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    Viva Riva !
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    53 critiques spectateurs

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    cineccita
    cineccita

    39 abonnés 1 471 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 avril 2012
    Un jeu de piste en plein cœur de Kinshasa, c'est drôle et divertissant. Dommage que la fin soit un peu facile.
    hamasiblan
    hamasiblan

    22 abonnés 449 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 septembre 2012
    un bon petit film très agréable à regarder, un bon rythme, et un soucis d'authenticité, malgré la théatralité de l'ensemble. Kinshasa est chaude !
    Cathedrale
    Cathedrale

    74 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2012
    Une silhouette incandescente, d'un mouvement de hanche sensuel, irradie le coeur de l'homme insouciant. Se dessine alors à l'encre au goût essence, une histoire d'amour brûlante, puissante car éphémère, passionnante car adultère. Les scènes de Coït défilent, fulgurantes, suivies de près par l'ombre immaCULée, menaçante, qui ne lâche rien. Course poursuite électrique et suintante, rythmée par l'énergique déhanché d'une Manie Malone époustouflante, Viva Riva ! mérite ce point d'exclamation, génial et incongru, à l'image de son héros fantasmé, éternel gamin rieur au regard enfiévré, inépuisable source d'énergie barbouillée d'Or Noir.
    Perrine B.
    Perrine B.

    2 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 janvier 2015
    Kinshasa is calling.
    Pénurie de pétrole au Congo. Quand Riva revient à Kinshasa avec des barils à écouler au marché noir, il gagne énormément d’argent dont il compte profiter à outrance. Bémol numéro 1 : les barils ont été volés à son ancien employeur, qui ne compte pas laisser Riva s’en tirer aussi aisément. Bémol numéro 2 : Riva a flirté avec Nora, ce qui ne plaît pas à son copain actuel, le gangster Azor, qui a la rancune facile. Avec ces 2 hommes aux fesses, Riva va devoir faire son possible pour rester en vie.
    Qui est Riva ? Un congolais qui est apparemment responsable de la mort de son frère, qui a abandonné ses parents et est parti en Angola travailler pour un malfrat qui est dans le pétrole, a roulé ce dernier et revient à Kinshasa pour dépenser le fric gagné suite à ce vol. Comment ? En se tapant des prostituées, en sortant boire de l’alcool dans des clubs, en voulant séduire la nana d’une petite frappe locale. Ensuite ? Rencontres de plein de personnages absolument antipathiques qui finiront tous par mourir (ou presque), et limite on en est bien content !
    A Kinshasa, rien ne va. Est-ce ce qu’a voulu nous dire le réalisateur ? Car c’est ce qui ressort de ce film. Tout y est pourri : les militaires, la police, l’église, la famille. C’est trop voyeur avec les très nombreuses scènes de fesses à tout va. Et les filles ? On y voit des p****, des ripoux ou des mères de famille qui se font taper dessus. Beaux portraits ! Quel est ce personnage de fille aux cheveux rouges qui sort avec un voyou, danse de manière démonstrative, se laisse toucher comme dans un porno dans les clubs, se tapait le proviseur de son école quand elle était jeune, mais refuse qu’on l’appelle une p*** ???
    L’aspect polar est bien rendu, mais les personnages m’ont tellement dégoûtée que les côtés positifs en ont été cachés. Entre choc et trash, il n’y a qu’une fine limite, que ce film a franchi allègrement
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 167 abonnés 7 228 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 avril 2012
    Pour une fois qu’une fiction africaine bénéficie d’une exploitation dans l’hexagone, on n’allait pas s’en priver. Viva Riva ! (2010) est un polar franco/belgo/congolais dont le plus inquiétant est de constater qu’il aura fallut attendre plus de vingt ans pour qu’un film puisse voir le jour en République Démocratique du Congo (l’industrie cinématographique du pays est catastrophique). Djo Tunda Wa Munga nous entraîne au cœur d’un Kinshasa gangrené par la contrebande d’essence où le sexe, l’alcool, les armes et les dollars sont légion. Avec un tel programme, on était sûr d’en avoir pour notre argent où après un certain temps d’adaptation, le film fini par nous convaincre et on se laisse séduire par le jeu de ces acteurs non professionnels qui s’avèrent bien plus crédibles que des acteurs français amateurs. Quant à la mise en scène, Djo Tunda Wa Munga ne lésine devant rien, que ce soit les scènes d’actions ou de sexes, il transforme son polar urbain en un séduisant film d’action congolais aux influences américano/européennes.
    selenie
    selenie

