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    L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux
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    3,8
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    253 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 juin 2012
    Un superbe film empreint d'une atmosphère au début dramatique, puis au fil du temps, s'envole vers des scènes remplies de sentiments et de romance, un casting sur Super, enfin un film à découvrir. = 4,5 / 5.
    willyzacc
    willyzacc

    72 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2011
    C'est long, prévisible mais c'est un très beau film, même si je suis pas friand des histoires avec chevaux d'habitude.. Acteurs excellents et Scarlett Johansson magnifique pour son début au cinéma. Un film qu'il faut avoir vu.
    zebre6
    zebre6

    1 abonné 34 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2012
    Un film extraordinaire, des paysages epoustouflants. A voir si vous aimez le monde equestre, les beaux paysages, l envie d evasion a travers un film, et les histoires d amour. Mention speciale pour Kristin S. Thomas et la cinglante et touchante jeune S. Johansson! Elles jouent a merveille.
    Eselce
    Eselce

    1 196 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 mai 2015
    Je trouve ce film sous exploité. On navigue dans les clichés sans aucune originalité. C'est extrêmement lent et prévisible. Que ce soit la relation mère-fille ou la relation avec l'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux et la mère. C'est tellement décevant d'aller dans ces clichés qui n'apportent que du mal au film. Le cheval est trop souvent mit de côté et Robert Redford manque de charisme. Je n'ai pas aimé.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 août 2009
    Un film violent dans les ressentis qu'il envoie. Très fort, mais d'une douceur très apaisante à la fois en raison de sa lenteur qui m'a séduite. Il faut vraiment aimer ce genre de films mais j'y ai été sensible et donc je met 3 étoiles parce que l'histoire m'a touché, j'adore kristin scott thomas et pour finir Robert redford joue particulièrement bien. La longueur du film en rajoute encore plus.
     Kurosawa
    Kurosawa

    512 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 février 2014
    Une première demi-heure catastrophique, un scénario d'une prévisibilité affolante et une mise en scène délicate mais terriblement lisse sont au rendez-vous de "The Horse Whisperer". Mais heureusement, il y a R. Redford. Ce dernier, à défaut d'être un grand cinéaste, parvient à transcender certaines scènes pourtant maigres d'intérêt, et à leur insuffler une belle émotion. Les scènes entre le cow-boy et la jeune S. Johansson sont d'ailleurs assez touchantes. Des bons sentiments, de bons acteurs, mais peu de douleur et encore moins de lyrisme.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    263 abonnés 2 789 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 avril 2018
    soutenu par un casting de qualité (dont K. Scott Thomas lumineuse), d'une réalisation qui donne le 1er rôle aux grands espaces naturels chers à R. Redford, un joli film sensible, subtil sur les plaies et coups durs de la viel.
    DarioFulci
    DarioFulci

    83 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2018
    Bon film à l'ancienne qui a pris un petit coup de vieux. La durée d'abord, c'est clairement longuet. Robert Redford prend plaisir à filmer la nature (magnifique, la photo est superbe) et les états d'âme des personnages. Mais il y a bien quelques longueurs.
    L'histoire est sympa, sensible et humaine. Mais l'émotion patine au bout d'un temps et la romance finit par être prévisible. Ce qui à l'époque charmait est aujourd'hui un peu délavé.
    Il reste l'évidente délicatesse de Redford et son humanisme discret.
    gizmo129
    gizmo129

    70 abonnés 1 457 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 avril 2018
    Trop long et ennuyeux, L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux se sert du prétexte de l'équidé pour faire un film à destination des femmes en mal d'amour. Qui faut il soigner, le cheval ou le maître ? À y regarder de plus prêt, il s'agit bien de Kristin Scott Thomas qui a besoin d'aide et qui va retrouver le sourire auprès de Robert Redford dans un melo pompant. Robert Redford, le réalisateur s'offre le beau rôle en étant des 2 côtés de la caméra mais côté réalisation, il y a beaucoup à redire tant il est incapable de faire des choix de coupe avec ce film de 2h40. Filmer les grands espaces américains ne fait pas de vous un réalisateur hors paire, il faut aussi savoir insuffler un souffle de vie à ses films. Notons toutefois l'une des premières apparitions à l'écran de Scarlett Johannson encore toute jeune mais déjà pétrie de talent.
    Hollywood-Biographer
    Hollywood-Biographer

