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    Detachment
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    4,0
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    510 critiques spectateurs

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    christelle2a
    christelle2a

    46 abonnés 217 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 mars 2012
    J'y suis allée relax car avec toutes les critiques négatives que j'avais lu je ne m'attendais pas à un grand et beau film comme il avait été vendu. Du coup, ça a été une demi surprise car j'ai plutôt apprécié. Ce n'est pas le professeur au lycée qui m'a intéressé, mais le professeur à la maison, sa relation avec son grand père et celle avec Erica (Sami Gayle, actrice toute jeune, que je ne connaissais pas du tout et qui m'a charmé),et qui ont réussi à me faire sortir 2/3 larmes. James Caan m'a fait exploser de rire (même si j'ai des doutes sur la véritable utilité de cette scène pour le film).
    Le reste est plutôt maladroit et même si Adrien Brody joue très juste, son interprétation est loin d'égaler celle du Pianiste.
    Georges P.
    Georges P.

    61 abonnés 827 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 octobre 2014
    Une plongée imperdable dans le système éducatif américain. Les enseignants français devraient tous voir ce film exceptionnel
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 mai 2012
    Film d'une noirceur totale et réaliste. Difficile, mais la mise en scène extrêmement originale, et l’interprétation de Brody sont vraiment époustouflantes. je ne comprends pas très bien la presse, moi je recommande ce film (sauf en cas de dépression)
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 février 2012
    "Feel-sad movie" déprimant, "Detachment" surprend par la facilité avec laquelle Tony Kaye tricote son film avec des histoires pourtant souvent traitées ; le défaut du film demeure peut-être dans le fait qu'il y en a peut-être un peu trop, et que certaines (le passé du grand-père, notamment) viennent juste un peu plus accabler le spectateur sans que le besoin ne se fasse ressentir. Kaye opte pour une caméra à l'épaule, des zooms intempestifs, des images parfois floues, des flashbacks en Super-8 (un air de déjà vu) et des courts passages animés (bien pensés) : Kaye fait tout pour que le spectateur rendre dans son film et en ressente les nombreuses émotions. Car "Detachment" est effectivement un film qui ne laisse pas insensible au sort de ses personnages qui, s'ils répondent évidemment à des stéréotypes (le prof, la proviseure, la jeune prostituée, la fille obèse...), ont le mérite de ne pas tomber dans la caricature. C'est surtout l'occasion pour Adrien Brody d'incarner magistralement le rôle de ce professeur, qu'on voudrait voir comme un héros moderne, mais qui malgré ses efforts, ne peut pas faire de miracle. Les seconds rôles ne déméritent pas : Lucy Liu (comme on n'imaginait pas la voir un jour), les jeunes Sami Gayle (impressionnante de maturité) et Betty Kaye (fille du réalisateur, dans un rôle difficile) valent le détour. Un film d'une certaine puissance.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 avril 2012
    Retour de Tony Kaye aux affaires après le polémique American History X, Detachment tient la comparaison sur plusieurs registres: il est film pour acteur -Norton hier, Brody aujourd'hui-, il dresse un portrait à la fois désabusé et cynique d'un fait social -le racisme, puis l'échec éducatif- et se refuse, d'une certaine manière à trancher de manière claire entre bien et mal, et est donc par nature, dialectique. On peut citer quelques dérapages à la limite du racisme refoulé -notre trouble dû au fait que l'intégralité des personnes de couleur du film soient présentés comme des pourritures est-elle fortuite, pernicieuse ou tout simplement résultant la connaissance de la nature polémique de l'oeuvre de Kaye? Dur à dire. Reste un paquet de cliché pas toujours forcément hyper porteurs et, étonnement, le film se fait plus étonnant sur le registre personnel du rapport au (grand-)père.
    Thomas P
    Thomas P

    25 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 février 2012
    Certains diront que c’est caricaturale, stigmatisant et au fin fond du pessimisme mais Detachment ne peut pas laisser indifférent. Adrien Brody enfile le costume de professeur remplaçant (Henry) dans un lycée d’un quartier difficile aux Etats-Unis où Tony Kane peint la misère sociale, la solitude des enseignants et du personnel éducatif. Le film ne se focalise pas sur la vie du lycée mais aussi sur la vie d’Henry et notamment de sa rencontre avec Erica (très bien jouée par Sami Gayle). Le malaise social présenté dans le film est très fort mais n’a peut être pas été assez travaillé pour avoir un résultat moins sombre. Le reste de la distribution est satisfaisant (Lucy Liu, Christina Hendricks…) et apporte son lot de personnalités qui se croiseront les unes avec les autres. Detachment n’est pas un grand film mais il m’a saisi.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 janvier 2012
    Vu en avant-première avec la présence d'Adrien Brody et de Tony Kaye également ! C'est un superbe film, très beau, juste sensible. Une espèce de fusion entre the tree of life pour le questionnement du héros, la narration poétique et elephant sur le malaise du système scolaire américain. C'est un film très fort (peut être un peu trop déprimant son seul défaut peut être). A voir absolument, ne serai se que pour Adrian Brody qui est absolument époustouflant.
    JoRod
    JoRod