    5 429 abonnés 6 015 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 avril 2012
    La Bande-annonce avait de quoi nous faire saliver avec un polar musclé au congo, assez rare pour attiser la curiosité. Très vite on s'aperçoit que le réalisateur a beaucoup vu de polar américain du genre, on ne peut s'empêcher de penser à nombre de polar musclé nord américain tant "Viva Riva" en est imprégné. Même si le jeune réalisateur congolais s'en sort bien (il a bien étudié) on aurait préféré un style moins impersonnel. Par contre il réussit un bon mixte entre action (on passe du meilleur au pire) et sexe (c'est chaud mais juste comme il faut) ; faut préciser que ce film est censuré dans son pays d'origine à cause de sexe. Néanmoins si le scénario est assez banal ça reste efficace, l'essence remplace les stups et les bas-fonds de Kinshasa sont bien montrés (avec bidonvilles, corruption... etc...). L'autre bémol reste les acteurs, outre la splendide gazelle Manie Malone et le héro Riva les autres ne sont que des caricatures surtout le caïd angolais en costard blanc qui ferait presque rire tant il surjoue (jusqu'à la gestuelle). Il est décevant de tirer la fin en longueur (sursauts inutiles et stupides). Au final la vraie qualité du film reste son exotisme, assaisonné à la torture et au sexe. Sans ça ce film serait pas loin du nanard.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 28 avril 2012
    Bienvenue à toi, Riva ! Digne héritier des "turkish" et autres "vincent vega", du pulp congolais en somme, non sans un passé au lourd conséquences, et un avenir bien plus qu'incertain, bienvenue Riva, on comptera sur toi maintenant !
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    83 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 avril 2012
    Cette vision d’une ville gangrénée par la corruption et les trafics, où cohabitent la richesse ostentatoire et la misère la plus noire, si bien sûr elle est le reflet de la réalité, souffre ici d’une absence de perspective et de recul. En fait, le film développe trop une approche folklorique et carte postale qui échoue à restituer l’atmosphère délétère et excessivement violente de la capitale. Ainsi le cinéaste se montre t-il par endroits trop complaisant à filmer sur la durée des scènes torrides de baise – et de préférence dans les bordels mal famés de la périphérie – et les débordements sanglants des gangs qui s’affrontent. Et par la même occasion il ne se consacre pas assez à la captation de la moiteur et de la sensualité de la ville, qui ne traversent pas vraiment l’écran. Adoptant les mauvais tics des clips de rap et ne trouvant pas la bonne distance avec une histoire au scénario plutôt mince et convenu, le congolais Djo Tunda Wa Munga donne au final à voir un long-métrage bien peu original, à l’interprétation fausse et outrée, et ne parvient pas à s’extirper des fantasmes et des lieux communs associés à la métropole qu’il met en scène. Il y a pour en terminer une démarche qui ressort trop racoleuse et flatteuse à destination d' un public occidental à qui sont offertes en pâture de jolies filles pas farouches et bien chaudes convoitées par des lascars forts en gueule et en muscles, à la gâchette facile. Tristement anecdotique et bêtement sans identité ni reliefs.
    DarioFulci
    DarioFulci

    83 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 septembre 2012
    "24" à Kinshasa complètement raté. D'abord le scénario, laborieux, inintéressant. Ensuite les personnages, tous détestables car affreusement caricaturaux (tous les mecs sont machos, les filles des objets de désirs rebelles ou lesbiennes, façon viriles forcément). Quand à la mise en scène, Wa Munga fait tout pour lui donner du style, avec montage nerveux et effets "Jason Bourne" avec de modestes moyens. Il se plante en beauté car son film est un ramassis de clichés tape à l’œil filmés avec une arrogance bien embarrassante vu le résultat. Rester dans la salle jusqu'à la fin a été difficile...
    jeremie747
    jeremie747

    38 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 avril 2012
    Riva est un jeune homme qui ne se prend pas la tête. Il a beau avoir la mafia angolaise et un bandit congolais irritable à ses trousses, il est bien décidé à claquer tout son argent fraichement (et douteusement ?) acquis pour profiter des folles nuits de Kinshasa.
    Polar congolais sorti de nulle part, ce « Viva Riva » représente un cinéma qu’on ne voit plus si souvent : simple et efficace, presque naïf (dans le bon sens du terme). Sans se regarder le nombril, sans artifice, il déroule un scénario bien ficelé et s’attache à construire des personnages intéressants.
    Les classiques du polar sont présents : un gros paquet de pognon, un petit malin qui n’a peur de rien, une femme fatale, un side-kick un peu pleutre, quelques méchants cruels à point et même une petite dose d’humour… L’ensemble ne révolutionne pas le genre mais le prend à bras le corps avec une bonne humeur et une énergie communicatives.
    Son originalité, « Viva Riva » la trouve dans son contexte. Violent et sexy, le film pulse au rythme de l’Afrique. Le réalisateur parvient ainsi très bien à intégrer dans son récit de véritables faits de société comme la prostitution, la corruption, les pénuries, l’impunité relative mais aussi une authentique joie de vivre et une certaine insouciance.
    Pur héros romantique, le personnage de Riva vit uniquement dans le présent et peut se permettre de regarder, rigolard, la mort en face car il semble animé de la certitude que l’avenir n’existe pas. En cela, il incarne avec beaucoup de justesse ce qui fait le charme et le drame de l’Afrique moderne.
    Julien D
    Julien D

