Avis sur 12 heures

Ouf, me voilà rassuré, les choses reprennent leur cours normal. Simon West est un tocard et sa pseudo adulation pour le très moyen Explendabide 2 est retombée. On peut continuer de considérer West comme un abruti sans se faire lyncher.

C'est dingue comme les projets de Cage se ressemblent tous. Sa filmographie ne ressemble plus à rien. Je pourrai cracher sur lui, sur ce qu'il est devenu et évoquer avec passion et nostalgie l'époque où il faisait Peggy Sue s'est mariée, Sailor et Lula, Snake Eyes ou bien récemment Bad Lieutenant.

Mais non, c'est chose convenue. Je préfère expliquer pourquoi l'on devrait interdire de cinéma de près ou de loin tous ceux qui ont participé à ce film. Ceci me semble plus construction pour l'avenir du 7° art.

Le film s'ouvre sur un ivrogne qui va pisser. Il se fait "taire" par le FBI. On sent qu'il se passe un truc. On voit Cage entrain d'écouter de la musique de merde dans sa bagnole. On comprend qu'il va faire un casse. Oh mais il a une petite fille. Un si gentil homme avec une petite fille ne peut pas être fondamentalement mauvais ? Pas vrai ? Hein ?

Il va casser donc la banque à proximité, humilie la police, tout va bien jusqu'à que son pote veuille tuer un mec. Mais non Cage est un mec bien il refuse de le tuer et se fait arrêter tout seul comme un con. Là déjà il y a deux problèmes. Le premier c'est que si vous ne voulez pas être reconnu et ne pas à avoir à tuer des gens IL FAUT PORTER UNE PUTAIN DE CAGOULE ! Pour des génies du crime vous êtes juste des merdes infâmes. On sent que le mec au scénario n'en avait déjà rien à foutre. Environ autant à foutre que Cage lorsqu'il signe pour un film. Continue comme ça Cage tu seras abonné aux DTV moisis avec Seagal.
Deuxième connerie, pourquoi foutre Cage en gentil tout mou du slip sans couilles ? Un mec aussi bien pensant, respectueux des valeurs de l'Amérique et de la sacrosainte famille ne va pas voler. Enfin bon.

Huit années passent et là on a le complot le plus nase du monde. Le complot qui marche juste parce que c'est mardi gras et qu'on est à la Nouvelle Orléans où ils font le carnaval. Parce qu'il va enlever la petite chérie à son papa et on ne pourra pas l'entendre car dehors, c'est carnaval. Mon dieu, mon dieu. On vient de prendre mon intelligence et de lui cracher à la gueule.

Mais ce n'est pas fini, il ne faut jamais sous estimer une équipe de bras cassés. Cage, alors que ça sert à QUE DALLE va aller voler une banque en 3h, en plein jour. C'est le casse le plus minable du monde. Mais minable, mais minable. Je veux dire n'importe quel demeuré pourrait faire ça. Cambriolage qui n'est juste pas possible sachant que l'or fond à plus de 1000°C. Mais on est Hollywood ici on aime prendre les gens pour des cons, d'ailleurs quelque part ils sont un peu cons ils aiment se faire entuber et être pris pour des crétins, pourquoi s'en priver ?

Et finalement le vol ne sert à rien du tout vu que le kidnappeur donne un rendez-vous pour se voir de visu.

Donc en fait, tout le film sert à rien. Il suffisait de dire : "oui oui j'ai l'argent" d'aller au rendez-vous et de casser la gueule au mec.

Une belle perte de temps.

Je ne parle pas des seconds rôles calamiteux. On la blondasse qui a des yeux transparents. C'est original. Les deux policiers inutiles... Un beau ramassis de cliché.
Le film est cousu de fil blanc, jamais intelligent, toujours prévisible, jamais aucune surprise. C'est le néant total. Le vide abyssal. Et ce n'est pas la réalisation de West qui va changer la donne. Un film de Yes Man sans talent. Ouf, me voilà rassuré, les choses reprennent leur cours normal. Simon West est un tocard et sa pseudo adulation pour le très moyen Explendabide 2 est retombée. On peut continuer de considérer West comme un abruti sans se faire lyncher.

