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    Le Majordome
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    1 234 critiques spectateurs

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    Sylvain P
    Sylvain P

    299 abonnés 1 328 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 septembre 2013
    Suivre pendant plus de 2 heures la vie d'un majordome de la Maison Blanche pourrait paraître une mission ardue. Et pourtant, ce film, racontant finalement la lutte pour les droits civiques, passe comme une lettre à la Poste. On a, bien entendu, affaire ici à un film très classique américain, à la mise en scène sage et au scénario efficace, mais de très bonne facture. Un bon prétendant aux Oscars.
    bsalvert
    bsalvert

    317 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 février 2014
    Autant l'acteur principal joue excellemment comme à son habitude autant le film est particulièrement long.
    PLV : un pan entier de l'histoire américaine défile sous nos yeux en deux heures.
    Diane M.
    Diane M.

    52 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2014
    Mon avis sur ce film est quelque peu mitigé. En effet, s'il a certaines qualités indéniables dont il serait difficile de ne pas parler, il est à mon goût bien trop sage, bien trop calibré et bien trop élogieux en ce qui concerne les Etats-Unis. Mais parlons tout d'abord des points positifs. Il y a en premier lieu les acteurs, qui sont tous absolument parfaits. Forest Whitaker est impressionnant dans le rôle de ce majordome dévoué et détruit par sa relation avec son fils (dont l’interprète est également très crédible). Quant à Oprah Winfrey, j'avoue qu'elle a balayé tous les doutes que j'avais pu avoir sur elle en quelques scènes. Mais les acteurs ne sont pas les seuls atouts du film. La photographie est très belle, le scénario crédible et bien structuré, et l'histoire en elle-même est vraiment touchante. Mais ce qui m'a vraiment dérangé, c'est l'aspect "clinique" du film. Rien ne déborde, rien n'est en trop ou ne manque. Un film à Oscars, en fait. Et puis, je ne peux pas non plus occulter le message tout de même très pro-américain, notamment avec la fin lors de la victoire tant attendue d'Obama. D'accord, c'est une date historique qui a du être extrêmement importante pour toute la communauté afro-américaine. Mais tout de même, Obama n'est pas parfait ! Et il est loin d'être blanc comme neige (sans mauvais jeu de mots). D'ailleurs, c'est cela qui m'a le plus dérangé. Outre Obama (qui n'est montré finalement que quelques secondes), tous les présidents apparaissent comme des personnes altruistes, désireuses de servir le pays et favorables à la cause des Noirs. Franchement, c'est risible... Bref, vous l'aurez compris, il y a du bon et du mauvais. Voila donc pourquoi ma note se situe légèrement au dessus de la moyenne. En tout cas, je vous conseille tout de même ce film, qui a le mérite de mettre en lumière une des plus grosse part d'ombre de l'histoire des Etats-Unis !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 4 juillet 2014
    film genial l'histoir du film et extraordinaire!! spoiler:
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    Clémentine K.
    Clémentine K.

    165 abonnés 1 427 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 août 2014
    J'ai été un peu déçue par ce film malheureusement. Je m'attendais à ce qu'il me prenne par surprise comme par exemple 12 years a slave ou Django mais au contraire même si j'aime le sujet, je me suis un peu ennuyée car je trouve que le sujet principal n'est pas assez exploité.
    Chris58640
    Chris58640

