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    Kirikou et la sorcière
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    186 critiques spectateurs

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    elzevier
    elzevier

    2 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 août 2018
    Forcément bien avec Oncelot, les images, le sons et le scénario sont parfait. Mon fils qui l'a vu 30 fois adore.
    tisma
    tisma

    243 abonnés 1 846 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2017
    Plusieues contes mettant en scene Kirikou, ce qui nous permet d'avoir du dynamisme, chaque conte est emouvant et passionant, une petite vague de poesie africaine !
    jfharo
    jfharo

    46 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 janvier 2011
    Un film d'animation aux dessins superbes , et une belle histoire en prime.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 mai 2011
    Un dessin animé sympathique , j'aime surtout pour les dessins .
    Alexis D.
    Alexis D.

    90 abonnés 873 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 juin 2018
    "Kirikou et la Sorcière" est un long-métrage d'animation franco-belgo-luxembourgeois réalisé par Michel Ocelot et sorti en 1998. Adapté d'un conte africain, le film raconte les aventures de Kirikou, un garçon minuscule mais à l'intelligence et à la générosité hors du commun, dans sa lutte contre la sorcière Karaba, qui tyrannise les habitants du village à l'aide de ses pouvoirs maléfiques et d'une armée de fétiches. Par son scénario, ses graphismes, sa musique et ses doublages, "Kirikou et la Sorcière" s'inspire au plus près des cultures de l'Afrique de l'Ouest. C'est l'histoire de la métamorphose d'un nain intrépide, héros à contre-courant demandant au méchant de l'histoire pourquoi il s'obstine à camper cette position. Né par sa propre volonté et détenant déjà l'usage de la parole, le petit, tout petit Kirikou, est insatisfait des réponses évasives que lui concèdent des aînés radoteurs. Sans souffrir de leurs idées, donc pas encore résolu à leurs évidences, il démolit par sa soif du monde ces raisons infondées, prétendant décrypter ce qui fait de Karaba une sorcière malveillante. Lorsqu'on lui a offert de réaliser son premier long-métrage, Michel Ocelot savait déjà quel serait son sujet. Il a puisé dans ses souvenirs d'enfance et la culture africaine qu'il connaît pour avoir séjourné très jeune en Guinée. Le récit de "Kirikou et la Sorcière" est globalement issu d'un conte traditionnel auquel l'animateur a greffé un voyage initiatique absent du support évoqué; dans celui-ci, Kirikou tuait celle qui terrorisait et asservissait son village. L'approche proposée par ce film est même tout à fait antagonique, car si le comportement de l'enfant prodige est salutaire pour les siens, il est ici motivé par la lucidité et la compassion : d'ailleurs, il va au-devant des épreuves, peu enclin à se laisser impressionner par des barrières qui n'ont de dangereuses que les affabulations qu'elles génèrent. Curieux d'un univers dont il aspire à repousser les limites, Kirikou est le seul à humaniser et donc à rationaliser Karaba; paradoxalement, il est sensible à l'aura que dégage la sorcière. On devine à quel endroit le film pourra heurter : alors, prêche-t-il par naïveté en donnant une raison à ceux qui accomplissent le Mal ? Car dans "Kirikou et la Sorcière", rien ni personne n'est irrécupérable, rien n'est dû au hasard : le film invite le jeune public à prendre conscience que le monde qui se prête à leurs yeux est mouvant et surtout que ceux qui le font ne sont jamais complètement définissables. La démarche n'est pas simplement pédagogue, elle est surtout édifiante (au sens premier, celui de l'ouverture à la vertu); alors que les films qui leur sont destinés ne leur offrent que des gadgets paisibles et souriants ou, au contraire, agités et mesquins, "Kirikou et la Sorcière" propose aux auditeurs novices des personnages tous ambigus, parfois contradictoires, jamais