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Ganesh72
6 abonnés
4 critiques
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5,0
Publiée le 6 octobre 2013
pour ma part je trouve ce film excellent , magnifique que seuls les personnes ouvertes d'esprit peuvent regarder et faisant preuve de compassion , de sensibilité ! humour , passion, souffrance, tristesse, amour , blessures , etc... tout y est! ce film retrace la souffrance de ces enfants qui n'ont pas eu l'affection d'une mère et qui le paient cher tout au long de leurs vies... voilà pourquoi je dis bravo à ces actrices formidables qui ont su retranscrire cela au cinéma. une bonne leçon !
Le film se trouve être bien trop convenu et manque cruellement d originalité. J ai eu la désagréable impression d avoir déjà vu ce genre de film des dizaines de fois. Seule Josiane Balasko tire l ensemble vers le haut avec une prestation de mère odieuse, mais sans en faire des caisses, ses colères froides et ses remarques acerbes en font un personnage marquant.
Je donne la même note que la dernière critique de Guiyom M... mais par contre ce sont pour moi les 30 premières minutes qui ont le plus de gout. Après ça devient long et plat.
Mais bon, le résultat c'est le même, globalement ce film est d'un profond ennui.
Saluons quand même la prestation de de Josiane Balasko, Mathilde Seigner et Marina Foïs... c'est bien l'unique chose qui sauve ce film.
Deux sœurs qui enlèvent, séquestrent et enchaînent leur maman pour les forcer à les aimer, cela peut relever du film d’horreur, ou du thriller. Non, c’est une comédie amère à la française. Peut-on vraiment forcer quelqu’un à vous aimer ? Le film aurait pu simplement avoir pour postulat : deux sœurs enlèvent, séquestrent et enchaînent leur maman pour la forcer à écouter leurs douleurs de ne pas avoir été aimées par leur mère et comprendre. Cela suffisait. Malheureusement, on ne peut pas s’empêcher de faire un happy-end. A un moment donné, j’ai cru me tromper. Quand Alice (Marina Foïs) craque en prenant sa mère dans ses bras ; sa sœur Sandrine (Mathilde Seigner) lui reprochant sa faiblesse le lendemain matin. S’ensuit une altercation entre les deux sœurs où Alice invite sa sœur a accepter sa mère telle qu’elle est. C’était intéressant. Il y avait quelque chose à creuser pour donner plus de relief, plus d’épices à ce film. Ben, non, il a fallu que tout le monde finit par s’aimer... Il fallait, à mon sens, rester dans le ton du film : préserver cet humour un peu noir. Qu’une des deux sœurs n’abdique pas. Les dialogues tantôt sonnaient faux, tantôt percutaient. Film aux séquences inégales pour une durée de moins d’une heure trente, c’est dire si tout compte fait ce film est une semi déception.
Déjà habituée de l’écriture de comédies impertinentes sur les conflits familiaux, Alexandra Leclère a cette fois voulu s’inspirer de souvenirs personnels pour mettre au point son nouveau film traitant du manque d’affection maternelle. Si un tel postulat pouvait glisser vers l’autobiographie tire-larmes ou la comédie familiale pleine de bon-sentimentalisme mielleux, Maman réussit à garder de bout-en-bout son ton cynique. Cette animosité entre les personnages est merveilleusement portée à l’écran par ses trois actrices pleines de talent que sont Josiane Balasko (qui n’a plus été aussi mémorable depuis des années que dans ce rôle de mère acariâtre), Mathilde Seigner et Marina Fois. C’est bien dans son casting que cette affaire de famille puise son énergie car la mise en scène est sans idées et les dialogues n’aident pas à envenimer ces tensions.
Un genre de film que tout le monde ne peut pas regarder jusqu'au bout. Pour ma part, j'aime ce genre de film où les attitudes, la gestuelle et les regards prennent le pas sur les dialogues... Ce beau trio d'actrices dégagent un mal profond qui va donner la force à deux d'entre elles à tenter le tout pour le tout pour entendre leurs réponses tant espérées. L'affiche correspond bien sauf par sa lumière qui n'est pas aussi lumineuse dans le film. A voir qu'une fois.
Un genre de film que tous le monde ne peut pas regarder jusqu'au bout. Pour ma part, j'aime ce genre de film où les attitudes, la gestuelle, les regards prennent le pas sur les dialogues... Ce beau trio d'actrices dégagent un mal être profond à un point de tenter le tout pour le tout et avoir enfin leurs réponses tant espérées. L'être humain reste une personne sensible a quiconque ne peut le cacher. Ce film le démontre bien. Une histoire surprenante. L'affiche du film ne correspond pas à la lumière du film. A voir une fois.
Une comédie aigre-douce qui n'a pas grand chose pour elle,car elle n'ancre ni dans le réalisme,ni vraiment dans l'absurde. Alexandra Leclère ausculte encore les rapports familiaux et sororels après "les Sœurs Fâchées",mais ses intentions grinçantes sont torpillées par un trop plein d bons sentiments. En n'allant pas au bout de sa logique,"Maman" devient une fade chronique,trop courte pour développer efficacement la source du conflit entre une mère grinçante et absente(Josiane Balasko,qui ne se forçe pas trop) et ses deux filles aigries(Mathilde Seigner à l'interprétation probante au contraire de Marina Foïs,très effacée). Seules les apparitions hilarantes de Michel Vuillermoz en amoureux transi forcent quelques sourires. Pour le reste,ça manque de rigueur et de crédibilité à tous les niveaux.
Pouuuu cest long jai pioncer a un moment j'en pouvais plus....je vous le conseille pas a moins que vous cherchez a vous endormir et que vous avez pris 5 red bull avant....sinon c'est mort ^^
Tout semblait prometteur dans ce film : le scénario, la réunion de trois grandes actrices, le début du film avec la découverte des personnages leurs vies, leurs rancunes et leurs espoirs. On jubile a l'idée que le huit clos va donner qqch d'époustouflant un peu comme dans le "le prénom" ou "carnage" et la patatra tout s'effondre : que des silences, des mélodies larmoyantes, des regards, des pas, des pas et encore des pas dans cette grande demeure...c'est raté, quel dommage!...