    183 abonnés 725 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 septembre 2013
    Casting impeccable, réalisation très honnête et scénario intelligent, voilà les trois grandes qualités du « Majordome » de Lee Daniels, ce qui fait déjà une belle carte de visite pour ce film ! Si on ajoute que l’affiche est plutôt pertinente (le côté « homme de l’ombre »), la BO tout à fait agréable et bande annonce bien fichue, alors on y est, dans le grand film de cette rentrée ! Commençons par le casting, pléthorique certes, mais d’où émergent deux grandes compositions. Celles de Forrest Whitacker évidemment, dans le rôle titre (en course pour l’Oscar ?) mais aussi celle, plus étonnante, d’Oprah Winfrey en épouse se débattant avec la solitude et l’alcool. Etonnante car il ne s’agit pas d’une actrice chevronnée mais d’une vedette de TV (d’une popularité qu’on a du mal à imaginer ici) et qui tient ici un rôle difficile avec une réelle justesse ! A leur côté, Lenny Kravitz (oui, oui…), Cooba Coning Jr, Davis Oyelowo et même Mariah Carrey dans un rôle minuscule sont tout à fait à leur affaire. Et puis il y a les grandes stars qui viennent étoffer encore un peu plus le casting, Robin Williams, John Cusack, Jane Fonda (que je n’ai quasiment pas reconnu !), excusez du peu… Avec une telle distribution, on peut difficilement rater un film me direz-vous ! Et bien, si… Si on avait un mauvais scénario, tout ce beau monde aurait beau faire, le film serait décevant. Sauf que de ce côté-là, c’est réussi aussi. Au travers du regard (que l’on croit passif) du père mais aussi de celui (beaucoup plus engagé) se son fils ainé, on assiste à la lutte des afro américains pour la reconnaissance de leurs droits. Et c’est raconté sans manichéisme, sans occulter les différences entre la voie « Luther King » (et ses limites) et la voie « Black Panthers » (et ses excès), sans nier aussi l’incompréhension, voire le ressentiment, qui s’installe à l’intérieur de communauté noire au fil des combats politiques perdus ou gagnés, des coups de matraques reçus et des jours de prison qui s’additionnent. La rupture entre le père, qui a connu les champs de coton et semble accepter sa condition de domestique qui lui apporte la sécurité et son fils qui ne le considère que comme un « serviteur des blancs » est d’autant plus tragique qu’on imagine qu’elle a du se produire dans des milliers de familles américaines dans les années 60-70. Grace à un montage intelligent, dans certaines scènes en particulier (la double scène très réussie du dîner officiel et du café), la dualité entre le père et le fils est parfaitement rendue. Contrairement à ce qu’on aurait pu craindre, le film n’est pas larmoyant, même si je concède quelques larmes pendant la séance, les scènes difficiles sont courtes, souvent silencieuses (Jackie Kennedy et son tailleur rose couvert de sang qu’elle refuse d’enlever) et c’est très bien ainsi. Et puisqu’il s’agit d’un film éminemment politique, difficile de ne pas évoquer le sort que le scénario réserve aux présidents américains. C’est peu de dire que certains sont mieux servis que d’autres, au point que deux d’entre eux ne sont même pas incarnés à l’écran. Mais c’est assez normal, tous n’ont pas eu politiquement la volonté de faire progresser la cause des populations noires, et le film de Lee Daniels en est le reflet. Si les portraits de Eisenhower, Kennedy et Johnson sont assez élogieux, celui de Nixon est dévastateur, et pour le coup sans grande nuance. Celui de Reagan, en revanche, est beaucoup plus difficile à cerner, charmant et même généreux en privé, il est politiquement sans pitié et c’est d’ailleurs en assistant à une discussion entre lui et une sénatrice républicaine que viendra au majordome, sur le tard, le courage de l’engagement politique ! Alors oui, on pourrait peut-être reprocher au « Majordome » quelques facilités, quelques raccourcis un peu rapides Par exemple, lier « inconsciemment », et par le seul jeu du montage, l’assassinat de Dallas avec la politique de Kennedy en faveur de l’émancipation des noirs, c’est faire un sacré raccourci, et par forcément un raccourci pertinent, en plus ! Mais on peut se permettre d’être indulgent avec le film de Lee Daniels, tant le sujet qu’il a entrepris de traiter est important, tant il touche au cœur de l’Amérique (soi-disant) post raciale d’aujourd’hui. Et, à bien y réfléchir, « Le Majordome » est un film bien plus d ‘actualité, et bien plus universel qu’il n’y parait.
    Parkko
    Parkko

    134 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2014
    Pour quelle raison étrange je me retrouve toujours à voir les films de Lee Daniels alors que jusqu'à présent il n'a pas su me convaincre une seule fois ?
    Après j'avais quand même un certain intérêt pour Paperboy, qui était plutôt loupé, mais qui avait de bonnes idées. Et c'est marrant parce que Le Majordome c'est tout l'inverse de Paperboy. Le film se veut beaucoup plus lisse, beaucoup plus contrôlé, beaucoup moins "prise de risque". Ben du coup c'est sûr, ça prend moins de risque et on a un film très consensuel, peut-être moins "raté" que Paperboy, mais en même temps moins intéressant.
    Le film est parfois assez maladroit, c'est une vision du racisme sur 2h, bon ben c'est une petite leçon d'histoire plus ou moins trafiquée, mais ça se regarde sans déplaisir. Je suis curieux de voir ce qu'un mec comme Steve McQueen fera du racisme dans son prochain film, probablement quelque chose de moins convenu que Lee Daniels.
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    75 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 octobre 2013
    L’année dernière, Lee Daniels (réalisateur de Precious) avait marqué les esprits, et pas véritablement dans le bon sens. Surtout lors du Festival de Cannes où son film de l’époque, Paperboy, fut hué par le public. Et pour cause, le long-métrage allait bien trop loin dans le trash (certains restent choqués par l’utilité de voir scène où Nicole Kidman urinait sur le torse de Zac Efron). Retour au « calme » donc pour Daniels avec cette adaptation d’un article paru dans le Washington Post à l’occasion de l’élection de Barack Obama. Une histoire qui a de quoi balancer sur les inégalités « de couleur » qu’ont connue les États-Unis.