    172 abonnés 1 477 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juillet 2014
    Une bonne idée de départ donne t'elle obligatoirement un bon film ? Pas sûr. Robert REDFORD signe une adaptation cinématographique longue et ennuyante. Ça part dans tous les sens. Il hésite entre plusieurs thèmes importants : la convalescence du cheval, celle de Grace ou alors le départ de la relation amoureuse entre Tom et Annie. Au final, il n'aborde aucun sujet et on reste sur notre faim. "L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux" s'appréciera surtout pour les magnifiques paysages du Montana et l'excellente prestation de Scarlett JOHANSSON.
    Kloden
    Kloden

    113 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 janvier 2015
    Voir Redford filmer de nouveau le Montana, après A River Runs through it, avait tout pour m'enthousiasmer. Cependant, il n'en était rien, puisque je craignais sans trop savoir pourquoi de passer un moment bien moins inspirant. Sans doute la peur d'un film trop long, ou d'un étalage un peu trop généreux de bons sentiments. J'avoue qu'à mon grand désarroi, le visionnage a donné raison à cette méfiance diffuse mais réelle. Pourtant, à son histoire un peu trop parfaite, Redford a le bon sens d'opposer un traitement tout en retenue, et son humanisme ne souffre pas de contestation. De plus, cette idée d'un cinéma qui prend son temps, dévoile tout par petites touches, travaille lentement mais avec régularité la psychologie de ses personnages pour ne pas les caricaturer ni trop violer leur intimité, est sur le papier très louable. Simplement, dans les faits, The Horse Whisperer s'étire trop pour maintenir une attention et une force émotionnelle qui justifient pleinement sa durée. Certes profondément respectable, apaisée et d'une grande justesse, voilà donc une jolie histoire qui ne se communiquera pas totalement à tous. Je ne dis pas qu'elle n'est pas belle, mais tenter l'aventure, cette fois et plus que jamais, n'est pas le gage d'en ressortir comblé.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    91 abonnés 1 180 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 mars 2017
    S'adresse surtout aux inconditionnels de Robert Redford et aux amoureux des chevaux. Redford joue et / ou réalise des films souvent très lents, sans passion. En ce qui me concerne, c'est le cas une nouvelle fois ici. De même pour son jeu d'acteur, exactement le même quel que soit le genre. Le format très long correspond à l'ambiance voulue: la vie en contact avec la nature, le ranch paisible loin de l'agitation des métropoles, le rythme de guérison de Scarlett Johansson et du cheval. Par contre, quand on n'accroche pas dès le début, cette longueur devient pesante.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    88 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 novembre 2019
    Cinq ans après Et au milieu coule une rivière, Redford se jette de nouveau sur les droits d’adaptation d’une de ces histoires far-westiennes au long titre & au long ”cours” qu’il affectionne & qu’il va finir par filmer au même endroit. Quand on le voit avec Johansson, on pense à Avengers, mais après juste 14 ans de vie & moitié autant de films tournés, son petit tour au pays des ”howdys” signait en fait à peine la fin du début de sa carrière (elle est encore créditée avec un ”introducing”).

    Pour qui en douterait, le réalisateur fait bien en sorte de montrer qu’il aime son pays : New York en 1.85:1 & le Montana en 2.35:1, voilà de quoi prendre la ”proportion” de son amour des paysages & des ciels (qui l’en blâmerait) dont l’esthétique va nous être imposée pendant presque trois heures. Il s’autorise cette fois à figurer des deux côtés de la caméra, & il se donne le beau rôle : cowboy idéal, horseman parfait, homme bien tout court, il voit presque aussi grand que son grand angle & c’est un peu trop. Pas mauvais, mais trop.

