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    Faust
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    BenZaccaria
    BenZaccaria

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 août 2012
    Exemple type du film encensé par certains critiques parce qu'ils sont sûrs que le peuple ordinaire, la plèbe n'aimera pas. C'est le film le plus long que j'ai jamais vu. Mephistophélès est intéressant c'est vrai. Mais, c'est vraiment tout et ça ne suffit pas du tout pour sauver le reste. J'ai trouvé ça terne, froid, et je le redis : looooong (sans que ça ne serve rien sinon de prétexte à Sokurov pour nous montrer deux ou trois scènes un peu provoc pseudo-esthétique).
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 26 juillet 2012
    J'ai bien dormi.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 août 2012
    Un film qui : ennui, dégoûte, interroge, submerge de dialogues philosophiques, fascine par sa réalisation... Tout cela dans un même film! N'ayant pas lu l'œuvre, beaucoup de tableaux ont du m'échapper et si j'en reste à noter le film, le mécontentement gagne sur la fascination et la curiosité. J'ai difficilement supporter le verbiage permanent de ce film et ces scènes glauques. Très peu pour moi donc. Zéro pointé
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 13 juin 2016
    Je ne continue pas plus loin, je n'ai pas compris grand chose. C'est une adaptation libre du livre de Goethe, donc on ne voit pas beaucoup de similitudes. Ce qui m'a le plus marqué avec ce film, c'est l'ambiance, l'image, les couleurs, la lumière : tout est mis en oeuvre pour vous faire sentir mal à l'aise. Le film s'ouvre d'ailleurs sur 15 minutes de "dégueulasse", en commençant par l'image du pénis d'un mort, pour ensuite remonter sur le bas du ventre que Faust est en train de triturer le plus profondément possible. Et ledit cadavre ramené à la verticale une fois l'opération terminée et qui perd ses organes tombant pesamment (et malheureusement bruyamment) sur le sol... Bien, vous y êtes maintenant ?
    Heureusement ceci ne perdure pas. Mais Faust rencontre Mauricius, qui campe le rôle de Méphistophélès sans vraiment le dire, interprété par Anton Adasinskiy, affublé d'un costume de chair flasque, déformé et dégoûtant, au visage blafard mais percé de deux pourfendeurs petits yeux noirs, et dont la voix originale (film vu en allemand sous-titré en français) dérange, incommode. Mauricius et Faust se promènent, discutent et se perdent en élucubrations et rencontres toutes plus bizarres, indisposantes et vaines les unes que les autres. On ne comprend pas trop où le réalisateur veut en venir, même en ayant le repère de l'original. Tout ce qu'on espère, c'est la fin du film (et qu'on ne fera pas de cauchemars la nuit).
    La photographie est quant à elle égale au reste du film : perturbante (je vais finir par manquer de synonymes) avec des images floues, à la loupe, comme derrière une espèce de boule de cristal.
    En bref, j'ai encore eu une bonne idée en choisissant cette adaptation !

    livriotheque.free.fr
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 juin 2012
    Bilan mitigé, si les images sont magnifiques le scénario me laisse perplexe. Je n'ai rien contre les films bavards mais ici c'est beaucoup trop et surtout bien trop philosophique pour moi. J'ai eu beaucoup de mal à comprendre où l'on voulait en venir (et je n'ai toujours pas compris j'avoue). Le film défile comme un long plan séquence entre les différentes rues du villages et ses alentours pour aboutir sur une fin qui elle aussi m'a laissée perplexe. En somme, une réalisation impeccable mais un scénario obscur. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 juin 2012
    Faust, professeur spécialiste en alchimie, cherche le secret de l'âme dans le corps des morts. En vain cependant, et il manque d'argent pour payer les fossoyeurs. Il va alors voir un prêteur sur gages, qui refuse de prendre la bague qu'il lui offre et l'empêche même de se suicider en buvant lui-même la cigüe qu'il avait prévu d'avaler. Ce prêteur sur gages, Mauricius, lui offre un tour dans son village, où Faust trouve des raisons à sa cupidité et des envies de luxure qui le poussent à demander toujours plus à Mauricius, jusqu'à lui vendre, en échange d'une nuit avec la jolie Margarete dont il a tué le frère, son âme.


    Le film d'Alexandr Sokourov, qui clôt une tétralogie (Moloch, en 1999; Taureau, en 2001; Le Soleil, en 2005), est aussi simple d'accès que l'est la pièce en deux volumes de Goethe, dont il s'est librement inspiré. De Faust I et Faust II, le cinéaste reprend les personnages de Faust, Méphistophélès, du famulus Wagner accompagné de son homonculus, et de Marguerite. On retrouve aussi le fameux pacte par lequel Faust cède son âme, et la montagne sur laquelle Faust va chanter sa déception amoureuse... Merci Wikipédia, hein, je n'ai jamais lu Goethe. Et, à part quelques réminiscences de culture G qui me rappelaient l'intervention du diable et la pactisation de Faust avec lui en échange de son âme, je ne savais pas grand chose du personnage de Faust.