    Plus exactement, Le Majordome retrace le parcours de Cecil Gaines, un Noir qui a grandit avec ses parents dans les champs de coton de Géorgie jusqu’à atteindre le poste de majordome. C’est-à-dire de domestique dans la prestigieuse Maison Blanche. Et comme ce poste nécessite une trentaine d’années de vie de la part de l’employé, Gaines va voir défilé les Présidents (dont Eisenhower, Kennedy, Nixon et Reagan) ainsi que la mise en place des droits et libertés envers les Noirs, persécutés par les Blancs. Un combat que mènera en parallèle l’aîné de Gaines, au grand dam de son père. Bref, Le Majordome se lance autant dans le drame historique que familial. En piochant un coup dans la réalité que dans la fiction (à partie d’un article, il faut bien inventer pour donner du corps à son histoire).

    Dès le début du film, on devine aussitôt le but du Majordome : Daniels ne veut pas que raconter l’histoire d’un mec, mais plutôt la pénible évolution de l’acceptation des Noirs dans la société américaine, qui provoqua la mort de bien des hommes et femmes. But fort louable de la part de Daniels, qui veut dénoncer l’Histoire via la petite. Le problème était sans doute de ne pas en faire trop. Malheureusement, c’est pourtant ce que le réalisateur fait. Pourtant, il use de bon nombre de séquences sur le papier poignantes (le meurtre du père de Cecil dans les champs par son maître Blanc, les Noirs séparés des Blancs dans les lieux publics, l’intervention du Ku Klux Klan sur un bus de la Liberté…) qui auraient marqué les esprits. Mais le problème réside dans le fait que ces scènes-là, nous les avons déjà vues et revues dans d’autres films. Du coup, elles se montrent moins impressionnantes. Et quand un film de plus de 2h10 les enchaîne, on crierait presque : « On a compris, c’est bon ! ». Faisant sentir par moment le temps passer péniblement.

    Autre défaut aussi à l’origine de ce manque de puissance : la mise en scène. Je n’ai pas vu les autres films de Lee Daniels pour juger son talent de cinéaste. Néanmoins, cela ne m’inspire pas trop quand ce vois Le Majordome. Où la caméra est bêtement posée, filmant les scènes sans apporter de style à l’image (pas de plans spéciaux, pas d’effets…). Réduisant l’impact de certaines scènes (comme celle de gifle lors du dîner, qui semble être bien plus une pichenette à l’écran). Et quand Daniels se lance dans les effets de style, il gâche également ses séquences (un ralenti lors de l’assaut du Ku Klux Klan, qui alourdit la scène au possible plutôt que l’horrifier). Voilà sans doute pourquoi toutes les dénonciations contre le racisme du film ne fonctionnent pas pleinement : le scénario est surfait ! Alors que des moments de quelques secondes (comme dans la plupart des films de ce genre) auraient amplement suffi. Surtout quand le véritable cœur de la trame se trouve dans la relation père / fils.

    C’est cette dernière qui donne tout l’intérêt du film. C’est elle qui aurait pu le rendre bien plus poignant que cela si elle avait grandement été traitée. Et avec l’histoire de ce majordome, il y a de quoi se sentir toucher : un Noir allant jusqu’à travailler pour le chef des Blanc (le Président) pour mettre sa famille à l’abri des problèmes raciaux et surtout pour éviter de perdre ses fils comme il a perdu ses parents (du moins son père). Un but incompris par son aîné, qui lui soutient l’égalité, jusqu’à risquer sa vie. Voilà où se trouve toute la puissance du film ! Dans une scène de dîner qui tourne mal. Lors de retrouvailles. Quand la guerre du Vietnam vient bouleverser la vie familiale. Un pan du récit qui touche véritablement, car n’étant justement par surfait. Heureusement que Le Majordome attire notre regard également sur cette trame, sinon, le film n’aurait que pédagogique et ennuyeux.