entièrement défendables ou condamnables (cela va sans dire, les adultes et adolescents aimeront, d'autant qu'ils percevront autrement la richesse du film et quelques nuances trop âpres à élucider pour les enfants). Il invite surtout à appréhender l'autre en tenant compte de ses expériences, ouvrant avec délicatesse le regard sur ce qu'implique un contexte différent, revendiquant que selon celui-ci s'érige une vision du monde et se construisent des attitudes (l'issue est explicite : les villageois adoptent la silhouette des fétiches de Karaba lorsqu'ils ont pris l'ascendant); en somme, "Kirikou et la Sorcière", anti-Disney absolu, permet d'aborder cet autre comme celui que nous aurions pu être. La sorcière est somptueuse, outrageusement sensuelle et au-delà de son aliénation qui la rend d'autant plus passionnante, il s'agit d'une véritable Cruella auquel est accordé un droit de cité, Michel Ocelot en fait même le personnage le plus progressiste du conte, allant jusqu'à nourrir son portrait d'un discours féministe. Remettant en cause les croyances populaires obscur(antist)es, c'est notamment une fable politique, sur une Afrique engluée par des œillères complaisantes, sinon résignée : dans "Kirikou et la Sorcière", les hommes savent qu'ils seront "dévorés", ou au moins qu'en allant affronter Karaba, ils n'en reviendront pas. Pourtant, tous franchissent le pas, comme dépendants d'un mythe auquel se souscrire est une fin en soi, celle qui atteste d'une existence. C'est plus encore la métaphore d'un certain passage à l'âge adulte, Kirikou devenant un homme en surmontant ses préjugés et, surtout, un certain désenchantement (regarder le prétendu "Mal" et le fracturer), en d'autres termes en s'affirmant pleinement libre et maître de soi. Le film trouve ainsi sa place loin de tout manichéisme, glisse entre les repères du genre dont il ne se rapproche que pour les effacer par ses vérités simples et désarmantes : la couleur locale ne fait qu'amplifier ce sentiment de (re)découverte totale. La profondeur insolente du dessin animé se conjugue à un graphisme enchanteur, chaque image est tirée d'un songe, songe qu'on croirait évadé d'une œuvre du douanier Rousseau. Aussi, l'esthétique exclusivement africaine (comprenant la musique de Youssou N'Dour, précédemment examinée puis rapidement rejetée pour un "Roi Lion" aux mœurs occidentales) que Michel Ocelot et ses lieutenants ont élaboré en plusieurs années, s'est construite sur des inspirations dépassant parfois un support ouest-africain, en outre parce que la sculpture y prime sur l'art figuratif. "Kirikou et la Sorcière" abonde de symboles autrement connotés, à chercher dans l'art égyptien en particulier, mais aussi, peut-être, du côté d'une certaine animation française incarnée par René Laloux qui trouverait ici une forme post-moderne, où la coordination par ordinateur de dessins faits à la main ne ferait qu'en amplifier la fluidité, et donc la vitalité. Il fallait bien des orfèvres pour que la technique participe à l'âme d'un long-métrage sans que celui-ci s'en trouve désincarné. Dessin animé fait d'esprit et de chair, d'une majesté inouïe, "Kirikou et la Sorcière" dégage un tel pouvoir d'envoûtement et une telle puissance évocatrice qu'il a participé à l'évolution positive de l'image d'un genre auprès d'un grand public qui le croyait circonscrit aux cinéphages les plus inexpérimentés. Pour ce mobile purement dogmatique autant que pour mille autres, "Kirikou et la Sorcière" est une sorte de "Princesse Mononoké" français, souple et monumental, mais aussi terrien, idéaliste et homérique
    Shephard69
    Shephard69

    273 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 septembre 2015
    Un superbe film d'animation que ce conte africain plein de couleurs vives chatoyantes et à l'univers d'une belle richesse. Le graphisme est très réussi en particulier la sorcière et ses fétiches. Un spectacle qui s'adresse aussi bien aux enfants qu'aux adultes puisque plusieurs lectures sont possibles.
    zhurricane
    zhurricane