Et voilà, encore un navet de plus dans la filmographie déjà bien fournie dans ce légume de Nicolas Cage, qui n'en finit pas de travailler pour rembourser ses arriérés d'impôt. Le film n'a d'ailleurs pas rencontré son public, ce qui en soi est plutôt rassurant étant donné sa médiocrité... Le sujet du braqueur obligé de faire un dernier coup pour sauver quelqu'un qu'il aime n'est pas nouveau et en plus dans "12 heures" le scénario mène l'intrigue avec tant de mollesse qu'on finit par s'ennuyer devant celle-ci. Si la séquence d'introduction, qui filme un braquage où police est dépassée, dans la grande tradition des films de braquage, est pas mal, la suite s'avère beaucoup plus ennuyeuse et la course contre-la-montre du personnage de Cage pour retrouver sa fille s'avère trop légère dans les péripéties pour nous intéresser réellement ; dans le même style du père se démenant pour retrouver sa fille kidnappée préférez "Taken" qui tenait un peu plus la distance. À la fin on pense pendant une seconde qu'on va nous épargner le happy-end de rigueur, que nenni ! non seulement on y échappe pas, mais en plus on se paye une séquence semi-humoristique aussi risible que totalement inutile. Bref le film réussi même à rater sa fin... On a donc un long-métrage médiocre dans tous ces aspects qui s'il n'avait Nicolas Cage au casting et en tête d'affiche serait probablement sortie directement DVD. À voir uniquement pour les fans indécrottables de l'acteur.

Le film me plaisait franchement bien jusqu’à la scène du policier qui inspecte la voiture du psychopathe. Là, c’est totalement stupide : la fenêtre du taxi est ouverte, la fenêtre entre le conducteur et le passager est ouverte et elle a fait un trou dans la banquette : elle gueule du côté du coffre, tape et le flic ne l’entend pas. Ensuite, elle s’enfuit en réussissant à ouvrir le coffre (qui n’avait pas été ouvert…) et part du côté où il n’y a pas un rat au lieu de prendre le chemin le plus court, c’est-à-dire se mêler à la foule. Un passage comme celui-là avec trois incohérences en moins de trois minutes plombe un film, aussi bon qu’il puisse être. Enfin vient la scène finale, le combat ultime entre un crippled et Nicolas Cage. Et franchement, pour un génie, il n’est pas vraiment intelligent. Vu l’état de son ancien pote, il ne se doutait pas qu’il y allait avoir une entourloupe ? Et juste pour info, un coffre ne s’ouvre pas QUE de l’extérieur et un homme en feu avec une jambe métallique qui se fait renverser ne sort pas de l’eau pour attraper le héros. Il doit d’abord rentrer dans l’eau, et un lac à 5 mètres du bord ne fait pas 15 mètres de profondeur… Et sinon, la petite fin intelligente est beaucoup trop prévisible. 1,5/5

Pauvre Nicolas Cage... obligé de tourner dans un sacré nombre de navets d'action pour payer ses impôts ou je ne sais quoi. Il n'est pas tellement ridicule ici, mais c'est le scénario qui l'est, enfin qui manque gravement d'originalité. D'ailleurs, on note que "The Call" (sorti après ?) a piqué l'idée de la jeune fille dans le coffre de la voiture. Le méchant est plus pittoresque même s'il surjoue totalement. Bref, c'est une série B sans âme qu'on ne regardera pas deux fois.

Un thriller action où le coté thriller est resté dans les cartons. De très hypothétiques situations qui ravissent uniquement les inconditionnels en prenant les flics pour des quiches. Bref, des scénarios des années 80' bien dépassés.
Cage égal à lui même, bien campé dans ce style, insipide émotionnellement mais n'en fait pas trop coté gros bras, bien suffisant.
Film passe-partout pour tuer un peu de temps, assez mauvais ! 1.5/5 !!!

Et revoilà Nicolas Cage, cheveux teintés au vent, dans une nouvelle bidulerie d'action de troisième partie de soirée ! Bon, on va être honnête, ce "12 heures" n'est pas la pire ânerie de sa filmographie de ces dernières années, on peut même la regarder 20 minutes d'affilée sans être trop gêné (incroyable, hein ?) comparé aux trucs pas possibles auxquels il nous a habitué récemment.

Après un dernier coup qui tourne mal (voir un scénariste naïf croire qu'un tel point de départ a encore quelque chose d'original touche à une innocence quasi-divine), ce bon vieux cambrioleur de Nicolas finit en Cage (ovation). À sa sortie, sa fille se fait enlever par un David Guetta unijambiste fâché tout rouge (c'est son ancien complice en fait) qui lui réclame sa part du butin.

