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Un visiteur
0,5
Publiée le 12 août 2012
Pourtant fan de Sacha Baron Cohen, et notamment de Borat et Bruno, j'ai trouvé ce film absolument nul, raté, lourd. Bref, moi qui attendais avec impatience son nouveau film, j'ai été très déçu par the dictator. La critique est trop facile, l'humour est vraiment potache, et on perd le concept de semi-documentaire qui rendait l'univers de Cohen déjanté, fin et audacieux. Donc un gros navet.
Ç´est l'un de mes films préféré ! Je vous dit tout de suite que c'est un film à prendre au second dégrée même aux cinquième degrés haha !! Sacha baron Cohen est hilarant !! Le film est drôles ! Bonne comédie mais vraiment à prendre au second degrés ! Si vous vous attendez à un chef d'œuvre , ou à une comédie faite dans les règles de l'art n'y allez pas !! Mais si vous avez un humour décalée , un peut second degrés ! Ben ce film est pour vous !
Insuportable comédie où rien n'est bon. J'ai laché au bout de 35 mns après les efforts d'usage. Ne pas perdre son temps dans une production à l'humour aussi lourd que convenu. A la rigueur, pour des adolescent de 12/14 ans en pleine poussée d'acné.
Ce film est vraiment génial, marrant, hilarant. Des fous rires, des barres du début jusqu'à la fin. On se moque de certains dictateurs, et de l'esprit de la beauté entre parenthèses. C'est vraiment un bon film comique, humour noir.
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1,5
Publiée le 11 septembre 2018
Nouveau film et nouvelle parodie pour l"hurluberlu Sacha Baron Cohen qui revient cette fois dans les habits d'un dictateur pas comme les autres dont la mègalomanie ne semble pas avoir de limite! Pas facile de donner un avis sur la chose en question qui a rèalisè en France près de 850 000 entrèes à sa sortie! La bande annonce avait pourtant de quoi amuser la galerie, mais le plaisir est le plus souvent gâchè par une impression de dèjà vu chez l'acteur-rèalisateur de "Borat". L'histoire de l'amiral-gènèral Aladeen ne passionne pas les foules, les gags sont parfois lourds spoiler: (le vagin vu de l'intèrieur) et les seconds rôles tels que l'immense Ben Kingsley, sous exploitès! Le manque de risque prime dans ce grand n'importe quoi, rarement sauvè par le cabotinage de Sacha Baron Cohen, qui trouve une aide salvatrice en la personne d'Anna Faris! A retenir le petit rôle de Megan Fox et l'apparition furtive d'un certain Gad Elmaleh! Autant revoir l'amusant "Borat" que cette parodie courte et gentiment prèvisible...
Il faut savoir ce qu'on va voir avant de regarder ce film : comme le reste des Sacha Baron Cohen, ce n'est pas tout public. J'ai vraiment passée un bon moment! Alors oui il ne faut s'attendre à rien en y allant, c'est a la fois léger et hard, du pur Sacha drôle et décalé avec des clins d'oeils à l'actualité ou des faits historiques !
Le plus réussi dans « The Dictator », cela aura finalement été sa géniale promo, conjugué au très grand talent de Sacha Baron Cohen pour faire dans la démesure et la provocation. Car oui : lorsque l'on découvre le résultat, surtout après les réussites qu'étaient « Borat » et « Brüno », il y a de quoi être déçu. Le duo Charles - Baron Cohen n'a jamais fait dans la légèreté, mais ici il dépasse les limites qu'ils avaient su se fixer dans leurs deux précédentes collaborations, et on le regrette. J'ai même parfois été gêné, choqué par les outrecuidances du Général Aladeen, et il m'en faut pourtant beaucoup. J'avoue ne pas avoir très bien compris cette volonté d'aller aussi loin dans la vulgarité, au point de rendre quelques scènes parfois peu ragoutantes. Après, ne pas croire que tout est à jeter non plus : le film a de bonnes idées, une poignée de scènes hilarantes et le rythme est toujours au rendez-vous. On ne saurait également être insatisfait de quelques répliques assez vachardes, sans oublier une critique savoureuse du système électoral américain. Reste que je me suis beaucoup moins régalé que prévu devant ce spectacle certes plutôt audacieux, mais trop souvent gras pour satisfaire. Le politiquement incorrect, l'irrévérence, c'est bien : encore faut-il que cette subversivité soit au service d'un humour beaucoup moins inégal qu'ici... Dommage.
