Avis : Une vie meilleure - Page 2

Un titre peu accrocheur pourtant. Et quand on à fini de le visionner, on se sent transporter dans un autre monde. Le film est touchant, brillamment interpréter par Guillaume Canet et Leila Bekhti, sans oublier le petit Slimane. L'histoire est triste, et pourrait nous arriver à tous. On se sent mal en les voyant s'enfoncer dans les problème.On évite les cliché tout au long. Mais le film mérite d'être vu, car des bons drames français de ce genre, c'est encore trop rare.

Film terrifiant de réalisme. L'interprétation est impeccable. On est scotché du début à la fin par les malheurs de ce jeune couple qui cherche à s'en sortir. Difficile de porter une condamnation plus radicale sur un système social qui broie ainsi les êtres humains, y compris les plus travailleurs et les plus déterminés. Cédric Kahn a réussi un véritable petit chef d'oeuvre et un document sur notre époque.

Un film sur le surendettement réalisé et interprété avec beaucoup de sensibilité .

Fable social, qui commence d'une facon ennuyeuse, comme plan de jeunes couples qui demarrent dans la vie...on pourrait meme dire de la premiere partie du film qui es trop banal, mais petit a petit, les choses se compliquent et les sentiments, des fois moins idealistes aflorent, s'entremelent et s'affrontent, donnant lieu au meilleur du film...une pleyade de sentiments, encadres par une intrigue que debouche sur le moment culminant lorsque Canet et l'enfant vont savoir que ce qui lui est arrivee a elle...un moment d'emotion intense. A voir absolument!!!

C'est vrai, nous sommes ici dans le cinéma social un minimum de qualité, réalisé avec sincérité et sans réelles fausses notes, si ce n'est l'apparition grotesque de spoiler: l'assistante sociale
, pas du tout crédible et encore moins dans le ton du film. Pour le reste, je dois avouer avoir été agréablement surpris par la prestation de Guillaume Canet, tandis que le scénario, sans être exceptionnel, se tient solidement, notamment dans la première partie (la plus intéressante), montrant avec justesse l'enthousiasme puis le désenchantement progressif du couple face aux difficultés, témoignage plutôt efficace de la difficulté d'entreprendre aujourd'hui lorsque vous n'en avez pas les moyens. Dommage alors que la dernière heure s'avère nettement plus longue et sans réelle dynamique, les enjeux posés apparaissant vite statique pour s'emballer lors du dénouement, honorable mais quand même un peu décevant. En fait, je n'ai pas grand-chose à reprocher à « Une vie meilleure », si ce n'est d'être un cinéma qui ne me parle pas beaucoup, ayant au moins le mérite de mettre un minimum les formes, mais peinant à m'émouvoir ou à m'intéresser vraiment, si ce n'est à travers quelques moments bien précis. Les amateurs apprécieront, les autres passeront leur chemin sans trop de regrets.

Qu'est ce que je me suis fait chier devant ce film. j ai jamais vu un film aussi pessimiste que ca. les acteurs jouent mal, les plans sont trop long. surtout ne regarder pas ce film si vous voulez investir... il vous demotivera. c est anti entreprenant, sucidant, deprimant. Vive l echec et le despoire...

Un bon film dans son ensemble qui s'inscrit dans l'air du temps en France avec les difficultés financières.
J'ai trouvé Guillaume Canet excellent dans ce rôle.

Pas mal ! L'histoire est prenante et les personnages sont attachant. De plus, le jeu d'acteur est une partie intégrale de ce qui fait la force du film. Je note un grand A dessus ! Même si le film a du mal à s'en sortir pour boucler un peu plus la chose. On close le tout par une poignée d'incohérences et de facilités. Dommage car le reste est vraiment bien conçu.

Un bon moment, on est pris par l'intrigue les acteurs sont corrects on y croit
Manque quelques surprises dommage

La vie rèserve quelques surprises parfois bonnes parfois dramatiques! Le pire ètant toujours de mettre le doigt dans un engrenage infernal! Dans "Une vie meilleure", Guillaume Canet et Leila Bekhti sont face au surendettement! Un couple un peu glamour dans une histoire qui ne l'est pas toujours! Une histoire très lièe au phènomène de la sociètè d'aujourd'hui, à la volontè de s'en sortir, avec de l'espoir et de l'amour! Bref, "Une vie meilleure" selon Cèdric Kahn avec beaucoup beaucoup de galères! Canet s'implique et renouvelle à sa façon un personnage à la Vincent Lindon! Un personnage dans l’ère du temps qui va droit dans le mur, prend des crèdits sans penser aux consèquences, en rapport avec l'abandon parce que l'on comprend qu'il vient d'une famille d'accueil, qui va être abandonnè à nouveau [...] Le final est nettement moins rèussi tirant un peu trop sur la code sensible et le clichè! On est pas entièrement convaincu du dènouement mais plutôt satisfait de la prestation de Canet! A voir pour lui...

