Avis : The Human Centipede 2 (Full Sequence) - Page 3

J'avais plutôt apprécié le premier opus pour son ambiance qui me rappelle "Funny Games" (même si à des années lumière de ce dernier).

Il faut être hônnete, le film est bien foutu. Il y a du potentiel dans la mise en scène, le montage, la lumière, le choix des plans, le noir et blanc, le son. Bref, cinématographiquement pas grand chose à dire.

Le côté malsain en revanche n'a pas vraiment d'intêret à mes yeux. Seulement, j'ai trouvé intéressant la double mise en abyme. D'un côté on à un réalisateur plutôt fier de son premier film qui se permet de créer tout un univers parallèle à celui çi et indique au spectateur que Human Centipede est un film, rien de plus.
De l'autre on a droit à un plan final qui laisse le spectateur libre de croire que spoiler: Human Centipede 2 se passe uniquement dans la tête du personnage principal. (Qui d'ailleurs a un petit regard pouvant indiquer que lui même est choqué par ce qu'il vient d'imaginer)
En tous cas c'est ce que j'ai voulu comprendre et c'est ce qui me permet d'excuser un scénario plus qu'abracadabrant, rempli d'incohérences et de situations complètement absurdes. A côté, le "film" Human Centipede 1 était bien plus crédible que cette pseudo réalité.

S'il n'y avait pas eu ce plan final, j'aurais perdu 1h30 mais j'aime à croire que c'était bien le but du réalisateur.

A la vision du premier film, qui n'a pas eu une seconde où il a imaginé ce que cela pourrait donner dans la réalité avec plus ou moins de personnes insérées dans ce mille pattes humain?
Donc, de ce point de vue, je trouve le film intéressant avec une profondeur inatendue.

Attention toutefois à ne pas mettre le film devant les yeux de n'importe qui. Mais cela reste un film et étant consentant je savais à quoi m'attendre.

Le premier opus était déjà audacieux mais le deuxième est totalement hallucinant.
Chose étonnante ici puisque le réalisateur rompt totalement avec le style du premier (tout en y faisant référence), choisissant au passage le noir et blanc (qui demande un léger temps d'adaptation), et délaissant le côté intriguant pour basculer dans la cruauté la plus absolue, la folie à l'état pur, et du gore comme on en a peu vu (voire jamais en fait). On comprend d'ailleurs, après avoir visionné le film, que le choix du noir et blanc est vraiment judicieux car il permet de jongler brillamment entre les scènes glauques, atténuant les projections d'hémoglobine, et rendant la violence plus "accessible" à l'oeil du spectateur (qui doit quand même être averti).
L'acteur principal est juste bluffant dans ce rôle de tueur attardé, psychotique, au physique laid, et aux mimiques faciales parfaites (le personnage ne dit pas un mot du film). Les autres personnages sont tout aussi sordides notamment la mère et le psy qui participent à l'escalade de l'horreur sans pour autant tomber dans l'excès de style (même la fin assez grotesque colle parfaitement au reste du film).
Si vous n'avez pas aimé le premier, ne pensez même pas à celui-ci car il est bien plus gore, trash, excessif, pervers, cruel que la plupart des films du même genre. En fait, c'est comme si Tom Six était en train de redéfinir le gore pour notre plus grand plaisir.

Ayant adoré le premier épisode, je ne savais pas à quoi m'attendre avec celui-ci...je n'ai pas été décu. Encore plus pervers et malsain (accentué par le N&B) Martin Lomax dépasse toutes mes espérances !!! Il faut avoir le coeur accroché pour regarder l'intégralité du film mais franchement c'est une suite qui tient ses promesses (ce qui se fait trop rare !) Vivement la séquence finale !!! Hi hi hi !!!!

La premier étais éventuellement pas trop mal , avec de l'idée et de supers acteurs...Mais alors j'ai trouvé le deuxième plus que nul ... Aucun interêt, des scènes répugnantes ....L'acteur principal est plus que dégueulasse mais c'est certainement fait exprès (par contre il joue très bien) ! L'ambiance est PLUS QUE MALSAINE, après je dit pas, les amateurs de ce genre de film doivent le trouver parfait... Mais je pense que je vais m'arrêter là avec le mille patte humain...