Et c'est parti pour 1h30 où l'on pourra s'amuser à lister tous les poncifs les plus éculés des films d'action bas de gamme. Simon West a décrété inexplicablement que le mot "surprise" était la pire némésis de son film et plonge à pieds joints dans la routine affligante.
Le leitmotiv étant de ne rien (mais absolument RIEN) proposer de neuf, attendez-vous à tout plein de voitures roulant vite ou s'encastrant un peu partout, à des personnages qui courent dans tous les sens en prenant des tas de décisions incohérentes (le méchant a perdu son cerveau en même temps que sa jambe apparemment) et, bien évidemment, à un Cage déterminé à faire le job pour ne pas avoir trop de souci avec le fisc.
L'ensemble a beau être emballé dans un rythme qui se veut trépidant au possible, rien n'y fait (même le cadre "exotique" de la Nouvelle-Orléans), on remercie ce "12 Heures" de ne pas en durer autant.

Et on continue d'espérer revoir un jour le Nicolas Cage que l'on a aimé (réapparu au détour du bijou "Joe") mais cet espoir est désormais très proche de l'extinction...

Un sous taken2....la scène finale spoiler: ou il fond de l'or
est lamentable.

Décidemment, qui dit Nicole Ass Cèdje dit Navet intersidéral. Est-ce à force de se faire tirer la peau que son cerveau est sorti par les oreilles et les trous de nez ??? Pourquoi ne joue-t-il plus que dans des films minables ??? C'est une sorte de mélange entre Francis Huster, Matthieu Amalric, Gad el Malette et Christophe Lambert avec du ketchup dessus ??? Bien fait pour eux... y'a pas de raison qu'on soit les seuls à avoir des acteurs tout pourris !!! Hi, hi, hi !!!

Nicolas Cage cachetonneur ça devient une habitude. On le retrouve ici devant la caméra de Simon West connu pour "Les ailes de l'enfer" (1997) production Jerry Bruckeimer avec déjà mister Cage, et dernièrement réalisateur du carton surestimé "Expendables 2". On est donc dans lme pur produit hollywoodien du film d'action au scénario cousu de fil blanc. Le vrai soucis reste la faineantise de l'ensemble, en gros il faut trouver 10 millions de dollars en 12 heures. Tension et angoisse devrait être l'apanage pour un minimum de suspense... Mais non, on regarde le film d'un oeil vide d'intérêt car c'est réalisé sans conviction, joué sans conviction dans un récit convenu sans la moindre surprise (tout est rabâché). Le début est d'un ridicule, des braqueurs anti-pro (retard d'un fumiste, disputes de gamins) au possible qui retire toute crédibilité ; au final ce sont des pieds nikelés, le soucis c'est que ce n'est pas une comédie !... Bref un énième film pourri de Nicolas Cage. Un bides au box-office US normal et un direct-to DVD en France encore plus mérité.

Un thriller anodin où un braqueur voit sa fille kidnappée, et doit livrer une rançon à un ancien acolyte. "Stolen" n'est donc guère original, que ce soit par ce pitch ou son scénario assez faible. Nicolas Cage semble fatigué dans ce rôle principal, tandis que Josh Lucas cabotine sous un maquillage ridicule dans le rôle du méchant psychotique. Néanmoins, il serait malhonnête de qualifier le film de navet. La réalisation de casse pas des briques mais demeure correcte, et l'intrigue n'ennuie pas.

Capable du meilleur comme du pire, Nicolas Cage enchaîne les tournages quasiment aussi vite que notre Gérard Depardieu National. A chacun de ses films on ne sait pas sur quoi on va tomber. Serait ce un projet sérieux dans lequel il s'est réellement investi ou bien un de ces énièmes navets dont il semble raffoler ? Avec Simon West à la réalisation, on pencherait naturellement vers la seconde solution ?

Il y a un moyen assez simple de reconnaître un bon film avec Nicolas Cage. Si l'acteur se prend trop au sérieux dans son rôle, alors on est quasiment certain d'avoir le droit à un film raté. Les exemples sont nombreux : Ghost Rider, Prédictions, L'apprenti Sorcier... En revanche dès qu'il joue du second degré, Nicolas Cage sait prouver qu'il peut être un grand acteur comme dans Kick Ass, Adaptation ou Hell Driver. Manque de chance, son rôle de cambrioleur dans 12 Heures semble nécessiter pour lui le plus grand sérieux. 12 Heures est donc définitivement a classer dans les plus mauvais films de l'acteur.

