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    De l'autre cote du periph'
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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 20 mai 2013
    Une seule remarque m'a consternée. Une personne de la cité, intervient et fait remarquer à tavernier les " nuisances" de ces dealers. Cette personne est presque agressée devant la caméra de tavernier, les jeunes insulte cette personne, tavernier se rend complice des agissements de ces racailles. Un documentaire de Bobos parisiens qui ne voit la banlieue que de son appart de 5 pièces dans les beaux quartiers.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 janvier 2009
    Bertrand Tavernier et son fils Nils Tavernier répondent au gouvernement Chirac et se jette dans la banlieue parisienne, «De l’autre côté du périph’» (France, 1997) comme l’indique le titre. Produit par la télévision, ce qui n’engage en rien sur la bonne ou la mauvaise qualité de l’œuvre, le film se partage en deux parties dont le tout unifie la progression opérée par l’équipe de tournage dans le milieu social de la cité des Grands Péchés de Montreuil. Documentaire sur une plongée dans la banlieue, «De l’autre côté du périph’» vise à un objectif très simple : prouver que leurs habitants ne sont pas les "racailles" que nous présentent les médias. La première démarche des Tavernier est des plus légitimes et enchante même le spectateur de cinéma qui souhaite y trouver un contrepoint à l’opinion générale, à travers la singularité des films. En voulant démontrer, par le truchement du documentaire, que la banlieue n’est pas un ring citadin, Tavernier fait un pied-de-nez à la bêtise des médias et à leur aveuglement. Le parlé-vrai des habitants, leur gouaille populaire et sans retenu nourrissent de vérisme et d’authenticité ce doc télé. Pourtant, «De l’autre côté du périph’» se bute à sa limite. En prouvant que la banlieue n’est pas un lieu de crise ou du moins qu’elle subsiste par ses propres moyens, Tavernier lui soustrait toute possibilité de révolte, lui enlève sa force. Bien que la voix off de l’imposant Bertrand Tavernier se défende de résoudre les difficultés, ne prétend pas évoquer les origines des problèmes, l’œuvre se garde bien de prouver, véritablement au gouvernement, que les Grands Péchés ne sont pas ce qu’il croit. Pourtant la simplicité de la réalisation, du cadrage, du montage ne prétend pas dévoyer la nature de la banlieue. Certes, tout documentaire se construit sur du mensonge. Or la petite mais pratique force du film est de laisser vivre, sans voilage esthétique, le monde de la banlieue. De l’art brut en un sens.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 avril 2007
    Caméra juste plantée au sein d'une "cité" donne parole médiatique , ouvre une partie des blessures sociales sans surplus, juste eux face caméra.
    Bouleversant de sincérité ,qui laisse supposer que d'un coté ou de l'autre, les vrais acteurs sont les acteurs de la vie...
    Le film datant de 1998, on s'aperçoit que les problèmes datent pas d'hier et sont bien plus vieux même que le documentaire. Un pure affront aux clichés. A voir de toute urgence !
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