Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Jean-Henri Meunier pose le regard libertaire d'un cinéaste amoureux de la vie. (...) Il propose des rencontres humaines à haute valeur ajoutée dans le cadre du temps comme il passe. (...) Il réalise donc des films d'action auxquels la poésie apporte son concours.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
La Croix
par Arnaud Schwartz
On rit. On s'étonne. On prend la mesure d'êtres vrais et sincères. C'est foutraque et généreux. C'est Najac. C'est à voir.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Douceur de vivre, bon voisinage et folie douce dans un village de l'Aveyron : fragile, parfois inaboutie, la chronique est à son meilleur lorsqu'elle scrute les visages et enregistre les gestes de ses protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Nicolas Didier
Il se dégage une douce absurdité, mais aussi une lucidité assez crue, quand les voisins défilent pour récupérer les biens d'un habitant défunt...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaroscope
par La Rédaction
Un documentaire poussif sur un petit village de l'Aveyron. On baille.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Après le ton farcesque appuyé des deux premiers volets, une gravité s'installe. Mais cela ne survient que dans la seconde partie. La première (...) ressemble à un trop long digest de rattrapage destiné à ceux qui auraient manqué les précédents épisodes (...). Pour les initiés, ça fait un peu redite.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Troisième volet de la "Najacsploitation" de Jean-Henri Meunier (...) Plus épuré, "Y'a pire ailleurs" assume surtout la part de morbidité et d'absurdité que charrie son sujet, trouvant dans son épilogue (...) la morale très lucide de ce qu'il convient d'appeler une "trilogie de la récup" : rien ne se perd dans ce petit monde qui meurt."
Le Monde
par Noémie Luciani
Théoricien du cinéma malgré lui, Henri définissait sans le savoir une tendance documentaire contemporaine, dont "Y'a pire ailleurs" est l'un des fleurons, suffisamment imbue d'elle-même pour croire qu'il suffit de s'être fait un nom et de promener sa caméra au hasard dans une cuisine ou une salle de bain pour faire un film.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Antoine Prioul
Un documentaire où tous les personnages, sans cesse humiliés par la caméra, sont cadrés au ras du tarbouif, récitant des maximes qui tombent dans la gadoue.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
Ou comment réduire à l'animalité la plus crasse les braves habitants du village de Najac que Jean-Henri Meunier martyrise pour la troisième fois. Un documentaire affligeant.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Humanité
Jean-Henri Meunier pose le regard libertaire d'un cinéaste amoureux de la vie. (...) Il propose des rencontres humaines à haute valeur ajoutée dans le cadre du temps comme il passe. (...) Il réalise donc des films d'action auxquels la poésie apporte son concours.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
La Croix
On rit. On s'étonne. On prend la mesure d'êtres vrais et sincères. C'est foutraque et généreux. C'est Najac. C'est à voir.
Les Fiches du Cinéma
Douceur de vivre, bon voisinage et folie douce dans un village de l'Aveyron : fragile, parfois inaboutie, la chronique est à son meilleur lorsqu'elle scrute les visages et enregistre les gestes de ses protagonistes.
Télérama
Il se dégage une douce absurdité, mais aussi une lucidité assez crue, quand les voisins défilent pour récupérer les biens d'un habitant défunt...
Le Figaroscope
Un documentaire poussif sur un petit village de l'Aveyron. On baille.
Les Inrockuptibles
Après le ton farcesque appuyé des deux premiers volets, une gravité s'installe. Mais cela ne survient que dans la seconde partie. La première (...) ressemble à un trop long digest de rattrapage destiné à ceux qui auraient manqué les précédents épisodes (...). Pour les initiés, ça fait un peu redite.
Cahiers du Cinéma
Troisième volet de la "Najacsploitation" de Jean-Henri Meunier (...) Plus épuré, "Y'a pire ailleurs" assume surtout la part de morbidité et d'absurdité que charrie son sujet, trouvant dans son épilogue (...) la morale très lucide de ce qu'il convient d'appeler une "trilogie de la récup" : rien ne se perd dans ce petit monde qui meurt."
Le Monde
Théoricien du cinéma malgré lui, Henri définissait sans le savoir une tendance documentaire contemporaine, dont "Y'a pire ailleurs" est l'un des fleurons, suffisamment imbue d'elle-même pour croire qu'il suffit de s'être fait un nom et de promener sa caméra au hasard dans une cuisine ou une salle de bain pour faire un film.
Première
Un documentaire où tous les personnages, sans cesse humiliés par la caméra, sont cadrés au ras du tarbouif, récitant des maximes qui tombent dans la gadoue.
TéléCinéObs
Ou comment réduire à l'animalité la plus crasse les braves habitants du village de Najac que Jean-Henri Meunier martyrise pour la troisième fois. Un documentaire affligeant.