    La petite hypocrisie redfordienne fait son chemin & ce n’est pas la magie du Far West qui va l’en vacciner. Déjà, tout est si beau qu’on n’arrive pas à oublier la caméra, & à l’oublier lui, donnant ses instructions : après deux scènes sur fond d’arc-en-ciel & quatre couchers de soleil, on se sent presque rejeté, se demandant où est le reste (la famille est mirifique jusqu’au bout, mais on ne la connaîtra pas vraiment en-dehors des photos accrochées au mur, alors on y repense avec un sentiment, là aussi, d’inaccompli).

    Ensuite, c’est bien joli de mettre les chevaux au casting à côté des humains, mais de voir qu’il y a deux acteurs par humain, parfois trois (doublure & cascadeur) & plusieurs chevaux par rôle (ce qui ne trompe personne de toute manière, vu tous les faux raccords) confirme l’impression pesante d’une grande farce : on ne demandait pas à Redford d’être en vrai dans les scènes où les animaux ruent (il s’est quand même cassé un orteil donc chapeau), mais l’impliquer tellement dans l’action par effets d’illusion ne compense le fait d’avoir trop soigné son personnage, sans compter que tant de trucages donnent lieu à quelques fautes graves de continuité.

    C’est beaucoup parler autour d’un seul argument & c’est biaiser ma propre vision globalement positive que de forcer dans ce sens, mais cet ensemble d’erreurs est prompte à faire sombrer un visionnage captivant en critique acerbe, précipitant le spectateur plus durement dans la désillusion. Surtout que ce n’est pas dans une histoire d’amour molle qu’il se rattrape, ni dans les liens très faibles reliant les humains aux bêtes, bien qu’il s’agit du sujet. Sam Neill est à peine présent & très désinvolte en-dehors de ses deux grandes scènes, Kristin Scott Thomas met longtemps à rentrer dans son jeu & elle est un succédané trop évident d’Emma Thompson (ils la voulaient pour le rôle &, sans savoir cela, je l’ai reconnue dans le jeu de Thomas) & Starlette Johannson dit à peine dix mots à son adoré cheval de toute l’histoire.

    Voilà trois paragraphes bien haineux qui me surprennent à l’écriture. J’en tire l’avertissement suivant pour qui veut l’entendre : Redford est un immense illusioniste. Il adore la Nature qu’il filme & il est passionné pour ses sujets, c’est flagrant & il fait sincèrement tout pour nous transmettre sa vision des choses. Au point que son œuvre devient plus vraie que nature, ce qui, ici, n’est pas une bonne chose. Cependant, si j’estime juste de me sentir lésé par l’illusion, il faut savoir reconnaître que la moelle des films de Redford (je pense encore à Et au milieu coule une rivière qui était si dense qu’on avait moins lieu de s’agacer) est toujours magnifiquement fidèle à ses valeurs.

    Avec The Horse Whisperer, on a droit à un dépaysement pas mal tourné figurant une citadine qui se purge du poison urbain grâce aux montagnes bienfaisantes du Nord-Ouest. Le côté champêtre, s’il n’est pas scénaristiquement honnête, ne peut être entièrement contrefait, & le Montana suinte à chaque image d’une manière qui nous empêche de négliger la progression de l’histoire d’un point vers un autre. C’est ce qu’on demande d’un film, alors si en plus il est beau, pourquoi en faire un foin ?

    → https://septiemeartetdemi.com/
    surfnblue
    surfnblue

    52 abonnés 1 535 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2014
    Un bon film d'amour, magistralement joué, qui plaira à toutes les femmes (ah robert redford) et moins aux hommes, même si Scott Thomas est pas trop mal (c'est la Fanny Ardan anglosaxone, bonne actrice mais pas si jolie que ca).
    Bref, ca se regarde.
    Philippe C
    Philippe C

    78 abonnés 1 003 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 avril 2018
    Un film qui ravira les amateurs de dressage de chevaux. Pour les autres, dont je suis, un agréable scénario sur la reconstruction après un traumatisme ( accident de cheval d'une adolescente en l'occurrence), de jolis paysages très bien filmés (ceux du Montana) et une brochette d'acteurs qui jouent très bien. Mais, tout cela est un peu long
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