Si c'est ce qu'est le film d'horreur maintenant, alors c'est honteux. Vraiment honteux. Tellement, que je n'arrive pas à trouver les mots justes pour qualifier ce que j'ai vu. Avec mes propres yeux. Ou même, trouver des mots. Mais je vais essayer. Tout d'abord, le premier partait d'une idée assez originale, mais stop ! Ca suffisait largement ! Si ce fameux Tom Six s'était concentré sur la réalisation d'autres films d'horreurs, il aurait été considéré comme un de ces réalisateurs qui renouvellent un genre du Cinéma, mais au lieu de ça, il a préféré se concentrer sur une trilogie de The Human Centiped, dont le deuxième opus ne pouvait être bien. Le gore est excessif, les morts s'enchaînent, et le film dégoûte tellement que c'en est que trop abusé. spoiler: Par exemple, le premier chirurgien avait administré une anesthésie pour ses victimes, mais lui, le second "malade"(qui est aussi bon que le premier), se contente d'aluminium et d'agrafeuses.
Et 12 personnes, en plus ! et 500 dans le troisième Human Centiped !!
Sans oublier la scène dont j'étais sûr qu'elle était dans le film: spoiler: la scène ou la dernière personne, qui est une femme, se fait violer par derrière par le malade en blouse et en slip, qui, de plus, et plutôt plus qu'enveloppé!
Sérieusement, il y a de quoi vomir, de quoi se chier dessus ! spoiler: Oh, et histoire que ça aille "plus vite", il leur injecte, à tous, un laxatif !
Ne le regardez pas, c'est beaucoup trop excessif pour rien ! Néanmoins, le seul réel élément bien trouvé était le noir et blanc. Oui, ce film est filmé en noir et blanc, histoire d'atténuer ce gore excessif et quasi-inutile.
Mais je dois admettre que, de tous ces défauts, la trilogie de l'Human Centiped a su à la fois se concrétiser(une trilogie, donc), et se démarquer, par sa furieuse haine relâchée, voir déchainée par le film, que ce soit par sa platitude extrême dans le 1, ou par son excès en tous en points de vue dans le 2. De ce fait, certes, les deux films se contrastent énormément, mais se rejoignent donc par paradoxe, car, déjà, le contraste, exprimés en détail avant, spoiler: mais aussi par le fait que l'actrice rousse du premier film n'était en fait pas morte, car l'Human Centiped n'était qu'un "film", cas uniquement présent dans le deuxième film. Autrement dit, c'est dans L'Human Centiped 2: Full Sequence que l'Human Centiped 1: First Sequence n'est pas vraiment arrivé(et dans la vraie vie aussi, ne vous inquiétez pas, ce n'est qu'un film !)

Au risque de passer pour un taré, il est indéniable que ce 2ème épisode est exceptionnellement bien foutu, que ce soit dans l'originalité du scénario avec une mise en abime qui tient la route, un passage au-delà du film dans une histoire imprégnée de sombres réalités sur le viol et la maltraitance, le développement d'un personnage central remarquablement bien joué (pour ne pas dire criant de vérité), et le réalisateur en profite même pour faire dans l'humour avec la fameuse audition. Le film dépasse largement son cahier des charges en proposant quelque-chose de novateur et de soigné.

Martin, un handicapé mental épris de passion pour le film The Human Centipede, décide de reproduire l’expérience qui consiste à recréer un "mille-pattes humains" en reliant des individus par la bouche et l’anus, sauf que cette fois-ci, l’expérience ne comportera pas 3 mais 12 individus !

Après l’incroyable buzz rencontré par le premier opus sorti en 2009 et comme son titre l’indiquait (First Sequence), on se doutait que Tom Six n’en resterait pas là. Cette fois-ci, c’est carrément un « film-méta » qu’il réalise, puisque l’on découvre que le protagoniste principal est un fan invétéré du film original, qu’il le regarde en boucle et qu’il s’apprête à réaliser la même chose (s’il parvient à kidnapper ses futures victimes).

Si vous pensiez avoir tout vu avec le précédent film, détrompez-vous, le réalisateur pousse le curseur encore plus loin dans l’immoral et la barbarie. Oubliez le chirurgien allemand aux allures de médecin nazi, cette fois-ci, le personnage central est campé par un déficient mental qui travaille de nuit en tant que gardien de parking. Une chose est sûre, Tom Six fait un sans-faute quand il s’agit de dénicher des gueules. Après Dieter Laser, c’est au tour de Laurence R. Harvey de camper le rôle principal et force est de constater que sa seule présence face caméra à le mérite de marquer les esprits.

