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    Gilda
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    Noahdu77
    Noahdu77

    3 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 septembre 2013
    "Gilda", un grand classique du cinéma. Tout le monde connais la scène, où Rita chante et fait un strip-tease avec ces gangs.
    Mise à part ça, Gilda est une romance dramatique, avec un superbe jeux d'acteurs qui le film film qu’il faut voir tant pour sa prestation que pour sa réalisation ou son script ou peu importe, si vous aimez le cinéma, vous aimez ce film.
    GRANDIOSE !!!
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 243 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 mai 2021
    Gilda n'est pas un film particulièrement mémorable. À l'époque on a beaucoup parlé de l'alchimie entre Hayworth et le premier rôle Glenn Ford et je crois que le film a été un énorme succès au box-office mais il ne semble pas très exceptionnel aujourd'hui. La scène la plus célèbre et celle qui est invariablement choisie pour les extraits aujourd'hui c'est celle du grand numéro musical de Hayworth ou elle chante Put the Blame on Me mais ce qui je suppose semblait sexy à l'époque mais aujourd'hui pas vraiment. Hayworth se trémoussant comme si elle était attachée à des ficelles que quelqu'un d'autre tire mais tous cela semble terriblement mou, artificiel et stupide aujourd'hui...
    Redzing
    Redzing

    895 abonnés 4 265 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 décembre 2021
    « Gilda » fait partie de ces films davantage connus pour leur effet sur la pop culture, que leurs qualités intrinsèques. En l’occurrence, « Gilda » fit de Rita Hayworth un énorme sex symbol. Ce qui est parfaitement compréhensible quand on voit, d’une part, la prestation sensuelle et exubérante de l’actrice. D’autre part, sa célèbre robe noire et ses longs gants, qui servent pour une scène d’effeuillage osée pour l’époque, qui a du faire tourner pas mal de têtes (et de censeurs…). Pour le reste, ce n’est malheureusement qu’à moitié convaincant. « Gilda » tente de se la jouer film noir, avec un trio que l’on devine maudit à l’avance : un chef de casino trouble, son fidèle second qui lui doit tout, et Gilda, femme fatale que le premier épouse mais que le second connait. Sauf que les relations entre les personnages sont à peine développées (le passé entre les deux protagonistes n’est jamais mis sur la table), et que l’intrigue peine à se réveiller. Passée l’ascension fulgurante du personnage débrouillard de Glenn Ford, il faut attendre près d’une heure pour que les choses bougent réellement. Tandis que les sous-intrigues (casino illégal, policier « infiltré », tricheries potentielles, réseau d’industriels clandestin) sont allègrement sous-exploitées. De plus, la mise en scène est relativement statique. A part quelques numéros musicaux, ou le célèbre plan d’introduction de Gilda (« Are you decent ? »), c’est le calme plat. Jusqu’à un final néanmoins relativement étonnant : spoiler: un happy end dans une œuvre qui louche du côté des films noirs !
    Pour l’anecdote, « Gilda » fera toutefois tellement d’effet, que lors des essais nucléaires de l’opération Crossroads, l’une des bombes sera nommée Gilda, et détonnera avec une photo de Rita Hayworth accrochée à elle ! Une initiative qui sera très peu du goût de l’actrice…
    maxime ...
    maxime ...

    190 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juin 2023
    Gilda, est un film monstre ! Pour son audace, dans ses convictions, de sa démarche à son incroyable rendu, tout ici nous incite à plongé avec !

    Charles Vidor nous invite, sans perdre un instant à nous incéré dans cette univers louche, dans cette folle aventure qui aura marqué de son empreinte son Art, et une ribambelle de cinéaste ayant bien tapé quelques unes de leurs références au mythe au passage. On rencontre, au demeurant, très vite ses semblables. Les similitudes rapprochent, unissent, à la fois belle et si triste ...

    Le début manifeste un attrait pour ses personnages mystère, qui s'infiltre, observe, se déguise, combine et active des coups. Une offre, une tangente, un pacte, selle une amitié de circonstance, de celle qui marque, une fois de plus, au fer rouge. Les responsabilités, la charge de travail qui va avec, prennent très vite de nouvelles fonctions de dignitaires dans ce tripot, lieu de rencontre par excellence, ou les croissements sont inhérents à la main de son propriétaire qui orchestre et dirige entre intelligence et fureur manifeste. Gilda, entre d'ailleurs en scène dans cette reconstitution de crime parfait. La tension entre ses deux jeunes expatriés est de suite visible, reconnaissable, évidente à tel point que le jeu dévie irrémédiablement. La métaphore, en devient que plus évidente dans le battement de son tempo.