J'avais bien ri à "Borat", j'avais exulté face à "Brüno", c'était donc avec un certain entrain que je suis parti à la découverte de la nouvelle frasque de l'irrévérencieux Sacha Baron Cohen. Connaissant la liberté de ton du bonhomme, je ne pouvais que me réjouir du thème abordé, chose d'autant plus plaisante que ce cher Sacha renouvelle un peu sa forme en abandonnant son mix habituel entre personnage de fiction et documentaire détourné. Tant de choses pour convaincre, et quelques bonnes idées, et pourtant la désillusion s'est faite vite sentir me concernant. Quand il s'agit de faire reposer toute sa démarche sur de la pure fiction, les carences de ce cher Sacha et de son acolyte Larry Charles se font vite sentir. Dans "Borat" et dans "Brüno", l'excentricité du personnage central était contrebalancée par les quidams qu'il rencontrait, les deux s'alimentant mutuellement. Coupé du monde du réel, la force de Cohen qui consistait à savoir s'adapter en toute circonstance pour pouvoir rendre crédible son personnage excentrique disparait, et l'humour lourd et répétitif du bonhomme ne parvient pas à le compenser. Au final, malgré les quelques bonnes idées qui montrent que ce film était pétri de bonnes intentions, l'univers du "Dictateur" m'a vite lassé, surtout que, par bien des points, Aladeen emprunte souvent au personnage de Borat sans innover. C'est dommage, j'aime bien Sacha Baron Cohen, et je ne peux décemment pas descendre ce film tant il parvient malgré à conserver une petite dose de sympathie mais, en s'octroyant plus de liberté en retournant à la fiction pure, je me suis retrouvé devant ce "Dictateur" comme je m'étais retrouvé devant "Ali G" : je me suis dit que le trip était sympa, que l'état d'esprit était fort séduisant, mais que faute d'une réelle diversité dans l'humour et d'une véritable imagination, c'est quand même l'ennui qui triomphe à la fin. C'est ballot donc car j'aimerais être plus conciliant avec l'ami Cohen, mais malheureusement le plaisir ne fonctionne pas forcément comme ça...
Là où Borat était plus que délectable car Sacha Baron Cohen s'appliquait à faire ressortir à grands coups de grotesque le pire de ce que l'Amérique avait à proposer, The Dictator reste aussi bas de plafond qu'à l'accoutumé pour l'acteur responsable du meilleur (Borat donc) comme du pire (Ali G). Et on penche plus du côté du pire pour cette satire des relations tendues entre les Etats-Unis et le Wadiya. Car Sacha Baron Cohen ose tout, même le plus stupide et improbable, sans véritablement nous tordre de rire. Pourtant, le début est plutôt réussi, jouant à fond la carte du dictateur égocentrique que l'on découvre dans ce qu'il a de plus honteusement drôle avec ses exécutions à gogo et le culte qu'il se voue. Malheureusement, comme tout long métrage, il faut que l'histoire se développe et ce qui finalement aurait pu faire un très bon sketch de quinze minutes se transforme en comédie à peine passable qui nous ravira uniquement par quelques trop rares morceaux choisis pendant lesquels l'acteur tire à boulet rouge sur le pays qui s'est autoproclamé "maître du monde". Rien de véritablement surprenant dans le récit et c'est sur le scénario d'une comédie familiale bon-enfant comme l'Amérique nous en pond à tour de bras que repose le film. Au final, on retiendra surtout le concept, le plan marketing et la bande-annonce qui condense ce qu'il y a de mieux à tirer de The Dictator.
L'humour gras, pourquoi pas, même si au bout d'une demi-heure le filon semble épuisé et qu'au bout du compte on nous sert les clichés les plus éculés. Au final, on retient surtout l'absence totale de qualités cinématographiques de cet exercice.
Ce qui est bien avec Scha Bron Cohen, c'est qu'il n'y va pas par 4 chemins. Dès l'ouverture du film, premiers rires dans la salle en découvrant l'histoire de l'Amiral Général Aladeen et son accession au pouvoir. En réalisant un mix entre Sadaam Hussein et le colonel Khadafi peut jouer à fond sur la parodie de ces dictateurs, et à ce titre le personnage d'Aladeen est sans doute le plus abouti du répertoire de Sacha Baron Cohen. Dans la même veine que Borat, il a jouer sur l'opposition entre le dictateur et sa vision absolutiste du pouvoir face à son immersion aux Etats-Unis, symbole de la démocratie et du libéralisme. Il va réussir à imaginer une quantité de gags à destination de tous : Américains, arabes, racistes, écologistes, chinois... qui vont permettre de maintenir un rythme effréné à cette comédie, ce qu'il n'avait pas réussi à faire sur ces deux précédents films "Borat" et "Bruno". L'outrance de ce personnage délirant était un sujet parfait pour Sacha Baron Cohen : il est parvenu à en ressortir le meilleur (ou le pire c'est selon).
Cohen abandonne le Faux documentaire pour revenir à un film plus convenu qui avait fait sa renommée avec "Ali G" , alors même si on trouve le sens de la vanne très présent , la minutie de l'écriture des dialogues , je trouve l'histoire trop convenu pas assez folle , alors certes certaines scènes vont je pense resté culte comme celle de l'accouchement ... Mais je m'attendais à plus , peut être est-il trop attendu qu'il ne choque plus .