    1 101 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 août 2012
    Il est rare de voir un film africain exploité dans les salles françaises, ainsi quand voir qu’UGC vantait les mérites de ce film noir (au sens cinématographique du terme) réalisé en RDC pouvait chaudement attisée lacuriosité d'un public amateur de dcouvertes. Devant cette surenchère de violence gratuite et de vulgarité on peut penser pouvoir trouvé un message socio-politique, mais cette histoire dénuée d’originalité de course poursuite entre voyous vendeurs de pétrole ne mène finalement à rien de concret. Les scènes mal filmées de fusillades et de sexe s’accumulent sans intérêt artistique sinon de donner l’image la plus abjecte possible à la ville de Kinshasa (l’Office du tourisme congolais devrait porter plainte!).
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    165 abonnés 1 855 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 février 2018
    Scénario très conventionnel, personnages sans véritable consistance et comédiens qui semblent peu professionnels. Le personnage de la Commandante aurait par exemple pu être intéressant si il avait été interprété par une véritable actrice. Restent en arrière plan, ces images du Congo Kinshasa plongé dans la violence et la pauvreté, une certaine atmosphère qui nous fait voyager dans ce pays déchiré par plusieurs guerres civiles. Il y avait de quoi faire un véritable film, mais nous avons plutôt droit à une succession de clips axés sur la violence, la cruauté et le sexe.
    Thierry M
    Thierry M

    131 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 avril 2012
    Voila un film sombre , et tres bien realise , moi j' ai passe un bon moment , meme si par moment on frise le ridicule.
    orlandolove
    orlandolove

    113 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 avril 2012
    Malgré une trame classique ce thriller détourne les codes habituels de par son contexte (l'action se déroule à Kinshasa au Congo). Après un temps d'adaptation, le film, bien dialogué et sans concession, se révèle efficace.
    Cluny
    Cluny

    65 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 octobre 2012
    Ces critiques se veulent ouvertes au cinéma du monde entier, et au-delà des cinématographies asiatiques ou sud-américaines, elles se sont intéressées à des films islandais, bosniaques ou mongols. Par contre, et du fait de la rareté de la programmation de films d'Afrique noire, elles n'ont à leur actif qu'un film tchadien, et un film sud-africain. Voilà donc une bonne raison de s'intéresser à ce "Viva Riva", film tourné au Congo par un réalisateur congolais, même si une bonne part de la production vient de France et de Belgique ; il s'agit d'ailleurs du premier film tournée en République Démocratique du Congo depuis 1987 et "La Vie est belle", de Mweze Ngangura.
    Comme Gavin Hood, le réalisateur de "Mon nom est Tsosti", Dio Tunda Wa Munga a choisi le genre du polar. Choix pertinent, car de tout temps le film noir a permis de raconter de nombreuses choses sur la société qui lui sert de toile de fond : il suffit de comparer les "Scarface" d'Howard Hawks et de Brian De Palma pour s'en convaincre. Je vais donc analyser ce "Viva Riva" sous deux angles, celui du polar et celui de la toile de fond.
    Ce n'est pas un hasard si je cite le "Scarface" de De Palma, car Dio Tunda Wa Munga affirme avoir été très influencé par ce film, et cela se voit. On retrouve dans le scénario un paquet d'éléments constitutifs du polar : la femme fatale, le caïd de quartier qui tabasse sa femme et envoie ses gorilles contre ceux qui le narguent, le chef de bande impitoyable, des flics corrompus, de la violence, de la violence, et encore de la violence. Les méchants ont la vie dure (et des gilets pare-balles), et le héros encaisse coups de pieds, de poings et de feu ; bref, rien de bien original, si ce n'est que les méchants sont Angolais, que ce qu'on traffique, c'est de l'essence, et que le plus gros acheteur potentiel de cette essence est un prêtre qui part demander l'accord de l'évêque pour la transaction...
    Car ce qui fait le réel intérêt du film, outre une vraie maîtrise de la mise en scène et une belle photographie, c'est tout ce qu'il nous apprend sur la société congolaise où tout tourne autour de l'argent ; un des personnages angolais dit d'ailleurs : "Dans votre pays, vous croyez que l'argent, c'est tout ; mais au bout, il tue toujours." On découvre le personnage de la commandante, militaire homosexuelle, celui de la femme d'un petit malfrat rangé des voitures qui lâche "c'est toujours à l'heure du repas que les gens se pointent", ou encore celui d'Anto, petit orphelin revendeur de portables. L'ambiance de Kinshasa est parfaitement rendue, avec ses trains bondés, ses coupures de courant, ses files d'attente à la pompe à essence, et la place de la nuit, ce qui donne le dialogue suivant : "Il aime la fête et les femmes." "- Comme tout le monde..."
    Le personnage central, celui de Riva, promène sa nonchalance rieuse et finalement suicidaire dans le dédale de la nuit kinoise, symbolique d'une Afrique majestueuse et flambeuse. La scène de sa visite à ses parents, avec la remontée des vieux secrets de famille et de la culpabilité de la perte du frère est un nouvel emprunt au cinéma américain, et ne sert pas à grand chose, le mystère autour du passé de Riva étant beaucoup plus intéressant que ces explications psychologisantes. Au-delà de ce trop plein scénaristique, "Viva Riva" réussit à maintenir l'intérêt, grâce à un vrai sens du rythme ponctué par la musique et à la précision de la description d'un société toujours en mouvement.
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