    Là où le film titille aussi notre attention, c’est par le biais de son casting, clinquant et majestueux comme la Maison Blanche. Notamment avec Forest Whitaker, que l’on semblait avoir perdu de vue (l’acteur s’étant réfugié dans les séries TV et les films bidons inconnus en France). Là, le comédien revient sur le devant de la scène, avec élégance et talent. Grande découverte de ce film, David Oyelowo (vu dans La Planète des Singes : les Origines, Paperboy et Jack Reacher) qui arrive enfin à prouver de quoi il est capable dans la peau de l’aîné Gaines. Un acteur à suivre ! Après, le film étant spécialement concentré sur l’Histoire et la relation père / fils, la distribution du Majordome n’est que l’opportunité pour certains de faire une apparition (parfois de quelques minutes). Du côté des proches, avec Cuba Gooding Jr., Terrence Howard ou encore Mariah Carey. Et surtout pour les « présidentiels » : Robin Williams, John Cusack, James Marsden, Alan Rickman, Liev Schreiber et Jane Fonda. Une fausse note cependant ! La présence d’Oprah Winfrey et de Lenny Kravitz, qui montrent bien que jouer l’acteur n’est pas leur véritable métier (les deux se montrant souvent bien trop fades).

    Le Majordome est dans un sens un bon film car abordant une trame qui ne laissera pas insensible. Par contre, ce long-métrage de Lee Daniels possède les mêmes symptômes de La Rafle avec Gad Elmaleh et Jean Reno : à trop vouloir dénoncer alors que le cinéma et d’autres œuvres l’ont déjà par le passé, le film n’a pas la puissance souhaitée et perd donc en intérêt. Un film qui mérite d’être découvert pour ceux dont l’Histoire intéresse. Mais la pédagogie n’est pas le meilleur atout pour marquer les esprits !
    yayo
    yayo

    55 abonnés 1 221 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 décembre 2013
    On a la un film calibré à Oscar nous sort l'artillerie lourde! Alors les acteurs sont tous très bons, mais j'ai vraiment eu du mal sur des partis pris de mise en scène et sur le scénario, qui développent trop peu certains aspects historiques. Finalement 2h12 c'est beaucoup trop court pour raconter une telle tranche de l'histoire. Dans le genre, je lui ai préféré "The Help" (qui est loin d'être subtil lui aussi) et j'espère que "12years a Slave" sera mieux.
    aberdeen76
    aberdeen76

    38 abonnés 1 013 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 février 2014
    Une fresque historique relatant la vie d' Eugene Allen (ici renommé Cecil Gaines) Majordome noir ayant servi huit présidents. Le film est intéressant et décortique avec brio la lutte des afro américains pour leur droits civiques. Dommage que certaines vérités historiques soient tronquées du fait de raccourcis hasardeux et un peu trop "pro-Obama" à mon gout. De plus le casting est inégal malgré un Forest Whitaker éblouissant de sobriété. Reste un film bien ficelé et largement regardable.
    Mathieu Dumont-Roty
    Mathieu Dumont-Roty

    35 abonnés 988 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2014
    Un belle fresque sur la ségrégation des noirs-américains avec en contraste l'exercice du pouvoir. Forest Whitaker endosse à la perfection ce rôle de majordome partagé entre son pays et son identité raciale. Un grand film qui passe en revue l'histoire américaine avec beaucoup de justessse. 15/20
    cineccita
    cineccita

    39 abonnés 1 471 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2013
    Les interprétations sont remarquables et l'émotion est la. Il n'y a rien à dire c'est un beau film, un poil long toutefois.
    gamorreen
    gamorreen

    15 abonnés 431 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 septembre 2013
    Un bon film, intéressant dans les parallèles entre l'histoire du fils et l'histoire des présidents US en parallèle (et les critiques faites sur l'Histoire récente du pay), et le côté humain donné au tout.
    toka59
    toka59

    18 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 septembre 2013
    Film absolument fantastique ! Encore mieux que "la couleur des sentiments". C'est ma fille qui a voulu voir celui-là je ne savais même pas de quoi ça parlait, n'avais vu aucune ba ni quoi que ce soit dessus et je me suis pris une grande claque. Une réflexion intéressante sans manichéisme sur le parallèle entre la vie du père et celle du fils. Très très touchant mais pas tire-larme, on pleure parce que c'est tiré d'une histoire vraie, parce qu'on pense à la vie de m..... qu'ont vécu tant de noir américains qui devaient se battre pour les droits les plus élémentaires. Un jeu d'acteurs également superbe. Enfin c'est à mon sens un film salutaire dans un contexte actuel "malade".
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 006 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 septembre 2013
    Après le décevant Paperboy, Lee Daniels réitère la méthode utilisée avec Precious : élaborer une fable sur les inégalités sociales parsemées ici et là d’émotions mais sans jamais mettre les pieds dans le plat. Cette seule donnée suffira à en rebuter plus d’un…
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