The Human Centipede II (2011) va encore plus loin qu’avec le précédent opus et prend le temps de présenter son personnage central (contrairement au précédent film où au final, on ne sait que très peu de chose du Dr Josef Heiter). Ici, il est physiquement répugnant et ne prononcera pas un seul mot durant tout le film. Martin Lomax traîne derrière lui un lourd passif, spoiler: il a été abusé physiquement & sexuellement par son père (ainsi que par son psychiatre)
et comme si tout cela n’était pas déjà suffisant, sa propre mère le déteste tellement qu’elle envisage de le tuer. Bref, non seulement il n’a pas eu une enfance facile mais en plus de cela, rien n’a été fait pour qu’il s’en sorte, résultat, il a trouvé du réconfort à travers le film de Tom Six et va tout faire pour répéter l’expérience avec ses propres moyens.

Le réalisateur néerlandais a visiblement voulu aller encore plus loin dans le cradingue et l’abjecte, les scènes crades spoiler: (Martin se masturbe avec du papier de verre ou se retrouve avec un mille-pattes dans le rectum)
s’alternent avec des scènes de torture spoiler: (le cassage de dents au marteau, le coupage de ligaments au ciseau et les éclatements de crânes avec une barre à mine)
et d’autres purement gratuites, histoire d’enfoncer le clou encore plus loin dans l’outrancier spoiler: (comme ce spectaculaire accouchement dans une voiture suivi d’un coup d’accélération sur le nourrisson).


Bien évidemment, si la vue du premier vous était insupportable, il est vous recommandé de ne surtout pas y prêter attention tant ce dernier va encore plus loin dans l’horreur graphique. Enfin, si le film a été exploité en noir & blanc, sachez qu’il existe une version en couleurs.

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Tom Six a choisi la voie de l'horrible et quand on fait ce choix autant pousser les choses au bout et faire les choses bien, de ce point de vue le second volet de Human Centiped marque un saut qualitatif par rapport au premier qui était assez médiocre du point de vue de la réalisation... par contre ceux qui n'aiment pas le gore et l'humour macabre doivent passer leur chemin

La suite de "the human centipede" est ce que l'on attend de toute suite de film d'horreur; soit d'être encore plus trash, encore plus hard mais sans pour autant dénaturer le concept original. Ce 2ème opus répond tout à fait à cela, même si on perd un peu de la psychologie du premier au détriment de scènes assez gores.

excellent film d'horrer il est répugnant, dérangeant tous ce que j'aime. Un personnage principal juste génial.

Un vrai cauchemar ambulant ce film ;-) Surtout la scène laxative misère espérons que ça ne donne pas d’idées à des pervers ! Original en tout cas et ne peut laisser indifférent

Bien moins bon que le 1er car l'effet de surprise est passé par contre toujours aussi dérangeant.
Certains moments sont à vomir.
spoiler: L'idée de faire venir l'actrice du 1 est tout simplement une idée géniale en lui demandant de tourner pour Tarentino

Waw! moi qui suis fan des films malsain j ai été servis croyez moi,sur certaines scenes je me mettais la main devant les yeux,une premiere!!! J'adore,pour moi c est un chef d oeuvre

excellent film, le film le plus dégoûtent que j'ai vu,l'acteur principal est génial ,un chef d'oeuvre.

Au longiligne docteur du 1, s'ensuit ici un attardé obèse mais tout aussi bon dans son jeu, ses mimiques… Quasiment muet tout au long de ce film en noir et blanc, tout s'exprime dans son visage. Cette fois, la chenille humaine fera état d'une dizaine de personnes, et on ira plus loin dans le gore, le crade. Il y a toujours aussi cet humour noir d'un psychiatre encore plus cinglé que son patient et qui tentera de coucher avec! Des scènes de sexe très violentes s'immisce dans ce second opus, alors qu'il n'y en avait pas dans le 1. Une franche réussite dans la continuité du premier, mais en osant changer de milieu , de décor… Encore une fois tout réside surtout dans l'excellent jeu de l'acteur principal, ici un débile obèse.