qu’un médecin peu avisé identifie en somnambulisme aigu ou épilepsie ?!), Cécile, qui sait pourtant quel effet les autres Noirs font sur Lancelot, décide de l’emmener au Bénin pour des vacances « retour aux sources », en risquant quand même de l’amener à croiser quelques Noirs ! On pourra penser à un « chipotage », mais le reste du récit (tentative tardive de « réparation » comprise) est tout aussi artificiel. Par ailleurs, la très impliquée Audrey Dana mise à part, la distribution « traîne la patte » : Robinson Stévenin semble se demander ce qu’il fait là, et le jeune interprète de Lancelot (recruté en France et n’ayant auparavant jamais mis les pieds en Afrique) est peu convaincant – quant au casting « local » : parfait dans un reportage éventuellement, il peine à s’insérer avec naturel dans la mise en scène, un comble pour de l’ «authentique » revendiqué. Un matériau ethnographique précieux plutôt gâché par un habillage de pseudo-fiction souvent maladroit. On aurait pu aussi imaginer une réflexion générale, au-delà du propos de base sur l’infanticide rituel, sur l’adoption internationale – ce que vous voulait semble-t-il faire à l’origine la réalisatrice, mais qu’elle esquisse malheureusement à peine (à la différence de Bertrand Tavernier, avec « Holy Lola », en 2004).
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    145 abonnés 2 214 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mars 2016
    Pour l’esprit cartésien que je suis, les croyances africaines racontées dans ce film sont très étonnantes. Néanmoins, l’histoire de ce film est basée sur des faits réels et on découvre donc pas mal de choses sur ces « coutumes » (l’infanticide religieux) si différentes des nôtres.
    En terme de faits incroyables du film et dans un tout autre domaine, je suis resté scotché sur le fait que, dans l’histoire, l’institutrice française travaille jusqu’au jour de son accouchement et que son remplaçant commence son travail dès le lendemain. On voit, à travers ce film, comme l’éducation nationale et son administration sont performantes en France !
    Pour en revenir à des choses plus sérieuses, la réalisation comme la photo ne sont pas terribles, le film manque d’une présentation un peu plus poussée de ses personnages mais l’histoire est intéressante car sortant des sentiers battus … on est d’ailleurs très vite littéralement perdu en plein milieu de la brousse !
    Un film qui peut être vu simplement à la télévision et qui est trop proche du documentaire sans en avoir les qualités intrinsèques.
    jerry974
    jerry974

    13 abonnés 449 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 novembre 2012
    Audrey Dana, puissante en mère courage, nous entraine sur les pistes africaines, spoiler: là où l'on tue encore les enfants parce qu'ils portent une marque du Mal.
    . L'histoire, inspirée de faits réels, semble quelquefois osciller entre fantastique et documentaire, mais nous tient en haleine. On est plongé dans un monde étranger, aux croyances ancestrales et puissantes. Le jeu des acteurs, amateurs pour la plupart, est convaincant et le spectacle mérite d'être vu, au moins pour apprendre un peu plus des coutumes Mariba.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 371 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 septembre 2020
    Sur la base de l'actualité et des faits et d'un incident réel, le film raconte que Cécile a rendu visite à son amant Didier au Bénin où il travaille depuis quelques années. Il vit dans la région de Bariba. Elle prend sa voiture pour se rendre à une cascade, se perd et est accostée par une femme qui la supplie d'emmener son bébé. La mère disparaît dans la brousse. spoiler: Cécile décide d'adopter le bébé et l'appelle Lancelot et après quelques disputes juridiques et l'opposition de Didier et des avertissements sévères de la population locale elle retourne en France emmenant son fils avec elle. Tout le monde croit que le bébé est un sorcier et un mal car il a d'abord une dent supérieure. Un signe certain de sorcellerie. Pour faire court a sept ans il développe de graves problèmes psychologiques. De plus il est le seul enfant noir de sa classe et il est ridiculisé. Cécile décide de le ramener au Bénin pour retrouver ses parents. Pas pour le rendre et pour qu'il fasse la paix avec son héritage. Ce n'est que maintenant qu'elle apprend à quel point les bébés de superstition qui sont nés prématurément ou qui ont une dent supérieure en premier ou d'autres anomalies sont considérés. Ces enfants doivent être réparés. Cécile se rend compte que réparer implique d'être tué. Assassiné. La police et les dirigeants politiques sont tous impliqués. Les parents biologiques de Lancelot sont retrouvés mais ensuite il est kidnappé et ils savent qu'il sera tué.