    L'écriture, la finesse de sa compo va également contribué à rendre se film immortel. La distribution aussi. Rita Hayworth, tout en haut. Une icone parmi les icones. N'oublions pas Glenn Ford, Steven Geray, Georges Macready, Joseph Calleia, ainsi que touts ses autres interprètes. Renversants, absolument. Une ambiguïté qu'ils insufflent, distillent, comme des princes.

    Vérité, sensation, attirance sont des termes de Gilda, de son champ lexical, des évidences là encore. La haine est une autre de ses citations. Entre époux. Lui qui éteint sa femme, l'obligeant à fermé des fenêtres, tandis qu'elle ne fait qu'y aspirer. Etre ex, dans une manigance entre désir et vengeance. Amour toxique, qu'ils ne savent nommé autrement que dans la colère fiévreuse qui les rongent. La haine, encore, qui pousse à la revanche, à la jalousie, y compris lorsque plus rien n'entrave quoi que se soit, mis à parts les souvenirs ...

    L'amour tourne au vinaigre dans sa quasi-totalité du film. Le fatalisme n'y est d'ailleurs pas pour rien. Pour elle, Gilda, femme fatale par excellence qui raconte la passion de la liberté, du bruit, de l'aventure, que l'on cadenasse et qu'elle tente de fuir, sans trop de conviction. Pour ce Chef de Cartel aussi, qui achète, compulsivement femme, amis, objet avec une vision de la mort dans sa tentative, comme il l'indique lorsqu'il refile ses codes à son second. Pour lui aussi, tiraillé dans ses allégeances, ses contradictions, qui tente de concilié les unes avec les autres, dans un échec sur fond d'ascension. Jj'en reviens à son Carnaval, scène sublime au passage, qui altère une idée de croyance. 3 Jours de fêtes pour le Carême, avant pénitence et acte de contrition. La superstition, autre thème du film est ici vu sous le prisme de la conquête, d'une victoire, comme un culte sur une supériorité en expansion ... Il y'a la, une lecture que je trouve, dans un sous-texte fin et brut, tout une idée d'une monde à suivre ! Qui contre balance avec la folie de l'instant de Gilda, oiseau en cage, qui s'en extrait dans la lumière des néons, en chanson, avec son corps et sa voix, sa tenue de bal.

    L'effervescence grandiose de la soirée, s'arrête à Minuit, au Casino du moins. Le recours de la voix off en intro, qui commente l'évènement donne une nouvelle tournure à la fusion des chaos qui suit. La fuite du Boss, de son crash magouillé, à la déclinaison du nouveau mariage vu avec la passion triste observe vers une fin pressante de cette situation à pic ...

    La convergence mène à cette fin. Juste celle qu'il faut !
    bobmorane63
    bobmorane63

    147 abonnés 1 891 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2021
    Un très bon polar bien machiavélique que nous offrait dans les années 40 le cinéaste Charles Vidor !!
    Un joueur malin de poker de rue se voit prendre par un grand manitou la responsabilité sous ses ailes d'un Casino, de s'occuper de ses biens mais va avoir des soucis de s'occuper de la femme de son mentor, "Gilda" comme le titre l'indique, une séduisante dame qui s'amuse beaucoup, fait tomber les hommes (et le personnage central) qui bouleverse tout en point de vue financier et sentimentalement. J'ai trouvé ce long métrage excellent dans son scénario très malin avec une belle narration du personnage principal masculin, une solide mise en scène de Charles Vidor qui vieillit bien au visionnage avec le temps et un superbe casting avec en tète Glenn Ford dont cette oeuvre fera de lui une valeur montante du cinéma Américain de cette période et la belle Rita Hayworth somptueuse dans un de ses meilleurs roles de sa carrière. A signaler deux chansons que chante l'héroine qui traversent le temps dans des publicités d'aujourd'hui. A ne pas manquer.
    mazou31
    mazou31

    77 abonnés 1 258 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 juin 2021
    Chef-d'œuvre du film noir hollywoodien des années 40, inoubliable par la présence de Rita Hayworth qui transcende le film par sa beauté, sa sensualité racée, son interprétation sublime en jouant, en dansant, en chantant. Pour autant, ses partenaires restent aussi à la hauteur… juste en-dessous. L'histoire est alambiquée mais se tient, la mise en scène est nerveuse et surtout, la photographie est monumentale : la maîtrise absolue du noir et blanc. Á voir ou revoir pour admirer l'une des plus belles actrices de tous les temps.
    Misoramengasuki
    Misoramengasuki