Alors a qui la faute ? Au scénariste David Guggenheim dont l'histoire manque totalement d'originalité et de cohérence ? Au réalisateur Simon West qui ne sait rien faire d'autre que des blockbusters décérébrés ? Au producteur McG qui n'a jamais lui même vraiment convaincu en tant que réalisateur ? C'est certainement un mélange de tout ces éléments porté par l'envie de faire de l'argent facilement en sortant ce genre de film en pleine période estivale où les spectateurs ont laissé le cerveau à la maison.

Il y avait pourtant une bonne idée de départ et de quoi faire vraiment un bon film avec un tel synopsis. On est pris au jeu en début de film, le temps que l'intrigue s'installe. Puis on commence à être gêné par les incohérences de cette histoire : Will achète à l'arrache un téléphone portable à 29,99$ qui fonctionne immédiatement sans activation de ligne, sans batterie à recharger ! Puis tiens une scène où le méchant ballade la fille de Will dans le coffre de son taxi nous rappelle The Call et pour finir quand le Bad Guy boiteux et brûlé vif se relève une dernière fois façon Terminator on ne peut plus se retenir de rire.

Le pire c'est que le film est tout de même bien peuplé : Le chef du FBI mou du genou qui idéalise Will Montgomery est incarné par un Danny Huston qu'on a connu plus motivé (30 Jours De Nuit). Le rôle de la complice sexy de Will est très bien tenu par Malin Akerman (Watchmen), il faut dire que celui ci ne demande pas spécialement d'effort. La fille Kidnappée est interprété par Samy Gayle (Detachment) qui n'a pas non plus grand chose à jouer. Celui qui a fait le plus d'effort est Josh Lucas (Poséidon) métamorphosé dans le rôle du méchant ex-complice à qui la vie n'a pas fait de cadeau. Dommage que sa prestation ne soit pas soutenu par un scénario plus crédible qui aurait évité de le ridiculiser.

On a franchement déjà vu plus nerveux et sérieux en matière de thriller/action, on comprend un peu mieux après l'avoir vu pourquoi le film a été un tel bide aux Etats Unis l'année dernière. A la vitesse à laquelle Nicolas Cage enchaîne actuellement les navets, il ne va pas tarder à finir par se retrouver très vite dans des Direct To Vidéo ou au casting d'Expendables 3. Il est temps de réagir !

Je m'en doutais, ma première impression était la bonne. Encore un mauvais film avec Nicolas Cage (un de plus avec cet acteur qui les accumules, ces dernières années) . Dialogues et scénario bas de gamme, j'ai arrêté au bout de 15 minutes. A éviter vraiment.

Thriller signé Simon West, 12 Heures (ou Stolen en version originale) marque la seconde collaboration entre le réalisateur et Nicolas Cage après Les Ailes de l'Enfer, bien que l'appréciation finale ne soit pas la même. Ainsi, malgré un jeu d'acteur convaincant, comme on en a l'habitude, l'acteur se voit encore et toujours à l'affiche d'un film qui le sous-exploite, qui ne maîtrise pas son scénario, en multipliant gaffes et incohérences tout en s'autorisant quelques longueurs. De valeur équivalente aux téléfilms du dimanche, cette série B énerve plus qu'elle ne divertit.

Encore un film rate pour nicholas cage , sa filmographie c'est dernier temps est plus remplie de nanar qu'autre chose , bref un thriller rate , une interprétation limite , a zapper

15 ans après "Les ailes de l'enfer", nous retrouvons une collaboration entre Simon West et Nicolas Cage qui a mal vieilli. Reprenant les clichés de films du genre, nous subissons en quelque sorte ce film qui n'apporte rien. Une intrigue classique, un cambrioleur de génie qui se retrouve en prison suite à un cafouillage peu crédible, une fille à sauver etc. Mise à part de belles images de la Louisiane qui donnent envie d'y aller fêter mardi gras, on se dit que ce film est en quelque sorte du vol. Préférez donc faire des crêpes au nutella que d'aller voir ce film sans aucune saveur.