    Seulement une dizaine de minutes avant la fin du film la signification horrible et le secret du titre (enfant fourmi) sont révélés. Et c'est absolument horrible que cela se passe encore. Ce n'est pas un film brillant en haute définition et il n'avait manifestement pas de budget important. Mais c'est percutant, sincère et aussi réaliste qu'un documentaire. Un film discret qui mérite d'être vu...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 mai 2012
    C'est l'occasion de découvrir un problème difficile à imaginer de nos jours, les enfants sorciers. Un bon documentaire aurait suffit. Ici l'omniprésence d'une mère adoptive, sympathique au départ, brouille le propos. Avec sa transformation en mère abusive et en "blanche" psychorigide butée devant les avertissements même sibyllins des protagonistes béninois (très bons) qui lui veulent du bien, le film dérape dans une scène d'action confuse complétement ratée. Comment admettre que cette femme suive en pleine nuit africaine des gens dont elle a toutes les raisons de se méfier ?
    Il n'est évidemment pas question de cautionner des pratiques d'un autre âge mais encore moins de les juger.
    Quatre scénaristes, c'est trop pour un film maladroit qui mélange superstitions génératrices d'infanticides et comportement affectif compliqué d'une européenne.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 octobre 2012
    Pour un film qui se veut entre la fiction et la réalité, c'est raté. Raté car du coté fiction on y croit pas une seconde: comment une mère qui adopte dans des circonstances pour le moins étranges ne cherche pas à en savoir plus, et ne se pose pas une seule seconde la question du pourquoi la mère biologique a abandonné son enfant? comment une mère qui a soit disant un comportement fusionnel avec son fils peut lui faire vivre tout ça, et le mettre carrément en danger? De plus, l'histoire fictionnelle n'est pas aboutie et nous laisse sur notre faim :Du jour au lendemain, l'enfant commence à avoir un comportement étrange et brutal, des événements "paranormaux" apparaissent ( cartable, transe, etc), cela nous titille et on a presque envie d'y croire, mais surtout on a envie que la mère percute et commence à se poser des questions. Mais non, tout d'un coup on passe à autre chose et on y revient plus du tout, je ne vois pas l’intérêt.
    Du coté documentaire, eh bien on y apprend pas grand chose mise à part qu'il y a de l'infanticide rituel au Bénin. Dans une critique précédente il est écrit que les béninois n'ont jamais la parole et que ce film refusait de traiter véritablement le problème, je suis entièrement d'accord avec ça, ce qui est vraiment un comble pour un film documentaire.
    Enfin, dernier point et pas des moindres : ce n'est pas une fourmilière mais une TERMITIÈRE que l'on voit dans le film!!!! comment peut on appeler un film "le secret de l'enfant fourmi" et ne pas utiliser des fourmis?!? Je n'avais d'ailleurs pas compris cette scène étant donné que les termites contrairement aux fourmis sont totalement INOFFENSIFS (bon mise à part quelques morsures certes pas toujours agréables), je me doutais que cela faisait partie du rituel ( une sorte d'offrande?) j'ai attendu en vain une explication jusqu’à la dernière minute du film, et finalement j'ai du faire mes propres recherches sur internet. Et c'est bien la le seul intérêt de ce film, nous donner envie non pas d'en savoir plus, mais d'en savoir tout court...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 mai 2012
    Grâce à ce film, on découvre un aspect méconnu en France du phénomène des enfants-sorciers au Bénin. Sont mises en avant l'incompréhension de cet autre monde d'une femme qui juge avec sa seule culture française et la difficulté d'élever un enfant adopté venant d'un autre continent.
    Quant à moi, cela me donne envie d'en savoir plus sur le Bénin et ses habitants.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 janvier 2013
    Un film magnifique qui nous plonge dans le choc des cultures, qui pose la question de l'adoption d'un enfant d'un autre monde, la parentalité et met en lumière le problème de l'infanticide
    religieux africain. Un film magnifiquement réalisé et des acteurs exceptionnels. Un film esthétiquement superbe. Un film a voir, a apprécier, a déguster. En définitive, un VRAI film.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 septembre 2012
    Belles images du Bénin et un film tout en finesse sur les décalages culturels
    La magie et les croyances sont toujours aussi fortes
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 décembre 2013
    Ce film aurait pu être très bien, Sans les clichés empilés les uns sur les autres
    Sans un jeu d'acteur assez mauvais ou une direction d'acteur assez mauvaise: mon cœur balance...
    le sujet est un bon choix et peut traité au cinéma mais les explications donné au phénomène de l'enfant sorcier en Afrique (qui est actuellement un problème très important notamment au Congo) sont peu fiable et survolé. Il est presque intolérable de traiter de ce sujet de cette manière. j'avais presque envie de créer un lien d'information correcte pour pallier à ce film terrifiant de stéréotypes. Oui certains enfants reproduisent ces crises parce qu'ils ont été malmené en tant que "sorcier" sans explication mystique mais par de la maltraitance.
    Catherine C
    Catherine C

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 juin 2012
    très beau film qui échappe au discours manichéen tout en pointant un grand drame humain. images esthétiques et très beau jeu d'acteur. le garçon joue très bien ce qui n'est pas toujours évident pour les enfants.
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