    37 abonnés 335 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 février 2012
    Tony Kaye signe une œuvre forte, réussi dans son ensemble, cependant pas exempt de tout défaut. D’une force similaire à American History X, ce film arrive, par moment, à prendre au cœur.

    Avec une mise en scène originale alliant Dessins (de Tony Kaye lui-même), documentaire avec des témoignages de professeurs & fiction, s'autorise l'insertion d'images animées, de métaphores poétiques et c’est tout ce qui fait le charme du film. C’est très loin d’être déplaisant. Et filme tout ceci de manière sensible.

    Malgré certaines maladresses et des scènes un peu trop appuyées au niveau de l’émotion, le film s’en sort plus que remarquablement

    Detachment se présente comme un film sur le système scolaire américain, en perdition, mais pas seulement, grand film sur la solitude, l’entraide, le mal-être des américains. Il dresse une vision relativement pessimiste, mais il arrive néanmoins à en tirer du bon au final.

    C’est une oeuvre noire, sombre, qui laisse assez stupéfait et qui laisse place à des réflexions existentielles. Le film aborde la solitude inhérente au monde moderne.

    Adrien Brody est à l’image du film, parfois maladroit, qui en fait trop, parfois juste mais qui tire une force assez remarquable. Il n'avait pas été aussi bon depuis Le Pianiste. Avec la présence de James Caan, Marcia Gay Harden, acteurs premiers de la classe.

    15/20

    Ma critique sur : http://make-your-own-movies.over-blog.com/
    Julien T
    Julien T

    22 abonnés 309 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 août 2012
    Un excellent film sombre, porté par un très bon Adrien Brody. Film sur la solitude, et qui malgré quelques clichés (pas forcement mauvais, mais qui par définition sont déjà vu), vient toucher le spectateur.
    jujulcactus
    jujulcactus

    21 abonnés 291 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2012
    Entre documentaire et esthétisme appuyé il semble hésiter, Tony Kaye dépeint dans une certaine urgence le système éducatif américain dans « Detachment » et le fait par l'intermédiaire du regard d'un professeur remplaçant muté dans la banlieue New-yorkaise. Le film parle, comme son nom l'indique, d'un homme qui va avoir du mal à se détacher des troubles de son métier, à maintenir une distance entre lui et ses élèves, lui et ses problèmes familiaux. Dans la tourmente de son personnage, Tony Kaye pose des questions pertinentes et lourdes de sens : « comment s'occuper de personnes quand on a déjà du mal à s'occuper de soi? », « comment prendre de la distance face à des problèmes qui nous envahissent? », « Si on ne peut pas aider tout le monde comment faire un choix entre des personnes dans le besoin? », « Est-on responsable de la déroute de ses élèves ? »... Dans une mise en scène déroutante, lourde et redondante (alliant flash-back, déambulation dans les rues la nuit et petits dessins à la craie), Adrien Brody, plus déprimé que jamais, déambule les yeux usés par son quotidien... Le schéma est brouillon et saucissonné, certains choix discutables mais de son imperfection le film tire peu à peu sa force. La base trop radicale voire caricaturale sur laquelle le film s'appuie ne se s'efface jamais vraiment mais mue et devient le fondement même d'un ton dépressif et sans concessions. Adrien Brody livre une performance remarquable, ses collègues aussi (Hendricks, Harden, Liu...), j'ai quelques réserves en revanche sur le jeu de Sami Gayle, la jeune prostituée que notre héros va prendre sous son aile. Au final « Detachment » est certes un film inégal, aussi séduisant dans le fond qu'agaçant dans la forme, mais l'énergie qu'il brasse dans sa détresse se révèle attachante et finie par toucher.
    traversay1
    traversay1