    67 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 septembre 2022
    Ce Kirikou nous fait voyager, et nous ramène en enfance de la plus belle des manières. Les personnages sont attachants, et le film à un charme fou et en plus on sent que le contenu est une vraie démarche d'un artiste. Bref difficile de ne pas aimer.
    ptitmayo
    ptitmayo

    32 abonnés 969 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 septembre 2007
    Ce divertissement d'animation est un pur régal pour les yeux, la tête et les zygomatiques. L'histoire raconte les aventures du petit Kirikou qui va oser affronter une sorcière et montrer que malgré sa taille ridicule, il est capable de faire de grande chose. Derrière ce message de tolérance se cache aussi une volonté de mettre à l'écran la beauté de l'Afrique et la richesse culturelle de ce continent. L'animation, certes simpliste mais très réaliste, nous plonge dans un monde très beau et très coloré. Enfin, le scénario est à l'image de Kirikou c'est-à-dire malin, rusé et très drole et la réalisation est aussi rapide que Kirikou lorsqu'il court. D'une durée assez courte, ce film est efficace de bout en bout et sera apprécié aussi bien par les petits que par les grands.
    Luc H.
    Luc H.

    20 abonnés 457 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juin 2014
    Très beau film film avec très belles musiques. L'histoire se tient du début à la fin et même si ce film est principalement visionné par les plus jeunes, les plus grand prendront plaisir à le regarder.
    janisaire
    janisaire

    74 abonnés 1 895 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 janvier 2011
    tre bon dessin qui et parfait pour tous les enfant avec des message inteligent mieux que du disney
    Napoléon
    Napoléon

    112 abonnés 1 530 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 janvier 2015
    Une histoire dépaysante, d'une grande originalité avec un Kirikou qui malgré sa taille et sa jeunesse arrive à sauver son village, et sans oublier des dialogues extrêmement bien cherchés.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    65 abonnés 1 705 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 août 2015
    Ce court dessin animé de 1998 connut un succès mérité à sa sortie, appelant deux suites en 2005 et 2012, et donnant un beau coup d'accélérateur au cinéma d'animation français. Tiré de contes d'Afrique de l'Ouest, d'une très grande richesse visuelle, Kirikou et la sorcière nous fait suivre les aventures d'un petit héros ultra-malin et à la course très rapide, qui se met en tête de libérer son village de la malédiction prononcée par la méchante Karaba. Une superbe musique signée Youssou N'Dour. Beau, drôle et émouvant.
    Ashitaka3
    Ashitaka3

    91 abonnés 1 185 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 mai 2007
    Film d'animation d'une perfection totale. L'originalité est présente. C'est un bijou! Certes court mais passionnant malgré tout de par sa simplicité.
    ZOGAROK
    ZOGAROK

    13 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 octobre 2012
    (...) en somme, Kirikou et la sorcière, anti-Disney absolu, permet d’aborder cet Autre comme celui que nous aurions pu être. La sorcière est somptueuse, outrageusement sensuelle et au-delà de son aliénation qui la rend d’autant plus passionnante, il s’agit d’une véritable Cruella auquel est accordé un droit de cité, Ocelot en fait même le personnage le plus progressiste du conte (...)

    >> Lire la chronique intégrale sur Zogarok : http://zogarok.wordpress.com/2012/10/02/kirikou-et-la-sorciere/
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 1 mars 2013
    Le problème de ce dessin animé, c'est qu'on ne l'apprécie pas autant que lorsque nous étions enfants. Le revoir récemment a été une véritable déception. Les graphismes ne sont pas exceptionnels, l'histoire n'est pas extraordinaire. Le seul point positif est la culture Africaine plutôt bien représentée. Et une animation, pour qu'elle soit réussi, doit plaire aux petits, mais aussi aux grands (Par exemple, les réalisations Disney. Certes, c'est incomparable, mais certains de ces dessins animés n'ont pas vieilli, et restent des chefs d'oeuvre exceptionnels, même aux yeux d'adultes).
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