Du cinéma social, peinture d’une déchéance et d’une marche vers l’endettement et la précarité. La quête d’une vie meilleure est ici dépeinte comme une spirale dans laquelle les personnages vont prendre toutes les mauvaises décisions. C’est parfois lourd mais c’est suffisamment réussi et réaliste pour questionner.

C’est ce qu’on appelle la loi des séries, quand ça ne veut pas, ça ne veut pas. C’est évident et pourtant, Yann accumule par naïveté et maladresse les incohérences, les petites négligences qui une à une pèsent lourdes de conséquence. Apparemment, il ne sert à rien de grapiller par-ci, d’ergoter par-là des économies. Il me paraît invraisemblable par exemple de passer outre les normes en terme de sécurité. Lui, qui travaille dans un restaurant scolaire, apparemment, il est chef, il sait très bien ce que représentent les contraintes : électricité, hygiène etc... Ce film n’a rien d’un roman de Dickens, malheureusement, des types qui échouent dans leur volonté de monter leurs sociétés doivent nourrir les archives des Chambres de Commerce. Le projet de Yann a avorté avant même de débuter. Il est dommage que Cédric Kahn ne se soit pas plus focalisé sur le chemin de croix de Yann entre banques, administration et son propre boulot. Au lieu de ça, la galère de Yann est en filigrane en nous imposant au premier plan une garde soudaine d’un enfant, ce qui nous donne quelques bonnes scènes, mais cette garde à l’origine provisoire s’éternise et alourdi inutilement la galère de Yann. Mieux : le réalisateur nous embarque dans sa galère pour mieux justifier plus loin l’acte d’agression de Yann, alors qu’en y réfléchissant bien, et comme je l’ai écrit plus haut, il est responsable de cette situation par négligence et maladresse. Il me semble trop facile d’accuser le système : si on n’a pas d’argent, si on n’a pas suffisamment pesé le pour et le contre pour monter son entreprise, il faut savoir patienter et ne pas craindre à remettre à plus tard son projet. Yann n’est pas exempt de reproches ; sa détermination peut paraître estimable mais là elle confine à la bêtise ! Bonne interprétation de Guillaume Canet et de Leïla Bekthi ; cette dernière dévoile avec parcimonie une facette intéressante de son jeu, décelé déjà dans « La source des femmes ».

film plutot pas mal dans l'ensemble guillaume canet et leila bekhti sont très bons ils jouent leur role avec beaucoup de justesse l'histoire est intéressante et prenante petit défaut c'est qu'on reste un peu sur sa fin

Le film passe trop vite sur des éléments importants : leur mensonge à la banque, le mec têtu qui se voit dans la merde et qui finit de se creuser un trou en continuant son resto, il frappe sa copine, qui s'en va au Canada, enfin c'est beaucoup trop mélo, et trop d'emmerdes ... le gamin joue trop mal, enfin les 3 sont nuls pourtant j'ai adoré Canet et Bekhti mais là c'est abusé, un film pathétique ! tout commence mal et et tout finit mal super ! ça donne la pêche surtout en période de crise !
spoiler: le meilleur moment c'est quand il fait courir le gamin avec les baskets neuves qu'il vient de voler ... franchement j'ai halluciné en voyant cette scène surréaliste !! le summum du pathétique ![
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Nadia travaille dans un restaurant à Paris ; d'origine libanaise elle a un fils, Slimane, de 9 ans.
Elle retrouve Yann qui cherche un emploi de chef. Ensembles, ils vont monter un restaurant et emprunter 200 000 €. spoiler: Emprunts revolving pour payer l'apport du prêt, surendettement, la famille va vite être en galère et connaitre la précarité. Nadia, forcée d'accepter un travail au Canada, confie son fils à Yann pour un mois, le temps qu'elle s'installe.

Les dialogues cash donnent beaucoup d'authenticité aux personnages. La mise en scène sobre, nous dépeint parfaitement les difficultés de ce couple partagé entre l'espoir et la peur de la dégringolade.

La direction d'acteur est efficace, Guillaume Canet est excellent dans le rôle de Yann ; il est très convaincant dans ce personnage de père improvisé. Le petit garçon, joué par Slimane Khettabi, est aussi extrêmement juste et émouvant dans son emploi de fils abandonné. A noter aussi une belle présence de Leïla Bekhti qui incarne Nadia la mère de Slimane.

Quelques longueurs et beaucoup de mélancolie dans ce drame Réalisé par Cédric Kahn.