    3 090 abonnés 4 623 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 février 2012
    Detachment n'est pas qu'un film sur l'enseignement en milieu difficile, son ambition de traiter de la misère existentielle tous azimuts, si tant est que cela en soit le thème identifiable, lui donne un aspect hétéroclite qui n'en facilite pas la lecture. La seule chose certaine est que le pessimisme est de rigueur et que deux suicides encadrent le cheminement du professeur remplaçant qu'incarne Adrien Brody avec son intensité habituelle. Le rôle d'un type détaché, certes, mais bienveillant (jusqu'à accueillir une très jeune prostituée chez lui) et vaguement moraliste, qui fait ce qu'il peut, déjà qu'il trimballe avec lui un lourd passif émotionnel. Le scénario est chargé, la mise en scène n'est pas non plus d'une grande légèreté. Tony Kaye essaie à peu près tout : des flashbacks façon clip, des confessions face à la caméra, des envolées poétiques, des collages, des zooms approximatifs ... Une certaine idée du chaos ambiant, illustrée de manière démonstrative. Bienvenue dans une zone d'inconfort maximal ! Bien évidemment, à force vous saouler de coups, le film touche parfois juste. Certaines scènes ont un accent de vérité indéniable. Elles sont cependant trop peu nombreuses et noyées dans un pot au feu de sentiments et d'agissements dont on a du mal à retenir autre chose qu'une immense cacophonie (catatonie ?).
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 009 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 avril 2012
    Plus de dix années après le mémorable American History X et quelques documentaires après, Tony Kaye revient avec un drame mettant l'Homme sous le feu des projecteurs. Sans concession, doté d'un casting parfait, d'un scénario grinçant et d'une mise en scène très artistique visuellement, Detachment livre une vision pessimiste et tranchante sur la condition humaine à travers le regard d'un professeur opérant dans un établissement sensible.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    579 abonnés 2 748 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 mai 2021
    L’agonie du système scolaire public américain ne sert, dans Detachment, que de prétexte à un exercice de style abject qui se repaît des maux qu’il représente, filme en gros plan la violence multiforme pour mieux brosser le portrait de victimes et de héros du quotidien qu’une société rejette ou ignore. Voilà une pornographie de la misère comme l’était déjà 21 Grams (Alejandro González Iñárritu, 2003) et comme le sera Capharnaüm (Nadine Labaki, 2018), soit un regard complaisant et « détaché », sans que ce détachement ne se raccorde à la compassion ou à la préservation défendues par Henry Barthes dans le long métrage ; il s’agirait plutôt d’indifférence voire, pire, d’un sentimentalisme gluant et écœurant. Lorsque le générique de fin apparaît enfin, nous sortons avec une impression de démonstration incapable de clarifier son propos et de défendre une thèse qui tienne la route : qu’est-ce que tout cela nous dit ? quelles portes le film ouvre-t-il sur un avenir entre nos mains ? Rien, sinon les égarements intérieurs d’un personnage qui donnent lieu à une obsession de la forme stérile, pleine de caméra à l’épaule avec son cadrage amateur, de longues marches nocturnes mélancoliques et de réflexions sur l’écriture et sur l’art qui témoignent de l’incapacité du réalisateur à se faire artiste. À éviter à tout prix.
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    120 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mars 2012
    Detachment arbore un côté réaliste appuyé par une mise en scène digne d'un documentaire tout en restant de la pure fiction du début à la fin. Cependant ce réalisme fait défaut au film puisque ce dernier multiplie les clichés qui servent un propos finalement très banal. Ca tente de critiquer le système éducatif américain mais en fin de compte ce n'est qu'un pavé dans la mare... Le film donne cette impression de toujours tourner autour du pot, dénonçant tour à tour les instances supérieurs de l'éducation, les élèves, les professeurs, les parents d'élèves sans jamais convaincre ni être vraiment tranchant. Detachment survole son sujet principal à cause de la multitude d'histoires secondaires. Non pas que celles-ci soient fondamentalement inintéressantes mais elles sont trop nombreuses sur un laps de temps très réduit, ce qui atténue la puissance du propos.
    Le film pose des questionnements sociaux sans jamais apporter une once de réponse. Il y a des choses vraies certes, surtout en ce qui concerne l'attitude de certains parents et leur incapacité à faire preuve d'un tant soit peu d'objectivité vis-à-vis du comportement de leurs chères têtes blondes. Le film a de très bonnes intentions mais celles-ci auraient été réellement louables si traitées avec davantage d'intelligence. Ici c'est surtout plus lourd qu'autre chose, que ce soit sur le fond ou sur la forme.