    54 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mai 2014
    Si "Gilda" séduit encore, ce n'est sans doute pas pour les mêmes raisons qu'en 1946. A l'époque, Rita Hayworth incarnait la femme fatale dans toute sa dimension érotique. Le film est largement construit autour d'elle, la célèbre scène du gant venant en point d'orgue. Pour le spectateur d'aujourd'hui, Rita a toujours énormément de classe, mais son style sophistiqué a beaucoup vieilli - même Marilyn, à côté, fait beaucoup plus moderne, parce que plus nature. Ce qui reste, en revanche, c'est l'atmosphère très spéciale du film. Un malaise et une ambiguité s'installent très vite dans la relation entre les deux personnages masculins (Glenn Ford et George MacReady), qui vire à la relation sado-masochiste franchement perverse dès que Ford et Hayworth commencent leur jeu de séduction-répulsion. Sous des dehors léchés (magnifique photo noir et blanc de Rudolph Maté), le feu couve! Si on croit difficilement à cette histoire de cartel du tungstène, à la mort bidon de MacReady et à la soi-disant "fuite" de Hayworth , on est en revanche souvent impressionné par l'efficacité des dialogues, qui transforment l'affrontement Ford-Hayworth en une succession de joutes verbales virtuoses. Un film daté, mais qui a encore de beaux atouts.
    Charlotte28
    Charlotte28

    88 abonnés 1 690 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mars 2019
    Un film à la gloire de l'élégamment sensuelle Rita Hayworth qui incarne avec force une femme faussement folâtre mais réellement passionnée, éprise de liberté et d'amour. Le triangle sentimental est d'ailleurs davantage au centre du scénario que l'aspect purement film noir dont l'intrigue de corruption n'a guère d'attraits, ce qui entraîne quelques longueurs dans sa seconde partie. A visionner pour découvrir la création d'une icône.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    109 abonnés 1 573 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 octobre 2019
    « Gilda », c’est une énième histoire d’un triangle amoureux, sur fond d’histoire de banditisme ; pour cette dernière raison, on le classe, à tort, dans les films noirs. Mais « Gilda », c’est avant tout LE film de Rita Hayworth, construit autour et pour la somptueuse et pulpeuse rousse. Objet sexuel de ses conjoints qui opérèrent sur elle une transformation esthétique, le mimétisme entre Rita et Gilda est profond. Gilda (ou Rita) possède tous les atours de la femme fatale ; beauté inaccessible, mangeuse d’hommes ; et joue avec cette image alors qu’elle est d’une sensibilité extrême, timide, superstitieuse et en quête de fidélité. Et plus que les couleuvres qu’essaie de nous faire avaler un scénario décousu (écrit au fur et à mesure du film) et brouillon, l’intérêt du film réside uniquement dans la mise en valeur de la sublime Rita Hayworth. Son joli minois, sa toison de lionne, ses longues jambes fuselées, ses talents de danseuse et de chanteuse sur « Put the blame… » auront raison de tout le public masculin, elle accroche tellement la lumière et son regard la caméra. Et les hommes se tromperont sur la nature même de cette fragile Gilda, icône que Rita assumera mal ; elle dira : « Les hommes se mettent au lit avec Gilda et se réveillent avec Rita ! ». Lauren Baccal dans « Port de l’angoisse » ou « Casablanca » avec Ingrid Bergman réussiront beaucoup mieux l’alchimie entre la mise en lumière d’une belle actrice de l’âge d’or d’Hollywood et un scénario au cordeau. Donc à voir uniquement pour la belle prouesse de Rita Hayworth…. Et peut-être aussi pour l’histoire d’une homosexualité à peine voilée entre les deux personnages masculins principaux.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    soulman
    soulman

    63 abonnés 1 146 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 mai 2023
    Que le scénario soit invraisemblable, qu'il n'ait ni queue ni tête, qu'importe ! Ce qui compte ici c'est la mise en scène de Rita Hayworth par Charles Vidor et le show final. "Put the blame on Mame " compte parmi les chansons les plus envoutantes de l'histoire du cinéma hollywoodien et son interprétation par la future interprète de "La dame de Shanghai" est une séquence cultissime entre toutes. Autour de l'actrice, le reste du casting fait pâle figure, emporté par la tornade Gilda, excepté le cabotin Steven Geray dans le rôle d'Oncle Pio.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    61 abonnés 1 645 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 octobre 2023
    L'histoire est prétexte à faire jouer la star Rita Hayworth. Le scénario est pourtant interressant (un trio amoureux et donc impossible) mais le film s'embourbe un peu dans son intrigue et la mise en scène est plate à en pleurer. Dommage.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    210 abonnés 2 769 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mars 2019
    Impeccable film noir, très classique pour cette période, qui marque surtout les esprits par la performance de Rita Hayworth, fascinante comme un serpent et magnifiquement mise en lumière dans chaque scène, comme peu d'actrices l'ont été à l'époque. Son personnage aussi sensuel que venimeux donne le la à ses partenaires (notamment Glenn Ford) et son sens à l'histoire de ces hommes qui se déchirent sur fond de trafic et d'argent facile. Très symptomatique d'une après-guerre trouble, le film garde encore son panache aujourd'hui, en dépit d'un style un peu suranné grâce aussi à sa réalisation éblouissante et jouant habilement de l'ombre et de la lumière.
    Parkko
    Parkko