    Et ce n'est pas la narration cohérente et maîtrisée, mais volontairement brouillonne, d'Alexandr Sokourov, qui m'a aidé à me rappeler les grandes lignes de l’œuvre de Goethe. Le cinéaste a tourné en 1:33, format dont les salles de projection se sont débarassées - d'où la difficulté à trouver une séance, même à Paris. Le 4/3 permet de serrer le cadre dans des décors déjà moites - l'intimité de la chambre de Faust, un lavoir où les femmes se déshabillent sans pudeur, une taverne où les hommes soûls réclament encore plus de vin,... - et les personnages se cognent aux limites de l'écran, se croisant sans cesse et sans air. Cette proximité laisse aussi les dialogues s'entremêler, incessantes diatribes philosophiques et interventions de personnages secondaires qui eux, parlent de la pluie, du beau temps ou du pain juste sorti du four.


    Le film est bavard, claustrophobe, et son ambiance malsaine est renforcée par l'incessant parfum de mort et de sexe qui danse dans les yeux de Faust et qui est sans cesse rehaussé par Méphistophélès, se donnant en spectacle et caressant son corps difforme. La lumière verdâtre ou jaune donne elle aussi une idée de l'étrangeté de ce film ovni. La séance de cinéma a-t-elle pour autant été désagréable? Sans être une grande fan de cette interprétation de Faust, j'y ai subi une étrange fascination teinté de dégoût, et je remercie Alexandr Sokourov de livrer au public une œuvre bizarroïde, expérimentale et hors du temps - avec son format d'autrefois.


    Je ne sais pas si vous l'avez constaté - vous qui venez tous les jours sur ce blog et vous languissez certainement de m'y retrouver -, je n'ai pas été beaucoup au cinéma ces dernières semaines. Je fatigue, et même si des films m'attirent parfois, je me dis souvent qu'ils ne valent pas forcément le coup que je me déplace. Je ne trouve que rarement la perle rare, je ne ressens quasiment jamais un engouement réel, un bonheur à retrouver un film et à m'y laisser emporter. Mon amour du cinéma ne me quittera sans doute jamais, mais je me lasse des films certes bons et agréables à regarder mais sitôt oubliés aussi. Je ne veux pas juste passer deux heures sympathiques dans une salle de cinéma, à moins d'y aller avec des copains et de prolonger la soirée ensuite en bonne compagnie. Je veux retrouver à chaque film une étincelle. Je vais donc peut-être arrêter de passer toutes mes soirées au cinéma, et attendre les quelques films que certainement, comme Faust, personne n'ira voir, mais qui me redonneront la définition juste d'un beau cinéma.


    En attendant, peut-être vais-je aussi profiter de mon chez moi et de mon vidéo-projecteur et de tout ce temps libre retrouvé pour me gorger de classiques qu'on sait avoir marque l'histoire du cinéma. Des propositions?
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 août 2012
    Faust est l'un des films les plus aboutis que j'ai pu voir. Maîtrisé jusqu'à la nuance, au sons prés, ce film pourrait être l'application parfaite du Théâtre de la cruauté d'Artaud. On est englouti dans une même masse minérale et organique, saturée de sensations. L'émotion n'est pas pour autant négligée et elle surgit, inattendue, par exemple, simplement au détour d'un gros plan d'un visage, inoubliable. Faust, œuvre extrêmement ambitieuse et visionnaire (à la fois au sens de vision prophétique qu'au sens technique) est un monde en soi, dans lequel on peut vite perdre ses repères, aussi bien spatio-temporels que purement moraux. Cause à un montage qui surprend continuellement et la façon dont le réalisateur et son chef op' pétrissent littéralement l'image et le temps diégétique. On en sort épuisé mais avec la jouissance d'avoir assisté à un spectacle rare.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 août 2012
    Un film très inégal! Mais la virtuosité de Sokourov est juste hallucinante, plus encore que dans l'arche russe. Mais quelques longueurs et des réflexions intéressante sur l’œuvre de Goethe qui ne peuvent être saisie que si l'on a une bonne connaissance de l’œuvre.
    imolo
    imolo

    9 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 juin 2012
    pas génial;Je ne comprends pas pourquoi il a reçu l'oscar;beaucoup de gens ont quitté la salle pendant la projection; c'est long: le réalisateur s'est beaucoup trop focalisé sur la première partie et a négligée la dernière qui, elle aurait dû être approfondie; Je ne recommande pas. en pus c'est d'un long, de quoi faire une bonne sieste;
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 août 2012
    Je ne comprends pas l'engouement de la presse pour un tel film... L'ont-ils vraiment vu ? Est-ce chic de voir un film métaphysique ?!? C'est long, c'est verbeux, c'est moche, c'est glauque, le scénario est aléatoire... On ne retrouve que très peu l'histoire originale... Le réalisateur n'a gardé que les réflexions métaphysiques du livre... Le seul interêt du film a été de lire les critiques des spectateurs après le film (ceux qui n'ont pas aimé comme moi !) qui sont très fines et très drôles !!!! En tout cas, au moins je me souviendrai d'un tel film...!!!!!
    Ce film est pour un public très très averti...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 juillet 2012
    Quelle claque!!! A se damner.........................................................
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 décembre 2012
    On aime sokurov ou on déteste. Moi j'ai aimé (mais alors vraiment !) un film et détesté tous les autres. Ce Faust fait hélas parti de la deuxième catégorie.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 juin 2012
    Hystérique et bavard... C est très dur de rester sur son siège. On veut quitter la salle des la première demi heure et ce jusqu'à la fin...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 juin 2012
    Un peu bavard mais les images sont somptueuses et, après un premier quart d'heure fatiguant, on est happé par la magie du film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 juin 2012
    un veritable calvaire à regarder. j ai eu envie de faire comme 5 personnes de la salle : m en aller!
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