    La forme tiens, j'ai d'abord envie de critiquer la mise en scène qui est juste dégueulasse. La réalisation stylisée de Kaye est d'une boursouflure sans nom, et voilà que je zoome et que je dézoome, et voilà que je change sauvagement de plan dans une même séquence, et voilà que j'accélère, et voilà que je fais des ralentis... Cette caméra ne se pose pour ainsi dire quasiment jamais ce qui donne vite lieu à une migraine, un plan dure en moyenne 3 secondes et même sur les 3 secondes ça ne cesse de bouger. Seuls les petits passages animés sont les plus réussis dans cette avalanche d'effets de style minables et ratés.
    La bande originale est assez quelconque, elle sert quand même plutôt bien l'ambiance globalement. Une ambiance de spleen où le personnage principal Barthes erre avec un sentiment de détresse accentué par la morosité de son quotidien entre les journées au lycée, ses relations ambigues avec une collègue, une jeune prostituée, les souvenirs de son enfance et les visites régulières chez son grand-père atteint de la maladie d'Alzheimer. Barthes est un personnage intéressant, ambigu, sa relation amicale avec une jeune prostituée est plutôt touchante mais l'ennui c'est que tout est traité avec facilité. Son intégration au lycée et la rapidité avec laquelle ses élèves turbulents se sont assagis sont la preuve d'un criant manque de finesse scénaristique. Les problèmes sont réglés à vitesse grand V et cela sonne indéniablement faux.



    Adrien Brody dans le rôle de Barthes est le grand point fort du film. C'est un acteur de talent qui apporte ici sa figure tout aussi atypique qu'authentique dans un rôle pour lequel il s'est réellement donné. Le casting est très réussi dans son ensemble, on y retrouve James caan, Lucy Liu, Tim Blake Nelson, Marcia Gay Harden, Christina Hendricks, autant d'acteurs de métier qui offrent de solides prestations au service de personnages qui hélas sonnent un peu creux hormis Barthes.
    Tout n'est pas forcément à jeter dans ce film mais les défauts sont beaucoup trop nombreux face à des qualités trop réduites. Le film bénéficie tout de même d'un petit capital sympathie grâce à la grande qualité de l'interprétation et les quelques points positifs concernant certains relations entre les divers personnages mais l'ensemble lourd et beaucoup trop démonstratif. Le film peine à émouvoir malgré les quelques séquences tristes et tragiques. Je retiens quand même le pétage de plombs de Lucy Liu qui est pour moi la meilleure scène du film.

    Detachment aurait pu frapper un grand coup mais en fin de compte il s'agit d'un beau pétard mouillé qui traite son sujet avec une superficialité assez gênante d'autant plus que ce sujet passionnant à la base aurait pu prendre le pas dans mon esprit sur une esthétique pénible à souhait. Les intentions de départ et les quelques bonnes choses affichées ne suffisent pas à rendre le tout parfaitement honnête, le grand misérabilisme ambiant est assez gênant en fin de compte et le traitement de sujets tels que l'inceste, le suicide, la violence et autres est beaucoup trop faible. Kaye a voulu parler de trop de choses et finalement ça coince.
    Ce film divise et divisera encore mais je doute qu'il passe à la postérité, pour ma part l'exercice est plus qu'en demi-teinte et ne se révèle pas vraiment marquant, dommage.
    tifdel13
    tifdel13

    77 abonnés 491 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 janvier 2024
    Le détachement : dans le film, c'est une distance que les professeurs tentent de mettre entre eux et leurs élèves violents et démotivés afin de ne pas sombrer dans la folie ou la dépression. Henry Barthes (Adrien Brody) est un adepte de la méthode mais deux jeunes filles en détresse viennent tout bouleverser : Meredith (Betty Kaye, le propre fille du réalisateur), artiste torturée qui adore la photo et Erica, prostituée qu’il recueille (interprétée par Sami Gayle, cette dernière est le personnage le plus attachant du film. La jeune actrice est une véritable Natalie Portman en devenir. Elle a en tout cas le même charme insolent que la comédienne à ses débuts dans Léon).
    Après le racisme avec American History X (1998) et l’avortement avec Lake of Fire (2006), Tony Kaye aborde un autre thème social, celui de l’éducation. Avec Detachment, le réalisateur met à jour l’échec de la loi américaine votée en 2001 (sous la présidence de George W. Bush) : « No child left behind ». Le film n’est pas le premier a traiter de la confrontation entre un professeur et ses élèves mais il est l’un des rares à rendre compte d'un système éducatif laissé à l'abandon par un Etat tout aussi démissionnaire que...

    Venez lire la suite de ma critique sur mon blog "Chroniques d'une cinéphile" : http://chroniquescinephile.blogspot.com/2012/01/detachment-en-avant-premiere.html
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