    132 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 février 2013
    Gilda est un des films emblématiques de Rita Hayworth, si ce n'est son film culte, car elle a eu parfois du mal à faire oublier son personnage dans le film de Charles Vidor. C'est juste pour la réputation que j'ai regardé le film, mais en me disant que ça allait être un classique assez moyen, juste bon pour la performance de l'actrice principale. Et bien bizarrement non. Non, Gilda ce n'est pas juste Rita Hayworth. Alors bien sûr, disons le de suite, elle irradie complètement à l'écran. Elle est magnifique, elle est charismatique, elle est tout ce que l'on veut, elle est Gilda et on comprend bien que l'actrice a eu du mal à faire détacher son image de celui de son personnage. Mais la réalisation de Charles Vidor n'est vraiment pas mal. Le problème peut-être est qu'elle repose principalement sur des jeux de lumière et sur des jeux d'ombre afin de faire comprendre au spectateur quelle inclinaison le personnage va suivre etc. Y a quelques plans qui sont très bien découpés mais qui "détonnent" presque car on voit la construction pour le coup, avec Gilda au milieu des deux personnages masculins notamment, un tantôt en arrière plan, l'autre tantôt au premier plan. Mais bon, au moins ça a le mérite d'être des idées et des tentatives. Tout ne repose pas sur l'actrice. Et le scénario étant honnête tout ça a donne lieu à un bon film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 avril 2009
    Ce film est surtout connu pour la célèbrissime scène où Rita Hayworth dans une robe serrée, retire son gant devant une salle comble d'hommes puissants et émerveillés, en chantant « Put the blame on Mane, boy ». Cette image indélébile qui a contribué à rendre mythique l'actrice, l' a rendu aussi malheureuse puisqu'elle n'a jamais pu ensuite se détacher de ce rôle qui a grandement altéré sa vie privée. Son personnage culte, Gilda est une femme fatale au passé trouble qui déchaîne passion, haine et jalousie entre deux hommes, Ballin, patron d'une salle de jeu clandestine et Johnny, tricheur professionnel, qui ne sont pas plus enviables que de l'un que de l'autre, de par leur misogynie et de leur méfiance à l'égard des femmes. En effet Ballin a placé sa propriété, sa femme Gilda, sous la surveillance de son bras droit, Johnny qui se trouve être l' ex mari de la dernière acquisition de son maître dont il lui obéit comme un véritable chien de garde. Mais contrairement aux apparences et à l'instar des différentes sous – intrigues qui apparaissaient au final autrement de ce qu'elles paraissent, l' histoire tourne essentiellement autour du jeu amoureux entre Johnny et Gilda qui se haissent alors qu'ils s'aiment à en mourir. De même, Gilda, désir de possession et de domination de la gent masculine, se révèle être finalement un personnage féminin beaucoup plus complexe que la femme manipulatrice et mangeuse d'homme présentée au début. Et c'est ainsi, à travers l'ambiguité de ses personnages, et grâce à des non-dits, des dialogues à double sens et des sous-entendus, que ce film noir sous fond de pouvoir et de sexe, a pu contourner la censure de l'après guerre, qui font que Gilda demeure une oeuvre forte de par tout les thèmes controversés qu'il a pu abordé à l'époque …. sans oublier que la présence et le jeu toute en subtilité de Rita Hayworth ont fortement contribué au succès de ce grand classique.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    66 abonnés 1 705 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2019
    Envoûtante Rita Hayworth dans son rôle de Gilda, femme fatale à la folle liberté qui rend maboul tous les hommes qu’elle croise sur son passage. Extraordinaire Rita Hayworth dans ce monument du film noir au scénario quelque peu complexe et alambiqué qui fut construit au jour le jour. Fascinante Rita Hayworth dans ce long-métrage censé se dérouler entre Buenos Aires et Montevideo, qui bénéficie d’un noir et blanc magnifique et d’une mise en scène remarquable. Irrésistible Rita Hayworth qui interprète le mythique « Put the blame on Mame » d’abord au son d’une simple guitare puis au cours d’une scène d’effeuillage restée dans les annales du cinéma. Sublimissime Rita Hayworth dans ce long-métrage à l’incroyable ambiguïté sexuelle : rivalités amoureuses larvées, impuissance, homosexualité y sont évoquées mais jamais explicitées.
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